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Rendez-vous Psychologue : Concentration chez les 6-10 ans – comment améliorer les capacités d’attention ?

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0494 58 17 54

Rendez-vous Psychologue : Concentration chez les 6-10 ans – comment améliorer les capacités d’attention ?

À l’heure actuelle, nombreux sont les parents, enseignants et professionnels qui s’interrogent sur les difficultés de concentration rencontrées par les enfants âgés de 6 à 10 ans. Ces années charnières du développement amènent l’enfant à relever de nouveaux défis cognitifs et émotionnels, alors que l’environnement contemporain multiplie les sources de distraction. Les capacités d’attention, essentielles à l’épanouissement scolaire et social, sont devenues un véritable enjeu de santé publique. Savoir repérer précocement les signes de troubles de l’attention, comprendre les mécanismes psychologiques sous-jacents et agir concrètement – en conjuguant interventions psychologiques spécialisées et actions éducatives au quotidien – est désormais indispensable pour soutenir le parcours de chaque enfant. Voici un tour d’horizon complet et actualisé de la problématique, enrichi de l’expertise d’une psychologue pour enfants et adolescents, axé sur l’amélioration de la concentration à l’enfance.

Pourquoi la concentration se fragilise-t-elle chez les enfants de 6 à 10 ans ?

La concentration désigne la capacité à maintenir son attention sur une tâche tout en inhibant les distractions. Entre 6 et 10 ans, elle s’affine progressivement : l’enfant quitte la petite enfance pour développer des fonctions exécutives de plus en plus élaborées. Or, de nombreux facteurs – psychologiques, environnementaux, pédagogiques ou biologiques – impactent cet apprentissage clé.
Sur le plan neurodéveloppemental, le cortex préfrontal continue de maturer tout au long de cette tranche d’âge. Il pilote l’attention soutenue, la mémorisation, l’inhibition des distractions et la capacité à planifier. Certains enfants, pour des raisons de développement neurologique ou de tempérament, peuvent donc manquer de maturité fonctionnelle temporairement. Par ailleurs, les troubles du spectre de l’attention, comme le TDA/H (trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité), touchent de 3 à 6% des enfants scolarisés, avec une prévalence importante décelée dès l’école primaire.

Les aspects psycho-affectifs entrent également en jeu. Anxiété parasitaire, stress familial ou scolaire, événements de vie difficiles, manque de sommeil, habitudes alimentaires déséquilibrées… Autant de facteurs invisibles qui nuisent à la capacité de focalisation. Un enfant inquiet, épuisé ou insécurisé va peiner à rester attentif, même lors d’activités plaisantes. C’est pourquoi il est essentiel d’adopter une démarche globale prenant en compte l’environnement émotionnel et social de l’enfant.

Le contexte de plus en plus numérique – écrans omniprésents, jeux vidéo interactifs, sollicitations sensorielles constantes – influe aussi fortement sur le cerveau en construction. Plusieurs recherches longitudinales démontrent le lien direct entre temps passé sur les écrans et déficit attentionnel, notamment en Belgique où la connectivité est très élevée. L’enfant n’a ni le recul ni la maturation neuronale nécessaires pour auto-réguler ces stimulations, d’où l’intérêt d’un accompagnement parental et professionnel renforcé.

Enfin, la pédagogie et les attentes scolaires sont sources de pression supplémentaire. Massification des apprentissages, multiplication des évaluations, diminution du temps de pause ou du jeu libre… L’école actuelle sollicite la concentration plus que jamais, alors que tous les enfants ne possèdent pas les mêmes prédispositions. Certains profils, doués par ailleurs (en situation de haut potentiel intellectuel ou « zèbre »), présentent même un syndrome d’inattention paradoxal : manque d’intérêt pour l’exécution routinière et évasion dans l’imaginaire.

