Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
L’éjaculation prématurée demeure l’un des motifs les plus fréquents de consultation en sexologie à Liège et partout en Belgique francophone. De nombreux hommes, de tous âges et horizons, vivent ce trouble dans le silence, prisonniers de la gêne, du tabou et d’une souffrance trop souvent ignorée. Pourtant, il existe aujourd’hui des solutions efficaces et accompagnées, allant des stratégies comportementales à la prise en charge thérapeutique spécialisée auprès d’un sexologue professionnel en province de Liège.
Dans cet article, nous explorerons en profondeur le phénomène de l’éjaculation prématurée : ses mécanismes, ses causes, son impact sur la vie de couple, les peurs et croyances qui l’entourent, et surtout, les moyens concrets pour agir. Vous découvrirez pourquoi consulter un(e) sexologue à proximité de Liège, quels traitements existent, et comment s’engager sur la voie d’une sexualité retrouvée, épanouissante et sereine.
L’éjaculation prématurée (EP) se définit, selon l’International Society for Sexual Medicine, comme une éjaculation qui survient trop rapidement, avec une absence de contrôle volontaire, et qui entraîne une souffrance chez l’homme ou le couple. Concrètement, elle se manifeste, soit dès les préliminaires, soit juste après la pénétration, et ce, de manière répétée.
Traditionnellement, on parlait d’EP lorsque l’homme éjaculait sous une minute après le début de la pénétration. Mais il s’agit aussi d’un ressenti : un homme qui peine à retarder son plaisir, même en l’absence de pénétration, peut être concerné. La sensation de “ne pas avoir le temps” de satisfaire son partenaire, ou le sentiment de n’avoir aucune maîtrise sur la survenue de l’éjaculation, sont souvent au cœur de la plainte.
Loin d’être rare, ce trouble touche, selon les études, jusqu’à 30% des hommes à un moment de leur vie (Porst, H., et al., “Guidelines on Premature Ejaculation”, European Association of Urology, 2019).
On distingue l’EP primaire (ou “originelle”) – apparue dès les premiers rapports sexuels – de l’EP secondaire, qui survient après une période de sexualité “normale”. Cette distinction guide le travail du sexologue, qui adapte la prise en charge selon les cas.
Loin d’être uniquement une question de volonté ou de compétence sexuelle, l’éjaculation prématurée résulte d’un ensemble complexe de facteurs, parfois imbriqués :
Certains hommes présentent un seuil d’excitation neurologique abaissé, avec une sensibilité accrue du pénis ou des circuits dopaminergiques du cerveau. Des déséquilibres en sérotonine ont notamment été identifiés. Parfois, une inflammation prostatique ou une thyroïdopathie peuvent jouer un rôle.
Des études, telles que celles de Waldinger et al., suggèrent que l’EP présente souvent une composante génétique ou neurobiologique. Il n’est donc pas rare de rencontrer un “terrain familial”.
Le plus souvent, l’anxiété de performance, la peur de l’échec, les schémas éducationnels stricts ou encore une masturbation rapide acquise à l’adolescence “en cachette” peuvent sceller un réflexe éjaculatoire automatisé et difficile à contrôler.
Parfois, une expérience traumatique, des conflits de couple, ou la crainte d’une grossesse viennent alimenter l’engrenage du trouble. Le stress, la fatigue ou la dépression baissent également le seuil de contrôle.
La qualité de la relation de couple joue un rôle central. Des tensions, une communication limitée, ou une sexualité “primée sur la performance” créent un climat propice au maintien de l’EP. D’autres fois, l’insatisfaction de la partenaire (ou du partenaire), réelle ou supposée, aggrave la pression.
Dans la région liégeoise et plus largement en Belgique francophone, l’EP demeure un sujet peu abordé, tant dans la sphère publique que privée. Nombre de couples proches de Liège consultent en sexologie après des années de souffrance silencieuse, freinés par la peur du jugement ou la honte d’être “différent”.
Loin de n’être qu’un “petit souci technique”, l’éjaculation hâtive pèse lourdement sur l’estime de soi, la complicité et la satisfaction conjugale.
