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Comment un bilan périnéal peut-il aider à traiter les troubles urinaires liés à l’âge ?Kinésithérapeute Périnéale

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

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Comment un bilan périnéal peut-il aider à traiter les troubles urinaires liés à l’âge ?

Les fuites, ça vous parle ? Il y a encore quelques années, on n’en parlait quasi jamais entre amies. Mais aujourd’hui, les langues se délient peu à peu : les troubles urinaires féminins touchent 1 femme sur 4 après 50 ans. Une réalité, qu’on soit maman, active, retraitée ou sportive. Derrière ce sujet délicat et intime se cache une question essentielle : comment garder le contrôle sur sa vessie et mener une vie sereine ? La réponse, de plus en plus, passe par un examen clé : le bilan périnéal, étape centrale pour comprendre et traiter ces soucis si fréquents avec l’âge.

Pour les femmes, la ménopause, les grossesses, l’accouchement, les variations hormonales, ou tout simplement le passage du temps, viennent fragiliser doucement le périnée. Cet ensemble de muscles agit comme un plancher. S’il est fatigué, distendu ou mal coordonné, les symptômes débarquent : fuites à l’effort (en riant, en portant, en courant), réveils nocturnes jusqu’aux toilettes, envie pressante impossible à freiner sur le chemin de la porte… Vous vous reconnaissez ?

Alors pourquoi un bilan périnéal ? Parce que chaque histoire est différente. Certaines femmes compensent sans s’en rendre compte, d’autres contractent mal et aggravent les choses. Avant d’entamer tout travail de kinésithérapie périnéale, il faut savoir où l’on en est. Ce bilan, mené par une spécialiste conventionnée INAMI, comme Lisa MOENS à Esneux, permet de dresser votre carte d’identité périnéale ! On regarde la force, la mobilité, la coordination, la sensibilité, l’endurance du périnée… Mais ce n’est pas tout : on discutera aussi du quotidien, des antécédents, des habitudes, pour recevoir des conseils vraiment adaptés.

Dans cet article, on va tout vous expliquer : à quoi sert vraiment ce bilan, comment il se passe, en quoi il aide concrètement à transformer votre quotidien, et comment la kinésithérapie périnéale spécialisée, au cabinet à Esneux ou parfois à domicile, peut améliorer les troubles urinaires des femmes, en particulier avec l’âge. Prête à (re)prendre confiance en votre périnée ? Alors suivez le guide, on vous emmène de l’autre côté du miroir, là où les muscles discrets tiennent le rôle principal !

Pourquoi les troubles urinaires sont-ils fréquents chez la femme qui avance en âge ?

Vous l’avez sans doute constaté autour de vous, ou dans votre propre chair : les troubles urinaires féminins deviennent fréquents à partir de la ménopause, voire avant, selon les antécédents. Mais pourquoi ? Est-ce une fatalité ? Faut-il s’y résigner ? Pas du tout. Pour comprendre le rôle précieux du bilan périnéal, il faut d’abord décoder cinq grands facteurs, souvent cumulés, qui fragilisent la continence urinaire des femmes.

1. Les hormones et la ménopause Marqueur bien connu, la ménopause n’influe pas que sur les bouffées de chaleur. À partir de 45-55 ans en général, la chute d’œstrogènes affecte le tonus musculaire – et donc celui du périnée ! La muqueuse vaginale devient plus fine, la vascularisation diminue, le collagène se raréfie. Résultat : la résistance du plancher pelvien en prend un coup. C’est pourquoi les troubles urinaires après chirurgie ou lors de troubles gynécologiques sont souvent aggravés chez les femmes ménopausées. La sécheresse vulvaire, les envies pressantes, les pertes involontaires s’invitent parfois sans prévenir.

2. Les séquelles obstétricales On n’y pense pas toujours, mais une grossesse et un accouchement, même ancien, même « parfaitement vécu », peuvent marquer durablement le périnée. L’étirement important de ces muscles, les micro-lésions, les épisiotomies, les déchirures ou la poussée lors de l’expulsion… Le périnée peut avoir gardé une faiblesse, compensée des années, et se manifester plus tard. C’est pourquoi la spécialisation « Pré-partum et Post-partum » est cruciale dans la prise en charge, avec des protocoles adaptés à chaque âge : grossesse récente ou séquelles tardives.

