Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
Vous pensez que les couples jeunes vivent leur sexualité comme dans un film romantique ? C’est rarement aussi simple. Beaucoup, très tôt, se retrouvent pris au piège des conflits sexuels. Une sorte de malentendu permanent où l’intimité, au lieu de rapprocher, peut devenir une vraie épreuve. Pourquoi ? Les causes sont multiples. Entre le poids des attentes (souvent irréalistes), la difficulté à dialoguer ou l’anxiété de performance, les tensions grignotent peu à peu la complicité. Avant de jeter l’éponge, de nombreux jeunes couples cherchent la lumière auprès d’un sexologue.
À Liège et aux alentours, on constate une vraie demande croissante de conseils. Parce que non, les barrières ne tombent pas toutes avec l’amour ou l’âge. Le sexe, c’est comme une recette à doser : il suffit qu’un ingrédient manque ou ne soit pas compris, et le tout perd de sa saveur. Parfois, même, ça tourne à l’amertume. On parle ici d’un thème central : comment les blocs et tensions autour de la sexualité naissent-ils si vite chez les jeunes couples déjà “officiellement ensemble” ? Pourquoi tant de non-dits sur le désir, la fréquence, le plaisir, la peur de “mal faire” ? Et, surtout, comment s’en sortir ?
Une chose est sûre : vous n’êtes pas seuls. Et non, cela n’arrive pas “qu’aux autres”. Oser consulter un sexologue à Liège est une démarche saine, moderne et utile. D’ailleurs, de plus en plus de couples, après quelques mois de vie commune, cherchent à comprendre ce qui leur arrive. Voyons ensemble les dessous du problème.
Le mythe du “grand amour compatissant”, celui qui gommerait d’un coup toutes les difficultés sexuelles… Ah, la belle histoire ! La réalité est souvent très différente. Dès les premiers mois, voire dès la première année de relation, de vraies tensions sexuelles apparaissent. Et elles ne sont jamais anodines. Même un couple amoureux peut se retrouver bloqué, frustré, parfois honteux de ne pas réussir à s’entendre naturellement sur ce sujet censé être “facile”. Vous êtes dans ce cas ? C’est extrêmement fréquent.
Les statistiques parlent : selon une étude menée en Belgique, plus de 60 % des jeunes couples âgés de 18 à 29 ans rapportent une insatisfaction sexuelle significative au sein de leur couple dans les deux premières années suivant le début de la cohabitation. C’est beaucoup. Mais pourquoi ?
Première explication : le poids des attentes. Les réseaux sociaux, la culture populaire ou, pire, la pornographie donnent l’impression que le sexe devrait se vivre sans heurt, sans discussion, dans une harmonie spontanée. Mais chez les vrais gens, c’est rarement tout feu tout flamme tous les soirs ! La fatigue, le stress, les différences de rythme ou de besoins s’invitent vite à la table. À force de comparer sa réalité avec des histoires enjolivées, la frustration peut monter. “Suis-je normal ?” “Pourquoi on ne fait pas l’amour plus souvent ?” “Pourquoi ce n’est pas aussi intense qu’au début ?”
Deuxième motif : la peur de décevoir. Beaucoup de jeunes hommes, mais aussi de jeunes femmes, ressentent une pression pour “être à la hauteur” dès les premiers instants. Le spectre de la “performance” devient omniprésent. Cette pression, souvent intériorisée, finit par générer de l’anxiété. Et l’anxiété… détruit la spontanéité et le plaisir. C’est un cercle vicieux.
Mais il y a aussi une question de communication. Beaucoup de jeunes couples n’ont jamais vraiment appris à parler de sexualité calmement. Dire ce qu’on aime ou non, dire ce qu’on attend, oser formuler ses craintes ou ses limites : ce n’est pas inné. Autour d’une table, il est souvent plus facile d’évoquer son plat préféré que de dire “je n’aime pas être touché de cette façon”. Alors, on accumule des frustrations. À force, elles explosent sous forme de disputes, de non-dits ou de froid. Parfois, sans même vraiment savoir pourquoi on en arrive là.
