Sexologue CessionSexologue Charlotte CESSION – proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76
La ménopause précoce. Deux mots, une réalité souvent invisible. L’arrêt soudain des règles, parfois avant 40 ans, fait l’effet d’une porte qui claque bien trop tôt. Beaucoup restent seules dans leur tourbillon de questions. Pourquoi maintenant ? Comment vivre sa sexualité, son couple, son désir même, quand le corps ne suit plus la partition attendue ?
En consultation, la surprise le dispute à la peur. Non, ce n’est pas une fatalité d’être “trop jeune pour ça”. En Belgique, chaque année, plusieurs milliers de femmes traversent ce tabou silencieux. Et à Liège, comme ailleurs, la question du soutien sexologique se pose très concrètement : comment recoller les morceaux de son identité intime, quand le puzzle hormonal explose ?
Dans cet article, cap sur l’accompagnement spécifique et humain qu’apporte une sexologue face à la ménopause précoce. On parle vrai. Parcours, symptômes, aide concrète, outils et solutions, mais aussi espoir et redécouverte de son propre corps, voilà le fil rouge. Vous voulez comprendre ? Rassurez-vous, vous n’êtes pas seule. Parlons-en.
Quand on imagine la ménopause, on voit souvent une femme “après 50 ans”. Or, la ménopause précoce surgit bien plus tôt, avant 40 ans. On l’appelle aussi insuffisance ovarienne prématurée. L’effet ? Des ovaires qui cessent leur travail de façon anticipée. Les menstruations s’arrêtent. La production d’œstrogènes chute littéralement, comme une falaise abrupte. Plus de protection naturelle contre certains risques (ostéoporose, maladies cardiovasculaires) et, surtout, un bouleversement intime et psychologique parfois vertigineux.
Environ 1% des femmes sont concernées. Ça semble peu, mais derrière ces chiffres, il y a des histoires bien réelles. Celle de Claire, 35 ans, qui rêve d’un second enfant. Celle de Sophie, 28 ans, qui ne comprend pas son corps capricieux. Ou celle de Léa, dont la libido fond comme neige au soleil, soudain, sans prévenir. Une métaphore ? Imaginez une pièce de théâtre où le rideau tombe soudainement, au beau milieu de l’acte II. Personne n’avait prévenu que la représentation s’arrêterait là.
Pourquoi est-ce si dur à vivre ? Parce qu’on ne s’y attend pas. Parce que l’idée même d’une “finitude” intime, d’un “corps qui se ferme” alors que tout le monde dit “tu as le temps !”, bouscule en profondeur l’image de soi et de sa féminité. La société parle peu de la ménopause, encore moins quand elle arrive tôt. Résultat : isolement, honte, perte de repères… Vous en doutez ? Selon une étude française, 61% des femmes précocement ménopausées rapportent un sentiment de solitude.
La sexualité, elle, dans tout ça ? Témoin muet et souvent sacrifiée. Or, c’est un pivot majeur. Désir, rapport au corps, plaisir… tout se recompose. Le soutien d’une sexologue devient alors une bouée de sauvetage. Pour panser, comprendre, réinventer. Mais comment, concrètement ?
Vous vous demandez, peut-être : “Pourquoi mon désir disparaît-il ? Est-ce moi qui suis défectueuse ?” Ces questions, posées à voix basse en consultation, sont terriblement fréquentes aux alentours de Liège comme ailleurs. À ce moment précis, le rôle d’une sexologue prend tout son sens. Démêlons ensemble les conséquences, pour mieux les apprivoiser.
La chute des œstrogènes est brutale. Résultat, des symptômes physiques parfois très concrets et gênants dans la vie sexuelle :
Ces symptômes n’apparaissent pas nécessairement tous, ni au même moment. Mais un point commun : ils remettent en cause la spontanéité des relations sexuelles, et compliquent la connexion avec l’autre.
Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Mais la ménopause précoce crée aussi un séisme émotionnel.
Un cercle vicieux alors s’installe : plus d’inconfort, moins de désir, plus de distance, et donc plus de conflits ou de non-dits. Certaines patientes parlent d’un mur invisible qui se dresse dans leur lit – et parfois, dans leur cœur.
Cette dynamique pèse lourd. Les partenaires se sentent exclus, impuissants ou frustrés. Parfois, ils comprennent mal ce qui se joue, ou vivent eux aussi une remise en question. Le soutien d’un(e) spécialiste permet de poser les mots, de clarifier ce brouillard.
Vous vous reconnaissez dans ces symptômes ? Beaucoup de femmes le vivent sans jamais oser consulter. À Liège, comme ailleurs, la demande d’un accompagnement sexologique croît doucement, mais sûrement, à mesure que la parole se libère.
Bon à savoir : l’approche d’une sexologue ne se cantonne pas à l’analyse médicale. C’est un accompagnement global, respectueux du parcours unique de chaque femme, de son couple, de ses croyances, mais aussi de ses espoirs. Elle agit comme un pont, entre science et vie de tous les jours, entre pudeur et confiance. Grâce à son appui, la sexualité ne doit plus être une victime collatérale de la ménopause précoce.
