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Cystite post-rapports sexuels : comment la kinésithérapie périnéale peut enfin changer la donne ?Kinésithérapeute Périnéale

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

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Cystite post-rapports sexuels : comment la kinésithérapie périnéale peut enfin changer la donne ?

Pourquoi tant de femmes sont-elles confrontées à la cystite post-coïtale ?

Qui n’a jamais entendu – entre amies ou en ligne – cette confidence presque taboue : « Après nos rapports, j’ai systématiquement une cystite. » Pour beaucoup de femmes, la cystite post-rapports sexuels est bien plus qu’un simple “désagrément passager”. C’est un fléau. Soudain, après une soirée intime ou une alchimie retrouvée, voilà que s’invitent brûlures, envies pressantes et douleurs urinaires. Parfois, cela devient même une peur qui freine la spontanéité… Difficile alors de profiter sereinement de sa vie sexuelle, surtout quand la cystite revient sans relâche. Mais au fond, pourquoi cela arrive-t-il si souvent ?

La réponse surprend : il ne s’agit pas seulement de malchance ou d’hygiène. Les études scientifiques et l’expérience de terrain des kinésithérapeutes périnéales spécialisées montrent que l’origine est parfois plus complexe, et que le périnée joue un rôle clé dans cette histoire. Sur des milliers de femmes en Belgique – y compris celles suivies par des spécialistes proches de Liège – la proportion de cystites récidivantes après les rapports sexuels est impressionnante : on estime que près de 60% des femmes actives sexuellement en feront au moins une dans leur vie. Certaines en développent chaque mois jusqu’à ce qu’un déclic les guide vers de vraies solutions.

Alors, y a-t-il une fatalité ? Non, pas du tout. Le trouble n’est ni une punition, ni un sort jeté à vie sur la sexualité féminine. Il existe aujourd’hui des stratégies qui permettent de sortir de ce cercle vicieux et de retrouver, doucement mais sûrement, confiance dans son corps. Parmi celles-ci, la rééducation périnéale occupe une place croissante… Notamment dans les cabinets ou à domicile, là où les femmes trouvent une écoute différente et une approche globale.

Qu’on entende bien : toutes les cystites ne s’expliquent pas par un “problème de périnée”, mais si vous lisez ces lignes, c’est que l’envie de comprendre vous tire par la manche. C’est un premier pas essentiel. Restez avec nous – ce sujet cache bien des secrets !

Quelles sont les causes profondes et méconnues de la cystite post-rapport ?

On connaît les conseils classiques : uriner après le rapport, boire de l’eau, bannir les savons agressifs… Mais alors, pourquoi la récidive guette-t-elle tant de femmes malgré toutes ces précautions ? S’il suffisait d’observer ces règles d’hygiène intime, cela se saurait. En réalité, la cystite post-coïtale est souvent le résultat d’un faisceau de facteurs, entremêlés, où le dysfonctionnement périnéal tient parfois le premier rôle.

Posez-vous cette question : « Ai-je déjà ressenti un inconfort, une gêne vaginale, des tensions, ou même des fuites urinaires lors d’un éternuement ou d’un éclat de rire ? » Si oui, votre plancher pelvien peut être concerné. L’anatomie féminine est ainsi faite que l’urètre court, bien plus court que celui d’un homme. Les bactéries n’ont que peu de distance à parcourir pour remonter et déclencher l’infection. Ajoutez à cela : des microtraumatismes du périnée ou de la zone vulvo-vaginale pendant la pénétration (dus à un manque de lubrification, une hypertonie musculaire…) et le terrain devient propice à la cystite.

