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Comment un bilan périnéal peut prévenir les troubles de la statique pelvienneKinésithérapeute Périnéale

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

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Comment un bilan périnéal peut-il aider à prévenir les troubles de la statique pelvienne ?

Pourquoi la statique pelvienne est-elle vitale pour la santé féminine ?

Imaginez votre bassin comme les fondations d’une maison : si elles sont fragiles, tout le reste chancelle. La statique pelvienne, c’est cet équilibre discret, un peu comme un chef d’orchestre silencieux, qui soutient les organes génitaux internes. Chez la femme, ce sont la vessie, l’utérus, et le rectum qui reposent sur ce plancher, un ensemble de muscles et de tissus appelé le périnée. Sans lui, la vie quotidienne s’orchestrerait dans l’inconfort (voire la gêne) : fuites urinaires, descente d’organes, pesanteur…

Vous voyez l’image ? Le but, ce n’est pas de faire peur, mais de mettre en lumière l’importance invisible de cette zone. Quand le périnée se détend trop ou se fragilise (après une grossesse, avec l’âge, lors de sports à impacts, ou simplement par la vie), c’est tout l’édifice qui risque de vaciller. On parle alors de prolapsus ou encore de fuites urinaires, qui touchent d’innombrables femmes en Belgique sans oser en parler — alors que des solutions existent !

Le périnée, ce n’est pas qu’un muscle. C’est aussi un réseau : des ligaments, des nerfs, des fascias. Comme un hamac. Il absorbe les chocs, retient, relâche, accompagne la marche, le rire, la toux. Mais un hamac, s’il est trop sollicité ou mal entretenu, finit par perdre de son élasticité (rappelez-vous la balançoire d’antan…). C’est là que commence l’histoire des troubles de la statique pelvienne.

Dans cette grande famille de problèmes, les fuites urinaires d’effort (toux, éternuement, sport), la pesanteur pelvienne, les descentes d’organes (prolapsus), ou même la gêne lors des rapports, s’invitent, souvent discrètement, dans votre quotidien. Pourtant, rien de “normal” là-dedans, même après des grossesses ou la ménopause. Ce n’est jamais une fatalité !

Alors, que faire ?

Prendre soin de son périnée, c’est investir dans sa santé intime, sa confiance, et sa liberté de mouvement. Loin d’être futile, un bilan périnéal permet justement de prévenir, détecter tôt, et renforcer ce socle, plutôt que de réparer plus tard un mur fissuré. Le saviez-vous ? 1 femme sur 3 après 40 ans est concernée à des degrés divers… et elles sont nombreuses, proche de Liège comme partout !

Encore trop peu de femmes osent consulter. Par pudeur, par méconnaissance, parce que "ça passera". Parfois, on banalise. Mais il existe des professionnel(le)s formé(e)s et empathiques pour ça. Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS , conventionnée INAMI, accueille à Esneux toutes les femmes qui souhaitent faire le point, prévenir ou traiter des troubles de la statique pelvienne. Son approche ? Douce, multidisciplinaire et centrée sur la parole.

Pourquoi attendre d’être gênée ? Prévenir, c’est aussi préserver la liberté de courir, rire, soulever et… vivre, tout simplement.

En quoi consiste le bilan périnéal chez la kinésithérapeute ?

Concrètement, qu’est-ce qu’un bilan périnéal? Nul besoin de redouter ni image d’examen froid. Chez la kinésithérapeute périnéale, il s’agit d’un temps d’échange, d’écoute, d’exploration (toujours dans le respect et l’intimité) et d’évaluation spécifique de la zone périnéale.

L’objectif n’est pas de "juger" mais de comprendre. Première étape : comprendre votre histoire, votre corps, vos dossiers de santé, vos ressentis. Avez-vous déjà eu des fuites urinaires ? Ressentez-vous une pesanteur en fin de journée ou après vos activités sportives ? Avez-vous traversé une grossesse, un accouchement (voies naturelles ou césarienne) ?

Cet échange oriente déjà sur les facteurs de risque. Ensuite, place à l’évaluation clinique. Rassurez-vous, tout se fait à votre rythme. Ce bilan s’effectue toujours dans la confidentialité d’un cabinet à Esneux (ou à domicile si besoin), avec douceur et bienveillance.

