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Pourquoi mon périnée est-il toujours sensible et comment le soulager durablement ?Kinésithérapeute Périnéale

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25

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Pourquoi mon périnée est-il toujours sensible et comment le soulager durablement ?

La vérité, c’est que beaucoup de femmes osent à peine glisser le mot : périnée. Ce muscle si intime, qui pourtant gouverne notre confort au quotidien. Ce matin, vous vous réveillez encore en étant tiraillée par une douleur périnéale persistante. Envie d’en parler, mais la gêne est là. Pourtant, des dizaines de patientes chaque semaine franchissent la porte du cabinet de Lisa MOENS, kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI à Esneux. À la recherche d’une oreille, de réponses, parfois d’un soulagement qui tient dans la durée.

Le périnée, vous l’avez “découvert” à la maternité ? Ou peut-être lors d’une consultation parce que la douleur s’est installée en silence ? Beaucoup pensent que “ça va passer”, que ce n’est “pas grave”. Mais lorsque la gêne suit chaque geste, que l’appréhension naît à chaque éternuement, chaque rapport, chaque montée d’escaliers, une question s’impose :

Pourquoi mon périnée reste-t-il sensible, même des mois – voire des années – après un accouchement, une chirurgie ou sans raison évidente ? Est-il possible de retrouver une vie plus sereine, sans douleur et sans peur de cette fameuse “chute” ?

Vous n’êtes pas seule. Et il existe aujourd’hui des réponses concrètes, humaines, alliées à une kinésithérapie périnéale adaptée, pour comprendre et agir sur cette hypersensibilité. Cet article fait la lumière sur ce sujet délicat. Il s’appuie sur l’expertise d’une professionnelle reconnue, spécialisée en rééducation du périnée aux alentours de Liège. Ensemble, démêlons le vrai du faux, du vécu et des conseils pratiques pour soulager – enfin – ce trouble que trop de femmes traversent en silence.

Qu’est-ce qui rend mon périnée sensible sur la durée ?

Le périnée, c’est un hamac de muscles et de tissus qui soutient la vessie, l’utérus, le rectum. Il oscille entre force et souplesse. Mais lorsqu’il devient le siège de sensations inhabituelles, de brûlures, parfois de tiraillements profonds, la question revient – lancinante : pourquoi ?

Plus de 20% des femmes consultent pour des douleurs périnéales chroniques. Le nombre réel est bien supérieur, car la pudeur freine les prises de rendez-vous. Ce périnée qui lance, picote, inquiète ou se bloque, peut trouver ses origines dans plusieurs causes :

  • Grossesse et accouchement : Le passage du bébé crée des micro-lésions, des tensions musculaires, parfois des déchirures ou épisiotomies. Même après un bel accouchement sans complication, la zone reste fragilisée durant plusieurs mois. Certaines femmes gardent ce souvenir “à vif”, sans comprendre pourquoi la douleur persiste, bien après la cicatrisation.
  • Chirurgies gynécologiques : Pose d’un stérilet, interventions sur le col, opérations pour prolapsus… Autant de gestes qui peuvent provoquer une hypersensibilité tissulaire, ou une réactivité exagérée des muscles du plancher pelvien. Le corps garde la mémoire de ces événements, et il lui faut parfois des mois pour s’en remettre.
  • Rapports sexuels difficiles : La dyspareunie – autrement dit, “mal pendant l’amour” – touche près d’une femme sur quatre à un moment donné. Une contracture du périnée, une lubrification insuffisante, une appréhension : tout se conjugue pour installer une hypertonie, qui rend la zone à fleur de peau…
  • Endométriose ou troubles gynécologiques : Chez près de 10% des femmes*, l’endométriose sensibilise non seulement l’utérus mais aussi le plancher pelvien. On observe alors une tension persistante, des tiraillements qui descendent jusque dans le vagin, parfois la région anale. Une simple inflammation peut entraîner des douleurs qui rappellent une crampe musculaire dans la cuisse… qui ne passerait jamais.
  • Stress & postures : Le périnée est comme un miroir de nos émotions. Lors de tensions psychologiques, il se contracte – parfois sans que l’on s’en rende compte. Cela crée, petit à petit, un “nœud” invisible qui entretient l’hypersensibilité. On parle d’hypertonie de défense. Comme si votre périnée montait la garde à chaque appréhension.

