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Liège : Comment renforcer confiance en soi et attention des enfants : stratégies d'accompagnement efficient chez Mme Lara TRESALLI

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0494 58 17 54

Liège : Confiance en soi et attention : comment renforcer les deux chez l’enfant

La confiance en soi et l'attention chez l’enfant se révèlent être les deux piliers fondamentaux de l’équilibre psychologique et de l’épanouissement au quotidien. Qu’il s’agisse d’un élève qui prend la parole avec aisance en classe, d’un adolescent qui ose défendre ses idées, ou d’un jeune qui parvient à rester concentré malgré l’agitation, ces deux compétences sont au cœur du développement social, scolaire et émotionnel des enfants. Pourtant, de nombreux parents, enseignants ou éducateurs observent, parfois impuissants, des défis constants sur l’un ou les deux aspects. À Liège et partout en Belgique, de plus en plus de familles se tournent vers l’accompagnement spécialisé pour aider leurs enfants à mieux se connaître, à s’écouter et à progresser dans leur rapport à soi-même comme dans leur capacité à se concentrer.

Le rôle du psychologue pour enfants et adolescents devient déterminant pour agir de manière ciblée. La dynamique entre manque de confiance, difficultés d’attention et retentissement scolaire ou social n’est pas une fatalité. Des méthodes validées existent pour encourager chaque jeune à s’épanouir pleinement et à affronter le monde avec assurance et lucidité. Cet article propose de décrypter l’importance de ces deux dimensions, de comprendre les mécanismes qui peuvent les mettre à mal, et surtout de mettre en lumière des stratégies concrètes pour fortifier à la fois la confiance en soi et l’attention chez les enfants, dans une perspective globale de santé mentale et de réussite éducative.

Comprendre le lien essentiel entre confiance en soi et attention chez l’enfant

La confiance en soi représente, dès l’enfance, le socle de toute croissance affective, sociale et scolaire réussie. Elle renvoie à l’estime que l’enfant se porte, au sentiment qu’il est capable de réussir, de s’adapter, d’affronter les défis, de s’accepter dans ses différences et ses limites. Cette construction s’amorce précocement, dès les premiers liens d’attachement familiaux, puis s’affine au contact du groupe de pairs, de l’école, du jeu, et des premières expériences d’autonomie. Plus un jeune pense être apte à surmonter les difficultés, à s’exprimer et à occuper une place unique, plus il pourra explorer avec curiosité et enthousiasme le monde qui l’entoure.

L’attention, quant à elle, désigne l’ensemble des capacités cognitives qui permettent à l’enfant d’orienter de manière volontaire et efficace ses pensées et ses actions vers un but précis. Il s’agit de la vigilance, de la concentration, de la mémoire à court terme et de l’inhibition des distractions. Ces fonctions essentielles servent à écouter en classe, à jouer, à se souvenir d’une consigne, à planifier des activités, et à entrer en relation avec les autres. Le développement de l’attention est à la fois fonction du maturité neurologique de l’enfant, mais dépend aussi grandement de son environnement, de la qualité de l’accompagnement parental et éducatif, du rythme de vie et du stress.

Si la confiance en soi et l’attention paraissent de prime abord deux compétences distinctes, leur interdépendance est profonde. Nombre de recherches neuroscientifiques et en psychologie du développement montrent que les enfants qui manquent de confiance en eux présentent plus souvent des difficultés à rester concentrés, à gérer l’impulsivité, à organiser leur pensée. L’inverse est tout aussi vrai : une attention fragile rend plus vulnérable au stress, à l’anxiété de performance, favorise les découragements et les auto-jugements négatifs. Dans les deux directions, ces facteurs génèrent souvent une spirale : plus l’enfant se sent en échec, moins il croit en lui, plus il peine à faire attention, et plus il se sent isolé ou incompris.

La pression de réussite scolaire et sociale, la comparaison constante aux autres, l’explosion des sollicitations numériques rendent aujourd’hui ces enjeux d’autant plus cruciaux, surtout aux alentours de Liège où l’offre scolaire est dense et la demande d’accompagnement psychologique en hausse. Pour certains enfants, en particulier ceux avec une sensibilité accrue, des difficultés d’adaptation ou un trouble DYS (dyslexie, dyspraxie, TDA/H), ces obstacles apparaissent tôt et nécessitent d’être pris en charge dans une temporalité adaptée et bienveillante.

Prendre le temps de comprendre le vécu de son enfant, identifier les moments où l’estime s’effondre ou l’attention se disperse, est essentiel pour mettre en place des stratégies qui redonnent du sens, valorisent l’effort, et restaurent la confiance en leurs capacités. Ce regard croisé entre self-esteem et attention invite à agir de façon globale, concertée et durable, là où chaque progrès dans l’une de ces sphères a des répercussions positives sur l’autre.