La kiné évalue plusieurs points-clés :

  • La force de contraction du périnée (capacité à retenir, à “serrer” comme on retient un gaz ou l’urine…)
  • La détente du périnée (car tout n’est pas qu’une question de force… savoir relâcher compte tout autant !)
  • La symétrie (un côté peut être plus faible… comme un muscle de jambe après une ancienne entorse !)
  • La coordination, car le périnée travaille main dans la main avec les abdos, le diaphragme, le dos
  • La présence de douleurs ou de zones de tension
  • L’état des tissus, leur tonicité, leur élasticité

Parfois, des outils de biofeedback sont utilisés : c’est un peu comme un tableau de bord qui affiche la contraction musculaire, pour que vous appreniez à sentir et doser vos efforts. Parfois, un simple examen manuel ou une observation attentive suffit.

Le bilan va bien plus loin qu’une simple évaluation de la force. Il tient compte de votre vécu — accouchements, chirurgie (prolapsus, endométriose), antécédents de fuites ou d’infections urinaires, sports pratiqués, mais aussi habitudes de vie : posture (assis-debout), port de charges, alimentation, digestion…

Vous seriez surprise du nombre de femmes aux alentours de Liège qui découvrent, lors de ce bilan, que leurs douleurs lombaires ou leurs envies fréquentes d’uriner sont liées à un périnée fatigué ou mal coordonné. C’est la base de la prévention : comprendre ce qui flanche (ou va flancher), pour agir avant de voir apparaître des troubles parfois compliqués à rattraper par la suite.

Il n’est pas rare que la kiné, après le bilan, propose une prise en charge personnalisée : exercices de renforcement, travail sur la respiration, conseils sur la posture ou le sport. Toujours en lien, si besoin, avec d’autres spécialistes (gynécologue, urologue, sage-femme…). C’est la force de l’approche multidisciplinaire. Par exemple, dans le cas de l’endométriose, la kinésithérapie périnéale soulage aussi la douleur et améliore la qualité de vie.

Le bilan périnéal n’est ni douloureux ni intrusif : il s’agit d’un véritable test de routine, parfois plus précieux que bon nombre d’examens techniques ! Il permet souvent d’éviter, plus tard, la spirale médicale (chirurgie, médicaments, gènes chroniques…)

Et si cet “état des lieux” changeait votre quotidien ? Savez-vous que, chez certaines femmes, la simple prise de conscience de leur périnée suffit à diminuer de moitié les fuites urinaires en quelques semaines, à condition d’un accompagnement sur-mesure ?

Pour aller plus loin, découvrez cet article complémentaire sur la relation entre la faiblesse périnéale et les cystites chez la femme.

Que peut-on dépister et prévenir avec un bilan périnéal ?

Parfois, le périnée frappe à la porte en silence. Vous ressentez une gêne, une pesanteur, de petites fuites “juste en éternuant”, mais sans oser en parler. Pourtant, ces signaux sont des messages clairs : il est temps de s’occuper de cette région…

Grâce au bilan périnéal, on peut :

  • Prévenir les descentes d’organes (prolapsus), fréquentes après plusieurs grossesses, interventions pelviennes, charges lourdes répétées ou avec l’âge. Une évaluation précoce permet de mettre en place des exercices adaptés, souvent évitant la chirurgie !
  • Anticiper les fuites urinaires (d’effort, urgences), qui concernent 1 femme sur 4 à partir de 45 ans en Belgique. Mieux vaut muscler son périnée AVANT les premières fuites…
  • Limiter les risques de douleurs pelviennes chroniques liées à des tensions (périnée hypertonique) ou à des séquelles d’accouchement, d’endométriose.
  • Prévenir les troubles au niveau du rectum (constipation, incontinence anale légère… sujet tabou mais très courant !)
  • Optimiser la récupération après l’accouchement (épisiotomie, déchirure, péridurale : chaque histoire est unique…)
  • Préparer le corps à la grossesse ou la ménopause (deux « séismes » hormonaux qui fragilisent la statique pelvienne…)
  • Améliorer la qualité de vie sexuelle (lorsque le périnée est trop relâché ou trop tendu, cela a un ÉNORME impact sur les sensations lors des rapports…)

Des chiffres concrets ? Rien qu’aux alentours de Liège, plus de 40% des femmes ayant accouché souffrent de signes discrets d’insuffisance périnéale sans oser consulter. Beaucoup pensent encore qu’il faut attendre “que cela empire” ou “que ça devienne ingérable”.