Enfin, dernier facteur : les traumatismes, récents ou anciens. Certains jeunes adultes n’ont pas eu de vraie éducation sexuelle – ou ont vécu des expériences négatives, voire violentes dans le passé. Ces blessures s’invitent souvent sans crier gare dans la vie intime, créant des blocages que l’on ne comprend pas toujours tout seul. Oser consulter permet alors de refaire surface, main dans la main.
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens observe quotidiennement ce type de problématiques. Avec écoute, bienveillance, elle aide les couples à mettre des mots sur leurs difficultés, à retrouver leur complicité, leur désir, leur plaisir partagé. À Liège, l’expertise sexologique est devenue précieuse pour apaiser ces tensions. Car oui, on peut désamorcer tôt les pièges du mal-être intime. À condition de ne pas laisser le silence installer sa chape de béton.
Vous reconnaissez-vous dans l’un de ces scénarios ? Car ce ne sont pas des exceptions, mais le quotidien de centaines de jeunes couples en Belgique.
- Un partenaire veut beaucoup plus de rapports que l’autre (et si la différence de désir était la norme, pas l’exception ?).
- L’un vit la sexualité comme quelque chose de ludique, naturel ; pour l’autre, c’est parfois plus lourd, source de stress ; un écart de perception qui peut s’accentuer avec le temps.
- Les premiers dérapages techniques : “je n’arrive pas à jouir”, “je n’ai pas d’érection quand je voudrais”, “je suis trop anxieux(se), je bloque”.
- Certains s’interdisent de demander des pratiques qui leur plairaient “par peur d’être jugé”. La peur du refus finit par étouffer la spontanéité.
- Une déception qui n’a pas été dite (“ce n’est plus comme au début, pourquoi cela a changé ?”) s’installe, et il devient difficile d’en sortir sans aide.
Le sexologue voit revenir sur la table une dizaine de thèmes récurrents chez les jeunes :
Différence de libido : C’est le classique. Il faut dire que chaque cerveau, chaque corps a son propre rythme. Certains couples font l’amour trois fois par semaine au début, puis l’un ralentit, l’autre pas. Interrogez vos amis, vous verrez : rares sont ceux qui s’accordent parfaitement sans jamais se frustrer. Ce n’est pas une anomalie : c’est l’humain, tout simplement. Mais dès que l’écart de désir grandit, la jalousie, le sentiment de rejet ou de pression font surface. D’ailleurs, explorer les différences de libido fait partie du travail du sexologue à Liège.
Problèmes de performance sexuelle : L’érection qui ne suit pas, l’orgasme qui se fait attendre, la peur de l’éjaculation prématurée. Autant de petites failles qui, parce que le tabou est grand, prennent vite une ampleur démesurée. Là aussi, il faut remettre les choses à leur place : tout le monde en connaîtra tôt ou tard. Mais, en parler, c’est nettement plus efficace que de dramatiser en silence.
Blocages émotionnels et difficultés à dire non ou à poser des limites : Le consentement, ce n’est pas qu’un problème de société ou de loi, c’est aussi une histoire intime. Trop souvent, par peur de froisser ou de perdre, certains jeunes acceptent des rapports (ou des pratiques) auxquels ils n’adhèrent pas réellement. Cela crée une dette consciente ou inconsciente qui punit la relation sur le long terme. Savoir dire “stop” ou “j’hésite” protège la complicité du couple.
Manque de communication sur les besoins, le plaisir, les fantasmes : Vous êtes nombreux à ne pas oser dire ce qui vous plairait. Par peur du jugement, de blesser l’autre ou de passer pour “bizarre”. Mieux vaut taire ses envies que de prendre le risque. Résultat : personne n’est vraiment heureux. L’un fait semblant, l’autre devine ou n’ose pas demander. On tourne en rond.
