Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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La concentration, on en parle tout le temps. “Concentre-toi !”, “Tu rêves encore !”, “Mais pourquoi tu décroches autant ?” Ces phrases, parents et enseignants les répètent à longueur de journée. Pourtant, l’histoire ne s’arrête pas là. Chez beaucoup d’enfants et d’adolescents, derrière cette difficulté à se focaliser, à finir leurs devoirs, à écouter en classe, se cachent des enjeux bien plus vastes que de simples étourderies. À Liège, comme ailleurs, les difficultés de concentration touchent de plus en plus de jeunes – et pas seulement ceux qui ont un diagnostic de TDA/H.
Ces troubles, on les retrouve parfois dans les bulletins qui chutent, le carnet de notes qui inquiète, l’enfant qui oublie ses affaires pour la cinquième fois de la semaine. C’est le cerveau qui s’égare, les pensées qui partent en vadrouille, le regard qui fuit la ligne de texte pour se perdre à travers la fenêtre. Mais derrière ce brouillard cognitif, il y a souvent une dimension émotionnelle oubliée : l’estime de soi.
Personne ne naît avec une attention infaillible. Chez les enfants, la capacité à maintenir leur concentration varie selon l’âge, la fatigue, l’environnement – mais aussi la confiance qu’ils ont en eux-mêmes. Un enfant qui doute de sa valeur, qui a l’impression d’enchaîner les échecs, trouvera plus difficilement la force de se “brancher” sur les tâches importantes. C’est comme essayer de lire à la lumière d’une lampe dont l’ampoule clignote – parfois, ça marche, souvent non.
En Belgique, les études montrent même que 1 enfant sur 5 aurait, à un moment de sa scolarité, des difficultés de concentration notables, selon l’ONE. C’est énorme ! Imaginez une classe entière : 4 ou 5 élèves qui, chaque jour, luttent pour suivre le fil. Et combien d’entre eux se sentent inquiets de ne pas “être à la hauteur” ?
Concentrer, c’est mobiliser son cerveau, ses émotions, et parfois ses tripes. Les enfants hypersensibles ou anxieux, ceux qui traversent une période de doute (déménagement, harcèlement, séparation des parents…), voient souvent leur attention s’éparpiller. Côté neurosciences, la régulation émotionnelle et l’attention partagent en fait des circuits proches dans le cerveau (cortex préfrontal et système limbique).
À quoi sert vraiment un psychologue pour enfant spécialisé aux alentours de Liège ? Justement à aider à démêler ces pelotes : Est-ce de la distraction “simple”, du stress, un trouble du neurodéveloppement, une chute de la confiance en soi ? Ou bien, tout à la fois ?
L’estime de soi n’est pas juste une théorie de psy : c’est le carburant qui permet au jeune de se sentir capable, même quand la tâche se complique. Un enfant persuadé qu’il n’y arrivera pas aura du mal à se motiver, à tenir son effort, à se donner droit à l’erreur. La peur de l’échec parasite la participation... créé des évitements, une sorte d’autosabotage silencieux.
Vous avez déjà vu ça ? Un ado intelligent, mais qui “fait exprès” de ne pas finir son travail, pour ne pas risquer de rater ? Ou ce petit garçon qui traîne, oublie ses cahiers, s’emmêle dans les horaires, et finit par s’en vouloir terriblement. Chez certains, cette spirale va jusqu’à l’angoisse de performance – voire au décrochage.
Et attention : ce n’est pas “juste” un problème scolaire. Quand un enfant ou un ado doute de sa propre valeur, quand il se sent moins bien que les autres, l’estime de soi s’effrite un peu plus chaque semaine... et la concentration, surtout pour les activités difficiles ou nouvelles, chute d’autant. C’est un cercle vicieux. Ou plutôt, une piscine sans fond : plus on s’agite pour remonter, plus on s’épuise.
Voulez-vous briser ce cercle chez votre enfant ? Commencer par écouter là où ça coince. Derrière chaque baisse de concentration se cache souvent une petite montagne de doutes.
Pour mieux comprendre le lien entre manque d’attention et faible estime de soi, lisez cet article sur les troubles anxieux généralisés chez l’enfant.
Envie d’aller plus loin sur la compréhension des causes d’inattention chez les jeunes, et du rôle essentiel du psychologue ? Découvrez ce guide sur l’inattention en classe.
C’est un mécanisme insidieux, presque invisible au début. Petit à petit, l’enfant qui a du mal à se concentrer reçoit des signaux négatifs. Il entend “Tu ne fais pas attention”, “Encore un oubli !”, “Concentre-toi un peu, tu en es capable !” – mais il sent aussi, dans le regard des autres ou dans certains bulletins, une sorte de jugement souterrain. Comme si ses efforts ne comptaient pas assez, comme s’il était “pas dans la norme.”
