Kinésithérapeute PérinéaleKinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Le saviez-vous ? En Belgique, on estime que plus de 60% des femmes ayant eu plusieurs enfants ressentent un impact sur leur périnée. Ce chiffre, pourtant, ne veut pas tout dire. Quand on parle de périnée affaibli, derrière ces mots techniques se cachent le quotidien, les doutes et parfois de sacrées galères… Fuites, lourdeurs, gêne intime. Rien d’anodin. Et souvent, difficulté à en parler ouvertement. Pourtant, comprendre pourquoi le périnée se fragilise après plusieurs grossesses, reconnaître les signes, et savoir l’importance de la rééducation périnéale, c’est déjà avancer vers l’amélioration. Un petit pas, pour briser le silence.
Ici, on ne tourne pas autour du pot. On explique, on vulgarise (parfois avec des exemples concrets, parfois avec une image parlante), parce qu’on sait comme il est difficile de trouver les bons mots. Vous êtes concernée ? Maman débutante, maman confirmée, proche d’une femme touchée, professionnelle de santé en quête d’informations ? Bienvenue ! On vous parle directement. Et si besoin, on vous guide vers la bonne porte à pousser, notamment celle du Kinésithérapeute Périnéale conventionné INAMI comme Lisa MOENS, qui intervient au cabinet à Esneux et à domicile, toujours avec une approche humaine, personnalisée et multidisciplinaire.
Le périnée, beaucoup l’imaginent comme un petit muscle ou un filet. C’est bien plus. C’est un complexe de tissus et de muscles qui servent de “plancher” à nos organes pelviens (vessie, utérus, rectum). Eh bien, lors de la grossesse, puis de l’accouchement, il est mis à rude épreuve… Imaginez un trampoline sur lequel on saute tous les jours pendant neuf mois, puis sur lequel passe soudain un ballon énorme (le bébé, lors de l’expulsion). Oui, l’image est parlante. Après un passage pareil, le trampoline, même robuste, se détend.
Les bouleversements hormonaux liés à la grossesse ramollissent les tissus. Le volume de l’utérus explose, les pressions augmentent, la posture change. Chaque nouvelle grossesse ajoute sa pierre à l’édifice. L’accouchement, surtout s’il est long, difficile, nécessite des instruments (forceps, ventouse), complète l’œuvre d’usure. On parle aussi de “fatigue périnéale”.
Mais ce n’est pas tout ! Après quelques semaines, entre la fatigue, la course, la vie, on reprend souvent “comme avant”. Pourtant, le périnée ne récupère pas aussi vite que le souffle ou le dos. Un accouchement multiple ou rapproché, des bébés costauds, un gros poids pris… Tous ces facteurs contribuent à l'affaiblissement périnéal.
Chez les femmes proches de Liège comme ailleurs, le ressenti est variable. Certaines “ne sentent rien”, d’autres décrivent tour à tour :
Petites pertes d’urine en toussant, rigolant
Sensation de boule ou de lourdeur vaginale (“prolapsus” léger, parfois)
Moins de sensations pendant la sexualité, gêne posturale, micro douleurs
Pas de honte, cela touche toutes les catégories, et l’âge n’y change rien : certaines jeunes mamans, sportives ou non, se retrouvent aussi concernées que les femmes plus matures.
Mais pourquoi certains périnées récupèrent “presque” tout seuls, et d’autres non ? Il existe un facteur génétique bien sûr, mais aussi l’historique médical (épisiotomie, forceps, déchirure, antécédents de constipation chronique par exemple). Enfin, ne sous-estimez pas le stress ou l’absence de rééducation. On ne remodèle pas un muscle malmené juste “en attendant” : il a besoin d’un vrai programme, d’une rééducation ciblée.
Ainsi, chaque histoire de périnée est unique. Mais une chose rassemble beaucoup de femmes aux alentours de Liège : la nécessité de consulter, de se faire accompagner, pour éviter que les premiers signes ne deviennent des problèmes chroniques. Parce que le périnée, à force de tirer la sonnette d’alarme, claque parfois la porte… Et alors les fuites deviennent le quotidien, la confiance s’effrite.
Pas toujours facile de “sentir” un muscle qu’on n’a jamais appris à contrôler. Le périnée, ce n’est pas la cuisse, ni le biceps. Pourtant, il envoie bel et bien des signaux. Les écouter, c’est le premier pas !
