Sexologue CessionSexologue Charlotte CESSION – proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Vous avez déjà eu l’impression qu’un stress du quotidien venait éteindre peu à peu la flamme du désir ? Que le travail s’invite dans la chambre à coucher ? L’air de rien, les soucis s’accumulent, la charge mentale grimpe, et vous vous réveillez un jour sans aucune envie, sans même comprendre pourquoi. C’est fréquent, très fréquent. En consultation, à Liège et ailleurs, c’est même devenu un motif majeur de demande d’aide auprès d’une sexologue comme Charlotte Cession. Mais que se passe-t-il réellement ? Est-ce inéluctable ? Comment retrouver le plaisir partagé ? Et si l’on pouvait comprendre les mécanismes derrière cette « panne » du désir et agir enfin, sans culpabiliser ? Voyons ensemble pourquoi notre époque, si connectée, est aussi parfois celle de la déconnexion intime…
Un soupir. Un regard vide. Des gestes mécaniques entre deux tâches. Voilà à quoi ressemble parfois la vie d’adulte moderne. Chez de nombreux patients reçus en Belgique – et notamment aux alentours de Liège – la baisse du désir, ce n’est pas qu’une histoire de fatigue. C’est souvent la traduction silencieuse d’un combat intérieur. Un conflit entre la tension du quotidien et l’envie d’intimité.
C’est un peu comme un feu de camp : allumer la flamme, c’est facile lors des premiers instants. Mais, au fil des tempêtes, le bois s’humidifie, le feu vacille, puis finit par s’éteindre, parfois sans bruit. Le stress quotidien, c’est la pluie persistante sur le foyer du couple. Il s’infiltre partout.
Les hormones du stress – pensez au cortisol, à l’adrénaline – ce sont de vraies alarmes internes. Leur rôle ? Vous maintenir en alerte pour « survivre ». Mais prolongées, ces hormones finissent par « désactiver » ce qui n’est pas jugé urgent. Notamment, la libido.
Pourquoi cela se produit-il ? Notre cerveau, lorsqu’il perçoit un danger (même symbolique comme un dossier à boucler ou une dispute en couple), met en pause tout ce qui n’est pas vital : digestion, fertilité, et… désir. On parle souvent de la fameuse « charge mentale féminine », mais elle touche aussi les hommes – même si leurs mots sont différents. Dans certains couples, le stress chronique devient un troisième larron dans le lit conjugal.
C’est prouvé scientifiquement : des études montrent que 50 à 70% des personnes souffrant de stress chronique rapportent une baisse de désir sexuel (voir plus loin la section références). Un chiffre, mais derrière, des visages, des histoires, des silences gênants autour de la table du petit-déjeuner. Qui ose en parler, sans craindre d’être jugé(e) ?
En consultation, on entend souvent : « C’est étrange, avant, j’avais envie… Maintenant tout me pèse. » Ou encore : « Je n’arrive plus à me détendre, même le week-end ». La tension reste dans le corps, comme un frein. Parfois, l’autre le prend pour lui : « Il ne m’aime plus ? », « Je ne l’attire plus ? ». Pourtant, le souci est ailleurs.
Ce décalage crée des incompréhensions. Un partenaire en attente, un autre en blocage. Cela peut devenir un cercle vicieux, chaque frustration ajoutant du stress à la situation de départ. C’est comme si les bobines de fil s’emmêlaient de plus en plus, au quotidien.
Côté physique, le stress récurrent provoque :
Tout cela nourrit le cocktail explosif de la « panne » du désir.
Mais le stress n’agit pas que sur le corps. Il s’insinue dans les pensées : « Je dois tout gérer », « Je n’ai pas le droit à l’erreur », « L’autre m’en demandera trop ». La sexualité, au lieu d’être un plaisir partagé, devient une « tâche de plus » sur la to-do list. Certains en arrivent même à appréhender l’idée d’un rapport. Ils repoussent, ou cherchent des excuses pour ne pas faire l’amour. La routine écrase l’envie comme une vague, inlassablement…
Dans une vision plus large, notre époque encourage cette accélération. Les notifications perpétuelles, la pression sociale d’« être performant partout », sans faille. Le couple et le plaisir sont pourtant aussi fragiles qu’un papillon. Il ne faut pas grand-chose pour déséquilibrer ce microcosme…
D’autres raisons peuvent s’ajouter bien sûr : histoires passées, éducation, traumatismes. Mais le stress, loin d’être un simple « bruit de fond », agit comme un poison lent. Il s’infiltre et ronge, petit à petit. N’importe qui peut y être confronté. Peut-être vous ? Peut-être un proche ?
