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Rééducation Périnéale à Liège: Comment Améliorer Votre Qualité de Vie Après l'AccouchementKinésithérapeute Périnéale

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

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Comment la kiné périnéale améliore la qualité de vie des femmes après un accouchement

Pourquoi le périnée souffre-t-il autant après un accouchement ? Un territoire méconnu et essentiel

Imaginez le périnée comme un hamac souple, tendu entre le pubis et le coccyx, qui soutient absolument tous les organes du bas-ventre. On n’en parle presque jamais. Pourtant, c’est bien lui, ce groupe de muscles tout en bas du bassin, qui absorbe la plus grande partie de la pression lors de la grossesse et de l’accouchement. Chaque femme passe par là : l’accouchement, ce marathon qui laisse parfois le “hamac” fatigué, relâché, ou même déchiré.

Après la naissance d’un bébé, le corps féminin amorce une lente réadaptation. Et souvent, le périnée sonne l’alerte : fuites urinaires à l’éternuement, gêne pendant les rapports, sensation de pesanteur, voire douleurs diffuses. Ces symptômes, banalisés, n’ont pourtant rien d’une fatalité. Alors, pourquoi ce tabou persistant autour de la rééducation périnéale ?

Par manque d’informations, beaucoup de femmes ignorent le rôle capital du périnée. Certaines entendent parler de sa rééducation en dernier recours, quand vivre chaque jour devient source de gêne. D’autres pensent que seules les femmes âgées ou “en grande difficulté” sont concernées. Faux ! Ce n’est pas rare, c’est courant. Statistiquement, 70% des femmes en Belgique rencontrent, après la maternité, au moins un signe de fragilité périnéale.

Si vous avez déjà demandé lors d’un dîner de famille : “Comment ça va, ton périnée après bébé ?”, vous avez sans doute subi des regards ronds. Pourtant, au cabinet à Esneux, cette question prend tout son sens. Seule une professionnelle formée, comme Lisa MOENS, kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI, saura détecter finement les troubles qui minent la vie quotidienne (et pas seulement l’incontinence ou la douleur). Elle intervient dès la grossesse, tout au long du post-partum, jusqu’à la reprise du sport, de la sexualité, ou simplement le besoin de retrouver confiance en son corps.

À Esneux, proche de Liège, on croise souvent Lisa Moens au détour d’une marche ou à la sortie de la crèche, toujours attentive à ses patientes. Ce n’est pas un hasard : une prise en charge locale, humaine, que beaucoup recherchent “aux alentours de Liège”, pour éviter la foule des grands centres hospitaliers.

Quelle que soit la naissance (voie basse, césarienne), c’est le temps de l’après qui façonne le vécu. La grossesse n’est pas une maladie, dit-on, mais un corps en construction permanente. Et chaque muscle, chaque ligament, chaque zone intime, réclame sa part d’attention.

Autre point souvent négligé : la dimension psychologique. Avoir un périnée “abîmé”, ce n’est pas juste un souci fonctionnel. Cela touche l’intimité, l’image de soi, parfois même le couple. Avez-vous déjà repoussé une balade ou une soirée, par peur de la fuite ou de l’inconfort ? Ce sont ces petits renoncements qui, à la longue, érodent la qualité de vie. Parler, écouter, explorer ce qui ne va pas, c’est déjà avancer vers une réparation.

Dans certaines cultures, le périnée s’entraîne dès l’enfance. En France et en Belgique, on commence à peine à lever le voile. Mais la progression est là : depuis quelques années, la kinésithérapie périnéale prend sa place parmi les soins de première ligne, souvent prescrite par la sage-femme ou le gynécologue. À Esneux, Lisa Moens accompagne surtout les femmes, jamais les hommes, car chaque périnée est unique : anatomie, hormones, vécu, blessures, tout compte.

Outre le cadre médical, la kiné périnéale, c’est aussi apprendre à écouter son corps. Il y a des exercices pour tout : renforcer, détendre, sentir, contrôler. Parfois, on travaille avec des appareils sophistiqués, parfois juste respiration et conscience. Avec douceur. Avec patience. Avec humour, aussi : qui n’a jamais éclaté de rire pendant une séance de contraction volontaire, en se disant “C’est donc ça le fameux muscle du périnée ?”

