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Pourquoi je n’arrive pas à avoir d’orgasme : comprendre et agir avec une sexologueSexologue Mme Bauwens

Sexologue – Mme Sabrina Bauwens

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33

Pourquoi je n’arrive pas à avoir d’orgasme et comment une consultation en sexologie peut-elle m’aider ?

Orgasme féminin : Pourquoi ce sommet semble-t-il parfois inaccessible ?

Ne pas avoir d’orgasme, ce n’est pas seulement une histoire de performance ou de simple technique. C’est souvent plus subtil, plus complexe. On pourrait croire que tout le monde vit ce fameux "pic", qu’il suffit d’être en confiance ou d’avoir le bon partenaire. Mais, non. Beaucoup de personnes ne connaissent jamais, ou très rarement, l’orgasme, parfois durant des années. Certaines n’osent même pas en parler, de peur de "ne pas être normale". Alors, pourquoi ce fameux orgasme semble si difficile d’accès ?

D’abord, il faut comprendre ce qui se passe dans notre corps. L’orgasme est le résultat d’une cascade de phénomènes, à la fois physiques, nerveux et émotionnels. C’est comme essayer de réunir toutes les pièces d’un puzzle complexe. On souhaite y arriver, mais parfois, il manque une (ou plusieurs) pièces invisibles. Le cerveau y joue un rôle déterminant. D’ailleurs, les chercheurs le disent : c’est l’organe sexuel majeur. Si la tête n’est pas de la partie, difficile d’aller jusqu’au bout.

Ce n’est pas tout. Les blocages sont souvent invisibles pour l’entourage. On peut parfaitement aimer son partenaire, se sentir excitée, tout faire "comme il faut"... et pourtant, rien ne vient. Parfois, c’est comme si le plaisir montait, puis s’arrêtait, comme quand vous grimpez une colline trop raide. Et si vous avez entendu ces phrases terribles : "Tu dois te détendre", "Tu ne dois pas trop y penser", "Ça viendra tout seul"... vous savez à quel point cela ne solutionne rien.

Selon des études récentes, entre 10 et 25% des femmes francophones n’auraient jamais connu d’orgasme. D’autres, occasionnellement, ou bien seulement seules. Alors, oui : c’est une préoccupation courante et tout sauf anecdotique.

Parlons aussi de cette fameuse pression sociale. On voit, on lit, on entend que "l’orgasme, c’est le but", que c’est facile, automatique dans une relation épanouie. On se compare, on culpabilise, on doute de soi. La réalité ? Beaucoup, même aux alentours de Liège, souffrent en silence. Rien d’anormal là-dedans : chaque corps, chaque parcours est différent. Mais comment rompre la spirale de l’incompréhension ?

À quoi peuvent être liés les blocages de l’orgasme ? (Et si ce n’était pas "dans la tête" ?)

On entend souvent : "C’est psychologique", ou bien "Tu bloques parce que tu es stressée". Certes, notre cerveau influence beaucoup la qualité de nos rapports. Mais il existe aussi mille autres "verrous”, parfois discrets, parfois bien plus anciens.

L’anorgasmie, c’est-à-dire la difficulté ou l’impossibilité d’atteindre le point d’orgasme, n’a rien d’exceptionnel. Elle peut être primaire (jamais eu d’orgasme) ou secondaire (après en avoir déjà eu). Mais alors, pourquoi bloque-t-on ?

Premier facteur : les croyances. L’éducation joue un rôle immense : une éducation stricte, des idées reçues sur la sexualité, l’idée qu’une "bonne fille" ne doit pas prendre plaisir, parfois même la honte ou la culpabilité associées au désir. Dans certains couples – et vous l’avez peut-être vécu – cette barrière est très difficile à franchir.

Deuxième facteur : l’anxiété. Le pilon de l’anxiété, c’est lui : il martèle l’esprit, coupe la connexion avec le corps. Peur de ne pas être “à la hauteur”, peur "d’échouer" ou tout simplement peur de décevoir. Cette boule au ventre empêche le lâcher-prise, indispensable à l’orgasme. C’est un cercle vicieux : plus on s’observe, plus on se fige.

Troisième facteur : les antécédents. Certains traumatismes ou expériences passées laissent des traces durables. Cela peut être un abus sexuel, un rapport mal vécu ou des remarques blessantes… Ces cicatrices mettent du temps à guérir. Parfois, elles se manifestent des années plus tard, sous la forme d’un blocage.

Quatrième facteur : les causes médicales. On oublie trop souvent qu’les hormones et certaines pathologies peuvent expliquer une absence d’orgasme. Par exemple, un déséquilibre hormonal (période post-partum, préménopause), une sclérose en plaques, un diabète ou même certains médicaments (antidépresseurs, pilule…). Parfois, un trouble du périnée (douleurs, vaginisme) ou des troubles neuro-musculaires empêchent purement et simplement l’orgasme. Il n’y a pas que la tête, il y a aussi le corps.