Une fuite discrète en éternuant, en soulevant le petit dernier… On banalise, on attend. Mais attention : le périnée envoie déjà un SOS. Tout comme une sensation de descente (l’impression que “ça pousse” en bas), une gêne lors de longs trajets à pied, de la difficulté à retenir les gaz (même si on n’en parle pas…).
L’après-accouchement est parfois trompeur : les tissus sont encore “anesthésiés” par l’effort. Mais après quelques mois sans amélioration, la vigilance s’impose. Un périnée tonique permet de reprendre le sport, de bondir dans les escaliers, de jouer, de tousser sans souci. Un périnée affaibli montre vite ses limites dès qu’on relâche l’effort : c’est comme une digue poreuse qui prend l’eau lors des grandes marées.
Dans la littérature et les consultations, les motifs fréquents chez la femme sont :
Goutte d’urine lors d’un effort : rire, saut, portage (appelée incontinence d’effort)
Impression de “poids” en bas, surtout en fin de journée ou debout longtemps
Petits accidents lors du sport, ou dans la vie de tous les jours
Moins de sensations pendant les rapports (comme un coussin mou statt un coussin ferme)
Besoin urgent et fréquent d’uriner, parfois même sans fuite
Un chiffre : près de 30% des femmes ayant eu un enfant disent avoir perdu en confort à la marche prolongée, d’après les enquêtes européennes.
Le message ? Rien n’est “normal” s’il gêne ou s’il s’installe. Même si beaucoup de femmes minimisent, même si la grand-mère disait “c’est comme ça”. Un muscle abîmé, ça se rééduque : il suffit d’oser demander de l’aide.
Certains facteurs aggravent la situation : toux chronique, tabac, surpoids, sport à impact sans accompagnement, constipation non traitée. C’est fréquent, par exemple, de retrouver des patientes qui font beaucoup de corde à sauter “pour reprendre la ligne” sans rééducation préalable. Le résultat : un périnée épuisé qui lâche dès la reprise des activités. Il vaut toujours mieux prévenir que réparer plus tard !
Mais n’ayez crainte, l’espoir existe. Les séances de rééducation périnéale, faites par un professionnel expérimenté comme le Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS permettent souvent, même à distance de l’accouchement, d’améliorer nettement la situation. Parfois, après une dizaine de séances adaptées, les femmes retrouvent un confort incroyable, perdu depuis des années.
Des histoires de mamans qui, après des mois de gêne, osent à nouveau courir avec leurs enfants au parc : on en voit chaque semaine dans les cabinets de kinésithérapie périnéale à Esneux et proche de Liège.
Réalité : un périnée “fatigué” ne se reconstruit pas tout seul, même avec toute la bonne volonté du monde. On pourrait croire qu’en “attendant”, “en laissant le temps faire son œuvre”, tout reviendra comme avant. Mais, sans rééducation, c’est rarement le cas. Voilà pourquoi la kinésithérapie périnéale est une étape clé. Mieux : c’est une vraie solution sur mesure, une réappropriation de sa santé intime.
Lisa MOENS, kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI, propose un accompagnement individualisé, que ce soit au cabinet à Esneux ou à domicile. Elle intervient, toujours en collaboration avec votre gynécologue, sage-femme ou médecin, dans une approche multidisciplinaire. Son objectif : adapter les exercices, mais surtout vous apprendre à les reproduire chez vous, pour que la rééducation perdure au quotidien.
Le périnée, c’est un peu comme un groupe de musiciens qui se sont oubliés pendant des années. La kinésithérapie leur apprend à jouer ensemble, à se synchroniser : on travaille la tonicité, mais aussi la détente, la coordination avec le diaphragme et les abdominaux. Fascinant, non ?
Voici comment se déroule généralement une prise en charge de rééducation fonctionnelle du périnée :
Bilan personnalisé : antécédents, symptômes, attentes. On aborde tous les aspects, sans tabou.
Apprentissage de la contraction périnéale (biofeedback, exercices guidés, posture). On découvre “comment ça marche”, parfois pour la première fois !
Renforcement progressif, puis travail dynamique (reprise d’efforts, de sport, de port de charge). Le but : que le périnée tienne aussi… en vrai !
Travail sur la respiration, la gestion de l’effort, parfois relaxation (un périnée crispé, c’est aussi problématique qu’un périnée faible).
Intégration des exercices dans la vie de tous les jours : on adapte pour chaque profil, chaque niveau.
