Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Peut-être l’avez-vous déjà ressentie : cette brûlure soudaine en allant aux toilettes, ces envies pressantes et angoissantes qui s’invitent à tout moment de la journée… Voilà, la cystite – également appelée infection urinaire – frappe vite et fort. Pour beaucoup de femmes, elle n’est pas une inconnue, plutôt une visiteuse récurrente, indésirable. Mais pourquoi nous, les femmes, sommes-nous davantage concernées ? Il ne s’agit pas seulement d’anatomie, même si la courte urètre féminine facilite la vie aux bactéries. Il y a aussi des causes méconnues, souvent sous-estimées, comme la faiblesse du périnée, le stress, ou les suites d’un accouchement.
À Liège, nombreuses sont celles qui vivent avec ces désagréments en silence. D’autres, à force d’antibiotiques, se découragent : “C’est comme une roue qui tourne sans jamais s’arrêter”, confie Monique, 62 ans, qui enchaînait les cystites à répétition jusqu’à sa ménopause. Vous aussi, vous vous reconnaissez ? Rassurez-vous, il existe des solutions concrètes, mieux ciblées, et la kinésithérapie périnéale a toute sa place dans la prise en charge – en amont et en prévention.
Oui, cette spécialité est encore méconnue. Pourtant, elle repose sur une analyse précise du fonctionnement musculaire du périnée féminin. Ce sont ces muscles, véritables gardiens de nos sphincters urinaires, qui – affaiblis ou mal coordonnés – ouvrent la porte aux infections. La vie n’épargne pas le périnée : grossesses, accouchements, interventions gynécologiques, sport intensif ou même la ménopause le mettent à rude épreuve. Parfois, la simple posture sur le canapé trop affaissé finit par dérégler son équilibre !
C’est ici que la kinésithérapeute périnéale – en l’occurrence, Mme Lisa Moens, conventionnée INAMI – intervient à Esneux, proche de Liège. Sa mission ? Accompagner, conseiller et surtout, redonner au périnée toute sa force, son élasticité. Pas une baguette magique, plutôt un suivi personnalisé, avec des exercices ciblés et un vrai accompagnement multidisciplinaire : kiné, médecin traitant, parfois gynécologue.
La cystite, donc, n’est pas une fatalité. Aimez-vous l’idée d’une prévention active ? D’un regard neuf sur votre santé intime ? C’est ce que propose la kinésithérapie périnéale. Nous allons voir en détail pourquoi, comment, et avec quels résultats.
anorgasmie féminine peut aussi avoir un lien insoupçonné avec la santé du périnée. Un argument de plus pour s’y intéresser, non ?
Si l’on devait illustrer le périnée, imaginez-le comme un hamac musculaire tendu du pubis au coccyx, véritable chef d’orchestre de la région pelvienne. Il soutient les organes (vessie, utérus, rectum), assure la continence, et participe même à la vie sexuelle. En gros, notre plancher pelvien, c’est la base de tout… et quand il flanche, les ennuis commencent.
La kinésithérapie périnéale consiste en une série de techniques manuelles, d’exercices, de biofeedback, parfois de stimulation électrique douce. L’objectif ? Améliorer le tonus, l’endurance et la coordination du périnée. Mais aussi détendre les muscles s’ils sont trop contractés. Certaines d’entre nous vivent en mode “stress”, serrent inconsciemment le périnée, ce qui peut gêner le bon écoulement urinaire, créer des stagnations, bref, un terrain rêvé pour les bactéries.
En cabinet ou à domicile, la kinésithérapeute périnéale commence par une évaluation fine, personnalisée. Il n’existe pas de protocole unique : chaque histoire est différente. Parfois, la faiblesse musculaire domine (après un accouchement, une chirurgie), parfois ce sont des troubles de relaxation qui posent problème, notamment autour de la ménopause. L’approche peut donc varier. Précision : la kinésithérapie périnéale, ce n’est pas un “abdos-fessiers” un peu revisité, c’est bien plus subtil. Tout se fait avec respect, douceur, progressivité.
L’action sur la cystite ? D’abord, favoriser une vidange urinaire complète, pour limiter la rétention et la prolifération bactérienne. Ensuite, rétablir la barrière naturelle du périnée, qui se comporte comme une digue. Une digue trop lâche, et les bactéries remontent. Une digue trop rigide, et l’urine stagne. La kinésithérapie vise donc l’équilibre parfait.