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

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Identifier et comprendre les signaux d’alerte chez l’enfant

Reconnaître à temps les signes de fragilité de la confiance en soi et de l’attention permet d’éviter l’installation de difficultés durables et la souffrance psychique chez l’enfant. Il existe de nombreux signaux d’alerte, parfois subtils mais qu’il est capital d’apprendre à repérer tôt, que l’on soit parent, enseignant, éducateur ou professionnel de la santé.

Sur le plan de la confiance en soi, les manifestations sont multiples : un enfant qui évite systématiquement les nouveaux défis, qui exprime verbalement ou par son attitude un sentiment d’illégitimité (« je suis nul », « je n’y arriverai jamais »), qui hésite à participer, à exposer ses réponses en classe ou dans des jeux collectifs, qui se montre très dépendant du regard ou de la validation des adultes. À mesure que l’enfant grandit, ce peut être un repli, une agressivité défensive, du perfectionnisme ou une auto-dépréciation récurrente. Chez l’adolescent, l’inhibition sociale, l’évitement, ou au contraire la provocation peuvent aussi traduire cette estime de soi en berne.

Les signes d’une attention fragile se détectent à travers la distractibilité, des oublis fréquents d’objets, des difficultés à respecter une consigne, à terminer un exercice, une incapacité à résister aux stimulations extérieures (bruits, écrans, sollicitations des pairs). Dans certains cas, les enseignants signalent des bavardages excessifs, une agitation ou au contraire un retrait silencieux. Une chute des résultats scolaires, une lenteur inhabituelle dans le travail, des oublis répétés, une tendance à rêvasser ou à changer fréquemment d’activité sont autant de points à surveiller.

Il est important de distinguer un épisode transitoire (lié à un changement d’école, un divorce parental, un deuil ou un déménagement) d’une difficulté persistante qui s’étend sur plusieurs domaines et se prolonge dans le temps. Plusieurs recherches en psychologie développementale insistent sur la nécessité d’impliquer à la fois l’équipe pédagogique et la famille dans l’observation des attitudes de l’enfant, car les signes ne s’expriment pas toujours dans tous les contextes. Parfois, une perte de confiance et d’attention s’exprime d’abord par des signes corporels (maux de ventre, troubles du sommeil, plaintes somatiques), surtout chez les plus jeunes.

Ne pas banaliser ces alertes, éviter de les attribuer à une simple phase ou à de la paresse, est essentiel pour garantir une réponse rapide, adaptée et constructive. C’est ici que l’accompagnement d’un spécialiste tel que le psychologue pour enfants et adolescents prend tout son sens. Son regard extérieur, neutre et bienveillant, permet de poser un diagnostic précis, d’identifier un éventuel trouble du développement ou d’apprendre à décoder ce que vit l’enfant, ce qu’il n’arrive parfois pas à mettre en mots.

Par ailleurs, chez de nombreux enfants, le manque de confiance et les difficultés attentives s’entretiennent mutuellement. L’enfant se sentant incapable de se concentrer verra son estime de soi baisser, ce qui fragilise encore plus ses efforts attentionnels. Il est donc indispensable de penser l’accompagnement de façon intégrée, ciblant simultanément la consolidation de la confiance et de l’attention, plutôt que d’isoler un seul symptôme.

L’écoute active, le questionnement bienveillant, la valorisation des petites réussites et la mise en place d’un cadre stable sont les premiers outils dont disposent adultes et familles pour commencer à changer de perspective. Repérer, agir tôt et mobiliser les bons relais permettent d’éviter les pièges de la stigmatisation, du découragement ou de l’isolement social. Comme le souligne une récente étude publiée en Belgique, l’accompagnement précoce de ces vulnérabilités réduit considérablement le risque de décrochage scolaire, de troubles anxieux et d’apparition de conduites à risque à l’adolescence.

Accompagnement psychologique et stratégies concrètes pour renforcer la confiance en soi et l’attention

Une fois les défis identifiés, l’intervention d’un psychologue pour enfants et adolescents devient un atout précieux pour réhabiliter l’estime de soi et l’attention de chaque jeune. L’accompagnement proposé par Mme Lara TRESALLI, expérimentée dans ce domaine, s’appuie sur les dernières découvertes scientifiques, une grande capacité d’écoute et une démarche personnalisée à chaque enfant.

Le travail thérapeutique s’organise autour de plusieurs axes complémentaires:

1. Restaurer l’estime de soi par l’action et la valorisation du parcours : l’objectif est d’amener l’enfant à prendre conscience de ses forces, même lorsqu’elles sont masquées par les échecs ou l’hésitation. Cela passe par l’identification des réussites (même petites), la verbalisation des sensations positives, la remise en perspective des erreurs (non plus comme des fautes, mais comme des étapes nécessaires à la construction de soi).