Alors, qu’est-ce qui pèse le plus chez vous ? Difficile parfois de mettre le doigt dessus seule. Pour certains, l’énigme reste entière.

Et puis il y a les couples : “Tout va bien, pourquoi ça bloque ?” Eh bien, l’orgasme n’est pas un indicateur universel de l’amour ou du plaisir partagé. Parfois, la routine s’installe, la libido faiblit et l’envie s’émousse. Les différences de désir dans un couple peuvent aussi devenir source de tension, d’incompréhensions ou de pression indirecte.

Il arrive aussi, soyons francs, que la stimulation physique ne soit pas suffisante ou pas adaptée à votre corps. Saviez-vous, par exemple, que la majorité des femmes n’accèdent pas à l’orgasme simplement par la pénétration ? Le clitoris, lui, n’est jamais assez pris au sérieux ! Pourtant, c’est le moteur du plaisir féminin. Simple info : dans une étude de la sexologue américaine Debby Herbenick, 66% des femmes déclarent n’atteindre l’orgasme qu’avec la stimulation du clitoris.

Et les hommes dans tout cela ? Eux aussi connaissent parfois des difficultés, parfois minimisées ("C’est moins grave chez un homme") : éjaculation prématurée, blocages du désir, anxiété de performance, etc. Les mythes persistent là aussi. Saviez-vous qu’il existe une prise en charge dédiée de l’éjaculation prématurée à Liège ? Tout problème sexuel mérite d’être entendu, compris, accompagné.

Au fond, la sexualité n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Parfois, il faut remonter à la source pour comprendre où la rivière s’est entravée. Surtout, il ne faut pas penser que "ça passera tout seul". Quand la question trotte dans la tête, il est temps d’en parler avec quelqu’un de formé.

Sexologue – Mme Sabrina Bauwens

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

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En quoi une consultation en sexologie peut-elle m’aider concrètement ?

Vous hésitez à consulter une sexologue ? Vous n’êtes pas seule. Beaucoup repoussent l’idée, par gêne, peur du jugement ou crainte de "tout devoir raconter". Pourtant, la sexologie est un espace bienveillant. C’est comme ouvrir une fenêtre dans une pièce où l’air manque.

Dès la première consultation, le dialogue s’installe. L’objectif ? Comprendre à la fois votre histoire, vos ressentis, votre quotidien. Rien de mécanique, rien d’automatique. C’est avant tout un accompagnement sur-mesure.

La sexologue va d’abord écouter. Poser des questions, parfois étonnantes, parfois déstabilisantes. C’est le point de départ. Qu’attendez-vous du rapport ? Qu’est-ce qui vous bloque ? Que ressentez-vous dans votre corps pendant l’amour ? Les réponses, souvent, ne viennent pas immédiatement. On tâtonne, on explore, on met des mots sur du flou.

Ensuite, la sexologue va chercher à identifier les freins : sont-ils liés à une mauvaise image de soi ? À certaines expériences passées ? À la relation actuelle ? À la santé physique ? Ce travail d’enquête permet de dresser une cartographie de votre réalité sexuelle.

Un plan d’action personnalisé sera proposé. Il diffère selon chaque histoire. Il peut inclure :

  • L’information et la réassurance sur le fonctionnement du corps.
  • Des exercices à la maison (en solo ou en couple) : visualisation, relaxation, exercices de centrage sur les sensations physiques (ce que les sexologues appellent "pleine conscience corporelle").
  • Des conseils pratiques sur la stimulation, la communication au sein du couple, ou la découverte du "langage du corps". Ce n’est pas que de la parole. C’est aussi beaucoup d’expérimentation à la maison, en toute liberté. Il arrive que certains exercices paraissent inhabituels au début. C’est normal.
  • La remontée aux racines : déconstruire les fausses croyances ("Je dois jouir à chaque fois", "Si je n’ai pas d’orgasme, je ne suis pas normale") pour restaurer un climat de bienveillance intérieure.

Une anecdote ? Une patiente, près de 40 ans, n’avait jamais connu l’orgasme. Après dix séances, et pour la toute première fois, elle a ressenti ce fameux lâcher-prise. Ce n’était pas de la magie. C’était la rencontre d’un nouvel espace de confiance, et la découverte de sa propre carte du plaisir.

Le travail du sexologue, c’est aussi de faire le tri avec vous : "Est-ce que mon problème est vraiment médical ? Relationnel ? Psychique ?". La plupart du temps, ce sont plusieurs facteurs qui s’additionnent. Un peu comme une recette : il ne suffit pas d’un ingrédient, il faut que la sauce prenne. Parfois, un simple changement de point de vue bouleverse l’équilibre.