Petite anecdote : Nombreuses sont les patientes qui en un mois de rééducation passent de “je n’ose plus courir” à “je peux à nouveau rire aux éclats sans stress”. Des exemples qui font du bien, qui méritent d’être entendus et partagés. Science à l’appui : la littérature montre qu’avec une rééducation adaptée, 70 à 90% des femmes constatent une nette amélioration ou stabilisation de leur périnée.
Et pour celles ayant des troubles associés (par exemple, endométriose, douleurs pelviennes, troubles urinaires chroniques), des séances spécifiques permettent d’adapter chaque technique. On valorise la qualité de vie avant tout. Oui, votre qualité de vie intime et sociale.
N’oubliez pas : la rééducation périnéale s’adresse bien sûr aux suites d’accouchement, mais aussi en pré-partum, pour mieux vivre la grossesse, et prévenir les désagréments après. C’est tout aussi indiqué pour les “fuites” qui surviennent des années plus tard, parfois lors de la ménopause : la prévention n’a pas d’âge !
Avez-vous déjà entendu dire qu'un bon renforcement du périnée peut aider à prévenir les infections urinaires à répétition et améliorer le confort urinaire ? Il n’est pas rare que le périnée, trop relâché, ne joue plus bien son rôle de verrouillage, ce qui peut favoriser les petites entrées de bactéries. D'où l'intérêt d'une bonne rééducation, qui a également un effet protecteur sur cette sphère-là.
Pour en savoir plus sur le lien entre faiblesse périnéale, infection urinaire et douleur intime, rendez-vous sur ce article complémentaire.
Pourquoi ne pas se contenter d’exercices génériques trouvés en ligne ? Parce que chaque histoire est différente. Les “Kegel” sur YouTube… cela aide, mais ça ne suffit pas à tout !
Une prise en charge personnalisée, comme celle du Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS , c’est avant tout :
Un soutien et une écoute humanisée, sans jugement. Parfois, oser parler (sans gêne) des vraies gênes : c’est déjà un soulagement énorme.
Un bilan clinique précis : évaluer le niveau de tonicité, la capacité de contraction, la synergie avec le reste du corps.
Des objectifs adaptés : pour certaines, reprise du sport ; pour d’autres, ne plus avoir honte en société. Chacun ses priorités.
Des outils modernes : biofeedback, électrostimulation (si besoin), coaching respiratoire, postural, conseils nutritionnels associés.
Une évolution suivie dans le temps, avec des exercices progressifs, des ajustements, un vrai accompagnement.
Chez Lisa MOENS, conventionnée INAMI, tout est remboursé selon le cadre légal en Belgique : un atout quand on sait le prix du renoncement à la santé intime… Les séances sont planifiées de façon souple, au cabinet à Esneux ou à domicile : priorité à votre confort. L’approche de Lisa MOENS est reconnue pour son aspect multidisciplinaire : elle collabore si besoin avec d’autres professionnels de santé (médecin, sage-femme, coach sport-santé, sexologue, etc.).
La rééducation moderne ne ressemble plus, comme il y a 30 ans, à une démarche poussiéreuse avec “exercices sur ordonnance”. C’est dynamique, vivant, humain. On rit, on s’encourage, on se déculpabilise. Et surtout : on réapprend à “habiter” ce périnée, à sentir ses progrès. Certaines femmes témoignent d’une “reconnexion” avec leur corps, retrouvant du plaisir et de la confiance. La magie de la kinésithérapie périnéale ? Donner des outils durables pour la vie quotidienne.
Parmi les retours marquants : écoute, efficacité, “j’aurais dû faire ça plus tôt !”. Un dicton circule même : “mieux vaut un périnée musclé qu’un parapluie sous la pluie” (clin d’œil aux nombreuses mamans qui, à force de se retenir, se privent d’activités). Car le périnée, c’est ce parapluie intérieur qui protège en tout temps.
Pour mieux comprendre encore le rôle du périnée dans la gestion des fuites, des pertes urinaires et autres inconforts nocturnes, un article incontournable vous attend : Kiné périnéale – Un atout pour traiter les pertes nocturnes.
Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
La rééducation s’adresse aussi bien aux femmes après accouchement qu’à toutes celles confrontées, des années plus tard, à des fuites urinaires, des douleurs pelviennes, des troubles liés à l’endométriose, ou tout simplement à une perte de qualité de vie. À chaque étape, la kinésithérapeute périnéale adapte son approche. Il n’existe pas “une” rééducation, mais des protocoles sur-mesure.