Le praticien aide l’enfant à se doter de repères stables : quelles sont mes qualités ? Qu’ai-je réussi à apprendre malgré les difficultés ? À quoi ai-je déjà su faire face par le passé ? Ce processus est essentiel pour sortir de la spirale de la comparaison négative et de l’auto-dévalorisation.

Pédagogiquement, l’implication des parents est fondamentale pour relayer cette démarche à la maison : apprendre à féliciter l’effort plus que le résultat, à valoriser les progrès, à permettre à l’enfant de prendre des décisions adaptées à son âge, et à reconnaître ses émotions sans jugement.

2. Optimiser l’attention par des routines et des exercices personnalisés : renforcer l’attention ne se résume pas à « faire attention » ou à demander à l’enfant de se concentrer. Il s’agit d’instaurer des routines stables (heures de lever et de coucher régulières, limitation des écrans avant le coucher, organisation de l’espace de travail), de proposer des pauses bien définies entre les devoirs, d’alterner activités de concentration et moments de relâchement.

Le psychologue propose souvent des jeux de mémorisation, d’écoute active, des exercices de pleine conscience (respiration, ancrage corporel), ou des activités psychocorporelles adaptées à l’âge. Ces outils, validés scientifiquement, permettent d’exercer la capacité à se fixer un objectif, à maintenir l’effort, à gérer les distractions internes et externes.

Il existe également des programmes spécifiques de remédiation attentionnelle qui s’appuient sur la neuropsychologie. Pour les enfants présentant des troubles tels que le TDAH (trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité), il est parfois utile de pratiquer un bilan cognitif (par exemple un test de QI) afin de mieux comprendre le fonctionnement intellectuel global et d’individualiser les objectifs.

3. Renforcer l’autonomie et la responsabilité : la co-construction du suivi avec l’enfant, la mise en projet, la planification d’étapes intermédiaires participent à installer une dynamique de réussite. Le jeune réinvestit progressivement son rôle d’acteur de son destin, reprend confiance en sa capacité à agir sur le réel, à s’organiser, à gérer les imprévus.

À travers des entretiens individuels, des ateliers de groupe, ou la mise en place de stratégies d’autonomisation à la maison comme à l’école (check-lists, temporisation des écrans, carnet de réussite), l’enfant renoue avec le plaisir d’apprendre, la curiosité et la capacité à s’impliquer pleinement.

4. Prendre soin de l’environnement familial et scolaire : la confiance en soi et l’attention se nourrissent aussi de la qualité des liens familiaux et du climat scolaire. Travailler sur la communication parents-enfants, désamorcer les conflits, instaurer un dialogue régulier sur les émotions, apprendre à écouter sans juger sont autant de pistes pour apaiser, sécuriser et générer un climat de confiance autour de l’enfant.

Le psychologue joue souvent un rôle de médiateur entre l’école et la famille, ce qui favorise la cohérence des objectifs et la continuité des efforts. Un suivi collaboratif au sein de l’équipe éducative (enseignants, PSE, éducateurs) assure que chaque adulte de référence adopte la même posture et adaptation face à l’enfant.

Les résultats de ce type de prise en charge sont maintenant bien documentés : progression du sentiment d’efficacité, réduction de l’anxiété, meilleur investissement scolaire, développement d’un rapport plus serein à l’apprentissage et à l’erreur, augmentation de la motivation et des capacités de concentration. Ces efforts conjugués ouvrent dès l’enfance la voie à l’épanouissement personnel, à la réussite éducative et, à terme, à des relations sociales harmonieuses.

Prévenir et cultiver sur le long terme : des clés pour les parents et professionnels

Agir sur la confiance en soi et l’attention n’est jamais une démarche ponctuelle. Il s’agit d’un processus de longue haleine qui se poursuit tout au long de l’enfance et de l’adolescence. La prévention commence au plus tôt : par l’écoute, le respect du rythme de l’enfant, la valorisation des efforts dès le plus jeune âge, et le maintien d’un environnement porteur, rassurant, exigeant mais sans pression excessive.

Les parents sont les premiers architectes de cette stabilité. Instaurer des rituels, encourager la curiosité, laisser place à l’erreur et à l’expérimentation, expliquer les émotions, modéliser l’auto-bienveillance constituent autant de gestes simples qui, jour après jour, fortifient l’aisance et la concentration du jeune. La culture du feedback positif, la reconnaissance des progrès, l’encouragement à persévérer malgré les difficultés sont essentiels pour combattre le découragement et l’impuissance apprise.

