357 avis : 4,9/5 ⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️

Lien entre Alimentation et Concentration : Révélation sur le Rôle Crucial de l'Alimentation pour la Concentration des EnfantsPsy ADO-ENFANT Liège TRESALLI

Rendez-vous Psychologue : Quel rôle joue l’alimentation dans la concentration des enfants ?

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00

L’école avance, les devoirs s’accumulent, la concentration de votre enfant vacille. Vous vous demandez d’où ça vient ? Entre discussions à table et rendez-vous chez la psychologue pour enfants, le sujet de l’alimentation revient souvent sur le tapis. Hasard ? Pas vraiment. Saviez-vous que certains aliments peuvent soutenir, ou au contraire saboter, l’attention ? Et ce, dès le petit-déjeuner.

Dans cet article, on plonge ensemble dans ce lien étonnant mais fondamental entre ce que mange votre enfant et ses capacités à rester concentré. On s’appuie sur des études, mais aussi sur le vécu de familles ici, aux alentours de Liège. Car chaque parent veut le meilleur pour son ado – il ou elle rêve d’intérêt en classe, de calme le soir, de motivation pour les devoirs.

Nous allons explorer les mécanismes insoupçonnés derrière l’alimentation et la concentration : les nutriments magiques, les pièges des aliments ultra-transformés, le rôle du goûter, mais aussi les signes qui doivent alerter. Prêt à voir le contenu de l’assiette sous un nouveau jour ?

Quelle influence l’alimentation a-t-elle vraiment sur la concentration des enfants ?

La scène se répète : votre enfant peine à suivre en classe, rêve à la fenêtre, oublie son cartable ou perd le fil du devoir. Vous vous demandez : est-ce que cela vient seulement de son tempérament, d’une fatigue passagère... ou bien de ce qu’il mange (ou ne mange pas) ?

La science le martèle désormais : cerveau et alimentation sont indissociables, notamment chez les jeunes qui grandissent. Loin d’être un simple “carburant” de base, la nourriture influence en profondeur le fonctionnement cérébral, en particulier la concentration et l’attention. Imaginez le cerveau comme un orchestre : si chaque instrument (ou nutriment) n’est pas à sa place, la symphonie (comportement, mémoire, gestion du stress) s’en ressent.

Un chiffre concret pour illustrer : le cerveau consomme à lui seul près de 20% de l’énergie apportée chaque jour, alors qu’il ne représente même pas 2% du poids du corps. C’est énorme ! Surtout entre 6 et 18 ans, période où tout se joue. Un apport d'oméga-3 moindre, un manque de vitamines B ou de fer... et la machine fonctionne en mode ralenti.

Par exemple, des études récentes menées en Belgique et à l’international pointent qu’un enfant carencé en fer a un risque accru de troubles attentionnels. Même chose pour les enfants qui consomment peu de poissons gras : leur mémoire de travail peut baisser, leur impulsivité monter (source : Benton, 2021). La différence se voit notamment en classe, par des oublis, de la fatigue, ou des difficultés à rester assis…

Et puis il y a l’envers du décor : une alimentation trop sucrée, riche en aliments industriels, bourrée d’additifs. Là, la vigilance chute en flèche. Le fameux “coup de barre” après une collation trop sucrée n’est pas qu’une histoire d’adultes fatigués ! Chez les plus jeunes, cela prend la forme d’une agitation, d’endormissements l’après-midi, ou de tensions à la maison.

Voilà pourquoi tant de psychologues spécialisés, comme Mme Lara TRESALLI, attirent l’attention des parents là-dessus. La parole tourne peu à peu dans les familles : alimentation et troubles de la concentration, ce n’est pas une mode.

Mais comment l’alimentation agit-elle concrètement sur le cerveau ?

Les mécanismes biologiques en jeu

En résumé, les aliments apportent des nutriments-clefs, qui servent de briques à la fabrication de neurotransmetteurs, ces messagers chimiques qui permettent au cerveau de réfléchir et de rester attentif. Sans protéines, pas de dopamine ni de noradrénaline – deux acteurs majeurs de la concentration. Sans acides gras de qualité, la signalisation cérébrale se grippe, un peu comme si le wifi passait en mode lent.

Même la glycémie, c’est-à-dire le taux de sucre dans le sang, joue en permanence au funambule. Trop basse ? Fatigue, sautes d’humeur, difficultés pour rester éveillé. Trop haute ? Agitation, difficulté à se canaliser. Vous l’avez remarqué, peut-être, après un anniversaire un peu trop sucré…

Enfin, certains enfants sont particulièrement sensibles aux additifs et colorants. Un lien a été trouvé entre la consommation répétée de certains colorants alimentaires (E110, E104…) et la prévalence des troubles du comportement chez les 6-12 ans. Ce n’est pas une fatalité, mais c’est une piste à surveiller (Stevenson J., 2019).