Poids du passé et confiance fragilisée : Outre les différences de rythme, certains traînent aussi de lourdes histoires. Un passé de violence, d’agression, une éducation très stricte ou taboue, ou simplement de mauvaises premières fois. Ces petites graines, semées des années avant la rencontre du couple, reviennent souvent au moment où la relation se stabilise. Le partenaire se met à douter (“je ne comprends pas, tu es distant(e)”), et la colère monte des deux côtés. Ces situations comptent parmi les plus fréquents motifs de consultation sexologique.
Dans chaque histoire, c’est comme une partition écrite à deux mains : ce qui bloque, c’est l’écart de tempo ou un silence trop long.
Un exemple ? Lola et Sylvain, 24 et 27 ans (prénoms modifiés), en couple depuis 18 mois “seulement”. Dès le début, Lola veut plus d’intimité, Sylvain a du mal, surtout après de longues journées ou des week-ends trop chargés. Ils n’en parlent jamais vraiment, mais la tension grimpe. Chacun finit par se sentir isolé. En sexologie, ils ont pu enfin en parler sans masque de jugement. Verdict : ce n’était ni “la faute de l’un”, ni de l’autre, juste deux rythmes à accorder et beaucoup d’implicite à rendre explicite.
Tous ces scénarios ne se terminent pas aussi bien. Beaucoup attendent trop. Or, plus on laisse ces situations prendre racine, plus elles empoisonnent l’intimité et l’affection.
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
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Le constat est posé. Ce qui compte maintenant, c’est de savoir comment cheminer vers un nouveau souffle. Et ce n’est ni “magique”, ni inaccessible. Mais il faut du courage, de l’écoute… et parfois un guide extérieur.
Premier réflexe : sortir de la culpabilité. Votre intimité de couple n’est pas censée ressembler à l’image d’Épinal du parfait voyage de noces. La panne, la baisse de désir, la peur de parler, ce sont des passages classiques, et non des faillites. Mais il faut mettre des mots dessus. En parler à deux (même si le cœur bat un peu plus vite) est déjà un pas immense.
Le secret ? Redécouvrir l’art du dialogue. Dire ce qui gêne, ce qui attire, ce qui manque. Parfois, un simple “j’aimerais qu’on explore cela” ou “je ressens moins de désir pour le moment, ce n’est pas contre toi” désamorce bien des malentendus. Cela ne fait pas tout, mais sans cet échange, rien n’avance.
Vous ne trouvez pas les mots ? Vous tournez en rond, ou la discussion frôle la dispute à chaque fois ? C’est le moment d’oser consulter un sexologue à Liège. Beaucoup hésitent, imaginant la consultation comme une “mise à nu publique”. Rien de tout ça : il s’agit d’un espace d’écoute, neutre, où la relation peut respirer. Nul besoin de détail gênant à chaque rendez-vous. Parfois, il suffit d’un tiers pour remettre du mouvement là où tout semblait bloqué.
Ce que propose la thérapie sexualité/couple ?
- Déposer ses difficultés, et comprendre qu’on n’est ni “bizarre”, ni “cassé”.
- Retrouver une complicité autour de la parole et du corps.
- Explorer d’autres manières d’être ensemble sexuellement (au-delà du cliché “pénétration à tout prix”, par exemple).
- Apaiser les discordes de rythme ou de désir, afin que chacun puisse exister dans la relation sans s’oublier.
- Parfois, réparer des blessures passées qui polluent la vie sexuelle aujourd’hui.
Ainsi, la consultation sexologique n’est pas à craindre : c’est un outil. Comme un guide de marche : il ne fait pas le voyage à votre place, mais il vous invite à découvrir les paysages oubliés de votre couple. L’objectif en sexologie n’est jamais “d’imposer un modèle”, mais de vous aider à construire le vôtre, à votre rythme. Ni mieux, ni moins bien qu’un autre. Juste à la mesure de vos besoins.
Des exemples de problèmes pris en charge dès le début de la vie commune ?
- Un partenaire qui a vécu une première fois douloureuse et craint désormais tout rapport.
