357 avis : 4,9/5 ⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️

Kiné périnéale : la solution contre les fuites urinaires féminines du sportKinésithérapeute Périnéale

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25

Rendez-vous en Ligne

Kiné périnéale : la solution tout terrain contre les troubles urinaires féminins du sport

Vous arrive-t-il d’éternuer, de sauter, ou de courir… et là, coup de tonnerre : fuite urinaire ? Rien de plus frustrant. Surtout quand le sport, c’est votre soupape, votre deuxième souffle… Mais voilà, parfois, le périnée en a décidé autrement. Ces troubles urinaires liés à l’activité physique ne sont pas un simple “petit souci” réservé à la maternité. Ils touchent une foule de femmes, parfois très sportives, toutes générations confondues. En Belgique comme partout ailleurs. Pourtant, on en parle à voix basse. Ou pas du tout.

Si vous vous reconnaissez dans ce portrait, il est temps de briser le tabou. S’il existe une discipline dédiée à “muscler ce qui ne se voit pas”, c’est bien la kinésithérapie périnéale. Cette pratique spécifique, souvent appelée “kiné du périnée”, permet d’éviter de vivre avec cette gêne invisible mais pesante — surtout lorsqu’on aime bouger, courir, sauter, grimper, ou danser.

Mais d’où viennent ces problèmes ? Pourquoi tant de sportives — oui, même jeunes, aventurières, adeptes du fitness ou du crossfit — rencontrent ces soucis ? Encore plus crucial : comment la kiné périnéale permet-elle de retrouver contrôle et confiance lors de chaque séance de sport ? On y va, étape par étape, avec une approche humaine (et sans jargon). Prêtes à dire stop aux mauvaises surprises ?

Pourquoi le sport sollicite tant le périnée (et invite parfois les fuites…)?

Avant d’entrer dans le vif du sujet, posons-nous la bonne question : pourquoi diable le sport provoque-t-il ces troubles urinaires ? Beaucoup de femmes n’associent pas l’effort physique à une fragilisation du périnée. Pourtant, chaque saut, chaque foulée, chaque série d’abdos mal contrôlée… c’est un micro-choc, une pression supplémentaire. Votre périnée, c’est un trampoline musculaire caché au fond du bassin. Il soutient les organes internes, mais ses capacités ont leurs limites. Imaginez-le comme une toile de tente tendue : un bon coup de vent (comprendre : un effort intense), parfois, ça flanche.

L’incontinence d’effort ou fuites urinaires lors du sport touchera, selon les études, jusqu’à 1 femme sur 3, même hors maternité ! Oui, vous avez bien lu. Même avant 40 ans, même sans enfant, même en pleine forme. Point commun : la pression répétée sur la sangle pelvienne. Les disciplines à risque ? Pensez trampoline, fitness (surtout avec impact), running de longue durée, sports de raquette, danse intensive…

Ce n’est pas qu’une question de maternité. Évidemment, la grossesse, l’accouchement, la ménopause favorisent le relâchement du périnée. Mais courir un semi-marathon ou sauter à la corde trente minutes, c’est aussi tester ses limites ! Et lorsque le plancher pelvien est un peu faible — ou mal “coordonné” — cela se traduit par des troubles gênants : fuite, urgences soudaines, sensation de pesanteur, parfois même douleurs.

Petite anecdote fréquente en consultation : “Je ne sentais rien, et puis un jour, lors d’un cours de HIIT, j’ai eu une fuite. En public. Je n’ai plus jamais osé refaire ce mouvement”. Résultat : des femmes en retrait, une perte de confiance, parfois même l’arrêt du sport. Injuste, non ? Vous n’êtes pas seule, c’est fréquent. Mais ce n’est pas une fatalité.

Voilà pourquoi un Kinésithérapeute périnéale conventionné INAMI — comme Mme Lisa MOENS, spécialiste aux alentours de Liège, propose une prise en charge sur-mesure. Mais avant tout, écoutons notre corps. Certains signaux ne trompent pas :

  • Sensation de “descente”, de lourdeur
  • Fuites lors d’un effort, d’un éternuement ou d’un saut
  • Envies impérieuses et incontrôlables en plein sport
  • Douleurs diffuses pendant ou après l’entraînement

Si une ou plusieurs cases sont cochées, c’est déjà une bonne raison de consulter. Le bon réflexe ? Prendre rendez-vous pour Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS ou demander conseil auprès de votre médecin généraliste. Votre santé périnéale mérite l’attention qu’on donnerait à une entorse ou à une tendinite, pas moins !

Comment la rééducation périnéale permet-elle de reprendre le sport sans (mauvaises) surprises ?