Vous l’aurez compris, l’alimentation ne fait pas tout… mais elle pèse lourd dans la balance, surtout si l’enfant a déjà un terrain d’inattention.

Trouble de l’attention et opposition : quand la concentration devient un combat

Quels sont les aliments amis et ennemis de la concentration chez l’enfant ?

Vous vous demandez comment transformer l’assiette de votre enfant pour soutenir ses capacités à se concentrer ? Il ne s’agit pas de miracles, ni d’un régime strict, mais plutôt de rééquilibrer le contenu des repas quotidiens. Un peu comme on règle une radio brouillée pour entendre enfin la musique…

En pratique, certains aliments sont vos alliés. D’autres risquent de créer de véritables tempêtes intérieures.

Commençons par les amis du cerveau :

  • Les poissons gras (sardines, maquereaux, saumon) : fournis en oméga-3 nécessaires à la plasticité cérébrale. Ils aident le cerveau à se moduler, à trier, à hiérarchiser… Le saviez-vous ? Deux portions par semaine peuvent déjà faire la différence.
  • Les œufs et les viandes maigres : leurs protéines sont transformées en dopamine, essentielle à la motivation et à la persévérance. Pratique le matin ou au déjeuner, quand l’attention est sollicitée à l’école.
  • Les fruits et légumes colorés : en plus des vitamines (notamment B et C), ils fournissent des antioxydants qui protègent le cerveau du stress oxydatif. On les dit “aliments anti-brouillard”.
  • Les céréales complètes : leur énergie se diffuse lentement. Oubliez les céréales soufflées ultra-sucrées : pensez pain complet, flocons d’avoine, quinoa… pour une glycémie stable, évitant le fameux “coup de pompe”.
  • Le chocolat noir (avec modération !) : une source intéressante de magnésium et de phénylethylamine, qui stimule l’attention, tout en douceur. À réserver en mini-dose au goûter, par exemple.
  • L’eau : la déshydratation, même légère, suffit à faire chuter la mémoire et la vigilance. Pensez à la gourde dans le cartable !

Puis, il y a les aliments qui peuvent saboter l’attention :

  • Les sodas, jus industriels et confiseries : du sucre “flash” qui booste puis fait chuter la concentration. Les enfants sensibles se retrouvent flottants, épuisés.
  • Les biscuits et pâtisseries industriels, bourrés de sucres rapides et de graisses hydrogénées, qui encrassent peu à peu le fonctionnement cérébral. C’est la tentation facile pour le petit-déjeuner, mais le résultat est souvent une envie de dormir à 10h.
  • Une trop grande portion de charcuterie ou de plats préparés, riches en sel et additifs, qui, selon plusieurs études, majorent l’agitation et diminuent la capacité à rester assis longtemps.
  • Les boissons énergisantes et autres produits marketés pour “booster” les ados ne devraient jamais avoir leur place dans l’assiette de l’enfant ni du pré-ado. L’effet joker sur l’énergie dure 15 minutes puis c’est la chute libre. Gare au cercle vicieux !
  • Les aliments “vides” comme les snacks salés, chips et aliments frits ultra-transformés : ils détournent durablement l’attention par leur impact direct sur le métabolisme. C’est prouvé : une alimentation trop grasse ou trop salée perturbe la mémoire de travail après quelques semaines seulement.

Le piège, aujourd’hui, ce sont les barres de céréales et autres produits “spécial enfants” qui ne sont rien d’autre que des bombes sucrées, déguisées en goûter sain. Il suffit de lire l’étiquette. Pour choisir, pensez toujours à la simplicité : un fruit frais, une poignée de noix, un petit sandwich complet… et la cloche de l’attention ne s’éteint pas aussi vite !

Un autre secret ? Le rythme. Des repas trop espacés, un petit-déjeuner sauté, augmentent dramatiquement les chutes d’attention en matinée. Un peu comme une voiture qui démarre avec une demi-batterie : on peut avancer… mais pas longtemps.

Envie d’aller plus loin ? Découvrez comment aider un enfant qui oublie ses devoirs et comment structurer ses journées pour une meilleure réussite scolaire.

Comment repérer les signes d’un problème de concentration lié à l’alimentation ?

