Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Vous en avez marre de cette sensation de brûlure à la miction ? Les réveils nocturnes pour courir aux toilettes vous gâchent la vie ? Nombreuses sont les femmes à éprouver cette gêne… et souvent, on cherche loin la cause alors qu’elle est parfois juste sous notre nez. Ou, plus précisément : entre cuisses. Le périnée, ce groupe de muscles discrets mais essentiels, joue un rôle bien plus vaste que ce que l’on imagine.
Mais quel est ce lien, à la fois surprenant et fondamental, entre la faiblesse du périnée et l’apparition des cystites à répétition chez tant de femmes ? Pourquoi, même en Belgique, la rééducation périnéale demeure trop souvent sous-estimée ? Et surtout, en quoi la kinésithérapie spécialisée pourrait-elle, dans les faits, améliorer radicalement votre confort urinaire et prévenir ces infections qui empoisonnent le quotidien ?
Avant d’entrer dans le vif du sujet, prenons un instant pour rappeler qu’ici, chez nous – à Esneux, proche de Liège – il existe des solutions concrètes, humaines et efficaces.
Petit mais costaud… en théorie ! Le périnée ressemble à un trampoline, une sorte de plancher souple tendu entre le pubis, le coccyx et les deux ischions. Chez la femme, il supporte la vessie, le vagin, l’utérus et le rectum. Un vrai chef d’orchestre du bas-ventre. Mais la vie lui en demande beaucoup. À chaque éternuement, effort, accouchement, ou au fil de l’âge : il plie, il compense, il s’adapte.
Pourtant, ce héros du quotidien s’affaiblit souvent, pour diverses raisons bien connues :
Une statistique ? Environ 60% des femmes de plus de 50 ans présentent une forme ou une autre de faiblesse périnéale… même sans symptôme remarquable. Pourtant, dès 30 ans, certaines verront émerger des petits signes discrets : envies fréquentes d’uriner, quelques fuites, une gêne en position debout prolongée.
Alors, est-ce une fatalité ? Peut-on s’en préoccuper avant d’avoir “vraiment mal” ou “vraiment de fuites” ? Bien sûr que oui.
La question fuse souvent en cabinet : “Pourquoi, moi qui fais attention à l’hygiène, j’attrape encore des cystites ?” La réponse se cache souvent dans l’état de votre musculature périnéale. Image parlante : un barrage qui se relâche laisse l’eau s’écouler là où elle ne devrait pas. C’est un peu ce qui se passe lorsque le périnée perd ses moyens.
Le périnée ferme la porte à la sortie de la vessie… mais aussi, et on l’oublie trop souvent, protège l’entrée des germes vers l’urètre et la vessie. Un périnée tonique offre une “barrière mécanique”, limitant les micro-infiltrations d’urine résiduelle ou de bactéries, et assure un vidage optimal de la vessie lors de la miction.
En cas de dysfonction périnéale, voici ce qu’il se passe, étape par étape :
D’où l’impasse quand on ne traite que par antibiotiques, sans jamais renforcer le plancher pelvien. Un cercle vicieux.
Avez-vous remarqué ? Ces situations sont plus fréquentes après un accouchement, à la ménopause, ou chez les sportives de haut niveau (course à pied, fitness intensif…). La raison est simple : lors des efforts, le périnée subit une pression accrue. S’il n’est pas tonique, il devient poreux, comme un filet troué.
Et ce n’est pas tout. Un périnée affaibli, c’est aussi…
Bref. Le périnée n’est pas “juste” un muscle, il est au centre du bien-être féminin.
Envie d’aller plus loin sur le plan intime ? Découvrez notre article dédié à la consultation sexologue pour anorgasmie féminine : troubles du plaisir, interaction avec la santé périnéale… tout est lié !
Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
La bonne nouvelle ? On peut restaurer la force, la coordination et la souplesse du périnée. Oui, même des dizaines d’années après un accouchement, et sans forcément passer par la chirurgie.
C’est là qu’intervient la kinésithérapie périnéale. Un mot savant pour désigner une prise en charge ciblée, praticable au cabinet ou à domicile, centrée sur le renforcement de votre plancher pelvien.
Avec un Kinésithérapeute périnéale conventionné INAMI comme Lisa MOENS, tout commence par… un échange. Où en êtes-vous ? Quel est vos antécédents (accouchements, interventions gynécologiques, troubles urinaires anciens, vie sexuelle, etc.) ? Quels sont vos objectifs (diminuer les envies pressantes, fuites, prévenir les récidives de cystite, retrouver du confort intime) ?
Ensuite, place à l’examen clinique : évaluation de la tonicité périnéale (parfois, on découvre un périnée… trop tendu, oui, cela existe !), analyse de la posture, observation de la respiration.
Les outils de la kinésithérapie périnéale sont variés et adaptés à chaque femme :
Au fil des semaines (en général 5 à 10 séances espacées), la différence devient palpable : moins d’envies pressantes, une confiance retrouvée, parfois une disparition complète des cystites récidivantes.
Pourquoi, au fond, tout ceci fonctionne ? Parce que le périnée, bien rééduqué, reprend son rôle de bouclier contre les bactéries, ses muscles referment la porte de la vessie au bon moment, et l’on prévient aussi la stagnation urinaire.