Le rôle des établissements scolaires est lui aussi majeur pour structurer l’attention et restaurer la confiance en soi : adaptation pédagogique pour les besoins spécifiques, mise en place de dispositifs d’aide, reconnaissance de la diversité des profils, supports de remédiation, activités favorisant la coopération et l’expression de soi. Les enseignants, soutenus par les psychologues scolaires, apprennent à déceler et à soutenir les enfants vulnérables, tout en favorisant l’expression de chacun.

L’implication dans des activités extrascolaires a également prouvé son efficacité. Qu’il s’agisse d’activités sportives, artistiques, collectives ou individuelles, ces expériences favorisent la prise de responsabilité, l’engagement volontaire, la gestion de l’effort et du temps, le dépassement de soi. L’enfant découvre d’autres terrains pour s’exprimer, sortir du seul enjeu scolaire, s’autoriser à échouer puis à recommencer.

À l’ère du numérique, il faut également aider les enfants à apprivoiser les écrans de manière saine : encadrer le temps de connexion, expliquer les dangers de la comparaison omniprésente, apprendre à distinguer le vrai et le faux, sensibiliser aux risques des réseaux sociaux sur l’estime de soi. Le psychologue intervient ici comme médiateur et conseiller, orientant vers des usages constructifs, réflexifs et adaptés à chaque âge.

L’entraide parentale, les groupes de soutien, la formation continue des professionnels constituent autant de leviers pour ne pas rester isolé face aux défis éducatifs. Les ressources locales, à Liège comme dans toute la Belgique, se sont multipliées pour répondre aux besoins croissants en matière de santé mentale infantile. Du suivi individuel à la prévention collective, l’enjeu est de faire comprendre à chaque enfant qu’il a droit à l’erreur, que le chemin vers l’épanouissement se construit pas à pas, et qu’un accompagnement adéquat existe à chaque étape.

Pour approfondir ces sujets, vous pouvez consulter aussi notre article « La pression de la parentalité : apprendre à se déculpabiliser » ou explorer la rubrique dédiée à la psychologie pour enfants et adolescents.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si un enfant manque de confiance en soi ou d’attention ?

Un manque de confiance en soi se manifeste souvent par un repli, une hésitation à participer ou des propos auto-dévalorisants. Les difficultés d’attention, quant à elles, se traduisent par de la distraction, des oublis fréquents et des difficultés à terminer les tâches. L’observation régulière de ces attitudes à l’école comme à la maison permet de repérer les signes précoces.

Pourquoi consulter un psychologue pour renforcer la confiance et l’attention chez l’enfant ?

Un psychologue spécialisé permet d’identifier les causes profondes du manque de confiance ou des troubles attentionnels et propose un accompagnement sur mesure. Cela offre à l’enfant un espace sécurisé pour exprimer ses émotions et progresser avec des outils adaptés, tout en soutenant la famille dans son rôle éducatif.

Quand faut-il s’inquiéter des difficultés d’attention chez son enfant ?

Lorsque les difficultés d’attention sont persistantes, affectent la réussite scolaire ou la vie sociale, et ne semblent pas se limiter à une période de stress passager, il est recommandé de demander conseil à un spécialiste. Un repérage et une prise en charge précoce facilitent la progression et évitent une aggravation sur le long terme.

Faut-il impliquer l’école dans l’accompagnement de l’enfant ?

Oui, l’implication de l’école est primordiale pour garantir la cohérence des adaptations et soutenir l’enfant dans tous ses milieux de vie. La collaboration entre psychologue, famille et enseignants maximise les chances de réussite et d’amélioration durable de la confiance en soi et de l’attention.

Références scientifiques

Bracken, B.A., Multidimensional Self-Concept Scale: Assessment of self-concept in children and adolescents, Psychological Assessment, 2003. Résumé : Ce travail présente un inventaire multidimensionnel validé pour l’évaluation de la confiance en soi chez les enfants, soulignant ses corrélations avec le développement scolaire et social.

Klingberg, T. et al., Computerized Training of Working Memory in Children With ADHD—A Randomized, Controlled Trial, Journal of the American Academy of Child & Adolescent Psychiatry, 2005. Résumé : Cette étude montre l’efficacité d’exercices spécifiques de stimulation attentionnelle dans l’amélioration des capacités cognitives et du comportement chez les enfants présentant des troubles de l’attention.

Deci, E.L., Ryan, R.M., The "What" and "Why" of Goal Pursuits: Human Needs and the Self-Determination of Behavior, Psychological Inquiry, 2000. Résumé : Les auteurs démontrent le lien fondamental entre stratégies de motivation, autonomie, estime de soi et engagement attentionnel chez les jeunes.

Rimm-Kaufman, S.E., et al., Improving Students’ Relationships with Teachers to Provide Essential Supports for Learning, American Psychological Association, 2008. Résumé : L’article prouve que la qualité de la relation avec les adultes référents conditionne la confiance en soi, l’attention et la réussite globale de l’enfant.

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