L’EP n’est donc pas une fatalité. C’est une problématique de couple fréquente, dont l’issue dépend d’une prise en charge globale, respectueuse, professionnelle, comme celle proposée à Esneux, à la périphérie liégeoise, par des sexologues expérimentés.
Parfois, les débutants tentent de “retenir” l’éjaculation par des techniques glanées sur internet, ou par des “crèmes retardantes” en pharmacie. Mais ces solutions ne suffisent généralement pas, et peuvent aggraver la frustration ou l’insatisfaction.
Les consultations en sexologie permettent de :
Que l’on vive à Liège même, aux alentours ou en province de Liège, le recours à un(e) sexologue garantit un cadre bienveillant, sans jugement, respectueux de l’histoire et des attentes du couple.
Le rôle du sexologue à Esneux, par exemple, consiste à écouter, analyser, conseiller et soutenir, en combinant outils de la thérapie comportementale, éducative et relationnelle. Certaines consultations peuvent même se réaliser en visioconsultation, facilitant l’accès à un accompagnement local même si l’on vit en périphérie ou dans une commune voisine de Liège.
Pour des informations complémentaires sur les bénéfices d’une thérapie conjugale, vous pouvez consulter cet article sur la thérapie de couple en sexologie proposé par Sabrina Bauwens.
Une première rencontre avec un(e) sexologue en région liégeoise débute par une anamnèse complète : écoute de la plainte, histoire sexuelle et relationnelle, identification des attentes et des besoins. L’objectif est de comprendre si l’EP est d’origine primaire ou secondaire, d’évaluer les causes probables et les éventuelles pathologies associées.
Le sexologue pose un cadre serein pour aborder parfois ce qu’il est difficile d’exprimer ailleurs : antécédents, peurs, croyances sexistes, histoire médicale et personnelle, qualité de la communication avec le/la partenaire. Si nécessaire, d’autres examens seront proposés (consultation médicale, prise de sang, consultation urologique).
La prise en charge s’effectue ensuite selon un schéma personnalisé, en collaboration constante avec le/la patient(e) :
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Consulter auprès d’une professionnelle établie dans la région d’Esneux, proche de Liège, garantit un suivi rigoureux, bienveillant et ancré dans la réalité de la vie quotidienne. Mme Sabrina Bauwens s’appuie sur une expérience solide et une écoute attentive pour accompagner chaque patient/couple sur le chemin du changement.
Ceux qui craignent la stigmatisation ou la gêne d’un cabinet “médical” traditionnel y trouvent un espace où l’on parle de sexualité avec humanité, précision scientifique et sans tabou. La confidentialité est ici la règle absolue. Tout est mis en œuvre pour que le couple retrouve son harmonie, dans le respect de chaque histoire personnelle.
La prise en charge du trouble se base sur un consensus scientifique :
La technique du “stop and start” est la mieux documentée. Le principe : lors de la masturbation ou pendant les rapports, on s’exerce à identifier les signes précurseurs de l’éjaculation. Dès que l’envie monte, on “stoppe” tout mouvement, on respire, on laisse retomber l’excitation, puis on recommence. Répétée, cette technique apprend à mieux repérer les signaux corporels et à ralentir le réflexe éjaculatoire.
La “technique du squeeze” repose sur la même idée : une pression exercée sur le gland juste avant l’éjaculation diminue la tension et retarde l’orgasme. À pratiquer seul ou à deux, sous guidance sexologique pour une efficacité optimale.
Le but est de diminuer la sensibilité à l’excitation, via un travail “en escaliers” : on commence par des stimulations “hors pénétration”, puis on augmente doucement la proximité génitale. Ce protocole, validé scientifiquement (Serefoglu, E.C., et al., “Premature ejaculation: definition, etiology, and management”, PMC 2014), permet de retrouver une maîtrise corporelle souvent perdue.