Mais ce n’est pas tout. Voici d’autres facteurs qu’un ou une kinésithérapeute conventionné INAMI, tel que Lisa MOENS, inspecte lors des consultations à Esneux :

  • Une hypertonie du plancher pelvien (muscles trop contractés, qui ne savent plus bien relâcher). Cela empêche la vidange correcte de la vessie ou provoque des micro-blessures lors des rapports.
  • Une mauvaise coordination périnéo-sphinctérienne : autrement dit, le périnée ne travaille pas harmonieusement avec la vessie. C’est comme si le chef d’orchestre et l’orchestre, dans votre bas-ventre, ne se comprenaient plus.
  • Posture, stress et émotions – Oui, le corps et l’esprit sont liés. Les périodes de stress, de fatigue chronique ou de tensions psychiques favorisent souvent les raideurs du périnée, parfois de façon inconsciente.
  • L’histoire hormonale et personnelle: accouchements, ménopause, prise d’un contraceptif, cicatrices d’épisiotomie ou de césarienne… Chacune de ces étapes a un impact possible sur le périnée.

Vous l’aurez compris, l’infection urinaire après un rapport ne débarque pas par hasard. Elle peut débouler telle une pluie d’orage sur un terrain déjà asséché ou blessé. C’est tout un écosystème interne à écouter. Rien ne sert de culpabiliser. Ce que vous ressentez, beaucoup d’autres femmes proche de Liège, ou partout aux alentours de Liège, l’expérimentent aussi.

La première étape ? Oser en parler, et trouver les véritables racines du problème. Quitte à bousculer quelques idées reçues le temps d’un rendez-vous. Une kinésithérapeute spécialisée en rééducation périnéale est formée pour cela : regarder sous la surface, interroger la posture, le quotidien, la sexualité, parfois même le stress… pour dessiner une réponse sur-mesure.

La rééducation du périnée : comment agit-elle contre les cystites post-coïtales ?

« Rééducation du périnée, vraiment ? Mais c’est pour l’après-accouchement, non ? » Voilà ce que l’on entend encore trop souvent. C’est faux. Le travail du périnée concerne toutes les femmes, à chaque âge de la vie. Il existe de nombreux motifs (fuites, douleurs, grossesse…), et maintenant les troubles urinaires post-rapports sexuels s’imposent sur le devant de la scène.

Concrètement, à quoi sert une rééducation périnéale dans la prise en charge des cystites récidivantes ? Sur le terrain, les résultats sont bluffants. Les patientes suivies au cabinet de Lisa MOENS à Esneux, conventionnée INAMI et reconnue pour son approche multidisciplinaire, témoignent : « Avant, la cystite arrivait dès le lendemain d’un rapport. Après quelques semaines de rééducation, mon corps sait anticiper. Les épisodes se raréfient, voire disparaissent ». Comment cela fonctionne-t-il ?

Plusieurs axes sont travaillés lors des séances :

  • Prendre conscience de son périnée. Mettre des mots et des images sur cette zone si souvent oubliée, alors qu’elle participe à la continence… et au plaisir.
  • Relâcher les tensions. Grâce à des manipulations douces, des étirements ciblés, parfois de la respiration ou de la relaxation guidée, la spécialiste aide les muscles à lâcher-prise. C’est vital pour éviter que la muqueuse ne soit blessée à chaque rapport.
  • Renforcer quand il le faut. Après avoir relâché, on apprend à tonifier correctement : ni trop, ni trop peu. Un périnée équilibré protège des infections et prévient les descentes d’organes ou les fuites urinaires.
  • Synchroniser les gestes du quotidien. Comment pousser quand on va aux toilettes ? Quelles positions adopter lors des rapports pour ne pas contracter – sans même s’en rendre compte – son plancher pelvien ? Ici, la kinésithérapeute donne des conseils adaptés à votre vie, à votre sexualité, à votre histoire. Jamais de recette unique : c’est du vrai sur-mesure.

Ensemble, vous dessinez les contours d’un « nouvel accord » entre votre périnée, votre vessie et votre plaisir. Ce processus est parfois ludique, parfois révélateur : « Je ne savais pas que je forçais autant cette partie de moi lors de chaque rapport », explique Mathilde, 33 ans, suivie après 10 ans de cystites post-coïtales.

