Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
On y pense rarement, et pourtant… Le périnée, ce groupe de muscles discrets au centre du corps, joue un rôle clé dans le bien-être quotidien. Après une grossesse, à la suite d’un accouchement ou même sans événement particulier, il arrive que ce "hamac" musculaire perde de sa tonicité. Bonjour fuites urinaires, sensations d’inconfort, et parfois troubles plus intimes. Alors, comment retrouver un périnée fort et fonctionnel ? La réponse passe par la kinésithérapie périnéale. Focus sur l’accompagnement proposé par un kinésithérapeute périnéal conventionné INAMI dans la région d'Esneux, proche de Liège.
Dans la suite de cet article, nous plongeons au cœur des consultations, des motifs fréquents et surtout, des solutions concrètes pour renforcer ce fameux périnée. Parce qu’un muscle, même invisible, peut changer la vie. Un autre regard, bienveillant et scientifique, sur une prise en charge de plus en plus plébiscitée par les femmes.
Le périnée, ce grand inconnu… Et pourtant, il vous soutient à chaque instant. Concrètement, il s’agit d’un ensemble de muscles tendus comme un trampoline, du pubis au coccyx, entre les cuisses. Rôle ? Maintenir les organes pelviens (vessie, utérus, rectum), soutenir la continence urinaire et fécale, contribuer au plaisir sexuel. Voilà pourquoi sa santé est si précieuse.
Mais alors, qu’est-ce qui abîme ou affaiblit ce muscle ? Plusieurs causes existent. Selon les études, 80% des femmes connaîtront un souci de périnée au cours de leur vie. Impressionnant, non ? La grossesse, puis l’accouchement — que ce soit par voie basse ou césarienne — constituent des épreuves physiques majeures pour le périnée. Mais il n’y a pas que ça. On peut aussi perdre en tonicité avec l’âge, certaines activités sportives, ou à cause d’un surpoids.
Les conséquences ? Les plus fréquentes sont les fuites urinaires à l’effort (quand on court, on saute, on rigole trop fort) ; mais aussi une pesanteur pelvienne, une diminution de la qualité sexuelle, une moins bonne posture au quotidien… voire, à terme, un prolapsus (descente d’organes).
Là, entre en scène la rééducation périnéale par un(e) expert(e) diplômé(e). En Belgique, la reconnaissance des spécialisations s’affine. À Esneux, la consultation chez une kinésithérapeute périnéale expérimentée, comme Mme Lisa MOENS, constitue une première étape décisive.
Peut-être hésitez-vous ? Ou vous demandez si vos symptômes sont “assez graves”. N’attendez pas le point de non-retour. Parfois, une simple gêne, une fuite occasionnelle, ou la peur de reprendre le sport suffisent pour passer la porte du cabinet. Et surtout : il ne s’agit pas d’une fatalité réservée aux personnes âgées. Les jeunes mamans ou les sportives, elles aussi, peuvent être concernées.
Petit détour du côté de la science : la littérature médicale prouve aujourd’hui que la rééducation périnéale réduit de 60 à 90% l’incidence des troubles persistants (fuites, descentes, douleurs). On le sait : mieux vaut prévenir que guérir. Prendre soin de son périnée, c’est comme arroser sa plante protégée du salon, avec patience et doigté.
Souvent, les femmes repartent soulagées après avoir osé consulter. Elles découvrent un univers méconnu, où la gêne laisse vite place à la fierté d’avoir repris le contrôle. Un peu comme recoller les pièces d’un puzzle invisible.
Envie d’en parler avec quelqu’un de confiance ? Mme Lisa MOENS—KINÉSITHÉRAPEUTE PÉRINÉALE SPÉCIALISTE à Esneux—reçoit sur rendez-vous, en cabinet ou à domicile, et s’attache à une écoute personnalisée. Parce que chaque histoire est unique.
En cabinet, la question qui revient sans cesse : “Est-ce vraiment pour moi ?” La réponse est souvent oui, tant le périnée intervient dans différents moments-clés de la vie d’une femme.
Ainsi, après un accouchement, qu’il s’agisse de votre premier ou troisième enfant, les muscles ont subi d’énormes contraintes. Certains récupèrent vite, d’autres moins. La consultation permet d’évaluer la tonicité résiduelle, et surtout d’éviter les problèmes chroniques. Il ne s’agit pas de rééduquer “pour faire joli”. Mais vraiment de prévenir des lésions sur le long terme.
Autre motif majeur de prise en charge : les troubles urinaires (en particulier les fuites urinaires à l’effort). Cela touche aussi bien les jeunes sportives que les mères de famille, ou les femmes ménopausées. Oser aborder le sujet, c’est déjà faire un pas immense. Ouvrir un dialogue avec un(e) kinésithérapeute spécialisé(e) peut tout changer.