Mais il existe aussi des troubles plus subtils, comme la vulvodynie (douleur de la vulve persistante), ou les suites de certaines infections urinaires à répétition. Le lien entre périnée douloureux et troubles urinaires est de plus en plus étudié par des kinésithérapeutes spécialisées.

Le vrai piège ? Se dire que “c’est dans la tête”… Or, chaque tension du périnée trouve son origine quelque part. Il s’agit d’apprendre à écouter ce muscle oublié pour mieux comprendre ce qu’il nous dit. Parfois, c’est le corps qui sonne l’alarme d’un surmenage ; parfois la conséquence d’une faiblesse musculaire chronique ou d’un problème de posture.

Vous pouvez avoir l’impression d’être la seule à ressentir ce tiraillement persistant. En réalité, la sensibilité périnéale prolongée concerne des milliers de femmes chaque année en Belgique. Savoir que vous n’êtes pas seule, c’est déjà le début du chemin.

Comment la kinésithérapie périnéale soigne-t-elle ces douleurs féminines ?

Kinésithérapie périnéale. C’est peut-être un terme que votre médecin vous a conseillé d’explorer… ou dont vous avez entendu parler par une amie soulagée. Mais en quoi consiste-t-elle vraiment ?

Le principe ? Reconnecter le corps à son périnée, grâce à une alliance entre techniques manuelles, rééducation musculaire et conseils personnalisés. Le tout, avec une approche multidisciplinaire adaptée aux problématiques féminines : fuites urinaires, douleurs post-partum, troubles après chirurgie, endométriose ou vulvodynie.

p>À Esneux, et proche de Liège, la pratique de Lisa MOENS s’appuie sur une méthode globale, centrée sur l’écoute et la prise en compte du vécu de chaque femme :

  • Évaluation individualisée : Première étape, oser parler. Expliquer les sensations, leur évolution, ce qui déclenche la gêne. Ensuite, via des techniques adaptées (examen manuel, questionnaires) la kinésithérapeute cerne l’origine (musculaire, tissulaire, posturale…).
  • Travail manuel doux : Massages, pressions ciblées, relaxation des tissus. Il ne s’agit pas de “forcer”. Le but ? Apprendre à relâcher le plancher pelvien. Comme pour dénouer une corde trop tendue, mais en finesse.
  • Biofeedback et prise de conscience : Grâce à des outils simples, la patiente voit (ou ressent) comment son périnée réagit. Cela permet de “reprogrammer” le muscle, de l’aider à retrouver souplesse et force.
  • Exercices guidés à la maison : Vaut mieux un exercice bien fait chez soi, que dix de travers en séance ! La kiné périnéale donne des outils concrets, adaptés, à refaire tranquillement à domicile.
  • Approche psychocorporelle : L’émotionnel compte. Peur de la douleur, appréhension du contact, souvenirs difficiles… Les séances l’intègrent. Le dialogue vient souvent aider à “libérer” le périnée du poids du passé.

À la clé, un bénéfice direct sur les douleurs pelviennes, la fréquence des gênes au quotidien, et surtout, la récupération du confort intime. On observe chez 75% des femmes une nette amélioration dès cinq à dix séances, combinées à un suivi à domicile. Ce n’est ni de la magie, ni un miracle : il s’agit de rendre la main à son corps, de “restituer” de la liberté à une zone esclavagisée par l’anxiété ou les microtraumatismes.

Le rôle de la kinésithérapeute ne se limite pas à “défaire un nœud”. Il s’agit aussi de vous donner des clés pour décoder les signaux, reprendre confiance. Oser réapprivoiser son périnée, comme on réapprendrait à marcher après une entorse. Parfois, juste un réapprentissage est nécessaire, comme si l’ordinateur interne avait besoin d’une mise à jour !

L’accompagnement inclut aussi, si nécessaire, une coordination avec d’autres professionnels de santé (sage-femme, gynécologue, médecin généraliste), pour un traitement multidisciplinaire efficace. Notamment si des troubles associés (fuites, constipation, endométriose) compliquent le tableau.

Une kinésithérapeute spécialisée, conventionnée INAMI, comme Lisa MOENS, assure un suivi remboursé et structuré, au cabinet à Esneux ou à domicile si besoin. Idéal pour des patientes ne pouvant se déplacer, en post-partum ou suite à une chirurgie gynécologique.