Là, entrons dans le concret. Si le périnée vous cause des soucis sans rapport apparent avec la maternité, beaucoup hésitent encore à consulter. Mauvaise idée ! Le plus précieux dans la kinésithérapie périnéale : anticiper plutôt que guérir, mais aussi réparer, restaurer la confiance… et permettre un retour en force sur le terrain ou dans la salle.

Mais c’est quoi, concrètement, cette “kiné du périnée” ? On oublie les idées reçues. Ce n’est pas “juste des exercices de Kegel”. Un bon thérapeute propose un accompagnement global, adapté à la femme sportive. Il allie bilans précis, exercices actifs, travail respiratoire et conseils personnalisés.

Voici comment, séance après séance, la kiné périnéale vous redonne la main :

  • Bilan musculaire personnalisé : chaque femme est différente. On évalue la force, la tonicité, la coordination du plancher pelvien mais aussi des abdominaux, du diaphragme, du dos. Un kinésithérapeute périnéale expérimenté réalise des tests en dynamique : debout, en mouvement, mimant un effort.
  • Récupérer la contraction réflexe : lors d’un saut, le périnée doit se contracter “automatiquement”, parfois même avant que vous y pensiez. Cela s’apprend — ou se réapprend — via une série d’exercices spécifiques.
  • Renforcement fonctionnel : il ne s’agit pas juste de “serrer à fond”. Il faut que ce muscle travaille, s’adapte, s’allie à la respiration et à la posture, “comme quand on fait son jogging ou du tennis”.
  • Intégration aux mouvements sportifs : beaucoup de kinésithérapeutes, dont Lisa MOENS qui consulte proche de Liège, proposent des ateliers pratiques : squats, sauts, fentes… tout en intégrant la maîtrise périnéale. C’est là que tout change !
  • Conseils quotidiens : on revoit aussi la façon de gérer les “impacts” dans la vie quotidienne. Monter les escaliers, soulever les courses, éternuer… tout compte pour éviter d’aggraver la situation.

Le secret ? Adapter la rééducation à la vie réelle. C’est la méthode plébiscitée par des spécialistes en kinésithérapie périnéale à Esneux : un suivi individualisé, parfois en lien avec d’autres professionnels (gynécologue, urologue, sage-femme, selon votre histoire et vos besoins).

Important : inutile d’attendre des mois ou que le problème “s’améliore tout seul”. Plus tôt on agit, plus la récupération est rapide. Il ne s’agit jamais d’“arrêter le sport”, mais de redonner au périnée un rôle fort, adapté à vos envies.

Et la bonne nouvelle ? La majorité des femmes note une diminution nette des fuites après seulement quelques séances. On retrouve l’envie de se dépasser — et, souvent, on s’aperçoit que le plancher pelvien, bien rééduqué, améliore aussi la posture, la respiration, voire même le plaisir sexuel. C’est tout bénéfice !

Focus sur la multidisciplinarité : pourquoi croiser les regards, c’est la clé ?

Si la kinésithérapie périnéale était une “recette”, elle ne reposerait pas sur un seul ingrédient. Bien souvent, la prise en charge optimale s’appuie sur une approche multidisciplinaire. C’est le cas à Esneux, au cabinet de Mme Lisa MOENS, qui travaille main dans la main avec des gynécologues, sages-femmes, sexologues et parfois urologues. Ce travail d’équipe permet de ne pas passer à côté d’un diagnostic plus complexe : endométriose, prolapsus, troubles hormonaux, etc.

Concrètement, si vous consultez pour des troubles urinaires liés au sport, votre parcours peut être jalonné de rendez-vous complémentaires : — consultation gynéco pour exclure toute pathologie organique — bilan urodynamique si les symptômes persistent ou débutent brutalement, — points réguliers avec une sage-femme ou un médecin traitant

Ce qui compte ? Ne pas rester seule face à la gêne. Vous méritez un suivi global, adapté à vos projets sportifs, à votre âge, à vos antécédents.

D’ailleurs, de nombreuses patientes confient qu’après un protocole bien mené, elles se sentent “plus solides que jamais” — comme si, d’avoir réappris à contrôler leur périnée, elles avaient acquis une nouvelle force au quotidien et dans leur sexualité. Vous le saviez ?

Pour aller plus loin, si vous ressentez un impact sur l’estime de soi ou la vie intime, il est parfois pertinent d’en parler avec un sexologue à Liège spécialisé en difficultés féminines. Cette collaboration renforce souvent les résultats sur le long terme, et libère des blocages ancrés.

Tout cela, dans un climat de respect, de confidentialité, parce qu’il n’y a aucun tabou à prendre soin de son périnée !

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25

Rendez-vous en Ligne

Quelles pathologies féminines liées à l’effort la kiné périnéale prend-elle efficacement en charge ?

