357 avis : 4,9/5 ⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️

Rendez-vous en kinésithérapie périnéale : Saisir le contrôle de votre quotidien et dire adieu aux envies pressantesKinésithérapeute Périnéale

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25

Rendez-vous en Ligne

Rendez-vous en kinésithérapie périnéale : aider à mieux contrôler les envies pressantes

Pourquoi tant de femmes doivent-elles composer avec des envies pressantes ?

Vous êtes-vous déjà retrouvée à chercher désespérément des toilettes, alors que vous veniez à peine de sortir de la maison ? Cette sensation d’urgence, ce sprint plus ou moins discret vers les WC, ce n’est pas juste une question de "petite vessie". Non ! Il s’agit souvent d’un problème bien plus courant qu’on ne l’imagine et dont on ose rarement parler. Pourtant, les envies pressantes bouleversent le quotidien de milliers de femmes, à tous les âges de la vie.

Le sujet est délicat. Beaucoup de patientes ressentent une vraie gêne, comme une ombre silencieuse : "Je ne suis pas vieille, pourquoi cela m’arrive-t-il ?" ou encore "C’est sûrement parce que j’ai eu des enfants…". Il y a du vrai, mais pas seulement. De nombreuses causes existent et, bonne nouvelle, il existe des solutions ! Notamment la kinésithérapie périnéale, prise en charge par des professionnels comme Lisa MOENS, Kinésithérapeute périnéale conventionné INAMI à Esneux, proche de Liège.

Ce trouble porte divers noms : perte involontaire d’urine, trouble de la continence, hyperactivité vésicale... Mais une chose relie toutes ces situations : elles impactent la confiance en soi, la vie sociale, parfois même l’intimité. Arrêter d’aller boire un verre par peur de ne pas tenir. Réduire le sport. Planifier chaque sortie autour du plan des sanitaires. C’est pesant.

Vous vous demandez alors, pourquoi moi ? Pourquoi maintenant ? Les réponses sont multiples :

  • Le périnée a peut-être perdu de sa force après une grossesse.
  • Des changements hormonaux autour de la ménopause affaiblissent les tissus.
  • L’âge, le surpoids, des efforts répétés, des maladies comme l’endométriose.
  • Le stress chronique – il agit comme un accélérateur sur la vessie, c’est prouvé.

Mais aussi : la façon dont on a appris à "aller aux toilettes", un syndrome postural, certains médicaments. Bref, chaque femme a sa propre histoire. En Belgique, les statistiques sont claires : 1 femme sur 3 après 50 ans, 1 jeune maman sur 2 dans les trois mois suivant l’accouchement, et 10 à 15% des jeunes femmes n’ayant jamais été enceintes… Rien d’exceptionnel, au contraire.

Le vrai problème ? Beaucoup gardent le silence. Pourtant, des solutions existent, et la rééducation périnéale est en première ligne.

Parlons concrètement : c’est de votre quotidien qu’il s’agit. Imaginez retrouver une liberté d'aller et venir, sans anticiper les toilettes à chaque coin de rue. Dormir sans interrompre trois fois sa nuit. Oser faire du sport, sans la peur d’une fuite intempestive. C’est tout cela que la kinésithérapie périnéale vise à restaurer.

Qu’est-ce que la kinésithérapie périnéale, et en quoi ça peut changer la vie ?

Imaginez le périnée comme un trampoline. Flexible, souple, mais solide. Son rôle ? Soutenir la vessie, l’utérus, le rectum. Il s’ouvre, se ferme, joue l’équilibriste à chaque mouvement, à chaque éternuement, chaque éclat de rire… Et parfois, il fatigue. Quand cette mécanique s’enraye, tout l’édifice peut vaciller : douleurs, fuites, envies urgentes. Prendre soin de son périnée, c’est retrouver sa base, son ancrage.

La kinésithérapie périnéale, c’est exactement cela : un entraînement ciblé, précis, à la fois doux et surprenant d’efficacité. Chez de nombreuses femmes, on a "oublié" le fonctionnement optimal de ce muscle profond. Les séances de kiné viennent réveiller, rééduquer, remodeler. Rien de magique, juste de la science.

Comment cela se passe ? Chez Lisa MOENS, chaque prise en charge commence par une écoute, un bilan complet. Cela se déroule au cours d’un rendez-vous dans son cabinet à Esneux, ou parfois à domicile – l’important, c’est que vous soyez à l’aise, sans jamais vous sentir jugée.