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Qu’apporte une kinésithérapeute spécialisée après l’accouchement ? Zoom sur l’accompagnement à la fois technique et humain

Lorsque vous poussez la porte de la kinésithérapie périnéale à Esneux, vous entrez dans un autre rythme. Oubliez les consultations expéditives. Ici, l’écoute prime. Lisa MOENS accueille chaque femme avec la même attention, que ce soit pour une “simple” reprise du sport ou une souffrance intime profonde. Son credo : personnaliser, écouter, rassurer.

Son approche est multidisciplinaire : aucun secret pour les patientes suivies en lien avec d’autres médecins (gynéco, généraliste, sage-femme, psychologue si besoin).

Mais concrètement, que fait-elle, cette experte du périnée ?

  • Bilan périnéal : Tout commence par une évaluation globale. Comment sentez-vous votre périnée ? Y a-t-il des fuites, des tiraillements, une gêne lors des efforts ? On teste force, tonicité, mobilité, coordination avec le reste du corps. Le but n’est pas de juger, mais de comprendre d’où l’on part.
  • Education et conseils personnalisés : Beaucoup de femmes connaissent peu (ou mal) leurs muscles périnéaux. La séance sert à poser des mots simples sur des sensations. Que faire en cas de fuite ? Comment respirer ? Quels sports éviter, lesquels privilégier ? Quels gestes du quotidien adapter (porter bébé, ramasser un objet…)
  • Exercices de renforcement ciblés : On n’utilise pas que le “fameux” stop pipi, souvent mal conseillé. Place aux contractions périnéales statiques et dynamiques, intégrées à la respiration, à la posture, au mouvement. Avec ou sans sonde de biofeedback, en fonction du ressenti.
  • Détente et gestion des tensions : Un périnée sur-sollicité, crispé par le stress ou la peur de la fuite, peut déclencher des douleurs. Des techniques douces, alliées à la respiration, permettent d’apprendre à relâcher quand il le faut. Le mot d’ordre : équilibre !
  • Retour progressif à l’activité physique : Vous étiez sportive avant ? On adapte, pour éviter les ruptures de ligaments ou les descentes d’organes. Même la marche rapide exige une certaine préparation du muscle périnéal.
  • Résolution des troubles urinaires et de l’endométriose : Parce que le post-partum, ce n’est pas seulement “récupérer”. C’est parfois découvrir une nouvelle facette de soi, accepter que le corps change, mais récupérer au maximum ses fonctions : miction, sexualité, maintien, plaisir de bouger.
  • Prévention et information : Saviez-vous que beaucoup de cystites post-accouchement ou d’infections urinaires sont réduites par une rééducation adaptée ? Il vaut mieux prévenir que guérir. Un périnée bien rééduqué fait barrière aux infections et autres désagréments.

La bonne rééducation, menée par une spécialiste comme Lisa Moens “à Esneux”, c’est retrouver l’aisance… et le sourire. Beaucoup de femmes témoignent d’un regain de confiance, de la fierté à sentir leurs muscles contrôler ce qui semblait hors de portée. Certaines disent : “Je me sens moi-même à nouveau”. D’autres évoquent la redécouverte des rapports, après des mois d’inconfort ou d’appréhension. Parfois, il suffit que la douleur disparaisse, ou que la crainte de la fuite s’estompe, pour envisager une sortie sans stress.

Le chemin est personnel, parfois semé d’embûches. C’est vrai, tout ne revient pas comme “avant”. Mais s’améliorer, gagner même 80% de ses sensations, c’est déjà une victoire. La kinésithérapie périnéale, c’est l’art de mesurer chaque progrès, de savourer chaque étape, sans honte ni compétition. Une femme, un corps, un périnée… Des milliers d’histoires. Chacune singulière.

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Quels problèmes concrets peut soulager la kinésithérapie périnéale ? Le quotidien transformé

Vous pensez que la kinésithérapie périnéale, c’est juste après l’accouchement, et puis basta ? Détrompez-vous ! Pas un mois sans qu’une nouvelle patiente pousse la porte du cabinet à Esneux, parfois des années après l’arrivée d’un enfant, pour différents motifs féminins. Car la vie réserve des surprises : la ménopause, le retour du sport, un deuxième bébé, une intervention gynécologique, ou tout simplement… un besoin de retrouver confiance.