La douleur pelvienne, parfois liée à une cicatrice (épisiotomie, déchirure), à l’endométriose ou encore à des troubles de la sexualité, est également prise en charge. Tout comme certains troubles digestifs, moins connus, mais bien réels (constipation, douleurs lors des rapports).
Les patientes consultent aussi autour de la ménopause. En effet, la chute hormonale de cette période provoque un relâchement musculaire global — le périnée compris. Entre gêne, troubles sexuels, et ajustement du corps, le kinésithérapeute agit alors comme le chef d’orchestre d’un nouveau tempo corporel.
La démarche reste multidisciplinaire. Parfois, la collaboration s’établit avec une sage-femme, une gynécologue, ou un(e) sexologue. À ce sujet, la synergie est précieuse pour accompagner certains cas plus complexes, comme l’endométriose. Il arrive même qu’une patiente, venue au départ pour une simple rééducation, découvre à travers ce travail une meilleure connaissance de son anatomie, un gain de confiance, ou réveille la sensualité endormie, ce qui rejoint l’accompagnement sexologue. Pour en savoir plus sur la consultation sexologue à Liège pour l'anorgasmie féminine, consultez notre page dédiée.
En bref, 5 bonnes raisons de consulter votre kinésithérapeute périnéale :
Si une ou plusieurs de ces situations vous parlent, il est temps de franchir la porte d’un cabinet spécialisé, notamment auprès d’une kinésithérapeute reconnue proche de Liège. Que vous habitiez la ville ou ses environs, la rééducation périnéale à Esneux se pratique dans un climat bienveillant, strictement féminin, et respectueux de votre rythme.
Le témoignage suivant illustre bien ce cheminement : “C’est libérateur ! Jamais je n’aurais cru parler aussi facilement d’un sujet si intime. Après quelques séances, j’ai enfin pu reprendre le sport sans avoir peur de perdre quelques gouttes à chaque saut. Mon moral a changé du tout au tout.” (Julie, 34 ans, sportive amateur dans les alentours de Liège).
Entre science et écoute, vous retrouverez votre harmonie corporelle. N’attendez plus : chaque jour compte pour regagner force et confiance.
Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Passer la porte d’un cabinet de kinésithérapie périnéale, c’est entamer un parcours structurant. Mais pas de panique : il ne s’agit pas d’une épreuve. L’accueil est discret, l’écoute attentive, et la démarche strictement adaptée au vécu de chaque femme. Loin de l’image du médecin pressé, la spécialité fait la part belle à la personnalisation. Vous vous demandez sûrement comment cela se passe, de A à Z.
Étape 1 : L'entretien initial, souvent appelé “anamnèse”. Tout commence par un échange : vos antécédents médicaux, le motif de consultation, votre parcours (grossesse, intervention chirurgicale, opération du périnée…), les gênes ressenties, et vos attentes. Rien n’est “bizarre”, aucune question n’est superflue. Il s’agit de construire une alliance thérapeutique, dans le respect total du vécu de chacune.
Étape 2 : L’examen clinique. Pas de crainte à avoir : l’examen se fait toujours dans la délicatesse, avec possibilité de refuser certains gestes. Observation de la posture, test du tonus global, évaluation de la force des muscles du plancher pelvien. Parfois, si besoin et avec votre accord, une palpation interne (par voie vaginale) permet de déterminer le niveau de contraction, de relâchement, ou d’éventuels points douloureux.
Étape 3 : La mise en place d’un plan de soins personnalisé. Ici, pas de recette unique. Les outils varient selon vos besoins : exercices en auto-contraction, biofeedback, électrostimulation, conseils posturaux, travail de respiration, gestion de la pression abdominale, techniques manuelles pour relâcher des tensions ou soigner des cicatrices périnéales douloureuses après une épisiotomie, par exemple.
Un point fort de la kinésithérapie périnéale conventionnée INAMI, telle qu’elle est pratiquée à Esneux : la possibilité de prendre en charge les patientes aussi bien au cabinet qu’à domicile. Cela offre une vraie souplesse d’organisation, fondamentale pour les jeunes mamans ou les personnes à mobilité réduite.
Le “plus” : à chaque étape, l’écoute prime. On prend le temps d’expliquer chaque geste, chaque ressenti, chaque progression, pour éviter la frustration ou la gêne. Vous repartez aussi avec un programme d’exercices simples à reproduire à la maison, de façon à poursuivre le bénéfice de la séance. Petit à petit, le suivi vous rend autonome.