Zoom : lien entre plaisir sexuel, émotions et santé urinaire

Qui dit cystite chronique, dit parfois anxiété liée à la sexualité. On redoute l’acte, ou on s’en culpabilise. « C’est un cercle vicieux : peur → tensions → microtraumatismes → infections ». La consultation périnéale permet d’aborder sans tabou ces questions de plaisir, de stress, et d’intimité. C’est un espace sécurisant pour tenter de « déconnecter » la peur de la récidive et retrouver le contrôle sur son corps. Parfois, un simple travail sur la respiration ou le biofeedback (un outil de visualisation en direct de ses contractions/décontractions) offre un déclic. Lorsqu’on s’autorise à explorer, à écouter, le corps se détend, le plaisir revient, la confiance aussi.

De nombreuses femmes, notamment avec un vécu de violences sexuelles ou de douleurs gynécologiques (endométriose, sécheresse, vulvodynies…), trouvent dans le suivi kiné périnéal bien plus qu’un « protocole d’exercices ». C’est une démarche de réparation, un nouveau chapitre possible après l’infection et la peur de la rechute.

La rééducation périnéale vise un « équilibre musculaire et émotionnel ». Chaque séance met les outils dans vos mains – plutôt que de céder à l’automédication ou à l’isolement. Bien sûr, le dialogue avec d’autres professionnels de santé (médecin généraliste, gynécologue, sexologue, etc.) est favorisé pour traiter tous les aspects de la problématique.

anorgasmie féminine

Les liens entre cystite à répétition, difficultés sexuelles et mal-être ne sont plus à prouver. Travailler sur le périnée, c’est aussi s’accorder le droit d’épanouissement. À chaque âge, à chaque histoire.

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Prendre soin de son périnée : à qui s’adresser, comment se déroule la prise en charge, quels résultats attendre ?

Vous vous posez peut-être la question : « Concrètement, comment se passe un suivi en kinésithérapie périnéale pour cystites post-rapports ? Dois-je encore consulter mon médecin ou gynécologue ? Dois-je oser franchir le pas ? » Il est normal d’avoir mille questions. Voici de quoi y voir plus clair :

Le parcours classique :

  • Un premier entretien détaillé. On échange sur votre histoire, vos épisodes de cystites, vos habitudes, antécédents médicaux (grossesse, accouchement, endométriose, fuites urinaires, chirurgie gynécologique…). Rien n’est jamais “trop petit” ou “hors sujet” à confier.
  • Un bilan périnéal (si vous le souhaitez). Il s’agit d’une exploration en douceur de la tonicité, de la capacité de relâchement, de la mobilité tissulaire… C’est indolore et rassurant, avec explications à chaque étape. Il n’y a aucune obligation d’examen si la patiente n’est pas à l’aise.
  • Un plan de suivi : exercices à faire en cabinet, à la maison, conseils sur positions sexuelles adaptées en cas de douleur, gestion du stress, astuces posturales… Tout est personnalisé, et vous êtes actrice de votre progrès.
  • Un échange régulier avec votre médecin traitant. Le/la kinésithérapeute, conventionné INAMI, travaille main dans la main avec l’équipe médicale si besoin (gynécologue, sexologue, etc.) pour s’assurer que rien n’est laissé de côté. La coordination multidisciplinaire est une force du cabinet Lisa MOENS à Esneux.

Quant aux résultats : il arrive que le soulagement soit rapide, au bout de quelques semaines. Pour d’autres femmes, c’est un parcours plus long, surtout si la cystite se double de douleurs lors des rapports ou de troubles hormonaux. Personne ne guérit de la même manière. Mais la grande majorité des femmes voient leur qualité de vie transformée : réduction des récidives, reprise de confiance, meilleure connaissance de soi.

Vous cherchez une expertise sûre aux alentours de Liège ? Prendre RDV avec une sexologue spécialisée ou une kinésithérapeute périnéale comme Lisa MOENS, c’est disposer d’un accompagnement moderne, empathique et complet. Ce n’est plus rare, ni honteux. Osez franchir le pas, même après des années de doutes ou de tentatives infructueuses.