De nombreuses patientes témoignent d’une baisse notoire de la fréquence des cystites après quelques mois de rééducation. Parfois même, les troubles urinaires chutent de plus de 70 %, selon certaines études belges récentes. Cela ne veut pas dire que tout s’arrange en une séance : la régularité paye, tout comme l’écoute de son corps. À Liège et aux alentours, la demande pour la kiné du périnée croit chaque année. Vous hésitez ? Osez en parler, même si le sujet gêne parfois. La prévention, ça change le quotidien.
Détail non négligeable, Mme Lisa MOENS est kinésithérapeute conventionnée INAMI à Esneux. Cela signifie que les tarifs sont fixés, la prise en charge transparente pour toutes, sans surprise. Son cabinet moderne accueille les femmes de tout âge, que ce soit pour des fuites, des douleurs, un post-partum ou justement, la prévention des infections urinaires. Elle travaille main dans la main avec d’autres professionnels : gynécologues, urologues, médecins généralistes. Cette approche multidisciplinaire, c’est la clé pour ne rien laisser passer.
communication sexuelle dans le couple peut aussi être améliorée grâce à une meilleure confiance dans sa sphère intime. Surprenant, non ?
Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Vous croyez que le périnée ne s’use que lors de l’accouchement ? Détrompez-vous. Tout au long de la vie, plusieurs facteurs le fragilisent. D’abord les grossesses, bien entendu : le poids du bébé, la pression de l’utérus sur la vessie, les modifications hormonales. Mais aussi certaines professions, où l’on reste debout longtemps. Les sports à impact, comme le running ou la danse. Les changements de poids rapides (régimes yo-yo, prise de poids, perte de poids rapide). Sans oublier la ménopause : baisse des œstrogènes = sécheresse, moins de résistance des tissus.
La constipation chronique ? Elle aussi, elle fatigue le périnée. Les efforts pour aller “à la selle” se répercutent sur la sphère périnéale. Les infections gynécologiques à répétition, le port de charges lourdes, voire certains mauvais réflexes (croiser les jambes tout le temps, s’asseoir avachie) s’ajoutent à la liste. Il ne s’agit donc pas que d’usure “naturelle” : parfois, une simple correction d’habitudes change tout.
Savoir repérer un périnée fragile, c’est la première étape. Quels sont les signes d’alerte ? Sensation de pesanteur, difficultés à retenir l’urine (lorsqu’on rit, qu’on tousse, qu’on court), douleurs pendant les rapports sexuels, envie très fréquente d’uriner (même sans cystite avérée). Ces signaux, il ne faut plus les ignorer. Ils sont au périnée ce que le voyant rouge est au tableau de bord de votre voiture : une alerte à ne pas négliger.
Il y a aussi les troubles de la continence urinaire “à l’effort” : le fameux “petit pipi” qui s’échappe sans prévenir. Encore trop tabou, ce motif de consultation amène pourtant chaque année des centaines de femmes chez la kinésithérapeute spécialisée – surtout aux alentours de Liège. Un conseil : osez demander un bilan périnéal dès l’apparition du moindre signe. Plus c’est précoce, plus la récupération est facile.
Point important : chaque femme est différente. Certaines ont un périnée hypertonique (trop contracté), d’autres au contraire, hypotonique (trop relâché). La rééducation périnéale n’a donc rien à voir avec un “coaching fitness” classique. Ici, tout est sur mesure, selon vos besoins, votre vécu, votre âge, vos projets (avenir de maternité, activité sportive…).
Et puis, il existe un lien fort entre le périnée, la vessie, l’intestin, et même l’épanouissement sexuel. Un périnée “hors service”, c’est parfois le début d’une baisse de libido, d’un inconfort pendant l’intimité, d’un sentiment de gêne ou de honte lors des sorties (peur des accidents, des odeurs). La santé périnéale, c’est un peu le socle sur lequel tout le reste repose. L’interroger, c’est s’offrir une meilleure qualité de vie, tout simplement.
Vivre sans cystites n’est donc pas qu’une question de médicaments. C’est aussi, surtout, une affaire de prévention, d’autonomie et de connaissance de son propre corps. Sachez-le : même après des années de troubles, il n’est jamais trop tard pour s’y intéresser et agir. La kinésithérapeute périnéale vous aide à faire ce pas décisif.