Or, avec un bilan périnéal, il est possible d’intervenir tôt. De la même manière qu’un contrôle technique de voiture fait économiser des réparations lourdes, le bilan repère les failles AVANT leur explosion. Vous êtes sportive ? Soulever, sauter, courir met à mal la statique pelvienne. Travailler assise toute la journée ? Même combat, le périnée en souffre parfois ! Chaque situation est une histoire personnelle.

N’oublions pas les situations dites à risque :

  • Post-partum (l’après-accouchement n’est pas qu’une affaire de couches, c’est aussi la reconstruction du corps, du bassin… et du périnée !)
  • Préparation à une chirurgie gynécologique (le périnée sera sollicité, il faut l’anticiper)
  • Changements hormonaux (Ménopause, pré-ménopause, traitement anti-œstrogènes…)
  • Grossesses rapprochées ou gémellaires (la pression sur le plancher pelvien explose…)
  • Pratique intensive d’un sport, port de charges lourdes (métier physique, déménagements…)

Un bilan périnéal à Esneux, c’est aussi l’occasion de discuter prévention, d’apprendre à repérer les gestes quotidiens bénéfiques (ou, au contraire, à éviter) : mauvaise position sur les toilettes, poussée excessive lors de la défécation, écrasement du périnée en croisant les jambes, mauvaises postures au sport… Assez de comptes-rendus médicaux incompréhensibles : ici, on apprend son propre corps, on devient acteur de sa santé intime.

Dans certains cas, des recommandations complémentaires seront proposées. C’est une démarche globale, pas un simple “passage chez la kiné”. Mme Lisa MOENS travaille en lien régulier avec les médecins, spécialistes, sages-femmes et urologues du secteur (collaboration multidisciplinaire essentielle), et vous oriente au besoin vers des examens complémentaires.

Pour mieux comprendre comment la kinésithérapie périnéale contribue à la prévention d'autres troubles urinaires, explorez l'article sur les secrets révélés de la prévention des cystites grâce à la kinésithérapie périnéale.

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Comment se déroule l’accompagnement après un bilan périnéal ?

Voilà, vous avez franchi le cap du bilan périnéal. Peut-être avec une pointe d’appréhension. Mais à ce stade, la kinésithérapeute va vous proposer un vrai plan d’action personnalisé. Pas de panique : on est loin du parcours du combattant. Il s’agit en fait d’un accompagnement individuel, progressif, adapté à vos objectifs (prévention, récupération post-partum, amélioration des sensations, disparition d’une gêne).

Souvent, ça commence par des exercices très simples : respirer, sentir, contracter, relâcher. Comme apprendre à remuscler une épaule après une entorse. Votre corps va réapprendre à se tenir, sans forcer. Petit à petit, la charge augmente, tout en étant respectueuse de votre douleur, votre récupération, votre rythme de vie. La durée ? Ça varie : parfois 1 mois, parfois 3. L’essentiel, c’est la régularité.

Parfois, des techniques de biofeedback sont utilisées pour vous apprendre à percevoir vos contractions (une sorte de “miroir” de votre muscle). Parfois, un travail manuel s’impose (massage des points de tension, relâchement des fibres), notamment en cas de douleurs liées à l'endométriose. Chaque femme a une histoire unique : chez certaines, le périnée veut être musclé ; chez d’autres, il faut d’abord savoir relâcher (oui, trop de tension, c’est lassant aussi… !).

L’accompagnement va bien au-delà de la simple séance. Il s’agit aussi de conseils quotidiens :

  • Comment porter vos enfants, courses ou charges lourdes ?
  • Quelle posture adopter au bureau ou lors du sport ?
  • Quels mouvements éviter ou privilégier selon votre profil ?
  • Adoptez-vous de bons réflexes pour aller aux toilettes, gérer la toux ou des efforts brusques ?

La kinésithérapie périnéale remet la femme au centre du processus. Vous devenez actrice de votre guérison, de votre prévention. Et ce “capital périnéal” ne s’épuise pas : il se consolide, devient un réflexe, une seconde nature. Un peu comme apprendre à rouler à vélo — on gagne en assurance à chaque sortie !

L’autre atout ? La prévention. Avec un suivi régulier, même modéré (1 à 2 séances/an après 40 ans), on limite nettement le recours à des traitements lourds ou invasifs. C’est la philosophie de la santé à long terme. Dans la région à Esneux, le bouche-à-oreille parle : beaucoup consultent en prévention, souvent sur conseil de leur gynécologue, sage-femme ou même… d’une amie !