- Deux jeunes adultes avec des histoires familiales très différentes, mettant en œuvre des représentations sexuelles opposées.
- Des troubles de l’érection qui n’étaient pas là au début et qui surgissent après quelques mois ("ça marchait bien, maintenant ça ne va plus, pourquoi ?").
- Une tendance à éviter les situations intimes dès que le couple traverse une dispute (“on se punit par le silence ou la distance”).
- L’apparition rapide de complexes physiques, souvent liés à la comparaison, qui sabotent le plaisir
Dans tous ces cas, la solution passe presque toujours par la réhabilitation du dialogue. Vous n’y arrivez pas à deux ? Faites-vous accompagner. Lire ces dix conseils imaginés par une experte sexologue peut aussi amorcer la discussion. Le plus difficile, c’est de franchir le pas du premier rendez-vous. Et, paradoxalement, c’est souvent là que l’on repart déjà plus léger.
Un autre volet moins souvent abordé, c’est la question de la perte de libido dans le couple, fréquente dans les débuts après la passion des montagnes russes. Pas de fatalité : la sexualité change, elle se construit différemment, avec moins de pression mais plus de partage. C’est cela aussi, “grandir à deux”, y compris dans le lit.
Le sexologue accompagne aussi les jeunes qui traversent des épreuves singulières : le stress et la pression de performance, très présents dans les situations de début de carrière ou d’examens, peuvent complètement désorganiser la vie intime. Or, quelques séances suffisent parfois pour remettre chaque chose à sa place et retrouver du plaisir… sans contrainte, ni “devoir.”
N’oubliez pas : la vie sexuelle en couple s’apprend, s’ajuste, se découvre intimement. Ce n’est pas parce qu’on aime qu’on sait, et ce n’est pas parce qu’on essaye qu’on doit réussir du premier coup. Il n’existe pas de grille de lecture universelle. Mais il existe des outils, des astuces, et des professionnels prêts à vous soutenir dans cette aventure à deux. En Belgique, la sexologie est un métier reconnu, porté par des dizaines d’experts passionnés et attentifs.
Quand consulter ? Le plus tôt possible, si vous avez le sentiment de tourner en boucle sur les mêmes reproches, ou si votre vie sexuelle devient une source d’angoisse, voire de conflits récurrents. N’attendez pas que la tendresse disparaisse : réagissez avant que les blessures ne s’installent. Parfois, une ou deux séances suffisent pour débloquer une situation qui traînait depuis des mois.
À Liège, consulter une sexologue est à la fois rapide, confidentiel et accessible : Sabrina Bauwens vous reçoit en toute simplicité, écoutant sans juger, pour que chaque couple puisse écrire sa propre histoire, apaisée et heureuse.
C’est la “grande question” ! Peut-on éviter les écueils, les disputes et les déceptions intimes dès le début ? Peut-être pas à 100 %. Mais, comme pour un jardin, plus on prépare le terreau, plus les plantes résistent aux mauvaises saisons. Quelques astuces simples permettent de renforcer l’immunité émotionnelle du couple.
Tout commence par l’information. Beaucoup de jeunes adultes ne savent pas que l’attirance physique, l’envie de l’autre, le plaisir… fluctuent et évoluent très vite, parfois de semaine en semaine. Rien de grave. Parler, s’informer, comprendre ces mécanismes, c’est déjà dédramatiser : “ce n’est ni ta faute, ni la mienne, c’est juste la vie”.
Prenez le temps d’échanger régulièrement sur vos envies, vos limites, vos doutes. Installez le réflexe d’ouvrir la porte à la conversation, même (et surtout) quand tout va bien. La prévention, c’est ça : ne pas attendre la crise pour parler.
Autre point crucial : refuser le mythe de la perfection. Acceptez l’imperfection, l’inattendu, et surtout la nouveauté : ce qui “fonctionne” une fois ne sera pas une recette magique le mois suivant. Soyez ouverts, souples : « ce soir, je ne ressens pas d’envie, ça ne veut pas dire que je t’aime moins ». Cette petite phrase, glissée de temps en temps, évite bien des malentendus.