Pour découvrir plus sur la prise en charge précise de la récupération du périnée après cystite chronique, vous pouvez consulter notre lien :

Rééquilibrer son corps après des cystites chroniques grâce à la kinésithérapie périnéale

Si vous souhaitez approfondir, lisez également sur le site Réadaptation du périnée après cystite : le rôle-clé de la kiné.

Quels sont les effets secondaires si je ne consulte pas ?

Un périnée sensible est rarement “juste un détail”. Laisser la douleur s’installer, c’est comme une fissure dans un barrage : au début cela semble minime, puis les conséquences s’accumulent...

Risques et conséquences d’une douleur péri-persistante

Hypertonie chronique : Si le muscle reste contracté trop longtemps, il finit par perdre souplesse et puissance. Difficulté à retenir une envie d’uriner, rapports douloureux, inconfort en position assise… La gêne s’insinue partout. En Belgique, près de 40 % des femmes qui n’ont pas rééduqué leur périnée après un événement le regrettent à moins de 3 ans.

Aggravation des fuites urinaires : À vouloir “tenir”, le muscle s’épuise. Et le cercle vicieux s’installe : douleurs ➔ crispations ➔ perte de tonicité ➔ fuites lors des efforts, éternuements, rires… Voilà pourquoi tant de femmes aux alentours de Liège constatent l’apparition de micro-fuites tardivement après une grossesse ou une chirurgie.

Repli sur soi : Difficile à dire, mais pourtant réel. Vivre avec une gêne périnéale chronique, c’est refuser certains loisirs, redouter l’intimité ou éviter des sorties. Une étude récente montre que les patientes souffrant de douleurs pelviennes prolongées présentent un risque accru de découragement, voire de troubles anxieux. Le moral finit par en pâtir.

Le non-traitement a aussi des conséquences sur le long terme : prolapsus (descente d’organes), infections urinaires à répétition, impact sur la sexualité… Pour nombre de patientes de la région de Liège, la douleur devient peu à peu “normale”, alors qu’elle ne devrait jamais l’être. Ce n’est pas une fatalité ! Les fuites urinaires ne sont pas une fatalité non plus, et la kinésithérapie périnéale propose des solutions concrètes, spécialement adaptées aux femmes sportives ou non.

Sachez aussi qu’en l’absence de prise en charge, les troubles peuvent s’étendre : douleurs lombaires, tensions dans la hanche, sensation de pesanteur en station debout… Le corps comme un orchestre désaccordé, qui peine à retrouver sa mélodie.

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

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📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25

Rendez-vous en Ligne

Il est donc vital de consulter tôt, même si la gêne semble discrète. Une rééducation adaptée, menée avec bienveillance, fait souvent disparaître durablement ces symptômes. Et, si la mémoire du corps est tenace, il existe aujourd’hui une réelle expertise pour aider chaque femme à “libérer” son périnée et retrouver un quotidien plus léger.

Comment soulager durablement la sensibilité de son périnée : conseils et solutions

Vous vous demandez sans doute : “Et concrètement, que puis-je faire ? Dois-je vivre toute ma vie avec cette gêne ? Est-ce que la kinésithérapie suffit ?”

Premier point rassurant : le pronostic est très favorable. À condition d’agir ! Voici les grandes lignes pour retrouver confort et confiance dans votre corps, en vous appuyant, si besoin, sur une spécialiste de la kiné périnéale à Esneux.