Devant ces constats, il convient de ne pas dramatiser – chaque enfant suit son propre rythme d’évolution – mais de déceler rapidement les signes inhabituels : inachèvement des tâches, rêveries prolongées, agitation motrice lors des devoirs, irritabilité, oublis fréquents, changement brusque de comportement à la maison ou à l’école. Consulter une psychologue spécialisée en enfants et adolescents s’avère alors judicieux pour réaliser un bilan et obtenir des conseils personnalisés. Une véritable collaboration famille-école-soignant permet ainsi de détecter précocement et de soutenir au mieux la trajectoire de développement de l’enfant aux alentours de Liège comme ailleurs.

Le rôle clé du psychologue dans le développement des capacités attentionnelles

Face à la grande hétérogénéité des profils et des causes, l’intervention d’un psychologue pour enfants spécialisé dans la neuropsychologie et la prise en charge des troubles du développement s’impose comme une étape rassurante et structurante. L’accompagnement proposé est double : il vise d’une part à évaluer précisément l’étendue des difficultés, d’autre part à élaborer un projet d’intervention individualisé, tenant compte de la spécificité du vécu enfantin et familial.

La première phase consiste en un entretien clinique approfondi : identification des plaintes de l’enfant et des parents, repérage des antécédents, analyse de l’environnement familial, scolaire et social. Le psychologue s’attache à repérer les facteurs de vulnérabilité mais aussi les ressources intrinsèques de l’enfant. À l’issue de ce recueil, des outils objectifs d’évaluation tels que le test de QI, les tests d’attention (Test d’Empan, Test de Stroop, Test de Conners) ou d’autres batteries neuropsychologiques peuvent être utilisés pour baliser précisément le profil cognitif.

Cette cartographie permet de différencier :

  • Un trouble développemental de l’attention (TDA/H, trouble spécifique des apprentissages),
  • Une difficulté situationnelle liée au contexte (stress familial, déménagement, deuil, problématique scolaire),
  • Une problématique affective ou émotionnelle (anxiété de séparation, angoisse de performance),
  • Ou une variante normale du processus de maturation.

L’accompagnement thérapeutique débute alors : plusieurs axes sont possibles, souvent complémentaires. Citons :

  • La psychoéducation, qui vise à expliquer à l’enfant et à son entourage les mécanismes de l’attention, les cycles de vigilance et l’utilité des pauses.
  • L’entraînement attentionnel, avec des exercices progressifs, stimulation ludique, jeux de mémoire ciblés, relaxation guidée ou techniques de « pleine conscience » adaptées.
  • La remédiation cognitive, surtout en cas de score inférieur à la norme dans un domaine particulier (ex : mémoire de travail). Ici, la fréquence et la répétition permettent d’ancrer les acquis et d’augmenter la plasticité cérébrale.
  • Le soutien émotionnel, indispensable lorsque la cause principale est d’ordre anxieux ou dépressif. Des approches intégratives, comme la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) adaptée à l’enfant, favorisent la gestion du stress et la restauration de la confiance en soi.
  • La guidance parentale, qui outille les adultes pour instaurer au quotidien des routines, des rituels de transition, et gérer positivement l’encadrement de l’enfant confronté à ses difficultés.

Le suivi psychologique se veut toujours collaboratif et intégré : l’intervention précoce, le dialogue avec l’enseignant, le partenariat avec le médecin pédiatre en cas de besoin (par exemple pour le suivi du TDA/H avec prescription ou non d’un traitement médicamenteux), sont gages de réussite sur le long terme.
De surcroît, un professionnel situé à Liège expérimenté dans ce domaine peut suivre ponctuellement ou sur un plus long terme l’enfant, en adaptant les modalités selon le projet familial.

Consulter une Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI peut s’avérer un investissement précieux pour soutenir la croissance harmonieuse des enfants, surtout en période scolaire charnière.