Voici, en “vrai”, ce que la kiné périnéale bien menée peut changer :

  • Les fuites urinaires (incontinence) : 1 femme sur 3, avant 50 ans, avoue avoir connu au moins un épisode gênant. Un éternuement, un effort – et hop, une petite fuite. La kinésithérapeute apprend à maîtriser son périnée à l’effort, à prévenir les accidents, à renforcer la sangle abdominale en harmonie.
  • La sensation de “descente d’organes” (prolapsus) : Certaines femmes décrivent une pesanteur, comme une boule qui descend dans le vagin. Parfois, le simple port de couches ou la position debout prolongée deviennent un supplice. Les exercices adaptés du périnée (et la posture!) soulagent, parfois évitent une opération.
  • Douleurs périnéales ou pelviennes : Qui a dit que la douleur était normale après l’accouchement ? Un périnée mal rééduqué garde souvent de petites cicatrices, voire des tensions “fantômes”. La kinésithérapie détend, libère l’énergie, redonne confiance.
  • Troubles de la sexualité : Gêne, sécheresse, diminution de la sensation… Parfois, les muscles périnéaux sont trop toniques, crispés à chaque rapport, ou trop relâchés après une déchirure ou une épisiotomie. On travaille alors sur la souplesse autant que la force.
  • Récupération post-chirurgie gynécologique : On pense surtout au post-partum, mais les suites de chirurgie gynéco (hystérectomie, cure de prolapsus…) réclament la même attention. Le périnée se réveille parfois “encore plus endormi”. D’où l’importance d’une prise en charge globale !
  • Prévention des cystites et infections urinaires : Un périnée faible, une vessie mal située, des muscles qui ne “font plus barrage” : la récidive guette vite. La kiné périnéale, en renforçant et en rendant plus mobile la sphère pelvienne, ferme la porte à beaucoup de désagréments (lire cet article : Lien entre faiblesse périnéale et cystite).
  • Troubles en lien avec l’endométriose : La contractilité des muscles pelviens joue dans la douleur chronique. Détendre et assouplir certains groupes musculaires améliore la tolérance à la douleur, optimise la récupération, et apaise la vie quotidienne.
  • Difficultés à reprendre le sport : Le jogging, la natation, mais aussi le port du siège-auto ou la promenade avec la poussette réclament une coordination périnée-abdos-dos. Une kiné bien formée sait réorganiser les mouvements pour limiter le risque de blessure ou de récidive.

Chaque symptôme a son plan d’attaque. Pas de solution toute faite, mais des outils concrets, à développer chez soi ou en séance. Lisa Moens enseigne toute une palette d’exercices, parfois à deux, parfois seule devant la glace. On avance, un pas après l’autre. Le muscle, c’est comme l’argile, il se modèle, se raffermit, se détend – selon le besoin.

Chez certaines femmes, quelques séances suffisent. Pour d’autres, le chemin est plus long. Mais la récompense est là : reprendre confiance, sortir, faire du sport, aimer s’amuser avec ses enfants sans contrainte. La réussite, c’est parfois la disparition d’une fuite, parfois la simple disparition de l’appréhension.

Souvenez-vous, la kinésithérapeute périnéale, ce n’est pas qu’un coach. C’est une alliée du quotidien. Celle qui pose des mots sur les maux, qui comprend le vécu, qui adapte les exercices quand c’est plus douloureux, qui encourage même quand le moral flanche. Parfois, ce sont juste de petits conseils : adapter la façon de porter bébé, mieux respirer, faire attention en voiture… Rien de grandiose, mais beaucoup de petits pas qui changent tout.

La rééducation fonctionnelle du périnée concerne toutes les femmes, même avant l’apparition des symptômes. Prévention, traitement, accompagnement : le triptyque gagnant pour vivre mieux. Et pourquoi pas, en parler autour de soi, pour lever enfin le tabou autour de cette “zone cachée”, si essentielle à l’équilibre de chaque femme ?

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

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Comment une séance se déroule-t-elle concrètement ? Les étapes pour réapprivoiser son périnée

Beaucoup de patientes arrivent à la première séance un peu tendues, parfois gênées. On les comprend. Parler de son périnée, exposer ses inconforts intimes, ce n’est jamais facile. Pourtant, l’approche de Lisa Moens, à Esneux, se veut douce, progressive, humaine.