3. Les efforts au quotidien Vous portez des cartons ? Des petits enfants ? Vous jardinez ? Faites du sport, sautez, grimpez, riez aux éclats ah, le fameux éternuement ? Tout cela sollicite le plancher pelvien. Les pressions répétées sur la vessie, avec un périnée déjà fragilisé, accentuent les symptômes. Beaucoup de patientes racontent que les fuites ont débuté « petit à petit », d’abord par un pipi en riant, avant de devenir récurrentes.

4. Les facteurs de santé généraux Surpoids, toux chronique, constipation, prise de certains médicaments… Tous ces paramètres influencent le maintien d’un bon tonus périnéal. Les vaisseaux et les muscles peuvent en pâtir. Le corps s’adapte, compense, mais il a ses limites, surtout avec le temps.

5. L’histoire individuelle Enfin, chaque femme a son histoire : opérations, endométriose, traumatismes, pathologies chroniques… Autant de variations qui rendent chaque périnée unique. Parfois, on découvre lors du bilan une faiblesse cachée de longue date, qui explique bien des symptômes apparus dix ou vingt ans après les faits.

Le point commun ? Le bilan périnéal permet de faire le tri, de voir où sont les failles, les atouts et les axes de progrès. Vous vous demandez : « et les autres femmes dans mon cas, elles font comment ? » Eh bien, beaucoup découvrent qu’elles ne sont pas seules, qu’il existe des solutions, et que le suivi par une kinésithérapeute périnéale spécialisée change littéralement leur quotidien.

En quoi consiste un bilan périnéal, et comment se déroule-t-il ?

Imaginez : un rendez-vous rien que pour vous, sans jugement, avec une professionnelle formée à la discrétion et à l’écoute. Pourtant, oser franchir la porte est déjà un pas de géant. Beaucoup de femmes repoussent cette démarche par gêne, par peur de l’examen, ou de « découvrir quelque chose de grave ». Laissez-moi vous rassurer : l’objectif n’est pas de vous mettre mal à l’aise, mais de faire le point, tout simplement, comme un état des lieux.

Le bilan périnéal, c’est une rencontre de 45 à 60 minutes (parfois un peu plus lors du 1er rendez-vous). Franchement, ça passe vite ! Au programme : conversation, questionnaire ciblé, puis évaluation physique douce. Voici comment ça se déroule, concrètement, chez Lisa MOENS, kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI, au cabinet à Esneux (proche de Liège) :

1. Un entretien bienveillant
On commence par discuter, pour comprendre vos symptômes (fuites urinaires, envies urgentes, nécessité de se lever la nuit, douleurs pelviennes, sensation de « boule », etc.). On aborde les antécédents : grossesses, interventions, médicaments, activité physique, travail, habitudes de vie… Quelques questions paraissent intimes, mais tout est confidentiel. Plus vous serez honnête, plus le bilan sera précis !

2. Un examen physique adapté
Pas de panique : l’examen est fait avec respect, adaptabilité, sans forcer ni vous brusquer. La kinésithérapeute observe d’abord la posture générale, puis évalue les muscles du périnée : tonicité, capacité à se contracter/relâcher, réflexes, endurance, coordination. Elle peut utiliser un touché vaginal ou un appareil (biofeedback), selon votre confort et le contexte médical. Rassurez-vous : c’est indolore. Pour certains profils, un examen abdominal est aussi recommandé.

3. Un test de coordination
Savoir contracter, c’est bien. Relâcher, c’est encore plus crucial ! Beaucoup de femmes pensent bien faire en serrant, mais leur muscle est « mal coordonné ». Résultat : le périnée fatigue à la longue, et les fuites persistent. Le bilan vérifie aussi comment ces muscles travaillent ensemble avec la respiration, les abdominaux, le bassin, pour détecter d’éventuelles compensations.