Conseils concrets, prévention “au quotidien” et mythes à déconstruire

Ce n’est pas parce qu’on a une « mauvaise hygiène » que la cystite revient. Arrêtons de culpabiliser les femmes : l’infection urinaire post-coïtale n’épargne aucun milieu social, ni aucune génération. Faire la guerre au savon, à tel ou tel slip, ne suffit pas à régler la source du problème. Voici quelques conseils inspirés de la réalité de cabinet – agrémentés d’astuces simples, loin des solutions vues sur Instagram…

  • Hydratez-vous, mais sans excès. Oui, il faut boire… mais inutile de se forcer à avaler 3 litres par jour si ce n’est pas votre style.
  • Privilégiez un lubrifiant adapté si la sécheresse intime vous guette. L’important ? Zéro parfum, zéro additif superflu.
  • Essayez de varier les positions lors des rapports, en privilégiant celles qui ne « compressent » pas la zone périnéale. Certaines femmes soulagent leurs symptômes en évitant la pénétration trop profonde ou certaines positions « en appui ».
  • Expérimentez la respiration profonde avant et après le rapport. Inspire – expire. Cela peut aider à relâcher votre corps, même sans partenaire.
  • Parlez-en à votre praticienne, sans tabou. Plus vous lui livrerez vos craintes ou sensations (“Je sens que tout bloque”, “Je ressens comme une brûlure interne”), plus elle saura ajuster la prise en charge.
  • Refusez la fatalité. Non, ce n’est pas “à prendre ou à laisser”. Non, vous n’avez pas à sacrifier votre intimité pour éviter la cystite.

À noter : la rééducation périnéale n’est pas une potion magique. Mais c’est un vrai changement de perspective. C’est le pas décisif vers une sexualité libérée de la peur de l’infection, et un bien-être qui dépasse la seule sphère intime.

Un rappel important pour finir : faites-vous entourer par des praticiens déclarés, ayant une formation approfondie en rééducation fonctionnelle du périnée et expérimentés en Belgique. Demandez toujours s’ils sont conventionnés INAMI pour éviter les mauvaises surprises côté remboursement. De même, évoquez si besoin vos autres signes associés avec votre praticienne, comme l’endométriose, le post-partum, les troubles urinaires, ou toute gêne gynécologique.

Le parcours peut sembler intimidant, mais tellement de femmes témoignent : “J’aurais aimé découvrir la kiné périnéale plus tôt. Aujourd’hui, ce n’est plus un chemin de croix, mais un retour à moi”. Si ce sujet vous concerne, ne lâchez pas. Franchir la porte d’un cabinet, c’est le début d’un nouveau chapitre pour votre périnée… et votre sexualité !

FAQ – Questions fréquentes

Pourquoi faire de la kinésithérapie périnéale en cas de cystite post-rapport ?
La kinésithérapie périnéale permet de relâcher les tensions du périnée, d’améliorer la coordination urinaires et de renforcer la protection naturelle contre les infections. Elle s’adresse à toutes les femmes souffrant de cystites récidivantes après les rapports sexuels.

Quand consulter une kinésithérapeute périnéale pour des cystites post-coïtales ?
Dès que les cystites deviennent récurrentes malgré une bonne hygiène et des traitements classiques, il est judicieux de consulter une spécialiste. C’est particulièrement utile si vous ressentez des tensions, des douleurs lors des rapports ou des fuites urinaires.

Comment se déroule une séance de kinésithérapie périnéale pour la cystite ?
Après un entretien et parfois un bilan en douceur, des exercices de respiration, de relâchement musculaire et de prise de conscience du périnée sont proposés. La prise en charge est personnalisée, adaptée à votre histoire et à vos symptômes, toujours dans le respect du confort de chaque femme.

Faut-il un avis médical avant d’entamer la rééducation périnéale ?
Oui, il est toujours préférable de consulter d’abord votre médecin ou gynécologue pour exclure toute pathologie sous-jacente. Ensuite, la kinésithérapeute conventionnée, en collaboration multidisciplinaire, pourra élaborer un plan de prise en charge adapté à vos besoins.

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