Par ailleurs, la prise en charge ne s’arrête pas en sortant du cabinet. Une collaboration étroite existe souvent avec d’autres professionnels, en particulier autour de la maternité ou en cas d’endométriose. Là encore, l’approche pluridisciplinaire fait la différence.
Il est fréquent d’aborder aussi la question de la sexualité, des douleurs (vaginisme, anorgasmie, dyspareunie) ou de la confiance en soi après un accouchement ou un changement de morphologie. Si ce sujet vous parle, retrouvez sur notre site un article sur le sexologue pour perte de désir dans le couple.
La clé ? Être actrice de son parcours, guidée par une main experte, dans un climat positif. Même au sein du paysage médical en Belgique, ce type de suivi se généralise chez les femmes de tous âges. Résultat : un périnée plus fort, des mouvements libérés, un sourire retrouvé.
“Muscler son périnée, ce n’est pas du body-building… pourtant, c’est du sport !” Cette phrase, entendue en salle de rééducation, résume bien l’approche actuelle. Oui : le périnée se travaille. Mais pas n’importe comment. Ici, la qualité prime sur la quantité.
En début de suivi, beaucoup de femmes ne savent même pas “où” est leur périnée. La première étape, avant de raffermir ce groupe musculaire, c’est de l’identifier. Pas facile, dans notre société où l’on cache encore (trop) souvent le vocabulaire intime. Mais rassurez-vous — vous ne serez pas seule à tâtonner. Les exercices sont très progressifs.
Méthode 1 : La contraction volontaire. Que l’on appelle parfois “exercice de Kegel”, du nom du gynécologue américain qui a démocratisé cette méthode au milieu du XXème siècle. L’idée ? Contracter et relâcher les muscles du plancher pelvien, un peu comme si vous tentiez de retenir une envie pressante d’uriner. Facile à dire, moins facile à bien faire sans sur-solliciter les abdos ou les fessiers. Là, l’expertise du kinésithérapeute fait toute la différence.
Exemple : “Imaginez que votre périnée est un ascenseur. À chaque inspiration, il descend ; à chaque expiration, vous essayez de le faire remonter d’un étage, lentement, en maintenant la contraction quelques secondes.” On veille à respirer calmement, sans crisper le visage ni les cuisses. Visualisez votre centre, sentez le muscle qui travaille.
Méthode 2 : L’entraînement avec biofeedback. Parfois, une sonde (périnéale ou anale) reliée à un appareil de biofeedback donne un retour visuel ou sonore sur la qualité de la contraction musculaire. Ludique et très motivant, ce dispositif vous permet de voir en direct vos progrès, comme à la salle de sport.
Méthode 3 : L’électrostimulation. Indiquée en cas de gros déficit musculaire ou absence de sensation (après une césarienne, par exemple), cette méthode consiste à stimuler le nerf pudendal par des impulsions électriques très douces. Cela “réveille” littéralement le muscle. Aucun risque, aucune douleur : le courant est très faible. Cela permet de prendre conscience de sa zone intime. Progressivement, le muscle (re)gagne en force, et le lien cerveau-périnée se solidifie.
Mais attention : rien ne remplacera jamais la mise en mouvement naturelle. Au fil de la rééducation, la kinésithérapeute vous proposera d’intégrer progressivement l’entraînement du périnée dans les gestes du quotidien : porter bébé, se pencher, porter des courses, éternuer, rire… C’est là que l’on mesure les progrès : moins de fuites, maintien de l’organe, plus grande liberté en mouvement… Et, cerise sur le gâteau, des relations sexuelles souvent plus épanouies, les muscles du périnée étant indissociables du plaisir féminin.
Au passage, de nombreux mythes circulent sur l’automédication (boules de geisha, exercices “maison”, machines vibrantes…). Rien ne remplace l’expertise d’une professionnelle de la santé, formée en kiné périnéale, et capable d'adapter précisément les exercices à votre situation.
Une erreur fréquente : contracter en permanence, sans relâcher. Cela provoque des douleurs, voire l’effet inverse (périnée hypertonique, sensations de brûlures, difficultés lors des rapports). Comme dans la vie, il faut savoir “lâcher prise”.
En résumé : la rééducation du périnée est un savant dosage entre renforcement et détente. Et chaque patiente progresse à son rythme. Les résultats sont souvent spectaculaires : selon une étude récente, 85% des femmes ayant suivi un programme de kinésithérapie adaptent durablement leur posture et leur confort urinaire dans les 6 mois qui suivent. Parfois, il suffit de 6 à 10 séances. D’autres ont besoin d’un accompagnement plus long, en lien avec d’autres pathologies (endométriose, prolapsus débutant).