Vous hésitez à consulter ? Plusieurs idées reçues freinent parfois le passage à l’acte : “C’est gênant”, “Je ne veux pas de douleurs supplémentaires”, “Et si ça ne servait à rien ?”. Rassurez-vous : la séance de kinésithérapie périnéale, chez une professionnelle qualifiée comme Lisa MOENS à Esneux, est tout sauf une épreuve. C’est un rendez-vous bienveillant, centré sur vos besoins, votre intimité, votre rythme. Voyons de plus près comment cela se passe.
D’abord, un bilan global. On vous interroge sur vos symptômes (fréquence urinaire, épisodes de cystite, douleurs, habitudes de vie), vos antécédents (accouchement, chirurgie, ménopause…). Ce temps d’échange est crucial, car chaque détail compte. Vient ensuite l’examen périnéal, en douceur : évaluation du tonus, de la sensibilité, de la capacité à contracter et relâcher le périnée. Cet examen se déroule dans le respect le plus total de votre pudeur.
Ensuite, la prise en charge proprement dite : exercices personnalisés, adaptés à votre profil. Il s’agit notamment d’apprendre à contracter correctement le périnée (souvent, on ne le fait pas “dans l’axe”, d’où l’inefficacité), mais aussi à le relâcher au bon moment.
Le travail en biofeedback occupe parfois une place importante : grâce à de fines sondes ou électrodes, on peut visualiser en temps réel l’activité de vos muscles sur un écran. Résultat ? Vous prenez conscience des bons mouvements, corrigez instantanément les erreurs. C’est un peu comme voir un GPS vous montrer le bon chemin, impossible de se tromper.
Des exercices à la maison vous seront également proposés (respiration, posture, relaxation, petits “challenge” du quotidien : monter un escalier sans fuir, allonger la durée entre deux mictions…). Rien de pénible, au contraire, c’est dans l’esprit “coaching douceur”. L’objectif ? Renforcer la continence, améliorer la santé intime, diminuer l’irritation chronique qui favorise les cystites à répétition.
Chez Mme Lisa MOENS, la prise en charge ne s’arrête pas à la porte du cabinet. Elle collabore volontiers avec médecins, sages-femmes, diététiciens, psychologues, si besoin. Exemples : prise en charge des fuites urinaires, de l’endométriose, du post-partum ou des douleurs pelviennes. Tout est lié, et chaque femme trouve une réponse adaptée à sa problématique.
Certaines patientes témoignent de bénéfices inattendus : baisse significative de l’anxiété, meilleure vitalité générale, sentiment de liberté retrouvée dans la vie sociale ou lors des voyages. La prévention de la cystite n’est plus “subie”, mais fait partie d’une routine de santé globale, positive.
Vous vous demandez combien de séances sont nécessaires ? En général, un cycle de 8 à 15 séances suffit pour des troubles légers à modérés. Pour les cas plus “anciens”, un suivi au long cours apporte des résultats tangibles, parfois même sur des cystites qui résistaient à tous les traitements médicaux classiques. Précision : tout le monde n’évolue pas au même rythme, et c’est normal.
L’important est de ne plus laisser les cystites rythmer votre agenda : anticipez, agissez, osez la kinésithérapie du périnée, c’est accessible à toutes, à tous âges, quelle que soit votre situation (active, enceinte, jeune maman, ménopausée…). Cerise sur le gâteau, les séances sont remboursées selon la grille conventionnée INAMI, sans surprise sur la facture.
N’oubliez jamais : la santé du périnée, c’est un investissement sur toute la ligne. Prévenir la cystite, vous libérer des soucis intimes, c’est aussi préserver votre confiance, votre confort, votre autonomie. Osez en parler lors de votre prochain rendez-vous médical, vous verrez, ça change tout. En Belgique, la kinésithérapie périnéale fait de plus en plus parler d’elle, et c’est avec raison.
Et pour celles qui habitent dans la région, la possibilité d’un suivi à domicile ou au cabinet à Esneux (proche de Liège) constitue un atout précieux : pas besoin de courir loin, l’expertise est à portée de main.
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Penser à sa santé intime, c’est parfois comme réapprendre à marcher sur des œufs sans les casser. Cela demande patience, répétition et bienveillance. Heureusement, des expertes telles que Mme Lisa MOENS savent guider chaque pas, avec douceur et efficacité.