  • Prise de conscience par le toucher et la respiration : S’allonger, poser une main sur le bas-ventre, respirer lentement. À chaque expiration, apprendre à relâcher le ventre et le périnée, comme on laisse tomber un poids dans l’eau. Pratiqué chaque soir, ce petit rituel “reconnecte” le cerveau à cette zone, apaise l’anxiété et détend progressivement la sphère pelvienne.
  • Arrêter l’auto-censure : Nommer la douleur, en parler activement à une professionnelle conventionnée INAMI, formée aux troubles féminins (fuites, douleurs, post-chirurgie, endométriose…).
  • Exercices doux spécifiques : Avec ou sans sonde, certains exercices guidés par la kinésithérapeute permettent de renforcer le muscle sans le stresser. Il s’agit de mixer force et souplesse. Contracter, puis relâcher. Imaginez que le muscle est un trampoline : il doit garder du tonus, mais sans rigidité.
  • Prendre soin de ses postures : Adapter sa position assise, éviter les longues périodes debout immobile, privilégier la mobilité douce (marche, yoga, pilates).
  • Lever les tabous autour de l’intimité : La sexualité n’est pas censée faire mal. Si la “crainte” s’est invitée dans l’intimité, osez en parler. Des solutions existent pour restaurer la confiance, améliorer la lubrification naturelle. La kinésithérapeute vous guidera dans le respect total de votre rythme, jamais dans la précipitation.
  • Réduire le stress global : C’est prouvé, moins de stress = moins de contractions involontaires du périnée. Privilégiez des exercices simples, comme la cohérence cardiaque.
  • Suivi régulier : Comme pour toute rééducation, les progrès surviennent au fil des séances. Il est conseillé d’espacer progressivement les rendez-vous dès que l’amélioration s’installe, mais revenir faire un “check-up” 1-2 fois par an si besoin.

Surtout, rappelez-vous que la kinésithérapie périnéale ne s’arrête pas au cabinet. Votre implication à domicile – exercices, hygiène de vie, écoute du corps – décuple l’efficacité du traitement.

En résumé :

  • Oser consulter tôt, même pour “petite gêne”
  • Prendre le temps d’explorer ce qui déclenche ou aggrave la douleur
  • Ne pas négliger l’impact psychique de la douleur chronique : ce n’est pas “dans la tête”, mais la tête peut aider le corps à guérir
  • Se donner la permission de restaurer une vie intime apaisée, à son rythme

Si votre médecin ou gynécologue évoque la kinésithérapie, sachez que la prise en charge en cabinet à Esneux, par une professionnelle comme Lisa MOENS conventionnée INAMI, est pensée pour les femmes, tout au long de la vie : avant/pendant/après grossesse, chirurgie, troubles chroniques ou simple “fatigue” du périnée. Vous bénéficiez ainsi d’une approche personnalisée, guidée avec pédagogie, à deux pas de chez vous.

Pour creuser la question de la prévention, découvrez également notre article sur la prévention des cystites grâce à la kinésithérapie périnéale. Parce que prévenir, c’est aussi – souvent – guérir.

Chaque année, des femmes reprennent confiance, redécouvrent une liberté de mouvement, une intimité heureuse. Cela n’arrive pas du jour au lendemain. Mais avec de la patience, un accompagnement bienveillant, et la bonne implication, il est tout à fait possible d’obtenir un soulagement durable – et ce, même après des années de gêne.

Ce parcours est aussi une manière de se réconcilier avec une partie de soi trop longtemps négligée. Comme si l’on décidait, après une longue marche dans le froid, de rentrer enfin “au chaud” dans son propre corps. Vous méritez ce réconfort.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si ma douleur périnéale nécessite de consulter une kinésithérapeute spécialiste ?

Si la gêne ou la douleur au niveau du périnée persiste depuis plusieurs semaines, ou s’accentue lors des efforts, des rapports sexuels ou de la marche, une consultation s’impose. Une kinésithérapeute spécialisée pourra évaluer précisément l’origine et proposer un traitement adapté. Il vaut mieux consulter tôt, même pour une gêne apparemment “mineure”.

Pourquoi la rééducation périnéale est-elle indispensable après un accouchement même si je n’ai pas mal ?

Même sans douleur immédiate, l’accouchement fragilise le périnée : micro-traumatismes, étirement, perte de tonicité. La rééducation permet de restaurer la force et la souplesse des muscles, de prévenir douleurs, fuites urinaires ou descentes d’organes. Le suivi par kinésithérapie périnéale est recommandé systématiquement en post-partum.

Quand dois-je consulter en kinésithérapie périnéale pour douleurs récurrentes : tout de suite, après avis médical ou en prévention ?

En cas de douleur persistante, vous pouvez prendre rendez-vous directement avec une kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI, sans attendre. Un avis médical préalable est conseillé si la douleur est intense, associée à d’autres symptômes, mais la prévention et la rééducation sont toujours bénéfiques.

Faut-il continuer les exercices à la maison après la fin de la rééducation ?

Oui, pratiquer régulièrement les exercices enseignés permet de stabiliser vos progrès et d’éviter les récidives. Une routine de quelques minutes par jour suffit souvent à préserver le confort et la tonicité du périnée sur le long terme.

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