Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
La perte de libido est un motif fréquent de consultation en sexologie. Que l’on vive en couple depuis quelques mois ou plusieurs années, la dynamique du désir n’est jamais linéaire. Ce sujet tabou touche pourtant bien des personnes, hommes comme femmes, et soulève un cortège de questions, de doutes, voire d’inquiétude sur la pérennité du lien amoureux. À Liège et en région liégeoise, de plus en plus de couples font appel à la sexologue Sabrina Bauwens pour retrouver une vie intime épanouissante.
Comment comprendre le mécanisme du désir ? Quelles sont les causes les plus fréquentes de la perte de libido dans le couple ? Et surtout, existe-t-il des solutions pour renouer avec une sexualité vivante ? Cet article de fond, conçu pour un public francophone à la recherche de ressources concrètes et de repères scientifiques, vous propose un tour d’horizon complet de ce sujet crucial et mal connu.
Le désir sexuel, parfois appelé libido, est le fruit d’un équilibre subtil entre le corps, le mental et l’émotionnel. Contrairement à ce que véhiculent certains clichés, le désir ne se commande pas comme on allume ou éteint une lumière. Il est modulé au fil du temps par de multiples facteurs individuels, relationnels, physiologiques et socio-culturels.
Chez l’humain, la sexualité répond à des besoins fondamentaux : connexion, plaisir, estime de soi, mais aussi curiosité, évasion et stimulation sensorielle. L’entrée dans la vie à deux, les aléas du quotidien, l’arrivée d’enfants, les changements hormonaux ou encore les événements de la vie (maladie, deuil, stress professionnel) agissent tel un séïsme sur cette fragile alchimie.
La perte de libido (ou baisse du désir) se définit par une diminution de l’intérêt pour la sexualité, qu’il s’agisse de l’envie d’avoir des rapports sexuels, de fantasmer ou de s’adonner à des jeux érotiques. Elle peut être temporaire ou persistante, partielle (en lien avec le ou la partenaire) ou totale (désintérêt pour toute activité sexuelle).
Selon les études, entre 15 et 35 % des personnes en couple disent traverser au moins une phase de baisse du désir au cours de leur vie, parfois sans en parler à leur partenaire ni consulter de professionnel. Loin d’être pathologique, le manque d’élan sexuel a en réalité une fonction d’alerte, qui invite à questionner l’état de la relation, ses besoins ou son bien-être physique et psychique.
L’un des enjeux majeurs, identifiés en consultation de sexologie à Esneux et à Liège, réside dans la façon dont le couple va réagir à ce phénomène : faudrait-il s’alarmer ou simplement traverser la tempête ? Comment éviter la distance émotionnelle ou sexuelle qui s’installe parfois au fil du temps ? Là réside toute la complexité et l’art du dialogue intime.
Pour agir efficacement sur la perte de libido, il convient d’abord d’en identifier les causes. Bien souvent, il s’agit d’une combinaison de facteurs biologiques, psychologiques, relationnels et contextuels. Voici les plus fréquents, repérés chez de nombreux patients de la périphérie liégeoise en consultation chez une sexologue diplômée.
Le corps peut jouer un rôle capital dans la diminution du désir. Parmi les causes biologiques figurent :
En cas de doute, un bilan médical en collaboration avec un gynécologue, un urologue ou un endocrinologue en province de Liège peut s’avérer nécessaire. Une sexologue comme Sabrina Bauwens saura vous guider et vous orienter, le cas échéant, vers un professionnel de santé adapté.
L’état psychique et émotionnel pèse lourd dans la balance du désir :
Comme le rappellent Brotto et al. (Brotto LA, et al., 2016 - voir références ci-dessous), la sexualité humaine se nourrit largement d’un sentiment de sécurité interne et d’une capacité à « lâcher prise ». La gestion du stress, du ressenti émotionnel et la revalorisation de l’estime de soi s’avèrent donc centrales dans la relance de la dynamique désirante.
Impossible d’aborder la libido sans s’intéresser à l’état du lien conjugal ! En cabinet de sexologie à Esneux ou aux alentours de Liège, les professionnels observent souvent :
Le silence qui entoure la sexualité au sein du couple entretient bien souvent la problématique. Oser en parler – de façon respectueuse et apaisée – constitue déjà un pas déterminant vers la reprise du dialogue corporel et émotionnel.
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Si la baisse du désir peut toucher tout le monde, on observe certaines nuances selon le sexe, liées à la physiologie, au parcours de vie ou à la socialisation genrée. À Esneux, aux portes de Liège, comme partout en Belgique francophone, les femmes décrivent souvent un désintérêt progressif, associé à un manque de tendresse ou d’écoute émotionnelle, ou à la lassitude conjugale. Les périodes de transition hormonale – grossesse, post-partum, ménopause – jouent également un rôle déterminant, tout comme la charge mentale ou la difficulté à allier parentalité et espace érotique.
Côté masculin, la perte de libido peut être vécue comme une remise en cause de la virilité, engendrant honte, retrait ou anxiété de performance. Chez l’homme, des troubles de l’érection ou de l’éjaculation (précoce ou retardée) peuvent être à la fois cause et conséquence d’une diminution de l’élan sexuel, créant un cercle vicieux. La difficulté à exprimer ses émotions ou à parler de sexualité reste un frein important à la résolution du problème (conseils de sexologue pour les couples).