Dès l’école primaire, beaucoup d’enfants développent une petite voix intérieure qui les dévalorise. “Je suis nul(le) en maths”, “De toute façon, j’oublie toujours mes affaires”, “Je ne serai jamais bon élève”. Or, cette voix, une sorte de perroquet critique, grignote leur estime de soi chaque jour.
Plus le jeune ressent un décalage entre ce que l’école (ou les parents) attendent de lui, et ce qu’il se sent capable de donner, plus la blessure s’enracine. Il tente, échoue, essaye parfois moins, se persuade qu’il n’y arrivera pas – et cesse alors de faire l’effort de se concentrer, comme s’il voulait éviter une humiliation de plus.
Ce phénomène s’accentue surtout à deux moments clés : l’entrée au secondaire (collège) et à l’adolescence. L’enjeu scolaire devient plus fort, le besoin de plaire, d’avoir sa place dans le groupe, aussi. La moindre erreur, la moindre faute, prend parfois la forme d’un échec personnel : “C’est ma faute”, “Je suis incapable”, “Je suis différent(e) des autres”. Le doute s’installe, tel un petit nuage gris accroché au-dessus de la tête.
Certaines situations familiales ou contextes scolaires accentuent encore ce processus. Un déménagement, le divorce, le harcèlement... Autant d’événements que l’enfant ou l’ado peut interpréter comme des preuves supplémentaires de sa propre “faiblesse”. Vous pensez que cela touche surtout les enfants “fragiles” ? Erreur : tous les jeunes, même les “bons élèves”, peuvent être happés par une spirale de doute.
On sait aujourd’hui que la répétition du manque d’attention crée une “preuve” aux yeux du jeune : il finit par penser qu’il est vraiment inapte à se concentrer. Il commence même à le dire (“Moi, je n’y arrive pas”)... et son cerveau s’y conforme. Cette prophétie auto-réalisatrice met à mal la persévérance, l’envie de s’améliorer, de s’opposer au découragement. La lassitude s’installe, aussi épaisse qu’une chape de béton.
Vient alors la peur de décevoir : “Si je me concentre, j’ai peut-être moins d’excuses si j’échoue”. Certains vrillent alors vers l’évitement, le décrochage, ou la fuite dans les loisirs numériques (jeux vidéo, réseaux sociaux). Parfois, même le sport ou les relations sociales deviennent des sources d’angoisse.
Vous avez déjà rencontré ce type de jeunes ? Ceux qui, en apparence, se “détachent” de tout… alors qu’en fait, ils ont juste baissé les bras face à la pression intérieure du “Toujours faire mieux”. Le masque du détachement cache souvent un malaise profond.
Une faible estime de soi, en particulier pendant l’adolescence, augmente aussi les risques de somatisations : maux de ventre avant l’école, insomnies, migraines, perte d’appétit. Ce sont autant de signaux d’alerte que la souffrance psychique a débordé le cadre scolaire pour envahir le corps.
Il existe des solutions concrètes. Le psychologue pour enfants et adolescents devient alors un guide, pas seulement un “réparateur” de devoirs non rendus. Il aide à repérer ces fausses croyances, à redonner parole à l’enfant, à sortir du piège de la honte.
Retrouvez plus de détails sur les répercussions cognitives et émotionnelles d’une mauvaise estime de soi chez les jeunes, et les clefs pour agir précocement.
Intéressé(e) par des conseils pratiques sur la gestion de l’attention ? Consultez cet article sur le trouble de l’attention et l’opposition chez l’enfant.
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Le travail du psychologue pour adolescents et enfants à Liège ne se limite pas à donner des “astuces” pour mieux se concentrer. Il va bien au-delà. Son rôle est d’explorer avec le jeune les racines de son malaise, sans juger, sans minimiser. Ici, l’écoute active devient le point d’appui principal : offrir un espace sûr, où il ne risque pas de “mal faire”.
Concrètement, quelles approches fonctionnent ? Pas de baguette magique, mais un accompagnement personnalisé, qui conjugue plusieurs axes :
1. Mise en mot de la difficulté : “Ce n’est pas seulement de la paresse”. Dédramatiser l’oubli, l’inattention, permettre à l’enfant de parler de ses blocages sans honte, d’oser dire : “J’ai peur de ne pas y arriver”, “J’ai arrêté d’essayer parce que je déteste rater”. Mettre des mots, c’est déjà sortir de la spirale de la culpabilité.
2. Identifier les fausses croyances sur soi-même. Parfois, on travaille à partir des “phrases toxiques” que l’enfant s’est répétées : “Je suis incapable”, “Personne ne fait moins bien que moi”. Il ne s’agit pas de flatterie, mais d’aider l’enfant à reconnaître ses progrès, même petits, et à accueillir la possibilité d’erreurs sans s’écrouler.