À ce stade, vous vous demandez sans doute : comment, concrètement, une sexologue peut-elle aider ? Quelles solutions existent ? C’est ce que nous allons explorer ensemble.
Dire “je consulte une sexologue” reste encore un acte courageux. Beaucoup hésitent, imaginent un interrogatoire technique ou craignent d’être jugées. Or, le cœur du métier, c’est l’écoute bienveillante. En consultation, la sexologue pose d’abord un cadre rassurant. Vous n’êtes ni “froide”, ni “cassée”. Vous êtes humaine. Vous souffrez, vous manquez parfois de repères : c’est le point de départ. Parlons solutions concrètes.
Souvent, la première étape est de briser le silence. La sexologue offre un espace libre, où les questions trouvent une réponse. On parle du corps, bien sûr, mais aussi des sentiments, de l’histoire sexuelle, des attentes non formulées, des blessures – récentes ou anciennes. Ce travail de mise en mots écarte peu à peu la honte et l’isolement.
Parfois, les larmes coulent : “Je n’arrive plus à me regarder dans la glace”, “J’ai peur que mon partenaire aille voir ailleurs”, “Je me sens seule, vieillie avant l’âge”. La sexologue ne juge pas. Elle traduit les émotions, s’assure que personne ne porte le poids seul(e).
Cette première phase peut sembler longue. Et pourtant, ces entretiens changent tout. Mettre en mots, c’est déjà amorcer une réparation.
Ensuite, place à l’analyse (et aux solutions !). On aborde sans détour :
La sexologue travaille en lien avec le corps médical (gynécologues, endocrinologues…) pour ne pas passer à côté d’une pathologie ou d’une carence, mais son approche vise l’autonomie du couple. Parfois, elle conseille la consultation d’autres thérapeutes spécialisés, si besoin.
La ménopause précoce met le couple à l’épreuve. C’est là que la thérapie sexologique prend toute sa valeur. Les partenaires sont invités, s’ils le souhaitent, à venir ensemble. On parle de désir, mais aussi des déceptions, des peurs, des routines assassines…
Beaucoup réalisent alors que la perte de désir ne vient pas toujours “d’elle seule”, mais d’une spirale relationnelle où chacun se protège du malaise (en se taisant, en évitant les contacts physiques…).
Le travail de la sexologue ? Proposaliser, c’est-à-dire donner un rôle actif à chaque membre du couple :
Parfois, cela signifie accepter que la libido change de visage. Mais ce n’est plus un “deuil”, plutôt une maturité nouvelle, voire une profondeur inédite.
Et si la question du plaisir en couple devient trop douloureuse, d’autres outils sont proposés. Groupes de parole, mises en situation guidées, exercices à faire à la maison… Selon le rythme et la pudeur de chacun.
La sexologue, c’est aussi ça : aider à traverser le “deuil” de son ancienne sexualité, pour mieux rebondir. Nombre d’entre elles proposent des exercices de prise de conscience corporelle (respiration, relaxation, toucher conscient) pour se réconcilier avec ses sensations.
Cela passe parfois par des anecdotes : telle patiente qui “osait moins se déshabiller”, puis a retrouvé la joie d’essayer de la jolie lingerie, pour elle seule d’abord. Ou ce couple “si pudique” qui a redécouvert le plaisir du massage à l’huile parfumée… Preuve que rien n’est figé !
La confiance se reconstruit doucement. On apprend à s’accorder de la bienveillance. Il faudra parfois du temps, accepter quelques ratés. L’important, c’est d’oser demander de l’aide.
Près de Liège, les témoignages sont éloquents : “J’ai cru que tout était fini. Mais avec l’aide de Charlotte Cession, sexologue, on a trouvé de nouveaux chemins pour s’aimer. Différemment, mais pas moins fort.”
N’oublions pas : demander de l’aide, c’est aussi un signe de force. Un acte d’amour envers soi-même – et envers son couple.
De nombreuses femmes, après avoir consulté, témoignent d’un véritable “second souffle”. C’est la grande leçon : la sexualité après la ménopause précoce n’est ni condamnée, ni fade par nature. Elle se redessine. C’est tout.
Voici quelques conseils pour franchir, pas à pas, le cap et redonner du sens à l’intimité. Cela commence parfois par un geste, un mot, un rendez-vous pris “juste pour voir”.
Dire adieu à la jeunesse hormonale, c’est douloureux. Pourtant, la ménopause précoce ouvre, à qui ose le voir, une nouvelle phase de la vie sexuelle. Moins de pression liée à la fertilité, plus de liberté pour explorer, plus de temps pour écouter ses vrais désirs… Cela peut devenir, avec l’accompagnement adéquat, une source d’épanouissement étonnante.
Beaucoup racontent d’ailleurs avoir “osé parler”, “revu leurs attentes”, enfin accepté de ne plus plaire par défaut mais par choix. Comment ? Souvent, avec l’appui discret d’une sexologue, capable de donner des pistes adaptées à sa réalité.