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À chaque étape, le/la psychologue évalue les progrès, ajuste les orientations du projet thérapeutique et propose un accompagnement pluridisciplinaire si besoin (orthophoniste, psychomotricien, pédopsychiatre). Le retour d’expérience des familles de Belgique montre qu’une approche globale et bienveillante, pilotée avec professionnalisme, optimise les issues en aidant l’enfant à reprendre confiance, à s’épanouir sur le banc de l’école comme dans la sphère familiale.

Conseils pratiques pour booster l’attention à la maison et à l’école

L’accompagnement psychologique demeure essentiel, mais il est enrichi par la mise en place de stratégies concrètes dans la vie quotidienne. Les routines, la stimulation ludique et un environnement apaisant sont d’autant plus importants pour l’enfant de 6 à 10 ans, période où l’apprentissage par imitation, par le jeu et la régularité des repères a une efficacité maximale.
Voici quelques recommandations validées par la recherche et l’expérience de terrain des professionnels :

1. Instaurer des rituels clairs et sécurisants : Les enfants se sentent rassurés par des horaires prévisibles pour le lever, les repas, les devoirs, la détente et le coucher. Cela contribue à une diminution du stress et donc à un meilleur niveau d’attention lors des activités. L’instauration d’un temps calme avant et après les devoirs diminue l’agitation motrice et prépare l’enfant à la focalisation.

2. Proposer une alimentation équilibrée : Un apport suffisant en oméga-3, vitamines (notamment B6, B9, B12), fer et magnésium est corrélé à une meilleure modulation attentionnelle. Privilégier les aliments à faible index glycémique évite également les coups de « mou » typiques en début d’après-midi, responsables d’une baisse de vigilance.

3. Limiter les distractions d’écran : Un consensus scientifique s’est dégagé : trop d’exposition aux écrans réduit la capacité de concentration et perturbe le sommeil. La règle des « 3,6,9,12 » (pas d’écran avant 3 ans, pas de console avant 6 ans, Internet accompagné avant 9 ans, Internet seul après 12 ans) est souvent conseillée. Pour les 6-10 ans, limitez les écrans à moins d’1 heure par jour, si possible jamais le matin avant l’école.

4. Fractionner les tâches longues : Pour une consigne écrite ou un devoir, énoncez la tâche en étapes courtes, accompagnez l’enfant au démarrage, et valorisez chaque réussite intermédiaire. Ce sentiment de progression nourrit la motivation et évite la découragement.

5. Encourager l’activité physique : Le sport, la danse ou simplement les jeux extérieurs permettent l’évacuation des tensions et améliorent les connexions neuronales impliquées dans la vigilance. Même une courte pause « active » entre deux exercices favorise le retour à une attention soutenue.

6. Pratiquer la pleine conscience : De courts exercices de respiration, de relaxation, ou de méditation adaptée aident l’enfant à s’ancrer dans le moment présent. Plusieurs outils audio ou applications validées existent aujourd’hui, même pour les plus jeunes. Ces activités sont à intégrer idéalement dans la routine du coucher ou avant les devoirs.

7. Valoriser les efforts et non uniquement les résultats : Féliciter l’enfant pour son implication (« Tu as bien essayé de rester concentré ! »), plutôt que sanctionner chaque erreur, rend la tâche moins anxiogène et motive l’engagement renouvelé. La notion de progrès importe plus que la perfection.

8. Aménager l’environnement : Optez pour un coin calme, bien éclairé, exempt de jeux ou d’écrans, dédié aux devoirs. Laissez en vue uniquement le matériel nécessaire à la tâche. Un sablier ou une minuterie permet de quantifier le temps d’effort sans générer d’angoisse de performance.

9. Adapter les attentes scolaires : Discutez régulièrement avec l’enseignant. Un plan d’aménagement léger (fractionnement des exercices, autorisation de bouger discrètement, adaptation des consignes) garantit le respect du rythme de l’enfant. L’école inclusive, très avancée à Liège, valorise ces ajustements pour tous les élèves.