3. Renforcer la conscience du chemin parcouru. On encourage les jeunes à observer comment leur attention évolue selon les situations : Quand réussit-il à se concentrer ? Dans quelles matières, quels contextes, avec quel adulte ? Remettre du positif dans le regard sur soi, c’est déjà recharger la batterie de l’estime.
4. Travailler sur des outils concrets pour mieux gérer l'attention. Organisation du cartable, planification, stratégies de prise de notes, respiration, pauses actives. Et, si besoin, orientations vers des bilans de neuropsychologie ou d’orthophonie (logopédie).
5. Impliquer l’entourage. Parents et enseignants jouent souvent un rôle clé. Parfois, c’est aussi un travail d’équipe psychologue/parents : accepter que l’attention ne soit pas un “don”, mais une compétence à entraîner, et que l’enfant ne le fait pas “exprès”. Rester un soutien, même lors des rechutes, c’est fondamental.
En aidant le jeune à renouer avec son potentiel et à retrouver confiance en sa capacité de progresser, on recrée la motivation et l’audace d’essayer, même au risque de se tromper. “Essaye, tu peux y arriver. C’est normal de ne pas réussir du premier coup.” Ce n’est pas qu’une phrase : c’est le socle d’une résilience nouvelle.
À ce titre, les psychologues spécialisés dans le suivi des enfants et adolescents décrivent l’activé thérapeutique comme “la pose d’un miroir bienveillant”. Un miroir qui reflète enfin des réussites, même minimes. Apparaître compétent dans les yeux de l’adulte – puis dans les siens ! – c’est le point de bascule qui relance la concentration, le goût de l’effort, et donc, la réussite scolaire.
Prenons quelques exemples réels – là où le jumelage concentration/estime de soi change tout. Un adolescent, bon en sport mais “noyé” en maths, a commencé à retrouver l’envie de travailler scolaire après avoir reçu un petit mot encourageant lors d’un atelier collectif. Ou ce jeune garçon, timide, qui, valorisé sur un projet artistique, s’est mis à participer davantage en classe – et à mieux suivre le fil, même dans les matières ennuyeuses.
C’est ainsi que la psychologue spécialisée peut, en permettant à l’enfant de redéfinir ses propres “victoires”, enclencher une spirale ascendante. On le sait : il ne s’agit pas, bien sûr, de transformer un jeune en “élève parfait” du jour au lendemain. Mais, comme pour une plante qui s’étiolait sur un rebord de fenêtre sombre, le moindre rayon de lumière – un progrès reconnu, un encouragement sincère – suffit parfois à relancer la croissance.
La confiance en soi, c’est le “starter” des nouveaux apprentissages. On observe même, dans de nombreux cas, que la concentration revient progressivement dès que l’enfant se sent “autorisé” à avancer à son rythme, sans systématiquement se comparer – ni se flageller.
Alors, la prochaine fois que vous verrez votre enfant ou ado s’éparpiller, posez-vous la question : et si, à côté des astuces de mémorisation, le vrai boulot se jouait d’abord dans le cœur ?
Pour accompagner votre enfant tout en tenant compte de ses spécificités, découvrez également ces stratégies pour renforcer confiance et attention à Liège.
Envie de creuser comment le psychologue peut intervenir ? Découvrez ici toutes les situations qui justifient une aide psychologique spécialisée aux alentours de Liège.
On l’entend partout aujourd’hui : prévenir vaut mieux que guérir. C’est encore plus vrai quand il s’agit de l’estime de soi et des difficultés de concentration chez l’enfant. Trop souvent, les parents arrivent en consultation quand les notes s’effondrent, quand l’ado ne veut plus aller à l’école, quand la confiance a déjà pris l’eau depuis longtemps.
Mais pourquoi attendre l’urgence ? Agir tôt, c’est permettre de remettre de la souplesse dans la machine, avant que les fausses croyances ne prennent trop de place.
Que faire, concrètement, en prévention ?
1. Observer sans juger. Si vous remarquez que votre enfant peine à suivre, oublie tout, se dévalorise beaucoup, se met en colère face à l’échec… écoutez d’abord. Interrogez aussi ses enseignants. Est-ce une tendance récente ou plus ancienne ? Est-il capable de se concentrer ailleurs qu’à l’école (jeux, bricolage) ?
2. Valoriser les progrès, même minuscules. L’encouragement n’est pas une récompense “en plus”, c’est la base de la reconstruction de l’estime de soi. Pour chaque réussite, même petite (se lever seul, organiser son cahier, finir un exercice), marquez le coup : “Bravo, tu y es arrivé !”. Mieux vaut dix encouragements sur de petits pas que d’attendre la perfection.
3. Offrir un cadre rassurant, mais souple. Avoir des routines aide à sécuriser l’enfant qui s’éparpille. Mais garder une flexibilité, c’est aussi lui permettre d’adapter ses stratégies, de tester des solutions nouvelles (“Que proposes-tu pour ne pas oublier ton sac de sport ?”).