Ce n’est pas une page blanche. Mais une réorganisation du plaisir, de ses sources, de ses rythmes. Quelques pistes :
On l’oublie : la tête est le principal organe du sexe. Parfois, une simple phrase (“et si on essayait autre chose ?”) suffit à relancer la complicité.
La relation, elle aussi, se nourrit et s’entretient. On n’attend pas que l’autre devine tout. On donne à voir ses failles et ses désirs. On apprend à se parler “vraiment”. Parfois avec l’aide d’un(e) sexologue spécialisée. Parfois avec des lectures, des podcasts, des ateliers en petit groupe. Beaucoup de solutions existent aux alentours de Liège pour celles qui osent franchir la porte.
Seul(e), il s’agit avant tout de restaurer son estime de soi. S’accorder douceur et patience. S’entourer de personnes qui ne minimisent pas (“ce n’est rien, tu verras ça passera”). Au contraire. Chaque vécu est unique, chaque parcours important.
Dans la région de Liège, plusieurs spécialistes (dont Charlotte Cession, sexologue) se sont spécialisées sur la question de la ménopause et de ses impacts sexuels. Ces consultations permettent de reprendre confiance, de bénéficier d’un réseau (groupes de patientes, ateliers spécifiques, recommandations médicales personnalisées…).
Bon à savoir : il n’est jamais “trop tard” pour consulter, même après des mois ou des années de silence. Si la parole semble trop lourde, certains choisissent la voie écrite (mail, carnet de suivi), avant de venir en face à face. À chacun son rythme.
Pour aller plus loin :
Pour certaines, le passage par la ménopause précoce a été une épreuve. Pour d’autres, ce fut comme une seconde naissance, plus audacieuse, plus sereine. Et si, vous aussi, vous transformiez cette épreuve en force ?
Les solutions existent, tout près (aux alentours de Liège), avec des professionnel(le)s formés à cette écoute fine, soucieuse du vécu singulier de chaque femme. Consultez, osez, demandez. Les réponses arrivent, souvent plus vite qu’on ne l’imagine.
Comment identifier une ménopause précoce et à quel moment consulter une sexologue ?
La ménopause précoce se manifeste par un arrêt des règles avant l’âge de 40 ans, souvent accompagné de bouffées de chaleur, de fatigue et de baisse de libido. Dès l’apparition de ces symptômes, il est essentiel de consulter une sexologue pour bénéficier d’un accompagnement adapté et d’éviter l’isolement émotionnel.
Pourquoi la ménopause précoce impacte-t-elle autant la sexualité et quelles solutions existent ?
La chute des hormones sexuelles affecte la lubrification, le désir et la qualité des rapports, entraînant parfois douleurs et perte de confiance. Une sexologue propose des solutions individualisées comme des conseils intimes, des exercices de couple et l’utilisation de lubrifiants, pour retrouver plaisir et complicité.
Faut-il toujours consulter en couple pour surmonter la ménopause précoce ?
Non, l’accompagnement peut débuter seule ou en duo selon le contexte ; chaque situation est différente. La consultation à deux permet de mieux comprendre les mécanismes de soutien mutuel, mais une démarche individuelle est tout aussi bénéfique pour se réconcilier avec son corps.
Quand reprendre une vie sexuelle épanouie après une ménopause précoce ?
Il n’existe pas de délai universel ; tout dépend du vécu, des symptômes et de l’aide suivie. Avec l’accompagnement d’une sexologue et des outils adaptés, nombre de femmes renouent progressivement avec leur désir et construisent une sexualité qui leur ressemble, souvent plus consciente et apaisée.
1. Nelson, L.M., “Primary Ovarian Insufficiency”, The New England Journal of Medicine, 2009. – Cet article fait le point sur la définition, les causes et l’impact de l’insuffisance ovarienne prématurée sur la santé globale et la qualité de vie, y compris sexuelle.
2. Lobo, R.A., “Menopause and sexuality: Key aspects of the issues”, Climacteric, 2017. – Une analyse détaillée des troubles sexuels liés à la ménopause, y compris la ménopause précoce, et des stratégies thérapeutiques proposées en sexologie.
3. Davis, S.R. et al., “Managing the sexual consequences of menopause”, Climacteric, 2015. – L’article décrit les options cliniques et sexothérapeutiques pour restaurer le plaisir et la confiance après la ménopause.
4. Wierman, M.E. et al., “Sexual Dysfunction: Integration of Sexology into Primary Care for Women”, Journal of Women’s Health, 2019. – Les auteurs insistent sur le rôle crucial de la prise en charge pluridisciplinaire, incluant la sexologue, pour les femmes ménopausées précocement.
Vous souhaitez en parler à deux ? Poursuivez votre réflexion vers la routine sexuelle dans le couple et vers l’accompagnement de l’anorgasmie féminine en consultation à Liège.
Le soutien existe, tout près de chez vous. Osez franchir le pas. Parce que la vie intime, à tout âge, mérite qu’on la réinvente !