Mais bonne nouvelle : la machine n’est pas irréversible. Il y a des solutions. Le tout est de les connaître, puis… de s'autoriser à les expérimenter, sans honte.
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Le plus insidieux ? Parfois, on ne s’en rend même pas compte. Le stress chronique arrive sur la pointe des pieds, sans fracas. On s’habitue : à l’anxiété, à la fatigue, à l’érosion de la spontanéité. Jusqu’au jour où le couple sonne creux, où la complicité s’étiole, et où l’envie de « s’aimer » s’estompe, remplacée par l’automatisme. Vous vous reconnaissez ? Peut-être que oui. Peut-être que non… Pas encore.
Voici quelques signaux d’alerte repérés en consultation auprès de la sexologue Charlotte Cession, à Liège :
Cela vous parle ? Alors prenez quelques instants pour vous souvenir : à quand remonte le dernier vrai moment de partage à deux, sans distraction ? Quand avez-vous, pour la dernière fois, ressenti du désir sans penser à votre liste de courses, au linge à plier, ou à votre boîte mail débordante ?
Il ne s'agit pas de culpabiliser : la société entière nous pousse à la productivité, jamais au plaisir. Mais si vous lisez cet article, c'est sans doute que ces signaux font écho à ce que vous vivez, ou devinez chez votre partenaire...
Parfois, ces signes d’alerte se traduisent sur le plan corporel :
Ce genre de symptôme est courant, même dans la région de Liège et chez des femmes et hommes jeunes, actifs, « en apparence » heureux. Cela interroge : on parle librement de son stress au travail, mais bien moins facilement de ses « blocages » sexuels... Par peur du jugement, souvent. Ou par méconnaissance : « Ça va revenir tout seul », se dit-on. Mais parfois non.
Au fil du temps, ces petits signes grandissent. D’abord, on s’en amuse (« tu es fatigué, c’est normal »), puis on s’agace (« jamais toi qui fait le premier pas ! »), et enfin on se retranche chacun de son côté. C’est le lit conjugal qui se refroidit, la complicité qui prend l’eau…
En consultation, beaucoup de couples arrivent à ce stade : la communication a cessé. Personne ne parvient à mettre des mots sur ce qui cloche. C’est là, insidieux, indéfinissable, comme un nuage gris sur la tête. Pourtant, nommer les choses, c’est déjà commencer à les apprivoiser.
Un petit chiffre pour illustrer : d’après une étude menée par l’Université de Louvain en 2021, 61% des consultants en sexologie pour « baisse de désir » citent d’abord la surcharge mentale ou le stress professionnel/familial comme facteur clé. C’est plus d’un patient sur deux ! Il ne s’agit donc pas d’un caprice, mais d’un réel problème de santé…
Souvent, l’autre partenaire vit mal ce changement : il se sent rejeté, doute de lui/elle, se compare, s’interroge. Cela ouvre la voie à des tensions, des non-dits, et parfois à la quête d’ailleurs (fantasmes, pornographie, ou infidélité…). Stop ! Le stress n’est pas une fatalité. Il est possible, à tout âge, de reprendre la main… à condition d’oser demander de l’aide, d’en parler à un/une professionnelle, et de s’accorder le droit à la tendresse, hors de toute performance.
Pour en savoir plus sur la prise en charge concrète de la baisse de libido à deux, lisez ce dossier consacré à la libido en berne par des spécialistes.
Petit aparté : certaines cultures, certains groupes sociaux, valorisent au contraire « l’hypersexualité » comme signe de bien-être. Attention au piège de la comparaison : la normalité, c’est ce qui vous convient, à vous, à ce moment-là. Ce n’est ni une course à la performance ni une obligation de faire « mieux que la moyenne ». Accueillez vos limites, elles sont légitimes.
Alors, que fait une sexologue ? Une question qui intrigue toujours lors d’un premier rendez-vous. Beaucoup arrivent stressés, honteux, persuadés que le problème est « anormal ». D’autres s’excusent même de « déranger » alors qu’ils sont justement au bon endroit. La première chose à garder en tête : consulter, c’est déjà un premier pas énorme. Oser parler de son intimité à un professionnel, c’est briser la chape du silence. Après, on avance.