L’anxiété, le stress ou la peur du “prochain échec” désorganisent la respiration, accélèrent le cœur... et précipitent l’éjaculation. L’entraînement à la pleine conscience et aux techniques de relaxation permet de retrouver apaisement, ancrage dans le présent et conscience des sensations. La séance de sexologie devient carrefour de réapprentissage corporel, pour plus de plaisir et moins de pression.
Impliquer le/la partenaire est souvent la clé. La sexologue à Esneux, à la porte de Liège, propose une approche systémique : le couple est un système, l’EP se vit à deux, et c’est ensemble qu’un nouveau pacte sexuel pourra émerger. On apprend à parler du plaisir, à exprimer ses besoins, à explorer de nouvelles voies sensuelles (travail sur les préliminaires, la lenteur, les caresses, les jeux...).
Pour des conseils spécifiques sur la gestion des différences de libido ou de désir dans le couple, ce lien vers l’article dédié aux différences de libido offre des pistes complémentaires.
Si l’approche comportementale et relationnelle est centrale, on peut parfois envisager un traitement médical. Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), prescrits ponctuellement, permettent chez certains hommes d’augmenter le délai éjaculatoire. Il existe également des sprays ou crèmes anesthésiantes, efficaces dans certains cas mais à utiliser avec parcimonie et sous encadrement médical. Enfin, des compléments alimentaires sont parfois proposés mais leur efficacité reste limitée.
Le sexologue à Esneux, proche de Liège, agit en relais avec les médecins généralistes et urologues, veillant à une prise en charge coordonnée et adaptée au contexte de chaque patient.
Cette vision multidisciplinaire, à la croisée du psychique, du corporel et du médical, garantit une issue plus rapide et plus durable pour le couple.
Nombre d’hommes vivant en périphérie de Liège, à Esneux ou en région liégeoise, repoussent la consultation, pensant “qu’ils finiront par gérer eux-mêmes”, ou douter de la légitimité de leur plainte. D’autres associent la sexualité à une performance virile, ce qui alimente le cercle vicieux de l’échec. Pourtant, la littérature scientifique démontre avec force que l’accès à l’accompagnement sexologique réduit la souffrance, augmente la satisfaction conjugale et la confiance en soi.
Les dysfonctions sexuelles, en Belgique comme ailleurs, restent un sujet intime, mais ne devraient pas être une fatalité silencieuse. Il est prouvé que l’isolement majore les symptômes, tandis que l’ouverture, l’éducation et la thérapie débouchent sur une sexualité retrouvée (Rowland, D.L., et al., “Behavioral and Psychological Approaches to Premature Ejaculation”, PMC 2011).
Il n’existe pas de règle absolue, mais si l’éjaculation prématurée se répète depuis plusieurs mois, altère votre satisfaction ou celle de votre/partenaire, ou suscite une souffrance psychologique, n’attendez plus. Un accompagnement sexologique structuré, personnalisé et bienveillant, comme celui proposé par Mme Sabrina Bauwens à Esneux, permet de sortir du silence et d’envisager une sexualité réconciliée.
Il n’est jamais trop tard pour retrouver confiance et plaisir !
Consulter un(e) sexologue spécialisé(e) dans l’éjaculation prématurée aux alentours de Liège, c’est oser s’offrir la chance de comprendre, de transformer et d’épanouir sa vie intime. C’est aussi agir pour la santé conjugale, émotionnelle et corporelle. Que vous soyez en début de vie sexuelle, en couple de longue date ou récemment confronté à ce trouble, il n’y a pas de “mauvais moment” pour demander de l’aide.
À retenir :
N’hésitez pas à consulter les autres ressources disponibles sur le site d’Esneux Médical, comme cet article sur l’anxiété de performance sexuelle, pour approfondir votre compréhension et préparer, en toute confiance, votre démarche d’accompagnement.
Vous vivez à Liège, en périphérie immédiate ou en province de Liège et vous souhaitez sortir du cercle vicieux de l’éjaculation prématurée ? Il suffit d’un pas pour transformer durablement votre vie sexuelle – le chemin de la réconciliation commence chez le/la sexologue, dans le dialogue, l’empathie et le professionnalisme.
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
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