Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00
Vous l'avez sûrement déjà remarqué : certains enfants nagent comme des poissons dans l’eau au milieu des autres, alors que d’autres semblent faire naufrage au moindre contact. À l’école, dans la cour de récréation, aux activités sportives, partout les compétences sociales jouent un rôle de boussole. Mais que faire quand son enfant se sent perdu parmi ses pairs ? Peut-on réellement l’aider à tisser ces liens essentiels ? Oui, et la consultation psychologique pour enfants à Liège regorge de ressources pour accompagner petits et grands dans ce labyrinthe social. Suivez le guide.
Imaginez une journée classique d’écolier : discussions animées à la sortie, travail en binôme, mot amical lancé ou regard fuyant dans la cour. Derrière ces scènes ordinaires, se trament chaque jour des centaines de micro-interactions décisives. Les compétences sociales ne sont pas juste la cerise sur le gâteau. Elles sont la pâte elle-même, invisible mais essentielle, qui tient tout ensemble.
Mais au fond, de quoi parle-t-on ? Les compétences sociales, ce sont ces habiletés qui permettent de communiquer, de coopérer, de gérer un conflit, ou tout simplement… de se faire un copain. Un enfant socialement compétent sait écouter, exprimer une émotion sans griffer, s’affirmer sans écraser. C’est lui qui ose proposer un jeu, mais aussi accepter qu’on lui dise non. Ces comportements s’apprennent, comme on apprend à marcher.
Les débats en Belgique sur la réussite scolaire le confirment : maîtriser ces codes, c’est ouvrir les portes de la confiance en soi, de la réussite scolaire… et du bonheur. À l’inverse, un enfant isolé, moqué ou incapable d’exprimer ce qu’il ressent encaisse souvent la vie comme une pluie froide, sans parapluie.
Et que dire de l’adolescent ? Là, les enjeux se corsent. L’enfance est déjà le temps des premiers “je t’aime, moi non plus” entre amis, de la peur d’être exclu. L’adolescence, elle, peut transformer le moindre malentendu en tempête. Les réseaux sociaux, les groupes Whatsapp… tout s’accélère, tout se complique.
Or, le manque de compétences sociales laisse souvent des traces bien après la cour d’école. À l’âge adulte, les difficultés relationnelles persistent, parfois masquées mais douloureuses. Pourquoi s’en remettre au hasard alors qu’il existe des outils concrets ? C’est là que la consultation psychologique pour enfants et adolescents prend tout son sens.
Si vous souhaitez en savoir plus sur les bienfaits d’un accompagnement psychologique spécialisé pour les jeunes, de nombreux praticiens aux alentours de Liège mettent leur savoir-faire au service des familles. Les programmes personnalisés y sont pensés comme de véritables boussoles pour avancer, ensemble.
Un enfant qui a toujours envie d’être seul : est-il juste introverti ou quelque chose le bloque-t-il dans ses relations ? À l’inverse, cette fillette qui cherche sans cesse l’approbation des autres, est-ce grave ? Les signaux d’alerte sont multiples, et il n’est pas toujours facile d’y voir clair.
La première étape est d’observer. La maîtresse vous fait-elle remonter des mésententes fréquentes en classe ? Votre enfant se plaint-il de ne pas avoir d’amis ou évite-t-il de s’exprimer en groupe ? Manque-t-il d’aisance dans les jeux collectifs ? Chez certains, ce sera la colère explosive à la moindre frustration. Chez d’autres, la tristesse ou le repli sur soi. Les garçons “bousculent”, crient ou provoquent. Les filles, souvent, pleurent en silence ou changent de place dans la cour. Chacun invente ses stratégies… qui masquent parfois un vrai malaise.
Certains signes ne trompent pas :
À chaque famille, ses défis. Certains enfants sont champions des bons mots, mais souffrent d’attendre la reconnaissance d’un groupe. D’autres préfèrent le calme des bandes dessinées à la cacophonie du foot dans la cour. Loin des idées toutes faites, il n’y a pas UNE bonne façon d’être sociable, mais une infinité de chemins variés.