On le rappelle : tout enfant peut manquer de concentration de temps en temps. Mais lorsque cela devient récurrent, il est important de savoir observer. Le comportement de votre fils ou fille, ses réactions après les repas, sa capacité à se remettre au travail… sont autant de signaux à décrypter. Parfois, ce n’est pas une question d’opposition ou de paresse. C’est le corps qui envoie des messages.

Quels sont alors les signes d’un souci alimentaire derrière les problèmes d’attention ?

  • L’enfant se plaint souvent d’être fatigué alors qu’il dort bien, ou pique du nez en plein cours, surtout en fin de matinée ou après le goûter.
  • Des pics d’agitation, d’irritabilité, parfois suivis d’un passage à vide : typique d’une variation rapide du taux de sucre.
  • Des difficultés à se souvenir d’informations pourtant connues : la mémoire de travail vacille, et les devoirs deviennent un parcours du combattant.
  • Une tendance à grignoter en continu, ou à réclamer sans cesse sucré ou salé. Cela peut refléter un apport insuffisant de nutriments de qualité en début ou en milieu de journée.
  • Chez les ados, on retrouve parfois une “faim de loup” le soir, révélatrice d’un déséquilibre (petit-déjeuner sauté, déjeuner insuffisant).
  • L’apparition de maux de ventre ou de tête, sans explication médicale claire, surtout juste après les repas.

Mais le plus insidieux, c’est parfois une lente chute de la motivation, qu’on attribue à la puberté, alors qu’il y a en toile de fond une vraie fatigue métabolique. On le voit souvent dans les familles suivies par une psychologue pour adolescents à Liège. D’où l’intérêt de questionner l’alimentation dès les premiers entretiens, et d’inclure le plus tôt possible des conseils concrets pour rééquilibrer le quotidien.

Psy enfants et ados : tous nos conseils

Un exemple concret ? Un adolescent de 15 ans, suivi pour un début de décrochage scolaire, présentait une inattention chronique en cours, des oublis réguliers et un besoin de grignoter sans cesse. Après analyse, son petit-déjeuner consistait en un café froid “avalé sur le pouce” et un biscuit industriel, sans rien jusqu’à 14h. Après 3 semaines où il a simplement remplacé ce schéma par des œufs, un fruit et une tartine complète, son enseignant a remarqué une nette amélioration : plus de persévérance, moins de “déconnexion”, et même une humeur plus stable.

Parfois, la solution passe par des changements tout simples… à condition de s’attarder sur les bonnes questions !

Comment reconnaître un trouble de l’attention chez son enfant à Liège

Le test de QI chez l’enfant : pistes pour comprendre le fonctionnement cérébral

Rendez-vous psychologue : concentration chez les 6-10 ans - comment améliorer les capacités d’attention

La place de la psychologue : accompagner et sensibiliser familles, enfants et adolescents

Revenons à une question de fond : à quoi sert le regard du psychologue spécialisé dans l’accompagnement des enfants et ados autour de leur alimentation et de leur attention ? La réponse n’est pas “simplement” de juger les menus ou de donner des ordonnances alimentaires. C’est beaucoup plus riche.

Le travail de la psychologue pour enfants et adolescents consiste d’abord à écouter – sans jugement – le vécu de l’enfant, mais aussi de sa famille. Souvent, des résistances existent. Changer les routines alimentaires, ce n’est pas toujours facile. Parfois, il y a même une forme de culpabilité parentale : “Suis-je un mauvais parent si mon enfant mange mal, grignote, ou saute le petit-déjeuner ?” À cela, la réponse est non. Tous les parents tâtonnent ! Le but n’est jamais de pointer du doigt mais d’ouvrir des pistes concrètes, adaptées au foyer, au rythme… à la réalité du terrain.

La psychologue va ainsi :

  • Évaluer l’histoire familiale et les habitudes : à quoi ressemble le rythme des repas, y a-t-il des tensions à table, des troubles du comportement alimentaires, du stress autour de la nourriture ?
  • Différencier ce qui relève d’une pathologie (par exemple un TDAH pur) et ce qui peut être grandement amélioré par des mesures d’hygiène de vie, en lien direct avec la concentration. Ainsi, un accompagnement psychologique n’est parfois complet qu’en lien avec des conseils nutritionnels.
  • Sensibiliser l’enfant, dès 6-7 ans, à comprendre les effets de l’alimentation sur son cerveau, à devenir acteur de ses choix. Un petit jeu simple : “Tu sens quand tu as mieux travaillé ? Qu’as-tu mangé le matin ?” Le but est qu’il comprenne par lui-même les liens.
  • Outiller les parents, non pour imposer, mais pour donner envie, via des astuces ludiques, des menus variés, des ateliers cuisine partagés. Parfois, c’est le grand frère adolescent qui donne le “la”… et ça change tout !
  • Travailler avec l’école, quand cela est adapté, pour éviter que les enfants à risque n’aient accès qu’à des aliments pauvres à la cantine ou au distributeur. Quand un psychologue pour enfants tisse ce lien, les effets sont souvent durables.