En pratique, la rééducation peut intégrer :

  • Des exercices « à sec », sans toucher, pour reconnecter le cerveau et le périnée.
  • Des techniques manuelles, pour détendre, tonifier, assouplir.
  • Des séances avec des sondes, pour affiner la prise de conscience et gagner en efficacité.
  • Une prise en charge multidisciplinaire si besoin : lien avec une sage-femme, un gynécologue, ou un sexologue (anorgasmie féminine).
  • Des conseils autour du quotidien : habitudes mictionnelles, alimentation, gestion du stress.

C’est un travail d’équipe, vous et votre kinésithérapeute. Parfois, la clé se trouve dans un exercice postural. D’autres fois, il faut aller regarder du côté d’un accouchement difficile, d’une épisiotomie oubliée, ou d’une endométriose silencieuse.

Vous hésitez ? Il n’existe pas de timing parfait pour démarrer. Que ce soit en post-partum, dès les premiers signes de ménopause, après une intervention chirurgicale ou simplement parce que "quelque chose cloche", la porte reste ouverte.

En cabinet, tout est fait pour que le dialogue s’installe. Oui, il y a des questions sur votre histoire intime, sur votre rythme urinaire, votre sexualité. Oui, bien sûr, il faut parfois quelques séances pour que la gêne tombe. Mais beaucoup de femmes repartent surprises : "Je croyais que tout était fichu. Mais non. Même au bout de trois séances, je sens déjà que ça change."

Et pour celles qui redoutent encore l’examen ou la manipulation ? Pas d’obligation. Le respect de vos limites prime. Souvent, le fait même d’oser consulter est déjà le coup d’envoi vers la solution.

À noter : cette prise en charge en kinésithérapie périnéale est remboursée par l’INAMI pour de nombreux motifs féminins (fuites, douleurs, rééducation après accouchement…). Le coût ne doit jamais être un frein.

Parmi les axes de prise en charge phares, Lisa MOENS propose par exemple :

  • Pré-partum et suivi de grossesse pour anticiper les fragilités
  • Accompagnement post-partum pour une récupération optimale après accouchement (spontané ou césarienne)
  • Rééducation du périnée en cas de fuites urinaires
  • Prise en charge des troubles urinaires, des douleurs pelviennes et de l’endométriose
  • Travail sur le bien-être sexuel, en synergie avec d’autres professionnels comme des sexologues (problèmes de communication sexuelle dans le couple)

Alors, pourquoi continuer à subir ? Une première étape suffit : pousser la porte du cabinet.

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25

Rendez-vous en Ligne

Comment se passe un premier rendez-vous en kinésithérapie périnéale aux alentours de Liège ?

Vous hésitez encore ? Allons, on casse les préjugés ! Le premier rendez-vous, c’est bien plus qu’une histoire de "muscles intimes". C’est une rencontre, un dialogue. Concrètement, comment cela se déroule-t-il avec une kinésithérapeute périnéale comme Lisa MOENS ?

Dès l’accueil, un point maître : la confidentialité. Ce qui se dit dans le cabinet à Esneux reste entre vous et votre kinésithérapeute. On commence toujours par une discussion approfondie. Vous racontez votre vécu, vos symptômes, votre histoire obstétricale (accouchements, fausse-couches, interventions gynécologiques…). Rien de "trop" : chacun va à son rythme.

La première consultation, c’est aussi le moment des questions pratiques :

  • Comment surviennent vos envies pressantes ?
  • Avez-vous des fuites à l’effort ? À la toux ? Lors des rapports ?
  • Combien de fois par nuit devez-vous vous lever ?
  • Quelle est votre routine quotidienne ?
  • Quels sont vos antécédents (opérations, traumatismes, endométriose, suivi de grossesse, ménopause, traitements hormonaux…) ?

En général, un bilan du périnée est proposé… Mais ce n’est pas systématique. Et toujours, le consentement prime. Rien n’est imposé. Il peut s’agir d’un examen externe, d’une évaluation posturale globale, ou, si besoin, d’un examen interne, doux, respectueux. Il s’agit de comprendre comment votre périnée fonctionne, comment il réagit à la toux, à la contraction, à la détente.

Lisa MOENS, kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI à Esneux, adapte la prise en charge à votre confort et votre histoire. Certaines femmes n’osent pas, redoutent. C’est normal. Mais souvent, après cet échange, la peur tombe.

Le plan d’action est alors personnalisé : séances individuelles, conseils d’hygiène de vie, exercices à refaire à la maison. Parfois, la route est courte : dix séances, une vraie métamorphose. D’autres fois, le chemin est plus long – chaque femme avance à son rythme.