4. Un compte-rendu personnalisé
Enfin, la thérapeute vous explique avec des mots simples ce qu’elle a constaté, les points forts et faibles, et élabore avec vous un programme sur-mesure. Vous repartez avec des conseils de base, une idée claire des objectifs, et une feuille de route pour la rééducation.

Dans certains cas, le bilan décèle d’autres troubles (prolapsus, douleur à l’effort, faiblesses anciennes non diagnostiquées). Lorsque nécessaire, la prise en charge se fait en lien avec d’autres experts en santé (gynécologue, urologue, médecin généraliste...) pour une approche multidisciplinaire, gage d’efficacité et de sécurité.

Envie d’un exemple concret ?
Marie, 63 ans, active, n’avait jamais consulté. Elle vivait depuis six ans avec des petits accidents pipi lors du jardinage. Un bilan a révélé une contraction inefficace du périnée. Après quelques séances et un changement d’habitudes (moins de pression sur la vessie), ses fuites ont quasiment disparu. Comme quoi, pas besoin de « grosses machines », le diagnostic fin et précis change tout.

Et si vous vous posez la question « Y a-t-il un âge pour faire un bilan périnéal ? ». Il n’y a pas d’âge ! Ce bilan s’adresse à toutes les femmes concernées par des troubles urinaires, qu’elles aient accouché hier, ou que la ménopause soit déjà derrière elles. Dans certains cas, il est même conseillé en prévention, notamment après une chirurgie gynécologique, ou dans le suivi de l’endométriose.

Et après ? La voie de la rééducation adaptée par la kinésithérapie périnéale

Prenons une image simple : le bilan, c’est la carte routière. La rééducation, c’est la voiture que l’on règle et dirige, guidée jusque la destination : moins (ou plus du tout !) de fuites, plus de confiance, retour à la vie active et aux sorties, sans crainte. Pourquoi la kinésithérapie périnéale joue-t-elle un rôle clé ? Parce que les muscles et tissus pelviens sont « éducables » tout au long de la vie, même après la cinquantaine ! Et que chaque femme peut (ré)apprendre à les utiliser à bon escient.

Voici ce que permet la rééducation personnalisée, guidée après un bon bilan périnéal :

  • Renforcement ciblé : séries d’exercices individualisés pour muscler, assouplir et coordonner le plancher pelvien, adaptés à votre posture, vos douleurs, votre histoire. On évite le « one size fits all » (une même méthode pour toutes) – tout est personnalisé.
  • Éducation aux gestes du quotidien : apprendre à lever, tousser, éternuer, porter sans aggraver la pression sur la vessie. Et même, dans certains cas, des astuces posturales pour réduire l’impact du sport ou du travail.
  • Gestion des envies pressantes : grâce à des techniques de respiration et de décontraction, on réduit progressivement la fréquence et l’urgence des passages aux toilettes. La vessie retrouve sa capacité de stockage normale.
  • Prévention : en maintenant de bonnes habitudes, vous évitez que les troubles urinaires ne s’installent ou ne récidivent plus tard. Oui, on peut vraiment « préserver » son périnée.
  • Résolution des douleurs : chez certaines, le problème n’est pas la faiblesse du muscle, mais son excès de tonus ou la présence de points sensibles après accouchement, chirurgie ou infection (endométriose, cystites récidivantes). Là aussi, la rééducation fait des merveilles.

L’accompagnement proposé par Lisa MOENS (aux alentours de Liège) est reconnu en Belgique pour son sérieux et son adaptabilité à toutes les étapes de vie féminine. Chaque séance se déroule dans un cadre discret, avec un matériel adapté à chaque cas (biofeedback, visualisation, électrostimulation si besoin). La progression est suivie étape par étape, avec des outils modernes et des exercices faciles à refaire à la maison.

Faut-il consulter au cabinet ou à domicile ? Tout dépend de votre mobilité, de votre emploi du temps, ou de besoins particuliers (post-opératoire immédiat, suites d’accouchement difficiles…). Dans la plupart des cas, la consultation au cabinet permet un bilan plus complet et des outils innovants, mais la prise en charge à domicile reste possible selon les situations.