On l’a vu : la kiné périnéale n’est pas réservée au post-partum. Mais savez-vous à quel point ses indications sont larges ? Voici les principaux motifs de consultation, “en cabinet à Esneux” ou à domicile, qui concernent les femmes sportives — mais pas que :

  • Fuites urinaires d’effort : liées au saut, à la course, à la pression abdominale croissante. Elles sont fréquentes dès l’adolescence chez les sportives intensives.
  • Urgences mictionnelles : besoin “pressant et soudain” lors ou après l’exercice, signe d’une vessie parfois hyperactive aggravée par le stress ou la pression intra-abdominale.
  • Syndrome de pesanteur pelvienne : sensation de boule, de descente, surtout en fin de journée ou après un effort. Peut révéler un relâchement partiel des muscles du plancher pelvien.
  • Douleurs périnéales ou pelviennes : mal ressenti lors des abdos, du gainage, du port de charge, parfois associé à l’endométriose — ou à un déséquilibre postural global.
  • Difficultés sexuelles liées au plancher pelvien : douleurs lors des rapports, difficulté à ressentir des sensations, altération du plaisir (liée à la fragilité ou à la raideur des muscles pelviens).

On observe également des situations particulières où une rééducation fonctionnelle du périnée s’impose :

  • Préparation à la grossesse (pré-partum) : pour éviter une fragilisation précoce liée au gain de poids, à la modification de posture ou au renforcement mal contrôlé. Redoutablement efficace, même chez les sportives !
  • Rééducation après l’accouchement (post-partum) : pour retrouver force, élasticité, coordination du périnée (et limiter le risque de fuites ultérieures lors de la reprise du sport).
  • Rééducation “pré-ménopause” : dès que le corps change, la kinésithérapie anticipe le risque de relâchement.
  • Accompagnement de l’endométriose : la douleur chronique modifie les schémas musculaires profonds, y compris du plancher pelvien : il faut souvent réapprendre à relâcher et remuscler en douceur.

Bref : toute femme sportive — ou simplement active — peut tirer bénéfice de quelques séances, à titre préventif (“check-up” lors d’une augmentation de la charge d’entraînement, nouvelle discipline, challenge sportif…) ou curatif (“depuis que j’ai repris le running, je ressens des fuites à chaque sortie”). On ne laisse pas le problème s’installer.

Si vous hésitez à consulter, demandez-vous : est-ce que ce souci vous empêche de donner le meilleur de vous-même, de garder confiance, d’être à l’aise socialement ? Si oui, il est temps d’agir. Et non, l’âge ou l’absence de grossesse n’est pas une barrière ! Parler à un kinésithérapeute périnéale conventionné INAMI, c’est offrir à votre corps une deuxième jeunesse… ou du moins, la sérénité au quotidien.

Et ce n’est pas tout : la rééducation peut aussi s’inscrire dans une démarche de bien-être global. Par exemple, une femme qui gère mieux ses fuites urinaires, qui ne redoute plus un éternuement dans la rue ou lors d’un atelier fitness, retrouve confiance et légèreté. Cela retentit dans la vie intime et amoureuse. Parfois, il suffit d’oser consulter, d’oser en parler…

Les patientes ayant couplé leur suivi kiné à un travail en profondeur sur la communication ou l’estime de soi avec un spécialiste de la sexualité notent une amélioration durable de leur qualité de vie. Si ce sujet vous parle, partez à la découverte de la sexualité épanouie après un parcours de soins. Tous ces aspects participent du même équilibre, et la kiné périnéale y occupe une place centrale.

N’oublions pas un chiffre frappant : Selon l’INAMI, plus de 400 000 séances de kiné périnéale ont été remboursées l’an dernier en Belgique… dont une majorité au profit de femmes sportives ou de jeunes mères. Un tabou qui se lève ! Pourquoi pas vous ?

Kiné périnéale : déroulement d’une prise en charge personnalisée à Esneux (étapes, méthodes, résultats)

Imaginons : vous avez appelé pour un premier rendez-vous de kinésithérapie périnéale. Petite appréhension au départ ? Très fréquent ! Mais vite dissipée dès l’accueil, car ce sont des professionnels qui savent écouter sans juger. Alors, comment ça se passe, concrètement, au cabinet Lisa MOENS à Esneux, ou lors d’un suivi à domicile ?