Le vrai défi, c’est de distinguer timidité naturelle, phase transitoire ou vraie difficulté née d’un manque de repères – voire de blessures passées : déménagement, moqueries, conflits familiaux.
La règle est simple : si le comportement social entrave la joie de vivre, l’intégration à l’école, ou la capacité à s’exprimer, il est temps de demander conseil. Un psychologue spécialisé peut aider à y voir plus clair.
Il est fréquent que des professeurs aux alentours de Liège signalent une évolution inquiétante ou une régression dans les relations amicales. Un accompagnement psychologique à ce moment permet d’agir avant que l’enfant ne s’enferme dans des schémas d’échec. Attention donc à ne pas banaliser le mal-être sous prétexte “qu’il ou elle s’y fera avec le temps”. De nombreuses recherches montrent au contraire que plus on agit tôt, plus l’enfant apprend vite à s’orienter dans la carte complexe des émotions sociales.
Un rendez-vous chez une psychologue spécialisée en enfants et adolescents pourra :
Vous hésitez à consulter ? L’article “Consultation en psychologie : la pression de la parentalité – apprendre à se déculpabiliser” vous aidera peut-être à lever certains doutes et à dédramatiser la démarche.
Autre point : certains enfants rencontrent des difficultés sociales en écho à un trouble de l’attention, à un haut potentiel, ou à des troubles émotionnels (anxiété, dépression). La consultation psychologique pourra aussi dépister ces difficultés spécifiques si besoin.
Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00
Entrer chez une psychologue pour la première fois, c’est un peu comme pousser la porte d’un atelier où l’on répare doucement les ailes cassées. Souvent, les enfants arrivent tendus, les parents aussi, inquiets de ce que le “psy” va découvrir. Et pourtant… Cette première prise de contact ressemble bien plus à une rencontre humaine qu’à un interrogatoire ! Chez Mme Lara TRESALLI à Liège, on prend le temps d’apprivoiser l’enfant, de l’écouter sans le juger et de créer un espace où les mots peuvent enfin respirer.
Première étape : cerner les forces déjà là, tout ce petit capital relationnel insoupçonné. Peut-être que Jules sait consoler un copain triste, même s’il ne sait pas prendre la parole devant la classe. Ou que Zoé repère en un instant qui est triste ou en colère dans la cour. Les parents participent activement à ce diagnostic, car qui d’autre connaît mieux les tempêtes intérieures ou les talents cachés de leur enfant ?
Ensuite vient le cœur du travail : l’accompagnement. Là, place aux jeux de rôle, aux histoires racontées, aux supports ludiques. On simule une dispute, on apprend à dire non, on cherche ensemble comment inviter un camarade à son anniversaire sans paniquer. Parfois, un jeu de société devient le théâtre d’un apprentissage concret de l’écoute ou du respect des règles. D’autres fois, un dessin ou une création sert de point de départ.
En cas de trouble difficile à nommer (manque de confiance en soi, anxiété sociale, suspicion de haut potentiel ou de trouble de l’attention), le psychologue peut proposer des tests spécifiques d’évaluation et des exercices adaptés pour progresser.
Le but ? Equiper l’enfant d’une véritable boîte à outils, comme un petit sac à dos où il viendra piocher : “Comment demander à participer à un jeu ?” “Comment réagir à une moquerie ?” “Comment exprimer un refus sans blesser l’autre ?” Prévenir l’isolement, oui, mais aussi développer l’intelligence émotionnelle. Car avoir des amis, ce n’est pas une question de chance ou d’âge, c’est un apprentissage.
Quelques exemples d’outils proposés lors d’une consultation psychologique pour enfants à Liège :
On n’a pas besoin de devenir le clown de service ou la star de la classe. On a juste besoin de se sentir à l’aise dans ses baskets, assez solide pour tisser quelques liens sincères. Ces progrès, même discrets, sont vécus comme des victoires.
Envie d’aller plus loin ? Pour tous ceux qui se demandent “Mon enfant n’écoute pas en classe : inattention ou mauvaise volonté ?”, l’article consultez les pistes proposées sur ce sujet sensible.