Notre époque idéalise la sexualité et le désir permanent, mais la réalité est souvent plus nuancée. Les médias, la pornographie, les réseaux sociaux véhiculent l’image d’un désir omniprésent, instantané, « sans défaut ». Or, le désir a ses passages à vide, ses cycles, ses pauses – et c’est parfaitement sain ! Le mythe de l’osmose sexuelle met, malgré lui, la pression sur des couples qui se sentent « hors norme ». À cela s’ajoute parfois une éducation pudique voire culpabilisante, empêchant d’exprimer ses envies, ses fantasmes, ou simplement ses doutes.
Cette pression culturelle s’observe également en cabinet de sexologie à la périphérie liégeoise : de nombreux patients formulent un idéal souvent inatteignable, qui conduit à la frustration, à la honte ou à la défiance envers le partenaire.
Si la baisse de libido s’installe (plusieurs semaines ou mois) et nuit à votre épanouissement ou à l’équilibre du couple, il est pertinent d’en parler avec un(e) sexologue qualifié(e) tel que Sabrina Bauwens à Esneux. Voici quelques signaux d’alerte :
La démarche de consultation sexologique en région liégeoise, proche de Liège, n’est ni honteuse ni réservée à des situations extrêmes. Elle peut permettre de restaurer la parole, de composer avec la réalité du couple, de s’outiller pour réinventer à deux une intimité plus libre et plus vivante.
Le premier levier pour relancer la libido, c’est la communication intime. Les études (Dewitte M, Franseen S., 2013) montrent que le simple fait d’oser aborder la question de la sexualité, du désir ou de l’envie permet de réduire l’anxiété, d’accroître l’empathie et la complicité, et de sortir du malentendu. Osez demander à votre partenaire :
Rappelons-le : il n’existe pas de « fréquence normale » du sexe en couple. Ce qui compte, c’est le ressenti mutuel et l’absence de souffrance ou d’incompréhension durable. Une thérapie de couple menée par une sexologue peut ici apporter un regard extérieur, apaisé, et redonner un nouvel élan.
Voici quelques pistes à explorer, inspirées des expériences menées par des sexologues à Esneux, Liège et en province de Liège :
Plus vous parviendrez à parler du désir (ou de son absence) sans jugement, plus il vous sera possible de sortir de la « pression de performance » qui souvent, aggrave la situation (Brotto LA, et al., 2016).
La consultation en sexologie permet de :
À Esneux et dans toute la province de Liège, la sexologue Sabrina Bauwens accompagne individuellement ou en couple toute personne confrontée à ce questionnement du désir. Son approche bienveillante, accessible, fondée sur des méthodes validées (Brotto LA, et al. ; gestion de l’anxiété sexuelle) favorise le retour à une sexualité choisie, plus libre, débarrassée des idées reçues ou des automatismes pesants.
Plutôt que de voir la baisse de libido comme une « faillite du couple », il est utile d’y lire un signal, une invitation à explorer de nouveaux chemins, à rafraîchir le lien. La sexualité n’est pas un dû, une obligation ou un « devoir conjugal » : c’est une source de plaisir, de jeu, de curiosité, qui demande, comme une langue vivante, à être entretenue, réinventée, parfois « suspendue ». La capacité à traverser ensemble les périodes de doute et à en sortir grandis constitue, selon les sexologues de la région liégeoise, l’un des meilleurs prédicteurs de satisfaction conjugale sur la durée (Dewitte M, Franseen S., 2013).
Comment différencier une baisse de libido normale d’un trouble sexuel ?
Une baisse passagère liée au stress, à la fatigue, à la routine ou à une période difficile n’a rien d’alarmant. Le trouble sexuel est avéré s’il persiste, s’accompagne de souffrance, ou compromet le couple. Seul un examen approfondi, éventuellement complété par une consultation médicale, permet d’établir un diagnostic clair.
La différence de libido est-elle forcément signe de rupture ?
Non ! Dans tout couple, il existe des rythmes différents entre partenaires. Ce n’est pas la différence qui pose problème, mais la façon de la gérer et d’en parler. Des outils existent pour mieux vivre ces écarts, sans que cela ne devienne un motif de séparation.
Peut-on retrouver le désir après des années de « panne » ou de silence érotique ?
Oui, la sexualité se redéploie à tous les âges. Avec de la bienveillance, un climat de sécurité affective, des expériences partagées et parfois l’aide d’un(e) sexologue, il est possible de redécouvrir une libido endormie et d’y reprendre goût.
La pornographie ou les réseaux sociaux peuvent-ils impacter la libido ?
Oui, l’exposition régulière à des images irréalistes ou hyperstimulantes peut créer une distorsion entre la réalité et le fantasme, renforcer la pression de performance ou induire une forme d’addiction. Cela peut brouiller le rapport au corps, au désir, à l’autre et nécessiter une réflexion individuelle ou de couple.
La perte de désir n’est ni une fatalité ni un tabou inavouable. À Liège, en province de Liège et partout proche de Liège, de nombreux couples témoignent d’un renouveau érotique, d’un sentiment de réconciliation profonde, après avoir osé poser des mots et demander de l’aide. La sexologie contemporaine n’est pas une solution miracle, mais un espace pour se retrouver, se parler autrement, désacraliser les « pannes sexologiques » et remettre au centre la complicité, l’humour et le respect mutuel.
N’hésitez pas à consulter : un entretien avec une sexologue professionnelle permet souvent de sortir de l’isolement, de restaurer la confiance et de (re)découvrir le plaisir du dialogue corporel.
Lire aussi : 10 conseils de sexologue pour relancer l’intimité de votre couple
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
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📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
Brotto LA, et al. (2016). Psychological and Interpersonal Dimensions of Sexual Desire and Arousal Disorders in Women. PubMed - National Library of Medicine.
Dewitte M, Franseen S. (2013). Sexual Desire and Relationship Satisfaction in Couples. PubMed - National Library of Medicine.