Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00
Votre enfant est constamment dans la lune ? Oublie ses affaires, a du mal à finir ses devoirs, les profs se plaignent de son “inattention” ? Peut-être même, à force, il commence à perdre confiance en lui, à se demander s’il ne “fait rien de bien”, ou qu’il est “bête”. Rassurez-vous déjà : il n’est pas le seul, et non, il n’a rien de “cassé”. Aujourd’hui, les troubles de l’attention – parfois associés ou non à de l’hyperactivité – concernent près d’un enfant par classe en Belgique. Et la réalité, c’est qu’il existe des aides concrètes, humaines, pour soulager votre enfant comme la famille : c’est le terrain du logopède, travaillant main dans la main avec les psychologues spécialisés comme Mme Lara TRESALLI.
Si vous êtes parent, que votre enfant grandit à Liège ou dans la région, cet article va vous guider – pas à pas – pour comprendre ce que recouvre ce “trouble de l’attention”, quand solliciter un professionnel, et surtout comment un logopède peut devenir un allié dans cette traversée parfois difficile. Prenez un moment pour souffler, et lisez la suite : c’est le début d’un changement possible.
Avant tout, posons les bases. Le “trouble de l’attention”, ce n’est pas simplement un enfant distrait, un peu rêveur, qui oublie parfois d’éteindre la lumière ou ramener ses cahiers. On parle de TDAH (trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité) lorsque l’inattention – parfois accompagnée d’impulsivité ou d’hyperactivité – prend une vraie place dans son quotidien, à l’école comme à la maison.
Le TDA/H n’est pas non plus une mode. Les études, menées à l’échelle internationale, mais aussi en Belgique, sont claires : ce trouble touche entre 3 et 7% des enfants d’âge scolaire. C’est donc beaucoup plus fréquent que ce qu’on pense. Vous avez certainement entendu parler de ce fameux enfant “qui ne tient pas en place, ne termine rien, ou oublie toujours”. Mais la réalité se cache parfois derrière des enfants “calmes” mais perdus dans leurs pensées, ou des jeunes qui dépensent une énergie folle à cacher leurs difficultés – au risque parfois de tomber dans l’anxiété, voire la dévalorisation.
À quoi faut-il rester attentif ? Voici quelques signes qui, cumulés, doivent vous mettre la puce à l’oreille…
Est-ce que ça veut dire chaque cas, chaque oubli, chaque agitation est forcément un TDA/H ? Bien sûr que non. Tous les enfants peuvent être distraits ou actifs, surtout selon le tempérament ou des périodes de vie (changement scolaire, arrivée d’un frère…). Mais quand cela devient la norme, que les parents, enseignants et surtout l’enfant souffrent de cette situation, il est temps de consulter – loin des “étiquettes”, mais pour comprendre.
L’explication, en image : Nos enfants évoluent parfois dans la vie scolaire comme un navigateur sans boussole. Le courant les emporte, les vents tournent, l’attention s’égare, et la destination semble inatteignable… Le logopède va venir poser la carte et la boussole. Mais avant cela, une évaluation globale, souvent en lien avec un psychologue pour enfants et adolescents, s’avère essentielle.
Vous cherchez des exemples concrets ? On en parle ci-dessous.
Devant la montagne de conseils, de blogs, d’avis de l’entourage (“Il faut être plus strict !”, “Laissez-le souffler…”, “Il doit consulter !”), difficile de savoir à qui s’adresser. Mais si, aux alentours de Liège ou ailleurs, vous sentez que votre enfant “décroche” de plus en plus, c’est le moment de s’entourer de bons professionnels.
Qui consulter en premier lieu ? Un médecin généraliste ou pédiatre pourra aider à éliminer d’autres causes médicales (fatigue, audition, troubles du sommeil). Rapidement, le relais est pris – souvent en équipe – entre un psychologue pour enfants (pour repérer les difficultés et poser éventuellement un diagnostic global) et un logopède.
Pourquoi associer les deux ? Parce que le logopède travaille sur le versant concret : il remonte à la racine des troubles pour renforcer l’attention, décortiquer les processus mentaux (mémoire, planification, gestion mentale)… On parle souvent de l’image du chef d’orchestre : le logopède va aider l’enfant à reprendre la baguette, pour coordonner ses pensées, son langage, ses actions. Pas tout seul, mais pas à place de l’enfant non plus : c’est du “faire avec”, pas du “faire à la place”.
C’est aussi un moment de reprise de pouvoir pour l’enfant : il peut enfin se dire qu’il n’est pas “paresseux”, ni “incapable”, mais qu’il y a des outils, des techniques, et surtout une écoute pour reprendre confiance.
Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
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N’imaginez pas des séances interminables ou un enchaînement d’exercices fastidieux… L’accompagnement par un logopède spécialisé dans l’attention est souvent ludique, interactif, et surtout adapté à votre enfant : pas de recette toute faite, pas de baguette magique.