Dans certains cas (prolapsus avancé, douleurs chroniques, pathologies associées), la kinésithérapeute fait le pont avec d’autres professionnels : consultation gynécologique, avis urologique, soutien psychologique. C’est là l’intelligence du travail multidisciplinaire.

On l’oublie souvent, mais les bénéfices dépassent le seul périnée :

  • Retrouver la confiance dans son corps
  • Libérer l’énergie lors de la marche, du sport, des eff orts quotidiens
  • Faire la paix avec son histoire (accouchement, interventions, douleurs passées)
  • Préparer l’avenir : moins de limitation, plus de qualité de vie.

Saviez-vous que des séances de kinésithérapie périnéale sont remboursées en Belgique par l’INAMI sur prescription médicale, notamment en post-partum, pour la préparation à la grossesse, ou en cas de troubles urinaires et de descente d’organes ? N’hésitez pas à demander à votre médecin ou gynécologue une prescription, ou en parler directement à votre kinésithérapeute périnéale.

Les bénéfices de la kinésithérapie périnéale : du dépistage à la sérénité au quotidien

S’il fallait retenir un seul mot de cet accompagnement, ce serait : liberté. Liberté de bouger, de rire, de danser, de vivre sans contraintes ou peur de la fuite ou de la gêne. Liberté retrouvée aussi dans l’intimité, dans la confiance en soi. Voici pourquoi de plus en plus de femmes, sous l’impulsion de leur médecin ou par curiosité, poussent la porte du cabinet de Lisa MOENS à Esneux.

La compréhension fine du périnée aide à prévenir bien d’autres troubles : douleurs pelviennes, infections urinaires récidivantes (pour comprendre le lien, lisez cet article complémentaire), rapport sexuel douloureux, gêne lors de la marche…

La kinésithérapie périnéale ouvre de nouveaux horizons, loin de l’image du tabou ou du “dernier recours”. Dans les faits, on gagne aussi :

  • Un meilleur contrôle musculaire global (tous les muscles du centre du corps s’en trouvent boostés, adieu le dos fragile !)
  • Une amélioration de la posture générale (oui, le périnée, c’est aussi une histoire de dos…)
  • Une prévention active de l’insuffisance périnéale (prolapsus, incontinence, douleur…)

Parler de son périnée, c’est briser le silence autour de maux féminins trop cachés. C’est affirmer que non, rien n’est inévitable, ni tabou. Même après plusieurs grossesses, même à la ménopause, même sans aucun symptôme, il est précieux de consulter tôt. De nombreuses femmes proche de Liège vous le diront : elles auraient aimé savoir tout cela… bien avant !

Ce geste, ce bilan, ce rendez-vous, ce sont les racines d’un arbre solide : plus elles sont ancrées, moins la tempête pourra l’ébranler. Et si c’était à votre tour ?

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si j’ai besoin d’un bilan périnéal, même sans trouble visible ?
Vous pouvez envisager un bilan dès l’apparition d’une gêne, d’une pesanteur, après une grossesse ou à l’approche de la ménopause ou simplement à titre préventif. Même sans symptôme flagrant, cet examen prévient de nombreuses complications à long terme et vous apprend à prendre soin de votre périnée au quotidien.

Pourquoi consulter un kinésithérapeute périnéale conventionné INAMI à Esneux ?
Un(e) kinésithérapeute conventionné(e) assure une prise en charge reconnue et remboursée en Belgique. Chez Lisa MOENS à Esneux, l’approche est individualisée, bienveillante et complémentaire avec vos autres professionnels de santé ; le réseau multidisciplinaire vous garantit un suivi de qualité proche de Liège.

Quand réaliser un suivi de la statique pelvienne après un accouchement ?
Idéalement, une première évaluation du périnée se fait 6 à 8 semaines après l’accouchement, même sans symptôme visible. Elle permet de détecter précocement d’éventuels déséquilibres et d’organiser une rééducation adaptée à votre rythme de récupération.

Faut-il une prescription médicale pour un bilan périnéal et la kinésithérapie périnéale ?
Oui, en Belgique, une prescription médicale permet le remboursement INAMI des séances de kinésithérapie périnéale. Discutez-en avec votre médecin, gynécologue ou sage-femme ; vous pouvez aussi contacter directement Lisa MOENS pour un premier rendez-vous aux alentours de Liège.

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