10. Prendre soin du sommeil : Un manque de sommeil de qualité altère la concentration dès le lendemain. Veillez donc à une durée suffisante (9 à 10h par nuit entre 6 et 10 ans), à des rituels apaisants le soir et à l’éloignement complet des écrans une heure avant l’endormissement.

Chaque famille, chaque enfant conserve ses particularités et ses points forts. L’important est d’avancer pas à pas avec bienveillance, de tester différentes stratégies et d’ajuster constamment l’accompagnement psychologique ou éducatif selon les progrès de l’enfant. Si malgré ces conseils, la situation stagne ou empire (échec scolaire, souffrance psychique, auto-dévalorisation), la consultation auprès d’une psychologue experte en troubles de l’attention est recommandée. Elle saura repérer et proposer les remédiations les mieux adaptées à la singularité de chaque jeune.

Pour aller plus loin sur le soutien aux parents, découvrez aussi cet article sur la pression de la parentalité et l’importance de se déculpabiliser : une étape-clé pour mieux accompagner vos enfants sans stress inutile.

Aider l’enfant à déployer son attention : la collaboration famille-école-soignant

Qu’il s’agisse de difficultés ponctuelles ou de troubles identifiés, les meilleures trajectoires de réussite reposent sur une alliance solide entre parents, équipe éducative et psychologue spécialisé. Cette collaboration globale permet d’articuler les initiatives, de renforcer la cohérence des messages et de soutenir durablement l’enfant dans toutes ses sphères de vie.

Le rôle de la famille demeure central : favoriser une communication bienveillante, reconnaître les efforts, éviter la culpabilisation excessive, soutenir l’expression des émotions mais aussi poser un cadre ferme et clair sur les usages (écrans, devoirs, horaires) est capital. Les parents sont souvent démunis devant certains comportements inattendus. D’où l’importance d’être accompagnés par un professionnel pour relativiser la situation et comprendre les besoins sous-jacents de leur enfant, souvent différents d’un enfant à l’autre.

L’école partenaire joue un rôle complémentaire majeur. Les enseignants disposent d’outils d’observation (carnet de liaison, équipe éducative, bilan périodique) et peuvent signaler les situations préoccupantes. Des dispositifs d’adaptations pédagogiques existent aujourd’hui dans la plupart des écoles en Belgique, sans stigmatiser l’enfant, et favorisent l’équité dans l’accès aux apprentissages. Certains établissements proposent d’ailleurs des ateliers de relaxation, des salles de retour au calme, ou encore des dispositifs de tutorat entre pairs pour lutter contre l’isolement lié à la difficulté de concentration.

Le/la psychologue, quant à lui/elle, assure le lien entre famille, enfant et école. Il/elle participe aux concertations, informe sur les besoins de l’enfant de façon anonyme et bienveillante, ajuste les thérapies selon l’évolution. Le suivi peut être ponctuel (reprise scolaire complexe, grand changement de vie, difficultés relationnelles) ou s’inscrire dans la durée, notamment pour les enfants présentant un TDA/H ou un trouble des apprentissages. Son expertise en développement de l’enfant, troubles précoces, et guidance parentale est fondamentale.

Pour une action cohérente, il est conseillé de formaliser un « projet individuel » avec des objectifs clairs et partagés : amélioration de l’autonomie, augmentation du temps de concentration, tolérance à la frustration, développement de la confiance en soi. Loin d’être rigide, ce projet évolue au gré de l’enfant et de son rythme, tout en maintenant un cap collectif motivant.

En somme, cette alliance tripartite évite une médicalisation excessive de la question de l’attention, au profit d’une approche globale, chaleureuse, respectueuse de la personnalité et du vécu de chaque enfant.

