Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Vous sortez d’une intervention gynécologique ? Ou peut-être d’une chirurgie passée plus inaperçue, mais qui, depuis, a semé le trouble dans votre quotidien ? Fuites, gêne, impression d’urgence – autant de mots que l’on n’associe pas d’emblée à la vie d’après. Pourtant, après une chirurgie, les troubles urinaires féminins frappent sans prévenir. Si on se tait si souvent, c’est par tabou, par honte ou par méconnaissance. “C’est normal, ça passera”, vous souffle-t-on. Et si la réalité était tout autre ?
La kinésithérapie périnéale s’invite alors comme une bouée. Redonner confiance, autonomie et confort. Surtout, donner les clés à chacune pour retrouver une vie pas simplement “normale”, mais vraie, pleine, vivante. Penchons-nous ensemble sur ce sujet, sur ses ressorts, et sur l’accompagnement proposé près de chez vous.
On aimerait l’ignorer, mais les troubles urinaires concernent de nombreuses femmes, surtout après une intervention chirurgicale dans la région pelvienne ou abdominale. Ce n’est pas seulement une histoire d’âge : on rencontre ces soucis à 30, 40, 50 ans… et bien au-delà. Parfois dès le post-partum, parfois après l’ablation d’un fibrome ou une chirurgie pour endométriose.
Pourquoi ? Le périnée, ce “hamac” musculaire discret, assure la continence en agissant comme un barrage. Une chirurgie (hystérectomie, cure de prolapsus, intervention pour endométriose…) vient parfois perturber ses connexions, diminuer ses réflexes, fragiliser sa tonicité. Les nerfs sont chamboulés, les muscles parfois délaissés pendant la convalescence. Résultat : gêne, sensations de pesanteur, “accidents” lors d’un éternuement ou d’une course. Parfois, c’est l’urgence soudaine, incontrôlable, qui inquiète.
La littérature médicale place le taux de fuites urinaires post-chirurgicales entre 15 et… 50 % selon les interventions (source : Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français, données 2021). C’est énorme ! Pourtant, moins de la moitié des femmes en parlent spontanément à leur médecin. La gêne ? La banalisation ? Un peu des deux…
Vous n’êtes pas seule face à ces troubles. Le simple fait de le formuler – d’oser dire “je perds des gouttes” – est déjà un premier pas. On observe, en consultation, que beaucoup de patientes arrivent par recommandation d’une amie, d’une sœur, d’un professionnel de santé qui ose, lui, poser LA question : “et, côté urinaire, tout va bien ?”
La plupart du temps, la rééducation périnéale est LE premier traitement à proposer. Avant toute pilule ou autre geste médical. Elle permet une prise en charge globale, personnalisée, respectueuse de la pudeur et du rythme de chacune.
À ce stade, sachez que Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS , conventionnée INAMI, qui consulte au cabinet à Esneux proche de Liège, propose cet accompagnement de manière attentive et multidisciplinaire. Son expertise englobe tous les motifs : fuites urinaires, troubles liés à l’endométriose, pré-partum (avant l’accouchement) et post-partum (après), mais aussi prévention pour les femmes actives ou ménopausées.
Vous appréhendez votre premier rendez-vous ? Rien de plus normal ! Parfois, venir consulter une kinésithérapeute périnéale, c’est déjà accepter de parler d’un sujet… dont on ne parle jamais. L’équipe de Lisa Moens en est consciente. Ici, on commence toujours par l’écoute.
L’entretien débute par un échange bienveillant : quels symptômes ? Depuis quand ? Comment et quand surgissent-ils ? Quelles sont vos attentes, vos limites, vos déjà “petites victoires” ? Parfois, le seul fait d’en parler allège un poids resté trop longtemps sur les épaules.
Ensuite, selon la situation, une évaluation globale est proposée : posture, mobilité, force musculaire, visualisation du ventre (abdominaux), du diaphragme, et bien entendu du périnée. Rassurez-vous, rien n’est imposé : tout se décide à chaque étape, toujours dans le respect de la pudeur. L’objectif ? Comprendre ensemble ce qui dysfonctionne. D’où vient la fuite ? Y-a-t-il des facteurs aggravants (toux, sport, efforts quotidiens) ? Le périnée est-il hypo- ou hypertonique ?
Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS dispose d’outils modernes d’évaluation : biofeedback, questionnaires validés, parfois tests simples d’effort. Ces données servent de point de repère initial puis pour suivre les progrès. Les explications sont données en langage simple, avec dessins ou analogies (“le périnée, c’est le plancher de votre corps. Si les murs tiennent mal, forcément, le plancher cède…”).