Ne restez pas seule avec vos questions : chaque séance commence et se termine par un temps d’échange. Vous gagnez en compétences, en confiance, et en autonomie. Le suivi proposé inclut parfois des points réguliers chez le gynécologue ou l’urologue, pour que tout le monde travaille main dans la main. C’est la force d’une vraie prise en charge multidisciplinaire.

Vous voulez aller plus loin ? - Consultez notre article complémentaire : Kinesithérapie périnéale à Liège : prévention et guérison des cystites. - Pour des troubles plus spécifiques (douleurs pelviennes, suites de cystites, ou faiblesses anciennes), découvrez : Le lien entre faiblesse périnéale et cystite chez la femme.

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

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Quels sont les bienfaits concrets d’un bilan périnéal et d’une prise en charge adaptée ?

On en parle peu, mais le bilan et la rééducation du périnée entrainent souvent des évolutions visibles, ressenties, parfois spectaculaires… et ce, à tout âge. Pour beaucoup de femmes, il y a un « avant » et un « après » ! Mais quels changements espérer concrètement ? Est-ce que ça marche vraiment ? Voici les principaux bénéfices observés grâce à un accompagnement spécialisé.

La réappropriation du corps
Beaucoup de patientes décrivent une sensation de « reconnexion » : on se réapproprie des muscles que l’on croyait oubliés. On comprend mieux comment fonctionnent son propre périnée, ses sensations, ses réflexes. Ce n’est pas qu’une question d’exercices : parfois, un petit ajustement au quotidien (comme s’asseoir différemment, ou modérer certaines pressions abdominales) peut transformer la qualité de vie.

Une nette diminution des fuites urinaires
Dans la majorité des cas, une prise en charge régulière et sérieuse, menée sur plusieurs semaines, permet de réduire puis d’éliminer les fuites à l’effort, les envies pressantes, voire les levers nocturnes. Les statistiques ? Selon certaines études européennes, plus de 70% des femmes observant un protocole adapté voient leurs symptômes diminuer significativement en moins de 3 mois. Le secret ? Assiduité… et personnalisation.

Un impact fort sur la vie sociale et familiale
Retrouver confiance, ne plus craindre les sorties, les voyages, ne pas s’isoler lors des événements familiaux : ce sont des victoires majeures. Beaucoup racontent avoir « repris goût à danser », à reprendre le sport, ou simplement à sortir de chez soi sans sac plein de protections hygiéniques.

Un sommeil et un moral retrouvés
Finies les nuits hachées par les allers-retours aux toilettes. La rééducation permet peu à peu à la vessie d’augmenter sa capacité, de diminuer les urgences nocturnes. Un sommeil de meilleure qualité… et, forcément, un moral plus solide !

La possibilité de prévenir d’autres complications
En consolidant le périnée, on diminue le risque d’apparition d’un prolapsus génital (descente d’organes). On aide aussi à prévenir les douleurs chroniques, les infections à répétition, et certaines gênes lors des rapports sexuels.

Un soutien lors de situations complexes
On l’oublie parfois, mais la kinésithérapie périnéale est aussi précieuse pour les femmes souffrant de douleurs pelviennes persistantes, suites d’endométriose, cystites récidivantes… Ici aussi, le bilan permet d’orienter la prise en charge (parfois pluridisciplinaire) et de soulager là où tant d’autres thérapies sont restées impuissantes.

Tous ces bénéfices s’inscrivent dans un travail d’équipe. La prise en charge multidisciplinaire fait toute la différence. Chez Lisa MOENS, elle se déroule toujours en lien avec les autres soignants (gynéco, généraliste, urologue), surtout s’il y a des pathologies associées. Bref, on ne se retrouve jamais seule, ni perdue dans un parcours compliqué.

Un dernier mot : n’attendez pas que les symptômes deviennent « intenables » pour consulter. Plus le bilan est réalisé tôt, plus la rééducation sera efficace. Il n’est jamais trop tard… mais rarement trop tôt !