Pour les familles résidant à Esneux ou dans la région de Liège, l’offre spécialisée en psychologie de l’enfant présente localement garantit un maillage efficace entre professionnels, établissements scolaires et structures d’accompagnement. Le recours à une consultation psychologique ne doit pas être vécu comme un échec, mais comme l’opportunité d’investir durablement dans le bien-être de son enfant et dans la prévention des troubles ultérieurs, comme le décrochage scolaire ou les troubles émotionnels.

Enfin, rappelons que notre société valorise l’hyperstimulation et la performance. Pourtant, chaque enfant possède son propre tempo de maturation attentionnelle, qu’il convient d’accompagner avec patience, compréhension et empathie. C’est en conjuguant expertises et regards croisés que nous pouvons, collectivement, aider nos enfants à révéler tout leur potentiel cognitif et émotionnel.

FAQ – Questions fréquentes

Comment détecter un problème de concentration chez un enfant de 6 à 10 ans ?

Si un enfant a fréquemment du mal à terminer ses tâches, se disperse tout le temps, semble perdre le fil de ce qu’il fait ou s’agite lors des devoirs, il peut y avoir un souci d’attention. Un changement de comportement, des plaintes de l’école ou un décrochage des apprentissages doivent alerter les parents. Il est recommandé de consulter un psychologue pour enfants pour un bilan précis dès l’apparition de ces signes.

Pourquoi l’environnement familial influe-t-il sur la concentration de l’enfant ?

Le stress, un climat familial tendu ou encore des routines instables perturbent le sentiment de sécurité de l’enfant et donc sa capacité d’attention. Créer un cadre stable et rassurant à la maison soutient le développement de la concentration. Des rituels de vie et un temps calme régulier jouent un rôle clé dans la prévention des troubles attentionnels.

Faut-il s’inquiéter si mon enfant a du mal à rester concentré à l’école ?

Difficulté de concentration à l’école n’est pas toujours synonyme de trouble : elle peut refléter une période de stress, d’ennui ou une transition. Si cela dure plusieurs mois, avec impact sur les apprentissages ou le comportement, il est utile de demander l’avis d’un professionnel comme une psychologue spécialisée enfants. Elle saura distinguer les difficultés transitoires d’un trouble nécessitant une prise en charge adaptée.

Quand consulter une psychologue pour améliorer l’attention de l’enfant ?

La consultation est indiquée dès que les troubles de l’attention gênent les apprentissages scolaires, la vie familiale ou le bien-être de l’enfant. Plus l’intervention est précoce, plus les chances de remédiation et d’évolution positive sont fortes. À Esneux ou aux alentours de Liège, des spécialistes en psychologie pour enfants proposent un accompagnement adapté à chaque situation.

Références scientifiques

Barkley, R. A. (2015). "Attention-Deficit Hyperactivity Disorder: A Handbook for Diagnosis and Treatment". Guilford Press. Ce livre propose une synthèse des connaissances sur le diagnostic et la prise en charge du TDA/H chez les enfants, y compris sur la remédiation de la concentration.
Castellanos, F. X., & Proal, E. (2012). "Large-scale brain systems in ADHD: Beyond the prefrontal–striatal model". Trends in Cognitive Sciences. Cette revue montre le rôle du cerveau global dans le développement attentionnel chez l’enfant et les modalités de prise en charge actuelles.
Diamond, A., & Lee, K. (2011). "Interventions shown to aid executive function development in children 4 to 12 years old". Science. Cet article analyse les interventions (sport, pleine conscience, jeux structurés) susceptibles d’améliorer attention et fonctions exécutives chez les enfants d’âge scolaire.
Sonuga-Barke, E. J. S., Brandeis, D., Cortese, S., … & European ADHD Guidelines Group. (2013). "Nonpharmacological interventions for ADHD: systematic review and meta-analyses of randomized controlled trials". American Journal of Psychiatry. La méta-analyse résume les bénéfices des interventions non médicamenteuses sur la concentration des enfants présentant des troubles attentionnels.

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