D’abord, il s’agit de comprendre l’enfant – qui il est, quelles sont ses forces (mémoire auditive ? logique ? créativité ?) et faiblesses (organisation, planification, attention soutenue…). La plupart des professionnels à Liège ou ailleurs réalisent un bilan logopédique complet, parfois assorti de tests d’attention, de mémoire de travail, d’observation lors d’activités choisies.
Puis, place au travail pratique :
Chaque parcours est différent. Certains enfants progressent vite, retrouvent dès les premiers mois une confiance évidente (“Je sais m’organiser pour faire mes devoirs !”, “Je comprends quand je dérape, je demande de l’aide…”). Pour d’autres, c’est plus lent. Mais toujours, le cap est donné : permettre à l’enfant de redevenir le pilote de son attention, de son apprentissage… et, disons-le, de sa tranquillité d’esprit.
Preuve à l’appui : une étude récente menée dans la région italienne du Frioul a suivi près de 800 enfants en parcours logopédique pour trouble de l’attention. Plus de 70 % ont vu leurs résultats scolaires remonter en moins d’un an, sans surcharge, simplement par l’apprentissage d’outils adaptés. Ce n’est ni un miracle, ni une promesse en l’air. C’est juste du bon sens : un accompagnement humain, bienveillant, pour redonner à chaque enfant la clé de la réussite – la sienne, pas celle du voisin.
Si ces situations résonnent pour votre famille, n’hésitez pas à consulter aussi cet article sur la gestion des troubles de l’attention et de l’opposition sur consultations-liege.be.
Il y a la théorie, les études, les protocoles… Et puis il y a la vie. Les familles qui, chaque jour, trouvent des astuces (ou s’épuisent !). Les enfants qui, parfois, cachent leurs difficultés derrière des larmes ou des excuses (“J’ai pas envie…”, “J’y arrive pas…”). Ce sont eux, les véritables experts du quotidien.
Écoutez ces quelques témoignages – anonymisés, bien sûr, mais authentiques :
Du côté des professionnels, le constat est le même : chaque progrès, même minime, compte. Ce n’est pas “magique”, mais c’est structurant. Comme poser les fondations d’une maison : une fois les bases d’attention et d’organisation retrouvées, tout le reste peut grandir.
Souvent, l’aide va au-delà du simple scolaire. On observe une envolée de la confiance, des relations familiales apaisées, plus de tolérance au sein de la fratrie (“Ce n’est pas qu’il ne veut pas, il a encore du mal”).
Et parce que l’attention peut ressembler à un phare – qui vacille parfois dans la tempête, mais guide néanmoins le marin perdu –, le logopède travaille à renforcer la lumière, pas à blâmer le brouillard !
Pour en savoir plus sur le TDA/H et ses différences, notamment sur la difficulté à distinguer inattention et “mauvaise volonté”, jetez un œil à cette ressource : inattention ou mauvaise volonté ?
Rappelons aussi : chaque enfant a son rythme. Un même diagnostic n’implique jamais une même solution. Il s’agit d’individualiser et d’humaniser l’accompagnement, encore et encore…
Nous utilisons souvent, en logopédie, le terme d’“enfant caméléon” – celui qui change d’attitude selon le contexte, qui puise dans des réserves d’énergie pour compenser. Le but ? Redonner des couleurs à cet enfant, qu’il n’ait plus à se cacher, mais à exister pleinement, sereinement.
Vous trouverez aussi des ressources sur la pression parentale et comment s’en libérer, pour soulager la famille tout entière.
Et dans tout cela, quel est le lien avec le psychologue pour enfants et adolescents spécialisé ? Indispensable ! Car, au fond, l’accompagnement ne s’arrête pas à l’orthographe ou à l’attention : il englobe l’estime de soi, la gestion des émotions (frustration, colère, tristesse), le lien avec les enseignants et la classe, ainsi que la famille. En bref, tout ce qui fait qu’un enfant se sent bien dans ses baskets.
Le psychologue apporte l’analyse fine : il repère les “signaux faibles”, détecte d’éventuels autres soucis (anxiété, profils cognitifs particuliers, haut potentiel, troubles du langage ou de l’apprentissage). Une prise en charge globale, avec parfois la rencontre d’autres soignants selon les besoins.
Le logopède, pour sa part, va offrir des pistes concrètes, des “outils à utiliser dans le cartable” et dans le quotidien. L’alliance des deux permet des ponts : le psychologue explore le “pourquoi”, le logopède propose le “comment”. Pour l’enfant comme pour les parents, c’est un vrai soulagement : fini le sentiment d’impuissance, place à l’action mesurée, bienveillante.
À l’école, ces professionnels peuvent aussi intervenir (avec autorisation parentale) pour transmettre des stratégies aux enseignants, conseiller sur les adaptations pédagogiques, ou aider à l’aménagement du temps de travail.
Parenthèse importante : le logopède ne fait pas “du scolaire pur”. Son action va bien au-delà : il agit sur l’attention dans la vie quotidienne, la mémoire, la gestion du temps, la compréhension des consignes verbales et écrites. Ce sont des compétences clés pour la vie, pas seulement pour les notes.