À l’aide de petites images, d’exemples concrets, Lisa MOENS vous montre comment « écouter » votre périnée au quotidien. Comment se déroulent les exercices ? Parfois sur un ballon, parfois allongée, parfois debout. On travaille la contraction, la détente, la respiration. Comme une préparation athlétique… pour votre plancher pelvien !

Le saviez-vous ? Chez les femmes qui suivent une rééducation bien menée, 70% constatent une nette amélioration dès le premier mois. Redonner confiance, calmer les envies pressantes, résorber l’inconfort – l’objectif est palpable.

Le suivi peut s’étaler sur la durée si besoin, avec parfois un rythme plus espacé (une séance toutes les deux ou trois semaines, selon les progrès). Le tout ancré dans une dynamique multidisciplinaire, en lien avec médecins référents, sage-femme, gynécologue, sexologue. Un fil rouge : la prise en charge globale de la femme, dans toutes ses dimensions.

Et au fond… qui n’a jamais redouté de « sortir » de peur d’une fuite, d’une urgence, d’un accident ? Personne n’est à l’abri. Ce rendez-vous, c’est le début du retour à une vraie liberté.

Peut-on rééduquer son périnée à tout âge ? (oui, et il n’est jamais trop tard !)

Parlons franchement : c’est peut-être l’une de vos craintes. "Je n'ai pas fait ma rééducation après la naissance de ma fille, il y a vingt ans. Est-ce trop tard ?" La réponse est non ! Bonne nouvelle, le périnée, comme tous les muscles, a une incroyable capacité à récupérer, à réapprendre.

Encore une idée reçue à balayer : la rééducation après l’accouchement, ce n’est pas un « one shot ». À chaque étape de la vie, il est utile de "reprendre" son périnée en main. Les envies pressantes ne sont pas réservées aux « mamans ». Aucune tranche d’âge n’est épargnée.

  • Vous êtes jeune, jamais eu d’enfant, mais gênée par des fuites en riant ou en courant ? Bienvenue au club des fausses idées reçues : le périnée souffre aussi du sport intensif, du stress, de certaines morphologies.
  • Ménopause ? Les œstrogènes en baisse fragilisent le tissu périnéal. Parfois, les troubles apparaissent alors que tout allait bien jusque-là.
  • Post-grossesse, fatigue, fausse-couche, opération gynéco... À chaque carrefour, le périnée se rappelle à vous.
  • Même à 70 ans ou plus, un travail spécifique apporte des résultats étonnants. Des patientes découvrent qu’elles peuvent, enfin, maîtriser leurs envies pressantes.

La clef reste le repérage précoce. Plus on consulte tôt, mieux on anticipe la dégradation. Mais il n’est jamais "trop tard" pour agir. Parfois, quelques séances suffisent à transformer le quotidien.

Si la rééducation classique (post-partum) est remboursée en Belgique, de nombreux autres motifs sont pris en charge également. La question ne doit jamais être "Ai-je le droit d’y aller ?", mais bien « Pourquoi attendre ?". Dans les régions proche de Liège ou à Esneux, les délais de rendez-vous sont raisonnables.

Mais surtout, le secret tient en un mot : régularité. Quelques minutes d’exercices chaque jour (guidées par la kiné), et le progrès vient, presque comme par magie. Les douleurs s’atténuent. Les réveils nocturnes cessent. L’intimité sexuée retrouve de la sérénité.

Et si la gêne liée aux envies pressantes persiste malgré tout, cela oriente alors vers une exploration complémentaire : urologue, gynécologue, examen de la vessie, etc. L’intervention d’une kinésithérapeute périnéale reste la première étape, avant tout autre traitement plus invasif.

Quels bénéfices attendre d’une rééducation bien menée ?

Le bénéfice attendu ? Il est simple : reprendre les rênes de sa vie quotidienne. Les besoins urgents qui dictaient vos trajets, vos sorties, vos nuits, s’estompent. Un sentiment de contrôle revient. Le « truc » en plus ? Beaucoup de femmes découvrent que leur ventre se détend, le mal de dos s’efface, la posture se redresse. C’est l’effet domino : tout le corps bénéficie d’un périnée en pleine forme.

Autre bénéfice majeur, rarement évoqué : la sexualité. Un périnée tonique, souple mais efficace, rime avec plaisir retrouvé. N’ayez pas peur d’en parler pendant la séance : la gêne, l’anorgasmie, les douleurs… tout cela se travaille, avec délicatesse et bienveillance, parfois en lien avec un sexologue.