La richesse de l’approche, c’est qu’elle reste multidisciplinaire. En cas d’endométriose, de troubles urinaires complexes, de parcours pré-partum ou post-partum, on travaille main dans la main avec gynécologue, sage-femme, urologue. Ici, chaque parcours est unique, chaque périnée a son histoire.
Côté anecdotes ? Beaucoup de femmes racontent, après quelques séances : “Je pensais que ma gêne était un truc de l’âge. Je m’étais résignée. Mais là, je redécouvre mon corps, je reprends le dessus. Et surtout… je ne vis plus dans la peur d’une nouvelle infection !”
Ce témoignage vous parle ? N’hésitez pas à aborder la question, sans tabou. Parfois, il faut simplement OSER en parler…
Pour en savoir plus sur le mode de suivi et l’accompagnement psychosexuel autour des soucis intimes, vous pouvez consulter l’article dédié à retrouver une sexualité épanouie après un traumatisme.
Faut-il attendre la “grande fuite” ou la cystite carabinée pour pousser la porte du cabinet ? Absolument pas ! La prévention reste la clé, surtout chez les femmes dites “à risque” : jeunes mamans, femmes ménopausées, sportives, mais aussi toute femme attentive à son bien-être.
Voici quelques signaux d’alerte :
À chaque motif s’ajoute des moments-clés de la vie féminine : grossesse, périménopause (on n’attend pas la ménopause !), endométriose (qui impacte la tonicité des tissus), convalescence après intervention gynéco.
En pratique, chaque consultation chez un Kinésithérapeute périnéale conventionné INAMI ouvre sur une prise en charge personnalisée, adaptée à votre vécu, à vos besoins, à votre âge et à la réalité… parfois mouvante, du périnée.
Prendre soin de son périnée, c’est comme entretenir la fondation de sa maison : invisible, indispensable, et gage de bien-être futur.
N’oublions pas, certaines situations méritent même une prise en charge préventive : chez les jeunes femmes qui s’apprêtent à vivre une grossesse, ou chez celles dont la mère ou les sœurs présentent des troubles urinaires.
Un exemple concret : dans les communes aux alentours de Liège, les groupes de parole entre jeunes mamans l’attestent… un partage précoce autour de la rééducation périnéale évite bien des galères !
Au final, ce qu’il faut retenir, c’est que le périnée n’est pas qu’un souci “de femmes d’un certain âge” ou “de mères de famille”… mais le premier rempart silencieux contre les désagréments urinaires, la cystite, la gêne intime.
En Belgique, la prise en charge médicale “classique” reste très axée sur le symptôme (médicaments, antibiotiques, chirurgie en dernier recours). Pourtant, les études, et surtout… la pratique quotidienne, montrent à quel point muscler puis assouplir (pour éviter la crispation compensatoire !) le périnée, redonne une liberté de mouvement et une qualité de vie insoupçonnée.
Et ne négligeons pas : la rééducation périnéale n’est pas douloureuse ! Parfois, on évoque des exercices disgracieux ou pénibles, alors que le kinésithérapeute sur-mesure adapte chaque geste, chaque technique. Résultat : confiance, dialogue avec son corps, et surtout… fierté de reprendre le dessus.
Le suivi, qu’il soit réalisé au cabinet à Esneux ou à domicile, rentre dans un projet global de prévention : limiter les infections urinaires, restaurer la qualité de vie, et parfois… revivre sa vie de femme, sans peur, sans gêne, sans tabou.
Votre santé urinaire, c’est comme un feu de cheminée. On peut ignorer les petites braises qui couvent… jusqu’au jour où l’incendie éclate. Prendre soin tôt de son périnée, c’est éteindre chaque début de flamme avant qu’il ne devienne gênant, invalidant, voire… culpabilisant.
Alors, si vous doutiez… sachez qu’il n’y a ni âge, ni parcours, ni situation “pas assez grave” pour s’en soucier. Osez poser la question lors de votre prochain rendez-vous gynécologique ou directement auprès de votre kinésithérapeute. Vous verrez : c’est souvent le premier pas qui change tout.
Comment savoir si mon périnée est responsable de mes cystites à répétition ?
Des cystites fréquentes associées à des symptômes comme des envies pressantes, des fuites urinaires ou une sensation de “pesanteur” dans le bas-ventre peuvent traduire un périnée affaibli. Un bilan chez un kinésithérapeute périnéale spécialisé permettra de le vérifier en douceur, sans gêne. La prise en charge est adaptée précisément à ces troubles féminins.
Pourquoi la rééducation périnéale aide-t-elle à prévenir les cystites ?
Un périnée tonique agit comme une barrière naturelle contre la remontée des bactéries et favorise un vidage complet de la vessie à chaque miction. En retonifiant votre plancher pelvien, on réduit nettement les risques d’infection urinaire et le cycle infernal des récidives.
Quand faut-il entamer une rééducation périnéale après un accouchement ou à la ménopause ?
Il est conseillé de commencer la rééducation périnéale dès que possible après l’accouchement, même dès la 6ème semaine, ou dès l’apparition de troubles à la ménopause. Mieux vaut prévenir que guérir, même si les symptômes paraissent encore discrets.
Faut-il une ordonnance et la prise en charge est-elle remboursée en Belgique ?
Oui, en Belgique, une prescription médicale suffit pour bénéficier des séances de rééducation périnéale, qui sont ensuite remboursées si le professionnel est conventionné INAMI. Contactez le cabinet de Lisa MOENS à Esneux pour organiser vos séances sereinement et en toute confidentialité.