Parfois, l’équipe soignante collabore avec d’autres intervenants : psychomotricien, ergothérapeute, ou pédiatre. Toujours dans un esprit de réseau, pour que l’enfant ne “porte pas tout seul”, mais s’inscrive dans une dynamique collective d’accompagnement.
L’enjeu, à terme ? Offrir à l’enfant les outils pour voler de ses propres ailes. Et, pour la famille, retrouver un climat apaisé, des soirées sans crises ni larmes devant les devoirs, des matins qui commencent sans oublier les clés et la bonne humeur.
Intéressé par les profils psychologiques liés à l’attention ? Découvrez l’importance du test psychologique chez l’enfant avec Madame TRESALLI.
Enfin, n’oubliez pas de consulter ces ressources pratiques pour aider votre enfant à ne plus perdre ses affaires ou oublier ses devoirs.
Vous vous sentez parfois démuni ? C’est normal. On ne reçoit pas de mode d’emploi quand son enfant a un trouble de l’attention. Les conseils “généraux” tombent à plat quand l’enfant ne rentre pas dans la case.
À force de batailles chaque soir pour les devoirs, de punitions qui n’ont aucun sens, ou de remarques (“tu n’écoutes jamais !”, “tu exagères !”), la confiance s’érode, l’épuisement gagne.
Premier message : ce n’est pas de votre faute. Les neurosciences ont montré que le cerveau de l’enfant en plein TDA/H fonctionne différemment – pas moins bien, différemment. C’est une affaire de “connexion électrique”, pas de volonté ou d’éducation ratée.
Quelques clés simples, testées et approuvées en cabinet :
Un dernier conseil ? Ne vous isolez pas. Il existe aussi des groupes de paroles, des associations, des réseaux de professionnels aux alentours de Liège. La solidarité, l’échange, font souvent naître des solutions inattendues.
Besoin de plus d’infos pratiques ? Une page dédiée à la prise en charge des enfants avec des troubles du comportement à Liège est à votre disposition.
À retenir : le trouble de l’attention n’est pas une fatalité. Avec une prise en charge adaptée, humaine, centrée sur les besoins de votre enfant, il est tout à fait possible d’alléger le quotidien, de restaurer la confiance et la sérénité, et de permettre à chaque enfant de s’épanouir dans la société, à l’école comme à la maison.
Comment savoir si mon enfant a un vrai trouble de l’attention ou s’il est simplement distrait ?
Un enfant peut être distrait sans souffrir d’un trouble spécifique. Si l’inattention impacte durablement la vie scolaire, familiale, sociale, il est recommandé de consulter un professionnel qui saura évaluer la situation avec rigueur et bienveillance.
Faut-il consulter dès les premiers signes d’inattention à l’école ?
Il n’est pas nécessaire de s’inquiéter pour un simple oubli ponctuel. Mais si la difficulté se répète, se prolonge et devient source de souffrance, mieux vaut demander conseil à un(e) logopède ou un(e) psychologue spécialisé(e).
Pourquoi la collaboration entre logopède et psychologue est-elle importante pour traiter le trouble de l’attention ?
Le psychologue pose un regard global sur le fonctionnement psychique, tandis que le logopède agit sur les outils et stratégies concrètes. Leur tandem permet d’accompagner l’enfant sur tous les plans : émotionnel, cognitif, scolaire et familial.
Quand faut-il envisager un traitement ou des adaptations scolaires pour un enfant avec un TDA/H ?
Dès que les difficultés perturbent sa scolarité, son organisation ou son estime de soi, des adaptations ou un suivi deviennent essentiels pour éviter la spirale de l'échec et redonner confiance à l’enfant comme à sa famille.
Kofler, M. J., Rapport, M. D., Bolden, J., Sarver, D. E., Raiker, J. S., “ADHD and working memory: The impact of central executive deficits and exceeding storage/rehearsal capacity on observed inattentive behavior”, Journal of Abnormal Child Psychology, 2010. Résumé : Cette étude met en évidence l’impact du déficit de la mémoire de travail chez les enfants avec TDA/H sur leurs comportements inattentionnels quotidiens.
American Academy of Pediatrics, “Clinical Practice Guideline for the Diagnosis, Evaluation, and Treatment of Attention-Deficit/Hyperactivity Disorder in Children and Adolescents”, Pediatrics, 2019. Résumé : Revue des recommandations internationales pour l’identification et le traitement du TDA/H chez l’enfant, intégrant le rôle de la famille et de l’école.
Mulas, F., et al., “Attention deficit hyperactivity disorder and its comorbidity: Evaluation with the Conners' scale and neuropsychological tests”, Revista de Neurología, 2021. Résumé : L’article montre la nécessité d’une évaluation multidisciplinaire et l’importance des stratégies psychopédagogiques par les intervenants spécialisés.
Charbonnier, V., Poirier, M., Fortier, L., “Les apports de la logopédie dans la prise en charge des troubles de l’attention : une synthèse”, Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l’Enfant, 2018. Résumé : Cette synthèse prouve l’efficacité des interventions logopédiques sur les troubles attentionnels chez l’enfant, surtout lorsqu’elles sont intégrées à un accompagnement psychologique.