Voici le parcours type, adapté à chaque femme selon ses besoins, son parcours (sportif ou non), son âge et son niveau de gêne :

  • Étape 1 : Entretien détaillé — vos habitudes sportives, vos antécédents (accouchement, interventions, antécédents familiaux…), description des symptômes (circonstances, fréquence, niveau de gêne), évaluation de la vie quotidienne et sociale.
  • Étape 2 : Bilan fonctionnel — par des gestes simples (non douloureux), le kinésithérapeute teste la force, la coordination, la statique pelvienne, l’endurance du périnée, parfois couplé à des tests debout, en dynamique (imitation d’un saut, d’un effort).
  • Étape 3 : Programme d’exercices individualisé — certains exercices se font en cabinet ou chez vous, d’autres avec guide audio ou vidéo. But : apprendre à reconnaître, contracter, relâcher le plancher pelvien dans la vie quotidienne.
  • Étape 4 : Intégration à la pratique sportive — on adapte les mouvements critiques (course, sauts, port de charge, pilates, yoga, etc.) pour éviter les mauvaises pressions. Des conseils concrets, souvent méconnus, font toute la différence (penser à souffler lors de l’effort, ne jamais aller “pousser” en retenant sa respiration, etc.).
  • Étape 5 : Suivi régulier et évaluation des progrès — un carnet d’exercices, des retours libres après chaque séance, des réajustements selon vos ressentis (zéro jugement — juste le partage d’expérience !).
  • Étape 6 : Prévention des récidives — lorsque votre périnée redevient solide, on apprend à prévenir les rechutes, à reconnaître les signaux d’alerte, à intégrer durablement les bons réflexes.

Chaque séance (généralement 30 à 45 minutes) se déroule dans un climat de confiance, avec respect de la pudeur, dans un cadre chaleureux, “comme si on discutait avec une amie bienveillante”, témoignent de nombreuses patientes.

Et les retours ? Ils parlent d’eux-mêmes. Voici quelques témoignages glanés en consultation :

  • “J’ai pu reprendre la course à pied sans appréhension, après 6 séances à peine. Un vrai soulagement !”
  • “Je me sens enfin à l’aise lors des séances collectives de fitness, je ne vis plus dans la crainte constante de la fuite.”
  • “C’est la première fois qu’on m’écoute vraiment, que je comprends comment fonctionne mon corps. J’oserai en parler autour de moi !”

Et puis, nul besoin de multiplier les séances à l’infini : la majorité des protocoles sont courts (souvent entre 5 et 12 séances). Avec des effets qui touchent aussi la qualité du sommeil, du transit, voire une amélioration des douleurs de règles pour certaines. Un vrai cercle vertueux !

Le saviez-vous ? Depuis peu, la rééducation périnéale bénéficie d’une reconnaissance croissante auprès des fédérations sportives, qui recommandent un “bilan pelvien systématique” lors de la reprise ou de l’intensification de l’entraînement. L’idée est simple : prévenir les blessures… et garder le sourire à chaque foulée !

Cerise sur le gâteau : l’accès à un Kinésithérapeute périnéale conventionné INAMI, comme Mme Lisa MOENS, permet de voir ses séances remboursées, dans le respect total du secret médical. Un accompagnement sur-mesure, vraiment accessible, pour celles qui envisagent un suivi de qualité proche de Liège.

FAQ – Questions fréquentes

Comment repérer les premiers signes de faiblesse du périnée chez une femme sportive ?

Les premiers signaux sont souvent des fuites urinaires lors d’un effort (saut, course), une sensation de lourdeur pelvienne, ou des problèmes à contrôler l’urine en cas de rire ou d’éternuement. D’autres indices : besoin pressant d’uriner pendant ou après le sport, ou douleur diffuse en bas-ventre. Mieux vaut consulter à la moindre gêne pour prévenir une aggravation.

Pourquoi la kiné périnéale est-elle recommandée en cas de troubles urinaires liés au sport ?

La kinésithérapie périnéale permet de renforcer, rééduquer et synchroniser le plancher pelvien afin qu’il supporte les pressions liées aux efforts sportifs. Ce travail personnalisé limite les fuites, restaure la confiance et évite l’arrêt de l’activité physique. Les séances s’adaptent à chaque femme et à sa discipline sportive.

Quand prendre rendez-vous pour une rééducation du périnée à Esneux ou proche de Liège ?

Dès les premiers symptômes ou à titre préventif avant de reprendre une activité sportive intense, notamment après une grossesse ou une période prolongée sans sport. Il est conseillé de consulter un kinésithérapeute périnéale conventionné INAMI, disponible aux alentours de Liège, pour établir un bilan personnalisé et débuter la prise en charge rapidement.

Faut-il arrêter le sport en cas de fuites urinaires ou de douleurs pelviennes ?

Dans la plupart des cas, il n’est pas nécessaire d’arrêter le sport, mais il convient d’adapter les séances et de consulter un spécialiste. La kiné périnéale permet de retrouver un plancher pelvien fonctionnel et de progresser sereinement, tout en poursuivant l’activité physique adaptée à vos besoins.

This is some text inside of a div block.