Enfin, osez demander de l’aide tôt. Si un malaise persiste : préférer un rendez-vous précoce plutôt que d’attendre des années. Pourquoi ? Parce que plus les non-dits s’installent, plus la colère grandit, plus le couple s’épuise. Un sexologue vous offre des clés, des outils de dialogue, des pistes, sans jamais dicter de solutions toutes faites. À Liège, les jeunes couples qui osent ce pas gagnent en sérénité, confiance et joie partagée.
Tout le monde mérite de vibrer, de découvrir, d’apprendre à être bien dans sa peau mais aussi dans sa vie amoureuse. Il n’y a pas de honte à demander conseil à un sexologue : c’est le signe qu’on tient à son couple et à l’autre autant qu’à soi-même. S’offrir cet accompagnement, c’est investir dans la relation autant que dans sa santé globale. Oui, la sexualité, c’est aussi de la santé !
Pour aller plus loin sur la question de l’image de soi, du stress et des blocages dans la sexualité, n’hésitez pas à lire cet article déjà publié sur la dépendance affective et la sexualité ou à découvrir comment le point G et les mythes de la jouissance féminine sont abordés par une professionnelle à Liège.
Au fond, vous l’avez compris : la sexualité dans le couple, c’est un chemin. Parfois sinueux, jamais figé. Chaque blocage, chaque conflit est une invitation à tendre l’oreille. Un mot, un geste, un rendez-vous chez le sexologue, ça peut tout changer. Toute histoire s’écrit à deux. Parfois, il suffit d’oser.
Les jeunes couples sont particulièrement exposés aux conflits sexuels car ils doivent découvrir leurs propres besoins, ajuster différents rythmes et apprendre à communiquer sur des sujets intimes. Les attentes idéalisées, la méconnaissance du corps et le manque d'expérience en communication exacerbent souvent ces situations. Un accompagnement, comme celui d’un sexologue, aide à dépasser ces blocages.
Il est recommandé de consulter dès lors que les conflits sexuels, la baisse de désir ou des frustrations répétées altèrent la complicité du couple ou deviennent sources de disputes récurrentes. Ne pas attendre que la souffrance s’installe permet de débloquer plus rapidement ces situations.
Les difficultés de communication sur le plaisir, les différences de libido, l’anxiété de performance et les troubles érectiles ou d’orgasme sont les motifs rencontrés le plus fréquemment. Chaque couple étant unique, les solutions peuvent être adaptées par un sexologue professionnel.
Non, un seul partenaire peut tout à fait consulter dans un premier temps pour réfléchir à la situation et bénéficier d’outils concrets. Cependant, une démarche conjointe permet souvent d’avancer plus vite et de restaurer la complicité et la communication au sein du couple.
Mots-clés : sexologue, conflits sexuels, sexualité couple, jeune couple, communication sexuelle, différence de libido, éducation sexuelle, blocages sexuels, sexologie Liège, thérapie de couple.
Références scientifiques :
1. Byers ES, "Relationship satisfaction and sexual satisfaction: A longitudinal study of individuals in long‐term relationships", Journal of Sex Research, 2005. L'étude montre que la communication dans le couple influence fortement la satisfaction sexuelle chez les jeunes.
2. Mark KP, "The relative impact of individual sexual desire and sexual compatibility on relationship satisfaction", Sexual and Relationship Therapy, 2012. Exploration de l’impact des différences de libido sur la satisfaction des jeunes couples.
3. Dewitte M, Schepers S. "Communication, goal conflict, and well-being in romantic couples", Current Opinion in Psychology, 2020. L'article souligne les enjeux de communication autour du plaisir et des conflits sexuels.
4. Aerts L, "Anxiety and sexual functioning in young adults: A Belgian study", Sexologies, 2017. Données sur l'anxiété de performance et les troubles sexuels liés chez les jeunes adultes en Belgique.