Vous craignez que votre histoire sorte du "cadre" ? La sexologue reste neutre, sans jugement. Vous êtes libre de ne pas tout dire, d’y aller à votre rythme. On n’est pas obligé de parler de tout, tout de suite. Le respect du secret professionnel est fondamental.

Justement, les hommes aussi consultent : pour des difficultés érectiles, une anxiété de performance sexuelle, une absence de plaisir ou tout simplement pour mieux comprendre leur partenaire. La sexualité se joue à deux, et il est souvent utile de consulter en couple.

En pratique : comment se déroule une consultation ? (et non, vous ne serez pas allongé sur un divan !)

  • Accueil et écoute, explication de vos attentes.
  • Parfois, un questionnaire ou des questions approfondies sur votre vie sexuelle, relationnelle, médicale.
  • Description, si besoin, des ressentis physiques (douleurs, absence de sensations, etc.).
  • Discussion sur vos objectifs (retrouver l’orgasme, comprendre vos blocages, restaurer le désir, etc.).
  • Détermination d’outils concrets (exercices, lectures, conseils) à pratiquer jusqu’à la prochaine séance.

Certains consultent une fois, d’autres plusieurs mois. Ce n’est pas un parcours linéaire. Parfois, on fait des pas de côté. C’est normal.

Et sachez une chose : consulter une sexologue n’est pas un échec. C’est souvent le début d’une redécouverte. Il n’y a pas de honte à vouloir vivre son plaisir, ni de "retard à rattraper". À tout âge, et même si l’on n’est pas en couple, cette démarche a du sens.

La sexologie, notamment aux alentours de Liège, s’adresse à chacun, sans distinction d’âge, de genre ou d’orientation. On oublie trop souvent que chaque vécu sexuel est unique. C’est toute la richesse de l’accompagnement sexologique : offrir des solutions adaptées, concrètes, jamais imposées.

Quels résultats peut-on attendre (et à quoi ressemble le chemin de la redécouverte de l’orgasme) ?

Vous vous demandez sûrement : "Combien de temps ça prend ?", "Est-ce que ça fonctionne vraiment ?", "Est-ce que je vais finir par y arriver ?" Ces questions, toutes les patientes et les patients les posent. Rassurez-vous : aucun parcours ne se ressemble. Mais certains points-clés jalonnent presque tous les récits de retrouvailles avec l’orgasme.

Premier bénéfice : La désinhibition. Au fil des séances, les patientes libèrent peu à peu la parole. Elles se rendent compte qu’elles ne sont pas les seules à vivre ces difficultés. Cela redonne de la liberté au corps, mais aussi au mental. C’est comme se voir enfin dans un miroir propre.

Ensuite vient la redécouverte du corps. Concrètement, pratiquer les exercices proposés (sensualité, relaxation, auto-exploration, communication avec le partenaire) peut ouvrir la porte à des sensations nouvelles, parfois subtiles, parfois intenses. Plusieurs femmes témoignent d’un "changement de paysage" : là où tout paraissait terni, il y a de la couleur, plus de relief.

Quelques repères concrets – à chaque étape :

  • Certains atteignent l’orgasme seul(e), puis en couple.
  • D’autres découvrent que la "pression" tombe, que même sans orgasme mécanique, le plaisir ressenti est plus profond.
  • Pour beaucoup, le couple retrouve une complicité, une meilleure communication, moins de tabous.
  • La confiance en soi grandit de façon perceptible, dans le rapport à la sexualité… mais aussi dans la vie quotidienne.

Un chiffre frappant : selon une publication en 2023, près de 70 % des femmes anorgasmiques suivies en thérapie sexologique ont expérimenté un progrès net après 6 à 9 séances. Pour les couples aussi, les bénéfices se ressentent au-delà de la chambre à coucher : moins de tensions, plus de rires. Comme si le plaisir retrouvé irradiait tout le quotidien.

Mais restons honnêtes : il existe parfois des résistances. Tout ne se règle pas en un claquement de doigts. Parfois, il faut du temps. Parfois même, d’autres suivis parallèles sont recommandés (thérapie corporelle, psychothérapie, accompagnement médical…). L’essentiel ? C’est de ne pas rester seule avec ses doutes. Après un accouchement, lors de la ménopause, ou après un choc de la vie, on a le droit de demander de l’aide.

Et les hommes ? Ils tirent eux aussi un bénéfice marqué. Plusieurs hommes partagent l’impression de faire "sauter un verrou" : disparition des complexes, regain de désir, érections plus faciles… et parfois la redécouverte du plaisir simple, sans la pression de la "performance". Oui, même en Belgique, ces questions restent d’actualité.