Pour prévenir les récidives, sachez qu’un périnée renforcé est un allié de choix pour limiter aussi certains épisodes infectieux (cystites post-partum, infections après rapports, etc). Les conseils et exercices donnés lors d’un accompagnement spécifique, à Esneux ou dans la région de Liège, deviennent des réflexes utiles pour toute la vie intime à venir.
La bonne question, souvent posée : “Quand dois-je prendre rendez-vous ?” Une réponse simple : Au moindre doute ! N’attendez pas que les petits soucis deviennent de véritables handicaps. Mieux vaut agir tôt, que “réparer” plus tard, quand le périnée, épuisé, répond de moins en moins. Vous hésitez encore ? Un conseil personnalisé lors d’un appel suffit, une écoute bienveillante, jamais de jugement.
Vous pouvez consulter :
Dès la fin du post-partum, 6 à 8 semaines après l’accouchement (ou avant si prescription et douleur)
En pré-partum, si des signes de pesanteur, fuites, douleurs apparaissent
À distance de la grossesse, même des années plus tard, en cas de reprise de sport ou de gênes intimes
Lors de troubles urinaires inhabituels, ou de douleurs pelviennes inexpliquées
En cas d’endométriose, pour limiter la douleur et améliorer la qualité de vie
Et même, osons-le, “juste” pour faire un bilan, apprendre à mieux connaître son périnée. Aucune raison n’est “trop petite” : le périnée n’oublie rien, mais il apprend tout !
Dans la région d’Esneux comme aux alentours de Liège, le bouche-à-oreille fonctionne : beaucoup de femmes osent (enfin) demander, surtout depuis la médiatisation des enjeux intimes, la déculpabilisation. Chez Mme Lisa MOENS, l’accueil est sans tabou : chaque question est la bienvenue, chaque histoire mérite sa solution.
Pour les jeunes mamans, sachez que la rééducation peut être démarrée à domicile, selon les besoins et le contexte médical (fatigue, césarienne, souci de transport…). Les séances au cabinet à Esneux offrent aussi l’avantage du matériel spécialisé, d’une ambiance propice au soin et à la prise de recul.
Il existe aussi des solutions spécifiques pour les femmes confrontées à des troubles urinaires après chirurgie, ou à des épisodes de cystites post-opératoires. Là encore, la pluridisciplinarité est de mise : médecin, kiné, urologue, sage-femme, travaillent la main dans la main.
En résumé, ne restez pas seule face à un périnée affaibli. La précocité de la consultation fait toute la différence : c’est le secret d’une récupération optimale, avant que ne s’installent des réflexes compensatoires nocifs (abdos en “planche”, posture tassée, “retenue” musculaire inefficace, stress, etc.).
Vous hésitez à passer le cap ? N’hésitez pas à appeler le cabinet pour poser vos questions, sans engagement. Souvent, un premier pas, c’est déjà un soulagement. Prendre soin de son périnée, c’est aussi se donner le droit à une vie douce, dynamique, épanouissante. À Esneux, la réponse est à portée de main.
Comment savoir si mon périnée est affaibli après plusieurs grossesses ?
Les principaux signes sont les fuites urinaires à l’effort, une sensation de “descente” ou de lourdeur, des difficultés à retenir les gaz, ou une perte de sensations pendant les rapports. Si vous ressentez l’un de ces symptômes, il est conseillé de consulter un kinésithérapeute périnéale pour établir un diagnostic précis et obtenir un accompagnement adapté.
Pourquoi la rééducation du périnée est-elle essentielle après chaque grossesse ?
Chaque grossesse fragilise naturellement les muscles du périnée par l’augmentation de pression et les modifications hormonales. La rééducation permet de renforcer efficacement le plancher pelvien, prévenir les fuites urinaires et améliorer globalement le confort intime sur le long terme.
Quand débuter la rééducation périnéale après l’accouchement ?
La rééducation peut débuter, sauf contre-indication, environ 6 à 8 semaines après l’accouchement. Cependant, en cas de douleur, gêne, ou selon avis médical, elle peut être initiée plus tôt sous contrôle d’un kinésithérapeute périnéale conventionné INAMI.
Faut-il refaire de la rééducation périnéale si j’ai déjà eu des séances mais que les symptômes reviennent ?
Oui, il est tout à fait recommandé de refaire une rééducation, notamment en cas de nouvelle grossesse, de reprise sportive ou d’apparition de nouveaux symptômes. Une prise en charge personnalisée permet de s’adapter à chaque situation et d’obtenir les meilleurs résultats pour votre qualité de vie quotidienne.