Les séances individuelles permettent d’aller à l’essentiel et d’adapter chaque conseil au vécu unique de chaque enfant. Avec les adolescents, le soutien psychologique prend une teinte plus subtile : on aborde le sentiment d’exclusion, la pression sociale, l’envie de plaire mais aussi de se protéger. Cet accompagnement spécifique, très respectueux de l’intimité du jeune, peut l’aider à traverser sans encombre le cap délicat où les amitiés se font et se défont comme des châteaux de sable.
Des séances de guidance parentale (enfants et ados) sont parfois proposées : elles aident les parents à trouver le juste dosage entre présence et autonomie, et à renforcer des relations familiales apaisées.
Les suivis courts (quelques séances) suffisent souvent pour débloquer une difficulté ponctuelle. Dans d’autres cas, l’accompagnement s’inscrit dans le temps, notamment s’il existe des souffrances anciennes ou des troubles associés. Ce suivi permet de rassurer, motiver et célébrer chaque pas de l’enfant dans la jungle des interactions sociales.
Avançons désormais sur une question clé. À quoi s’attendre concrètement quand on démarre un suivi psychologique pour aider un enfant à grandir socialement ? Beaucoup de parents espèrent des miracles “à la première séance”. Pourtant, le processus s’apparente à la pousse d’une plante rare : invisible au début, puis soudain, une feuille nouvelle apparaît.
Voici les bénéfices répertoriés dans la littérature scientifique et dans l’expérience quotidienne :
Un témoignage courant résume parfaitement : “Il a appris à respirer avant de répondre. C’est bête, mais avant il explosait au quart de tour. Maintenant, il sait dire ce qu’il ressent. C’est comme si on lui avait donné une carte pour s’orienter.”
Et si cela donne aussi un coup de pouce au niveau scolaire ? C’est fréquent ! Les enfants qui vivent mieux avec les autres sont souvent ceux qui s’investissent avec plus de sérénité dans les apprentissages. Sans parler du climat à la maison : moins de conflits, moins de pleurs du soir, plus de dialogue verbal ou silencieux, mais apaisé.
À force d’accompagnement, même les plus silencieux, ceux qui “ramassent” toutes les petites vexations sans mot dire, changent d’attitude. Idem pour les ados, qui finissent, un jour, par oser demander conseil ou avouer les difficultés qui brûlent sous la surface.
Besoin d’inspiration sur les troubles de l’attention, souvent liés à des difficultés sociales ? Découvrez l’article “Comment reconnaître un trouble de l’attention chez son enfant à Liège” pour repérer les signes à surveiller.
À ne pas oublier : la progression n’est jamais linéaire. Ce n’est pas parce qu’un enfant rechute qu’il n’a rien appris. L’important, c’est de lui avoir donné les outils-mots qui feront la différence quand, plus tard, il sera confronté à de nouveaux groupes, de nouveaux défis, y compris à l’âge adulte.
Dans la région, les professionnels sont nombreux à adapter leurs méthodes à chaque enfant, et la prise en charge proposée à Liège est reconnue pour sa dimension personnalisée. Ce n’est pas un secret : la Belgique est à la pointe sur ces questions, en lien avec les évolutions scientifiques. À Esneux, Boncelles ou d’autres localités voisine, beaucoup de familles témoignent de leur satisfaction après quelques séances seulement.
Un dernier conseil de terrain : parlez ouvertement avec votre enfant de la démarche, sans tabou. Expliquez-lui que consulter un psychologue n’est ni une punition ni un signe de faiblesse, mais une chance d’apprendre à vivre mieux avec les autres et avec soi-même. Parfois, il suffit d’une étincelle pour que l’élan social renaisse.
Pour ceux qui souhaitent approfondir les liens entre l'anxiété, les phobies sociales et le développement des compétences relationnelles, retrouvez l’article sur le TAG chez l’enfant et l’adolescent.
Peut-être vous demandez-vous : “Si mon enfant voit un psy, que puis-je faire moi, à la maison ?” Excellente question. Car la consultation psychologique ne remplace pas, elle accompagne. Le professionnel est un passeur, mais le voyage se joue surtout à la maison et à l’école.