Attention cependant : aucun sexologue n’a de baguette magique. On ne promet pas "l’orgasme immédiat". Mais on accompagne pour retrouver confiance, apprentissage, et parfois partage. Une sorte de remise à l’eau, sans pression. La différence, c’est que vous n’êtes plus seule.

Et au fond, n’est-ce pas cela qui change tout ?

Quand et pourquoi faut-il consulter ? (Et comment oser faire le premier pas ?)

On pense souvent qu’il faut attendre d’être "au bout du rouleau" pour consulter. Faux. Si votre absence d’orgasme pèse sur votre moral, si vous doutez, si cela génère des tensions dans le couple… c’est qu’il est temps de changer de perspective. Il n’y a pas de "bon moment". Si le sujet revient souvent dans vos pensées, si vous sentez que vous “n’osez pas”, que la frustration s’installe, c’est déjà suffisant.

Savoir que la solution passe par un professionnel formé, et non par "un miracle en duo", c’est déjà un pas. On peut consulter seul.e ou en couple, selon l’aise de chacun. Rassurez-vous, il n’y a aucune question "bête", ni aucun vécu qui soit "trop bizarre". Chaque histoire est légitime, chaque ressenti trouve sa place.

Un sexologue n’est ni juge, ni censeur, ni gourou : il est là pour accompagner. Parfois, une seule séance suffit à "dégeler" ce qui était figé. Parfois, il en faut plusieurs. La démarche, ce n’est pas "tout régler". C’est surtout, et avant tout, se donner le droit d’avoir du plaisir.

À Liège ou ailleurs, la démarche commence souvent… par un coup de fil. Rien de plus. Et si vous profitiez de cet élan pour casser la routine, franchir le seuil d’un cabinet pour la première fois ?

La sexualité ne se résume pas à l’orgasme. Mais celui-ci est un indicateur puissant de bien-être, d’épanouissement, de confiance retrouvée. On peut tout à fait vivre une belle vie sexuelle sans orgasme. Le problème, c’est quand il vous manque et que vous en souffrez.

Retenez surtout : personne ne mérite de se sentir seule ou anormale face à l’absence de ce plaisir. Oser une consultation est déjà un acte de confiance envers soi-même. Et souvent, cela ouvre la voie à bien plus que la simple résolution d’un blocage.

Vous voulez en savoir plus sur la manière dont un sexologue peut vous aider à faire face à des situations précises dans le couple ? Rendez-vous sur cet article dédié aux conseils les plus efficaces pour les couples en sexologie.

Finalement, "Pourquoi je n’arrive pas à avoir d’orgasme ?"... La réponse tient rarement en une phrase. Elle s’écrit avec le temps, dans l’écoute, la douceur et l’expérimentation. Ce qui compte, ce n’est pas tant de suivre la carte des autres : c’est de dessiner la vôtre.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si mon absence d’orgasme est d’origine psychologique ou physique ?

Il peut être difficile de faire la distinction seul(e). Un examen médical permet d’exclure une cause physique ; un sexologue pourra ensuite explorer les aspects psychologiques avec vous.

Pourquoi consulter une sexologue pour un problème d’anorgasmie ?

Parce qu’une sexologue est formée pour vous accompagner, identifier les causes possibles et mettre en place des solutions concrètes adaptées à votre histoire et vos besoins.

Faut-il être en couple pour consulter une sexologue à propos de l’orgasme ?

Non, il n’est pas nécessaire d’être en couple. Beaucoup consultent seuls pour se libérer de leurs blocages et mieux comprendre leur propre sexualité.

Quand doit-on envisager une consultation en sexologie ?

Dès que les difficultés autour de l’orgasme génèrent de la souffrance ou de la frustration, il est conseillé de consulter, quel que soit l’âge ou la situation relationnelle.

Sexologue – Mme Sabrina Bauwens

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

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Références scientifiques

Levin, R.J. "The physiology of sexual arousal in the human female: a recreational and procreational synthesis." Archives of Sexual Behavior, 2002. Résumé : L’article détaille les processus physiologiques et psychologiques impliqués dans l’excitation et l’orgasme féminin.
Bancroft J., Graham CA., Janssen E., Sanders SA. "The dual control model: Current status and future directions." Journal of Sex Research, 2009. Résumé : Ce modèle explore les facteurs d’inhibition et d’excitation qui influencent la réponse sexuelle.
Leiblum, S.R., Koochaki PE., Rodenberg CA., Barton IP., Rosen RC. "Hypoactive sexual desire disorder in postmenopausal women: US results from the Women’s International Study of Health and Sexuality." Menopause, 2006. Résumé : Étude sur l’impact des troubles du désir et leur prise en charge.
Herbenick D., et al. "An analysis of the sexual behaviors of US adults: Results from a national probability sample." Sexual Medicine, 2017. Résumé : Données épidémiologiques sur la fréquence et les modalités de l’orgasme féminin.

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