Comment conserver les bénéfices : prévention et autonomie sur le long terme ?

Vous souhaitez vraiment garder les fruits de tout ce chemin ? C’est normal… et parfaitement possible. Le secret ? Quelques gestes mais surtout la conscience de votre corps, acquise grâce au bilan et aux séances.

Adopter les bons réflexes
On apprend, lors de la rééducation, à « travailler » son périnée sans s’en rendre compte : en montant les escaliers, en soulevant ses courses, lors des activités sportives, même assise devant la télé ! On sait contracter quand il faut, mais surtout relâcher à bon escient. Et puis, éviter les efforts inutiles : ne pas pousser sur les toilettes, ne pas porter de poids sans préparation… Ce sont autant de clés pour éviter les récidives et se sentir forte.

Surveiller certains symptômes d’alerte
Un petit retour de fuite ? Une gêne nouvelle ? N’hésitez pas à reprendre rendez-vous. Un contrôle rapide, parfois une séance « boost », permet de réajuster et éviter que le problème ne s’installe.

Entretenir sa santé globale
En veillant au poids, à l’équilibre alimentaire, à la lutte contre la constipation, à l’activité physique… on aide indirectement le périnée. Et souvent, la motivation retrouvée grâce à la première amélioration engendre de bonnes habitudes sur le long terme. L’effet boule de neige positif, tout simplement.

S’inspirer de témoignages
Parfois, le déclic vient d’autres femmes. N’hésitez pas à en parler autour de vous, à partager l’information, ou même à recommander une spécialiste à une amie hésitante. Les préjugés tombent quand on apprend que le succès des autres est aussi à portée de main !

S’appuyer sur des ressources complémentaires
Pour aller plus loin, d’autres expertises peuvent enrichir votre parcours : consultations familiales, ateliers santé, groupes de paroles, suivi nutritionnel… Renseignez-vous auprès de votre kinésithérapeute conventionnée INAMI à Esneux, pour rester actrice de votre continence.

Votre périnée est comme un orchestre : il sonne juste si chaque instrument trouve sa place. Sinon, la cacophonie s’installe, discrète mais insidieuse. Avec un bilan périnéal précis, une rééducation personnalisée et de bons réflexes au quotidien, c’est la musique de la sérénité qui reprend le dessus. Osez franchir la porte… Pour vous, et pour toutes celles qui n’osent pas encore !

FAQ – Questions fréquentes

Comment se passe un premier bilan périnéal ?
Un premier bilan périnéal se déroule dans un cabinet spécialisé avec une kinésithérapeute périnéale. Il comporte un entretien confidentiel sur vos antécédents et vos symptômes, suivi d’une évaluation physique douce. Le but est de mieux comprendre votre situation, sans douleur ni gêne, afin de construire ensemble un plan de rééducation personnalisé.

Pourquoi faire un bilan périnéal après la ménopause ?
Après la ménopause, le périnée peut s’affaiblir à cause de la baisse hormonale et d’autres facteurs. Un bilan permet d’évaluer précocement la force et la coordination de ces muscles, de prévenir ou de corriger d’éventuels troubles urinaires, évitant que les symptômes ne s’installent durablement.

Quand consulter pour des troubles urinaires féminins ?
Il est conseillé de consulter dès l’apparition de pertes urinaires, d’envies pressantes, ou de tout inconfort pelvien persistant. Plus vous agissez tôt, plus la rééducation sera rapide et efficace. Il n’est jamais trop tard pour bénéficier d’un accompagnement adapté, quel que soit votre âge ou vos antécédents.

Faut-il un bilan même si on n’a jamais eu d’enfant ?
Oui, toutes les femmes, qu’elles aient accouché ou non, peuvent souffrir de troubles urinaires liés à l’âge ou à d’autres facteurs. Le bilan périnéal s’adresse à toutes, car le périnée peut être fragilisé par la ménopause, certaines activités physiques, ou des pathologies comme l’endométriose.

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