Au fond, ce n’est jamais juste une histoire de bactéries. Derrière chaque épisode de cystite se cache un fragilité, un déséquilibre, parfois invisible.
La kinésithérapeute périnéale, spécialement formée, va bien au-delà de la guérison “symptomatique”. Elle propose, à chaque femme, une démarche en trois temps :
1. Retrouver la confiance en son corps. Fini la peur d’aller au cinéma ou de faire une balade sans repérer toutes les toilettes du coin ! Avoir un périnée “au top”, c’est retrouver le plaisir des sorties, de l’intimité, du sport, sans craindre les mauvaises surprises.
2. Chasser la honte et le tabou. Il fut un temps où parler de son périnée ou de ses cystites relevait de la mission impossible. Aujourd’hui, le dialogue s’ouvre, les solutions existent, la parole se libère. À Esneux, comme partout en Wallonie, les femmes osent – enfin – demander de l’aide.
3. Prévenir pour ne jamais subir. Un entretien régulier, quelques exercices, des astuces posturales, quelques gestes simples (boire suffisamment, bien s’essuyer, ne pas trop retenir l’urine). C’est tout un art de vivre, facile à adopter, qui laisse peu de place aux infections. La kinésithérapeute périnéale ajoute aussi des conseils personnalisés sur votre alimentation, l’hydratation, le choix des sous-vêtements… Bref, un mode d’emploi du bien-être intime.
Certaines femmes “cumulent” les facteurs de risque : antécédents familiaux, surpoids, activité sportive intense, syndrome de l’intestin irritable. Ici, le suivi ne s’arrête jamais à la simple consultation : un vrai plan de prévention est élaboré ensemble, en lien avec l’équipe de soins. C’est cet accompagnement sur mesure qui fait toute la différence, surtout aux alentours de Liège où l’accès à une experte telle que Lisa MOENS est facilité.
Des chiffres ? Selon l’association belge de prévention urinaire, une femme sur deux connaîtra au moins un épisode de cystite dans sa vie, et près de 15 % en vivront plus de deux par an dès l’âge de 35 ans. Grâce à la rééducation périnéale, 7 femmes sur 10 rapportent moins d’épisodes après six mois de suivi. Preuve que le corps, lorsqu’il est sollicité avec intelligence, sait se défendre.
Dernier conseil (et pas des moindres) : ne laissez jamais un symptôme s’installer. Cystite, douleurs, troubles urinaires ou changements après la ménopause sont autant de raisons légitimes de consulter, même en l’absence de “vraie” pathologie. L’écoute, l’analyse, la prévention sont les meilleurs alliés de votre qualité de vie.
Reprenez le contrôle, soyez actrice de votre santé intime. La kinésithérapie périnéale n’est pas une mode, mais une révolution douce et durable, à portée de toutes. Pourquoi s’en priver ?
Comment savoir si la kinésithérapie périnéale peut m’aider à prévenir la cystite ?
Si vous avez des épisodes répétés d'infections urinaires, des sensations de faiblesse du périnée ou des troubles urinaires, une évaluation par une kinésithérapeute spécialisée comme Lisa MOENS à Esneux est recommandée. Elle saura poser un bilan précis et proposer des exercices adaptés à votre profil pour limiter la récidive.
Pourquoi consulter un kinésithérapeute périnéal conventionné INAMI pour mes troubles urinaires ?
Un praticien conventionné garantit un tarif sans dépassement et un suivi remboursé par la mutuelle, ce qui rend l'accès à la rééducation du périnée plus simple. De plus, il assure une prise en charge rigoureuse et coordonnée pour prévenir efficacement les cystites chez les femmes.
Quand commencer la rééducation périnéale pour prévenir la cystite ?
Idéalement, il est conseillé de consulter dès les premiers signes de faiblesse ou après tout événement à risque (accouchement, chirurgie, ménopause). Mais il n’est jamais trop tard : même après plusieurs infections, la kiné du périnée peut réduire la fréquence des cystites.
Faut-il continuer les exercices à domicile après la rééducation avec la kinésithérapeute périnéale ?
Oui, pour garder les bénéfices dans le temps, il est important d’intégrer quelques exercices simples dans la routine quotidienne. Votre kinésithérapeute à Esneux vous conseillera sur les gestes clés pour préserver un périnée fort et limiter les risques de cystite à long terme.