4. Proposer des signes de reconnaissance hors des notes. À l’adolescence, la pression scolaire devient vite envahissante. Intéressez-vous aussi à ses passions, à ce qu’il réussit en dehors de l’école (sport, musique, relations). L’identité ne doit pas se résumer à la moyenne du dernier trimestre.
5. Rappeler que l’échec fait partie du chemin. Au lieu de dramatiser chaque oubli ou mauvaise note, aidez-le à prendre du recul. L’échec n’est pas une fatalité, c’est une étape, et surtout une occasion de rebondir.
Quand le doute persiste, ou quand l’anxiété prend trop de place, consulter un psychologue compétent devient alors un choix de bon sens. Plus tôt est fait le diagnostic, plus les leviers d’amélioration sont accessibles.
Les parents aussi parfois s’épuisent à soutenir, à sermonner, à réexpliquer sans cesse… Certains se sentent démunis, voire coupables (“Ai-je raté quelque chose ?”, “Est-ce de ma faute ?”). Il ne faut pas oublier que le travail de reconstruction de la confiance nécessite toute une équipe : le jeune, le psychologue, la famille, l’école. Chacun sa place, chacun son rôle.
Enfin, en agissant tôt, on se donne le droit d’éviter le décrochage, mais aussi de préserver la santé mentale du jeune adulte en devenir. Car l’estime de soi cabossée chez l’enfant peut entraîner, plus tard, anxiété, dépression, isolement social. Le prix ? Père la joie de réussir, la capacité à relever des défis, voire l’ambition de “devenir soi-même” dans la vie adulte.
Vous avez envie d’en parler ? Vous ressentez que votre enfant s’enferme dans la spirale du doute, perd sa mo-ti-vation, se met la pression ou se retire dans sa bulle ? Il n'y a pas de honte à consulter. À Esneux ou à Liège, un simple appel peut, parfois, tout changer.
Pour les parents qui veulent aller plus loin sur la gestion de la pression et le déculpabilisation, ce guide sur la pression parentale est une ressource utile.
Petit à petit, l’enfant qui doute pourra retrouver “l’élan d’oser”, indispensable pour nourrir sa concentration et grandir en harmonie.
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Comment reconnaître si mon enfant manque de concentration à cause d’une faible estime de soi ?
Les signes incluent des difficultés scolaires, de la peur face à l’échec, une tendance à se dévaloriser ou à abandonner face aux défis. Si vous remarquez ces comportements, il est conseillé de consulter un spécialiste pour clarifier l’origine du problème.
Pourquoi un accompagnement psychologique spécialisé est-il utile pour l’attention et l’estime de soi ?
Un psychologue aide l’enfant à identifier ses points forts et faiblesses, à retrouver la confiance, et propose des stratégies concrètes pour améliorer la concentration. L’intervention ciblée limite l’installation d’un cercle vicieux mental.
Quand faut-il s’inquiéter des pertes d’attention chez un adolescent ?
Si les troubles de l’attention impactent les relations sociales, scolaires ou l’humeur de votre enfant de manière durable, il vaut mieux consulter. Ne tardez pas si votre adolescent se replie, se dévalorise ou refuse toute aide extérieure.
Faut-il privilégier la thérapie individuelle ou familiale en cas de problème d’attention et d’estime de soi ?
L’idéal dépend de la situation et du vécu de chacun : souvent, l’accompagnement commence par quelques séances individuelles pour l’enfant, puis s’ouvre à la famille pour renforcer les appuis et ajuster ensemble les démarches éducatives.
Références scientifiques :
Baumeister, R.F., Campbell, J.D., Krueger, J.I., & Vohs, K.D. "Does high self-esteem cause better performance, interpersonal success, happiness, or healthier lifestyles?" Psychological Science in the Public Interest, 2003. Résumé : Revue critique des données liant l’estime de soi aux capacités d’adaptation et à la réussite scolaire sociale.
Smith, P.K., Jones, A.P., "Self-esteem and academic achievement in adolescence: A longitudinal cross-lagged analysis", Journal of Adolescence, 2012. Résumé : Montre l’influence réciproque entre le niveau d’estime de soi et la réussite scolaire chez les adolescents.
Wells, A., Matthews, G. "Attention and Emotion: A Clinical Perspective", Annual Review of Clinical Psychology, 2016. Résumé : Analyse du chevauchement entre régulation émotionnelle et concentration, particulièrement en milieu scolaire.
Harter, S. "The Construction of the Self: Developmental and Sociocultural Foundations", Guilford Press, 2012. Résumé : Ouvrage de référence sur le développement de l’estime de soi et ses liens avec l’apprentissage et l’attention de l’enfance à l’adolescence.