Premier rôle du parent : dédramatiser. On rassure, on écoute, on nomme sans juger : “Je vois que c’est difficile pour toi d’aller vers les autres… et tu n’es pas le seul !” Les mots doux ouvrent la confiance. Exprimez aussi vos propres expériences, bonnes… ou maladroites ! Racontez comment, enfant, vous aussi, vous avez connu la gêne d'inviter quelqu'un à votre anniversaire. Cela permet de relativiser.
Encouragez sans forcer. Aidez, mais laissez votre enfant inventer ses solutions. Proposez-lui d’organiser, à son rythme, une activité avec un camarade. Donnez-lui matière à exercer ses talents sociaux dans un cadre sécurisant, à la maison par exemple. Félicitez chaque effort, même minuscule.
Du côté de l’école, une collaboration bienveillante change tout. N’hésitez pas à prendre rendez-vous avec l’enseignant pour partager ce que votre enfant vit, et voir quels aménagements ou encouragements pourraient être mis en place. Les enseignants formés à l’écoute savent valoriser la moindre initiative, ce qui accélère l’intégration dans le groupe.
Il arrête de vouloir plaire à tout prix ? C’est déjà gagné ! Elle ose dire non ? Victoire ! Chaque micro-progrès mérite d’être souligné.
Souhaitez-vous comprendre comment soutenir la confiance en soi et l’attention des enfants ? Consultez cet article spécifique pour dénicher des astuces concrètes pratiquées localement.
Enfin, soyez patient et gardez espoir : grandir socialement ne consiste pas à devenir un meneur de groupe du jour au lendemain, mais à tisser jour après jour une toile sur laquelle rebondir. Un changement d’école, le passage en secondaire ou même un nouveau voisin offrent souvent un terrain d’expérimentation. Ce n’est jamais “foutu” : bien accompagné, tout enfant peut changer la donne !
Comment savoir si mon enfant a besoin d’un soutien psychologique pour ses compétences sociales ?
Observez son comportement en groupe : isolement, conflits répétés ou tristesse fréquente sont de bons indicateurs. Si ces situations génèrent de la souffrance ou entravent son intégration, il peut être utile de consulter une psychologue spécialisée.
Pourquoi consulter une psychologue spécialisée aux alentours de Liège pour mon enfant ?
La région de Liège dispose de professionnels expérimentés et de programmes adaptés qui prennent en compte les spécificités locales et scolaires. Le travail en réseau permet un suivi personnalisé et efficace pour chaque enfant.
Quand voir des effets suite à une consultation pour compétences sociales en Belgique ?
Les premiers changements peuvent apparaître après quelques séances, notamment en termes de confiance et de gestion des émotions. L’évolution dépend du rythme de l’enfant et du soutien de son entourage familial et scolaire.
Faut-il obliger un enfant timide à consulter, même s’il refuse ?
Il est préférable de dialoguer et d’expliquer les bénéfices, sans le forcer. Un premier contact permet souvent de démystifier la démarche et de montrer que l’objectif est de l’aider à s’épanouir parmi les autres.
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Durlak, J. A., Weissberg, R. P., et al. (2011). "The impact of enhancing students’ social and emotional learning: A meta-analysis of school-based universal interventions." Child Development. Les interventions scolaires améliorent significativement les compétences sociales et les résultats scolaires.
Rubin, K. H., Bukowski, W. M., Laursen, B. (2011). "Handbook of Peer Interactions, Relationships, and Groups." Guilford Press. Les interactions entre pairs jouent un rôle crucial dans le développement émotionnel de l’enfant.
Zins, J. E., Weissberg, R. P., et al. (2004). "Building academic success on social and emotional learning." Teachers College Press. Renforcer les compétences sociales améliore la réussite scolaire et le bien-être global.
Spence, S. H. (2003). "Social skills training with children and young people: Theory, evidence and practice." Child and Adolescent Mental Health. La thérapie comportementale centrée sur les habiletés sociales est efficace pour prévenir l’isolement et l’anxiété sociale.