La séance commence souvent par un long échange, presque comme une conversation entre deux femmes. Rien n’est imposé. On raconte son accouchement, ses problèmes, ses appréhensions. L’écoute est sans jugement, toujours bienveillante. Chaque histoire est unique, chaque parcours nécessite une oreille attentive.

Des outils variés selon les besoins : exercices, biofeedback, conseils à rapporter chez soi

Côté technique, la kinésithérapeute jongle avec différents outils :

  • Exercices manuels : contracter, relâcher, sentir, visualiser. Des exercices tout simples mais… il faut les faire correctement. Il s’agit parfois juste d’imaginer “aspirer une paille” ou “retenir un gaz”, parfois de contracter en tenant une position spécifique, les pieds bien ancrés.
  • Biofeedback : certains appareils, dotés d’électrodes ou de sondes, mesurent en temps réel la force et la qualité de la contraction du périnée. Le but n’est pas d’aller au plus fort, mais au plus précis. Cela aide beaucoup les femmes qui peinent à se représenter leur périnée, ou qui ne sentent pas bien les contractions.
  • Respiration et gainage : car le périnée ne vit jamais seul, il interagit en permanence avec les abdos, les lombaires, tout le tronc. On apprend alors à mobiliser le diaphragme, à faire travailler ensemble toute la sangle centrale. Un peu comme un orchestre qui joue en harmonie.
  • Conseils pratiques : posture pour soulever bébé, positions d’allaitement ou de portage, façons de s’assoir, adaptation des activités du quotidien. On revoit tout, pour éviter les gestes à risque pour le périnée.

Avec beaucoup d’humour, Lisa aime rappeler : “Il faut pratiquer partout, même dans la file du supermarché, discrètement. Votre périnée, personne ne le verra travailler, mais vous, vous sentirez la différence.”

Vous sortez de la séance avec des exercices personnalisés à faire à la maison. Il ne s’agit pas de “faire des abdos” ou “du muscle”. Il s’agit de se reconnecter à cette région oubliée. Les progrès varient pour chacune : parfois en deux séances, parfois en douze. L’important, c’est la régularité.

Pendant tout le suivi, la kinésithérapeute ajuste la prise en charge. Si une douleur apparaît, on ralentit. Si une gêne persiste, on change d’axe. C’est du sur-mesure, du cousu main. Lisa Moens, par sa formation et son expérience aux alentours de Liège, sait repérer les signaux qui appellent à consulter d’autres spécialistes (gynécologue, urologue, etc.). C’est là toute la richesse de l’approche multidisciplinaire.

N’hésitez jamais à poser vos questions : “Est-ce normal de ressentir une gêne ?”, “Quand pourrai-je reprendre la course ?”, “Dois-je arrêter tel sport ?”, “Est-ce que mon périnée redeviendra comme avant ?” Parfois, Lisa répond avec un chiffre, parfois avec une anecdote de patiente. Souvent, elle rassure : chaque progrès compte. Comme une plante qu’on arrose. Les résultats finissent toujours par pousser.

Au fil des séances, on constate souvent une reprise progressive de la confiance, une meilleure posture, et un souffle transformé. Nombreuses sont celles qui repartent avec le sourire, fières d’avoir franchi un cap, d’avoir osé parler pour la première fois de ce qui n’est pas “visible”. La parole libère. L’action transforme.

D’ailleurs, une grande part de la réussite dépend de l’assiduité à la maison. 5 minutes, 2 fois par jour, c’est le ticket gagnant. Soyez honnête : qui n’a jamais zappé une séance “par manque de temps” ? Impossible de blâmer une jeune maman épuisée. L’important : recommencer, persister. Car la kiné périnéale, c’est comme apprendre une nouvelle langue. Il faut pratiquer, encore et encore.

Et si un doute persiste, une question reste sans réponse, vous savez maintenant à qui confier vos questionnements. Le suivi de Lisa MOENS ne s’arrête pas à la fin des séances : elle reste un soutien accessible ensuite, au cabinet comme à distance. C’est ça, l’accompagnement humain. Un métier, certes, mais surtout une vocation.

Quels résultats attendre ? Le regain de vitalité, une vie retrouvée, et plus encore

Pourquoi la kiné périnéale, en post-partum, change-t-elle tant la vie des femmes ? Parce qu’elle restaure ce qui semblait perdu. Les femmes le racontent simplement, sans fard : moins de douleurs, moins de peurs, plus d’assurance. Ça ne se voit pas toujours. Mais cela se vit, intensément.