Dans tous les cas, prenez conseil auprès d’une spécialiste agréée à Esneux. Se muscler de l’intérieur, c’est comme rebâtir ses fondations à la maison : laborieux sur l’instant, mais inestimable sur la durée.
Pour démarrer votre parcours : Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS (Rue Sous les Roches 86). Ou prenez directement rendez-vous en ligne.
Travailler son périnée ne se limite pas à une histoire de muscles. Il s’agit aussi d’un cheminement intérieur. Beaucoup de femmes le disent : “Jamais je n’aurais cru que le périnée influait sur ma confiance en moi.” Et pourtant…
Après une fausse-couche, un accouchement difficile, un traumatisme ou même simplement avec l’âge, le périnée incarne une zone fragile, parfois associée à la honte ou la gêne. Or, c’est justement en valorisant cette zone du corps qu’on reprend confiance. Desserrer l’étau du tabou, c’est se permettre d’exprimer un ressenti, de relâcher la pression, d’accueillir la vulnérabilité pour mieux reconstruire.
En France et en Belgique, de plus en plus de femmes témoignent des bienfaits psychologiques d’un suivi pluridisciplinaire autour du périnée. Une écoute bienveillante, loin des clichés, permet souvent de réinvestir son corps, mais aussi son couple, sa sexualité. La relation avec la kinésithérapeute devient parfois le point d’ancrage d’un nouveau départ. Les patientes disent repartir avec plus d’assurance, de lâcher-prise, et d’autonomie.
La dynamique de groupe, parfois proposée en atelier, dédramatise le sujet. Se rendre compte qu’on n’est pas seule : voilà un puissant levier. Parler de ses difficultés dans un climat sécurisant, parfois en lien avec une sexologue ou une psychologue, facilite la libération de la parole et la réappropriation de son corps féminin.
Un chiffre marquant : selon une étude publiée dans la revue "Women’s Health" de 2021, 73% des femmes ayant suivi une rééducation du périnée rapportent une amélioration de leur satisfaction sexuelle, tout simplement parce que le périnée est mieux irrigué, plus tonique et plus accessible aux sensations.
Dans le monde médical, cette avancée s’accompagne d’un respect accru de la diversité des expériences : femmes jeunes, séniors, sportives, patientes souffrant d’endométriose ou d’incontinence, chacune trouve sa place et son tempo. L’objectif : redevenir actrice de son parcours, fière de “tenir debout” sur son propre socle.
Pour ne pas en rester au simple aspect mécanique, la consultation de kinésithérapie périnéale s’ouvre à la dimension relationnelle et émotionnelle. Parfois, une discussion autour de la parentalité, du vécu de grossesse, ou de l’évolution du couple permet de débloquer davantage qu’une simple série d’exercices. Pour approfondir la question, une ressource complémentaire : thérapie de couple à Liège pour restaurer l’intimité sexuelle.
La route vers l’acceptation de soi commence parfois là : dans un petit cabinet à Esneux, auprès d’une professionnelle, aussi discrète que déterminée à vous accompagner, séance après séance. Et si c’était le moment de franchir le pas ?
Comment savoir si mon périnée est affaibli ?
Plusieurs signes peuvent indiquer un périnée faible, comme des fuites urinaires, une sensation de lourdeur dans le bas-ventre ou des troubles lors des rapports sexuels. Il est conseillé de consulter un kinésithérapeute périnéal pour effectuer un bilan précis et adapté à votre situation.
Pourquoi faire appel à un kinésithérapeute périnéale conventionné INAMI ?
Un(e) kinésithérapeute conventionné INAMI assure un accompagnement reconnu et remboursé selon les critères de la sécurité sociale, pour la rééducation du périnée à Esneux ou à domicile. Cela garantit un suivi de qualité, sécurisé, et adapté à toutes les femmes, notamment en cas de grossesse, post-partum ou troubles urinaires.
Quand démarrer la rééducation du périnée après l’accouchement ?
La rééducation peut débuter dès la fin des saignements post-accouchement, généralement après la visite de contrôle chez le gynécologue, soit environ 6 à 8 semaines après la naissance. Chaque parcours restant unique, demandez conseil à votre spécialiste afin d’adapter au mieux le programme à votre rythme.
Faut-il continuer les exercices à la maison entre deux séances ?
Oui, pour des résultats durables, il est vivement recommandé de pratiquer les exercices proposés entre chaque séance de rééducation. Cela consolide les progrès obtenus au cabinet et facilite l’autonomie dans la gestion de la force du périnée au quotidien.