Parfois, on découvre sur place d’autres symptômes associés : gêne lors des rapports, douleurs pelviennes, mauvaise récupération après accouchement. La rééducation peut alors s’enrichir, grâce à la collaboration entre kinésithérapeute périnéale et sexologue si besoin. Car oui, la vie intime pâtit aussi, souvent, de ces soucis d’incontinence. Une prise en charge multidisciplinaire est proposée, pour mieux répondre à toutes vos attentes.
Il n’existe pas UNE technique-miracle, mais un ensemble d’outils, adaptés à chaque patiente. L’approche de Lisa Moens, Kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI, se veut personnalisée, scientifique, humaine. Jetons-y un coup d’œil :
1. Travail manuel : Par le toucher, la kinésithérapeute perçoit la tonicité, la capacité de contraction-relâchement du périnée. Elle guide, corrige, apprend. C’est souvent le plus efficace chez les femmes, en particulier au début.
2. Biofeedback : Grâce à de petits appareils indolores, on visualise à l’écran la force et la qualité des contractions. Idéal pour “apprendre à sentir”, à récruter les bons muscles, sans compenser avec les abdominaux ou les fessiers ! Un vrai déclic pour beaucoup d’entre vous.
3. Électrostimulation (si besoin) : Pour celles chez qui le périnée reste “endormi”, temporairement paralysé. Des électrodes stimulent en douceur, pour réveiller les réflexes. Toujours sur prescription.
4. Exercices à domicile : L’essentiel, c’est la régularité. On vous propose des exercices ciblés, parfois ludiques, pour renforcer le travail en séance. Dix minutes par jour font souvent toute la différence : il s’agit de réapprendre à mobiliser ce périnée dans la vie réelle, pas seulement allongée sur la table de consultation.
Les séances sont adaptées à vos ressentis, votre histoire, vos objectifs. Certaines femmes progressent vite. D’autres, dont le parcours a été plus complexe, nécessitent quelques semaines supplémentaires. Ce n’est pas une question de “volonté” : chaque corps réagit à son rythme.
En fonction des besoins, la rééducation sera associée à un travail sur la posture, la respiration, ou même une approche de gestion du stress (car le sphincter urinaire et la nervosité sont souvent de vieux complices !). Parfois aussi, un accompagnement psychologique s’avère utile. Encore une fois : tout se fait sur-mesure, et toujours avec votre accord.
À noter : la prise en charge kinésithérapique en Belgique est bien remboursée dans ce contexte, si elle est prescrite par votre médecin ou gynécologue. Aucun obstacle pour se lancer, donc !
On pourrait se contenter de dire : “retrouver la continence”. Mais l’enjeu va au-delà. Après une chirurgie, bon nombre de femmes décrivent une perte de confiance, une sorte de “contrôle” envolé. On surveille ses mouvements, on évite de rire trop fort, on n’ose plus courir avec ses enfants au parc… Et la vie intime ? Parfois, c’est tabou. Pourtant, chaque goutte évitée, chaque progrès est une victoire. La rééducation, menée dans le bon tempo, peut transformer le quotidien.
Quels bénéfices concrets observe-t-on au cabinet de Mme Lisa Moens à Esneux ?
La kinésithérapie périnéale agit ainsi comme un passage, une reconstruction. Après l’”orage” de la chirurgie, on réapprend à habiter pleinement son corps, à l’écouter, à “oser” vivre sans crainte du regard des autres. C’est précieux, et chaque patiente en témoigne à sa façon.
Vous vous demandez comment se passe le suivi ? À chaque étape, des bilans réguliers permettent de juger des progrès. On réadapte le programme si besoin. L’objectif : que vous deveniez autonome, que ces nouveaux réflexes soient “automatiques”, sans avoir à y penser.
Petite confidence : beaucoup de femmes, passées par la rééducation, reviennent des mois plus tard pour prévenir de nouvelles fragilités (grossesse, ménopause, activité sportive intense). Elles ont compris que prendre soin de son périnée n’a rien de superflu. C’est comme renforcer les fondations d’une maison… et cela porte ses fruits sur la durée !
Et si en chemin, des questions plus intimes surgissent – rapport au corps, douleurs, baisse de libido –, la kinésithérapeute travaille main dans la main avec d’autres spécialistes, dont les sexologues. Par exemple, la rééducation du périnée peut tout à fait s’intégrer à une prise en charge globale du bien-être sexuel féminin ou des troubles du désir.
Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Une fois la rééducation terminée, le risque de rechute n’est pas nul. Mais il existe de nombreux gestes simples pour protéger durablement le périnée – ce précieux “parapluie”. À chacune sa boîte à outils :
1. Écoutez votre corps. Dès les premiers signaux d’alerte (goutte, gêne, pesanteur), parlez-en. Plus on agit tôt, plus la prise en charge est rapide et efficace.
2. Adoptez la respiration abdominale. Le diaphragme agit en synergie avec le périnée. À chaque expire forcée, pensez à contracter légèrement le périnée, comme si vous vouliez retenir un gaz.
3. Évitez de porter systématiquement des charges lourdes. Et si ce n’est pas possible : ramenez l’objet le plus près possible du ventre – cela diminue la pression sur le bassin.
4. Préférez la position assise aux toilettes, sans pousser. Oubliez les “pipi en suspension” (en équilibre, sans s’asseoir vraiment), néfastes pour la vidange et la tonicité des muscles périnéaux.
5. Hydratez-vous correctement. Réduire les boissons ne supprime pas les fuites, bien au contraire ! L’urine concentrée irrite la vessie, accentue l’urgence.
6. Faites des exercices d’auto-rééducation, même après la fin du suivi. Comme pour les abdominaux, un peu mais souvent, c’est la clé...
Pour celles qui pratiquent le sport : quelques adaptations s’imposent. Limitez le trampoline ou la corde à sauter au début (sauf avis contraire de la kiné !). Privilégiez le gainage doux, la marche rapide, la natation ou le vélo. La course à pied ? Oui, à condition d’avoir récupéré une bonne tonicité et de bien maitriser la contraction “périnée expir expir”.
L’alimentation joue aussi un rôle. Une alimentation équilibrée, riche en fibres, prévient la constipation, ennemie jurée du périnée fragilisé. Car, à chaque poussée pour aller à la selle, la pression sur le plancher pelvien s’accroît…
Enfin, osez parler : avec votre médecin, votre pharmacienne, votre sage-femme, votre kinésithérapeute. Si besoin, orientez-vous sans attendre vers une consultation kinésithérapie périnéale aux alentours de Liège. On gagne toujours à ne pas s’isoler. Le tabou, c’est l’herbe folle qui envahit le jardin… Une fois la lumière mise sur le problème, il s’estompe déjà en partie.
Sachez aussi que des groupes de patientes ou des ateliers d’information existent, par exemple en maison médicale ou clinique. L’expérience d’autres femmes, passées par là, aide souvent à lever les freins, à se fixer des objectifs motivants.
Et si, au fil du temps, une nouvelle chirurgie est prévue ? Anticipez ! Un bilan pré-opératoire du périnée permet de mieux préparer la convalescence et limiter les risques de fuites à venir. On sait que l’anticipation, dans ce domaine comme ailleurs, est souvent gage de récupération rapide et durable.
Pourquoi consulter une kinésithérapeute périnéale après une chirurgie gynécologique ?
Consulter après une chirurgie gynécologique permet de restaurer la tonicité du périnée et de prévenir ou corriger les fuites urinaires fréquentes dans ce contexte. La prise en charge personnalisée favorise aussi le retour à une vie active et à une sexualité épanouie. La rééducation périnéale est recommandée par de nombreuses sociétés savantes.
Quand débuter la kinésithérapie périnéale après une opération ?
Il est conseillé de consulter dès la prescription du médecin, généralement quelques semaines après l’intervention ou dès que les symptômes apparaissent. Plus l’accompagnement débute tôt, meilleurs sont les résultats sur la récupération des fonctions pelviennes.
Faut-il une ordonnance pour un suivi en kinésithérapie périnéale à Esneux ?
Oui, une ordonnance médicale est nécessaire pour bénéficier du remboursement INAMI ; prenez rendez-vous avec votre gynécologue ou médecin généraliste avant de contacter votre kinésithérapeute périnéale à Esneux. Cette démarche garantit la prise en charge adaptée de vos symptômes.
Comment prévenir une récidive après la rééducation du périnée ?
La prévention repose sur la poursuite d’exercices réguliers, l’attention portée à l’hygiène de vie et la consultation rapide en cas de nouveaux symptômes. Des conseils personnalisés sont délivrés en fin de rééducation pour vous aider à préserver durablement le confort urinaire.