Charlotte Cession, sexologue à Esneux (près de Liège), accompagne justement au quotidien des patients et couples qui ne savent plus comment réveiller le désir éteint ou englué dans le stress. C’est du cas par cas. Toujours. Mais voilà quelques points communs aux séances :
Beaucoup croient qu’ils/elles sont les seuls à traverser ce désert du désir. Faux. Le stress touche toute la société moderne, et ses répercussions sexuelles sont universelles. Nommer, comprendre, démystifier, c’est déjà soulager la honte.
On identifie ensemble les sources principales du stress : travail, enfants, problèmes financiers, pression familiale ou encore problèmes de santé. Parfois, c’est une accumulation, comme des couches successives qui finissent par peser lourd. Ce bilan permet de comprendre si la baisse de désir est généralisée (plus d’envie du tout) ou sélective (plus d’envie « avec l’autre », mais toujours de la masturbation ou du fantasme). Les pistes d’action ne sont pas les mêmes !
Ici, pas besoin de “prescription magique” : chaque couple a sa recette. Mais quelques astuces universelles reviennent : réinstaurer des “rituels d’évasion” (téléphone coupé, lumière tamisée, musique douce avant le coucher...), reprendre les caresses sans but sexuel immédiat, oser s’offrir un massage, redéfinir le plaisir comme un “jeu” – même court. On dédramatise : un rapport peut être imparfait, mais rester « nourrissant » pour les deux.
Vous aimez l’idée d’un bain ensemble ? D’une promenade main dans la main ? Parfois, tout commence là. Ce n’est pas “rien”. C’est la base. Charlotte Cession propose aussi des exercices de recentrage sur soi et de couple, pour mieux sentir son corps, mieux communiquer, mieux cerner les freins réels à l’envie. À deux, tout redevient possible peu à peu.
Le tabou du “je n’ai pas envie” est une barrière fréquente. Or, oser le dire sans blesser l’autre, ouvrir le dialogue sans reproche, c’est vital. Parfois un simple rendez-vous change la donne. D’autres couples ont besoin d’un suivi plus long : chacun son rythme.
Pour tout savoir sur ce sujet, lisez : comment restaurer la communication sexuelle dans le couple.
Dans certains cas, la sexologue propose des exercices de respiration, de cohérence cardiaque, ou des petites méditations guidées. Cela aide à « mettre sur pause » la machine à penser, à retrouver de la sensation, à remettre l’accent sur l’ici et maintenant. La pleine conscience appliquée à la sexualité, ça fonctionne… Même au cœur des emplois du temps surchargés.
La baisse de désir peut aussi signaler un trouble dépressif sous-jacent, ou être liée à des médicaments, une maladie. Dans ce cas, la sexologue oriente vers les bons collègues : gynécologue, psychologue, médecin, etc.
Pour les individus « hyper-stressés », le recours à une psychothérapie complémentaire est parfois conseillé, pour comprendre « pourquoi travailler ne me lâche jamais ? » ou « pourquoi me sacrifier me semble la seule voie possible ? »
Parfois, l’origine se loge dans une éducation exigeante, dans une histoire de vie où l’on ne s’est autorisé ni repos, ni plaisir. Il n’y a donc aucune honte, au contraire, à avoir besoin d’un coup de pouce professionnel pour dénouer ces schémas ancrés.
Au fil des séances, les couples renouent souvent avec la tendresse, retrouvent de petites complicités. C’est rarement immédiat, mais peu importe : il suffit d’avancer, parfois à petits pas. Un compliment, un mot doux, un café préparé le matin peuvent être le début d’un « nouveau nous ».
Pareillement, pour certains patients, briser la routine sexuelle relance le désir ; pour d’autres, il s’agit d’oser le silence, le non, le temps pour soi. Chacun crée sa méthode.
Sachez enfin que le rôle de la sexologue ne s’arrête pas à la “chambre à coucher” : elle aide à repenser l’organisation familiale, à repositionner la place de chacun, à remettre la vie de couple au centre. Parfois, il faut déléguer certains rôles, ou apprendre à dire non. Tout cela s’apprend.
Pour aller plus loin, lisez l’article dédié à la perte de plaisir et l’installation de la routine.
Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège
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Vous hésitez encore ? Vous vous demandez quand franchir le pas ? Voici un secret : il n’est jamais trop tôt, ni trop tard. Demander de l’aide quand la fatigue ou la routine éteint le feu, c’est courageux. C’est même une des plus belles « preuves d’amour » que vous puissiez offrir à votre couple ou à vous-même.
Il n’y a pas de “bonne” fréquence d’envie ou de rapport : certains couples sont à l’aise avec peu de sexualité, d’autres tiennent à préserver un vrai espace érotique. L’indicateur, c’est la souffrance : si être en panne d’envie vous pèse, ou si cela questionne le couple, alors il est temps de consulter. Même autour de vous, l’idée de “consulter pour le désir” progresse : de plus en plus de personnes franchissent la porte d’un(e) sexologue en Belgique, et notamment à Liège.
En pratique, une première consultation peut :
Parfois, une seule séance suffit pour remettre la machine en marche. D’autres fois, c’est un accompagnement au long cours, notamment si le stress est lié à un burn-out, à une dépression, ou à des conflits de fond dans le couple.
N’oubliez pas non plus la force du groupe : certains choisissent des stages, des ateliers, ou des groupes de parole pour détabouiser le sujet. Osez demander à votre sexologue s’il en existe aux alentours de Liège, il se crée de plus en plus d’initiatives de ce type.
Si le stress est principalement professionnel, vous pouvez aussi investir dans des séances de relaxation, du yoga, des méthodes de gestion émotionnelle. La clé : sortir du réflexe “j’en fais trop”, pour autoriser l’espace au plaisir et à la détente.
Le plus difficile ? Faire le premier pas… Ensuite, tout devient possible. Sachez aussi qu’il est possible de consulter seul(e) : le/la partenaire n’est pas obligé(e) d’être là, même si cela facilite souvent le changement.
En résumé : s’écouter, communiquer, oser demander de l’aide. C’est le trio gagnant pour sortir du brouillard dans lequel enferme la perte de désir liée au stress du quotidien. Vous méritez d’être heureux(se) dans votre corps, votre tête et votre cœur…
Pour plus d’informations et ressources, n’hésitez pas à explorer cet article sur la redécouverte du désir dans le couple.
Comment savoir si mon stress est vraiment responsable de ma perte de désir ?
Si vous constatez que la baisse de libido survient lors de périodes de grande fatigue, d’anxiété ou de surcharge mentale, le stress a probablement un rôle clé. Une consultation chez une sexologue peut vous aider à faire le point et à distinguer ce qui relève du stress ou d’autres facteurs.
Pourquoi la baisse de désir liée au stress est-elle si fréquente aujourd’hui ?
Notre mode de vie actuel privilégie la productivité et la performance, au détriment de la détente et des moments de connexion. Cette pression constante favorise le stress chronique, qui agit négativement sur le désir sexuel chez beaucoup d’adultes.
Quand consulter une sexologue pour perte de désir dans le couple ?
Il est conseillé de consulter dès que la chute de désir devient source de souffrance ou de conflit dans le couple, ou si les changements persistent plusieurs semaines sans amélioration, malgré vos tentatives pour relancer l’envie.
Faut-il consulter à deux ou seul(e) en cas de baisse de libido ?
Les deux sont possibles. De nombreux patients commencent seuls pour comprendre leur ressenti, puis le partenaire peut se joindre au suivi. Parfois, une approche mixte (individuelle et en couple) est la plus efficace pour avancer ensemble.
1. Clay, Zanna et al., "Stress and Human Sexual Motivation", Hormones and Behavior, 2018
Résumé : Étude sur les mécanismes hormonaux reliant stress chronique et baisse de motivation sexuelle.
2. Brotto, Lori et al., "Psychological and Interpersonal Factors in Sexual Desire", Current Sexual Health Reports, 2017
Résumé : Analyse des facteurs psychologiques et sociaux intervenant dans la baisse du désir, stress inclus.
3. Basson, Rosemary, "Women's Sexual Dysfunction: Revised and Partially New Definitions and Classifications", Journal of Sex & Marital Therapy, 2022
Résumé : Nouvelles définitions du trouble du désir, avec focus sur l’impact du mode de vie et du stress.
4. Klotz, L. et al., "Impact of Chronic Stress on Sexual Function", European Urology Focus, 2021
Résumé : Mise au point clinique sur le stress chronique comme principal facteur de troubles sexuels masculins et féminins.