Les effets collatéraux ? Certains symptômes s’améliorent même “au passage” : constipation, mal de dos, inconfort gynécologique, douleurs lors des rapports.

Rééducation périnéale et pérennité : comment éviter la récidive ?

Pourquoi certaines femmes « retombent » dans les problèmes d’envies pressantes, malgré une bonne rééducation ? Parce que le périnée travaille… toute la vie ! Comme un entretien de voiture ou des dents, c’est la régularité qui fait la différence. On ne muscle pas son périnée "une fois pour toutes". Mais la bonne nouvelle, c'est qu'avec les bons gestes, la prévention devient simple.

Quels outils pour éviter la récidive ?

  • Des exercices personnalisés proposés par votre kinésithérapeute périnéale, à refaire chez soi.
  • La prise de conscience posturale, cruciale pour ne pas "écraser" son périnée au quotidien (on ne serre pas toute la journée !).
  • Identifier et corriger les "mauvaises habitudes" sanitaire : aller aux toilettes « par précaution » est une très mauvaise idée qui aggrave le problème sur la durée.
  • Attention à la constipation chronique qui fragilise le plancher pelvien.
  • Ne négligez pas votre alimentation, l’hydratation, la gestion du poids – des leviers puissants.
  • Ne pas hésiter à revenir faire un bilan annuel ou en cas de nouvel évènement (accouchement, opération, symptômes qui réapparaissent).

La sensibilisation reste le nerf de la guerre. On entend souvent : « Je croyais qu’une fois la rééducation terminée, c’était fini »… Non, pas tout à fait. Mais nul besoin de s’imposer « une corvée » quotidienne. Quelques habitudes simples suffisent à maintenir les progrès : une minute d’exercice matin et soir, y penser en voiture ou au bureau, quelques mouvements pour activer et détendre.

La conséquence, c’est que vous gardez le contrôle. Oublier les « situations d’urgence », rester active, épanouie, vivre pleinement chaque moment sans embarras. C’est possible, à tout âge.

Et si, malgré vos efforts, les symptômes de retour vous inquiètent ? La kinésithérapie périnéale représente toujours la solution de première intention, avant d’envisager toute opération ou médication à long terme.

Souvenez-vous : le vrai tabou, c’est de ne jamais en parler. Plus vous tardez, plus le cercle vicieux s’installe. La clé, comme souvent, réside dans le dialogue et la prévention.

Enfin, si vous hésitez, dites-vous que la majorité des patientes, même après des années d’inconfort, raconte le même après-coup : "C’était simple, efficace, presque naturel… Pourquoi ai-je attendu si longtemps ?".

Pour conclure, sur la région de Esneux et aux alentours de Liège, la prise en charge multidisciplinaire et la qualité de l’accompagnement font toute la différence. Que ce soit pour la vie quotidienne, la reprise du sport ou votre intimité, la rééducation périnéale vous redonne la liberté de choisir, à chaque instant.

N’attendez pas que le problème s’installe. Osez franchir le pas : un simple rendez-vous, et la vie peut déjà (re)commencer différemment.

FAQ – Questions fréquentes

Comment se déroule une séance de kinésithérapie périnéale pour les envies pressantes ?

La séance débute par un temps d’échange pour comprendre vos symptômes et votre quotidien. Ensuite, selon votre confort, la kinésithérapeute propose des exercices adaptés, parfois des techniques manuelles ou instrumentales, toujours dans le respect de votre intimité. Vous repartez avec des conseils et des mouvements personnalisés pour poursuivre à la maison.

Pourquoi consulter une kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI et pas une autre spécialiste ?

Une kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI garantit une prise en charge spécialisée, adaptée aux troubles féminins, avec un remboursement optimal. Son expertise permet de cibler précisément les exercices et la rééducation selon votre situation, en lien si besoin avec d’autres professionnels de santé.

Quand débuter la rééducation périnéale en cas d’envies pressantes ou de fuites ?

Il n’est jamais trop tôt ni trop tard pour démarrer la rééducation périnéale. Dès l’apparition des symptômes, consultez rapidement : une prise en charge précoce permet souvent des progrès rapides et évite l’aggravation. N’attendez pas que l’inconfort impacte trop votre quotidien.

Faut-il continuer les exercices chez soi une fois la rééducation terminée ?

Oui, il est important de poursuivre les exercices conseillés par la kinésithérapeute, même après la fin du suivi en cabinet. Cela permet de préserver durablement les bénéfices de la rééducation et d’éviter les récidives, surtout lors des changements hormonaux ou après un effort particulier.

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25

Rendez-vous en Ligne

This is some text inside of a div block.