Concrètement, après un protocole de kinésithérapie périnéale mené sérieusement, voici les bénéfices rapportés par les patientes :

  • Diminution ou disparition des fuites urinaires : la peur de se “faire dessus” s’estompe, les sorties redeviennent simples, même sans serviettes ou protections.
  • Meilleure perception du corps et augmentation de la confiance : on se réapproprie “sa zone”, on ose en parler, on ose bouger.
  • Reprise progressive et sans risque des sports et activités physiques : du yoga au jogging en passant par la natation, l’équilibre abdos-périnée fait toute la différence.
  • Diminution du risque de cystites et de descentes d’organes : un périnée musclé fait barrage à beaucoup d’ennuis courants ! (plus de détails ici : Kiné périnéale et fuites urinaires du sport).
  • Vie sexuelle plus sereine, moins de douleurs gynécologiques : la peur du rapport douloureux recule, parfois même la libido revient. Certaines femmes découvrent des sensations oubliées.
  • Mieux-être psychologique : on le sous-estime toujours. Mais retrouver le contrôle de son corps, évacuer la culpabilité, en parler sans honte… C’est un pas immense pour la santé mentale.

Au bout du chemin, la qualité de vie s’améliore. Il ne s’agit pas d’une promesse miracle. Mais de réalité mesurable : moins de consultations pour infections, moins de médicaments pour la douleur, moins d’angoisse au quotidien.

Plus on prend en charge tôt, mieux on récupère. Plusieurs patientes témoignent d’une rééducation commencée dès la maternité, “comme on se brosserait les dents”, et qui a tout changé. Moins de peurs, moins d’accidents, plus de liberté. Cela devrait être la norme, pas l’exception.

Mais même avec du retard, même à 45 ans (oui, beaucoup pensent qu’il est trop tard, erreur !), le muscle répond. Lentement parfois, mais surement. On dit souvent que le périnée est une clé de voûte invisible. Outre la technique, la magie de l’accompagnement humain, le sourire d’une professionnelle, la patience, sont des multiplicateurs. Chaque progrès compte, chaque femme mérite ce confort retrouvé.

Peut-être en parlerez-vous bientôt à votre sœur, votre amie, votre collègue qui souffre en silence. Peut-être oseront-elles, à leur tour, franchir la porte d’un cabinet proche de chez elles, à Esneux ou ailleurs en Belgique. Car la kiné périnéale, ce n’est pas une histoire de pudeur, c’est une histoire de vie.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si j’ai besoin d’une rééducation périnéale après un accouchement ?
Si vous ressentez des fuites urinaires, une sensation de pesanteur, des douleurs pelviennes, ou des gênes lors des rapports après l’accouchement, il est fortement conseillé de consulter une kinésithérapeute spécialisée. Une évaluation individualisée permettra de dépister les problèmes même subtils et de démarrer un protocole adapté. Plus le problème est pris tôt, plus la récupération est efficace.

Pourquoi la kiné périnéale doit-elle être menée par une spécialiste du post-partum ?
La rééducation du périnée demande une expertise particulière, car chaque accouchement impacte différemment les tissus et la musculature. Une spécialiste formée adaptera les techniques selon vos symptômes, votre âge, vos antécédents, et s’appuiera si besoin sur une prise en charge multidisciplinaire. Cela garantit un suivi sûr, personnalisé et évolutif.

Quand reprendre une activité sportive après l’accouchement et la rééducation périnéale ?
Il est recommandé d’attendre l’accord de votre kinésithérapeute, qui validera la force et le contrôle du périnée avant la reprise progressive du sport. En général, on reprend doucement au bout de 6 à 8 semaines, d’abord par des exercices doux, puis des activités plus intenses selon les progrès du périnée. Respecter les étapes limite le risque de blessure ou de récidive.

Faut-il renouveler la kinésithérapie périnéale après plusieurs grossesses ou à la ménopause ?
Oui, chaque grossesse ou changement hormonal peut affaiblir ou modifier le périnée. Une nouvelle évaluation et des séances adaptées permettent de prévenir les complications tardives (fuites, descentes d’organes…). La prévention est la clé pour une qualité de vie optimale tout au long de la vie de femme.

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