La pression de la parentalité : apprendre à se déculpabiliser

Le psychologue n’est jamais seul : il ou elle travaille, quand il le faut, main dans la main avec le médecin traitant, la diététicienne, l’enseignant, et même… l’enfant ! C’est un travail de fourmi, parfois lent. Les résultats ne se voient pas en deux jours. Mais à force de semer, on récolte des petites victoires.

Il arrive que les résistances soient grandes, surtout chez les ados ou chez les enfants qui ont développé une opposition de principe aux disciplines extérieures. L’objectif de la psychologue, alors, est de réhabiliter l’estime de soi, de donner du sens : “Je ne mange pas mieux pour obéir, mais parce que je veux mieux réussir, ou me sentir plus présent.”

Prendre rendez-vous avec un psychologue spécialisé enfants-adolescents, c’est bien plus que chercher à diagnostiquer un trouble. C'est s'autoriser à remettre en question, tranquillement, ce qui compose le quotidien.

Pensez-y : pour chaque enfant, le “déclic” peut se jouer sur un moment, un échange, un repas partagé avec enthousiasme… La mission du psychologue, aux côtés de la famille, consiste à créer ces espaces, à semer ces graines.

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00

Besoin de pistes personnalisées, d’un accompagnement centré sur le vécu de votre enfant ? N’hésitez pas à consulter la psychologue spécialisée aux alentours de Liège qui pourra faire le lien, tout en douceur, entre les aspects psychologiques et alimentaires.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si l’alimentation de mon enfant influence sa concentration ?

Observez son rythme après les repas : fatigue, agitation, ou difficultés à se concentrer peuvent refléter un déséquilibre alimentaire. Une consultation auprès d’un professionnel, comme une psychologue spécialisée enfants-adolescents, permet d’évaluer précisément ces liens. Un carnet alimentaire avec les réactions notées peut aussi aiguiller le diagnostic.

Pourquoi mon enfant est-il plus distrait après certaines collations ?

Les goûters trop riches en sucres rapides provoquent de brusques variations de la glycémie, créant du coup une baisse rapide de concentration. Privilégier des encas à base de fruits, céréales complètes ou noix permet de soutenir l’attention plus longtemps.

Quand faut-il consulter un psychologue pour des troubles de concentration liés à l’alimentation ?

Si votre enfant présente régulièrement des signes d’inattention, d’agitation ou de fatigue en lien avec ses repas, ou si la réussite scolaire chute malgré un cadre adapté, le regard du psychologue aide à démêler les causes et à proposer un accompagnement global.

Faut-il bannir totalement le sucre et les plats industriels pour aider mon enfant à mieux se concentrer ?

Il n’est pas nécessaire de tout supprimer ; l’important est de limiter la fréquence et les quantités, en privilégiant une alimentation variée et de qualité. Le soutien d’un professionnel peut vous aider à opérer des ajustements réalistes, adaptés à votre vie de famille.

Références scientifiques

Benton, D. (2021). "The influence of dietary status on the cognitive performance of children," Nutritional Neuroscience, 24(7), 544-553.
Résumé: Cet article détaille le lien entre carences alimentaires (notamment en fer, oméga-3, vitamines B) et baisse de l’attention chez l’enfant.

Stevenson, J., et al. (2019). "Diet and ADHD: Review of the Evidence and a Commentary on the Efficacy of the Few Foods Diet," Clinical Psychology Review, 67, 34-45.
Résumé: L’étude met en lumière l’impact négatif des additifs et colorants alimentaires sur les troubles attentionnels.

Bellisle F. (2017). "Effects of diet on children’s behaviour and cognition – Evidence and research needs," Annals of Nutrition & Metabolism, 70(3), 235-242.
Résumé: Un tour d’horizon des interactions entre alimentation, comportement et capacités cognitives chez l’enfant.

Nyaradi, A., et al. (2013). "The role of nutrition in children’s neurocognitive development, from pregnancy through childhood," Frontiers in Human Neuroscience, 7, 97.
Résumé: Cette synthèse aborde l’apport des différents groupes alimentaires sur le développement cérébral et l’attention de l’enfance à l’adolescence.

This is some text inside of a div block.