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Ces 4 astuces efficaces pour stimuler la créativité de votre enfantPsy ADO-ENFANT Liège TRESALLI

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00

Psychologue Spécialisée pour Adolescents : Enfant distrait mais créatif – comment valoriser ses points forts ?

Pourquoi un enfant peut-il être créatif mais distrait ?

Un enfant distrait mais créatif… Voilà une équation qui peut en inquiéter plus d’un. On imagine souvent que la distraction est un frein, un poids pour apprendre ou suivre le rythme de la classe. Pourtant, elle cache souvent un potentiel créatif insoupçonné. Comme un oiseau qui s’envole dans toutes les directions, difficile à suivre, mais qui finit par trouver sa propre voie, pleine de couleurs.

Mais d’où vient cette association ? Pourquoi certains enfants semblent-ils constamment perdus dans leurs pensées mais toujours capables de nous surprendre par leur imagination débordante ? C’est en se penchant plutôt du côté des neurosciences qu’on comprend comment l’attention et la créativité cheminent, parfois main dans la main.

Première chose à savoir : le cerveau d’un enfant – surtout un enfant créatif – n’aime pas toujours la linéarité. Il fonctionne par associations d’idées, par bonds, par détours. Ça peut sembler du désordre vu de l’extérieur. Mais, à l’intérieur, ça turbine ! On sait par exemple que le “réseau par défaut” du cerveau (celui qu’on active quand on laisse vagabonder son esprit) est particulièrement sollicité chez les profils créatifs. La rêverie n’est donc pas synonyme de paresse, c’est une façon d’explorer le monde autrement.

D’ailleurs, différents troubles de l’attention se manifestent généralement chez les enfants créatifs. Non pas par manque d’intérêt, mais au contraire parce que leur intérêt est partout, tout le temps. Ils s’émerveillent d’un rien, détournent l’objet pour en faire un jeu, inventent des mondes entiers. L’école, avec ses règles strictes, ne sait pas toujours rentrer dans cette danse ! Mais attention, ce sont parfois les pionniers, ceux qui sortent du lot, qui bousculent un peu l’ordre établi.

On tend à cataloguer rapidement un élève comme “distrait” ou “en difficulté”. Or, un tel portrait mérite nuance et compréhension. Comme le rappelle souvent une psychologue spécialisée pour adolescents et enfants aux alentours de Liège, chaque profil cognitif est unique, singulier. L’accompagnement d’un professionnel permet d’affiner le regard, de distinguer entre une distraction “nuisible” et celle qui témoigne d’un foisonnement intérieur. Ce n’est plus un simple nuage de pensées, c’est un orage d’idées !

Parfois, une petite anecdote vaut mieux qu’un long discours. Savez-vous qu’Albert Einstein était vu comme “rêveur” à l’école, souvent perdu dans ses pensées ? On connaît la suite… Sa créativité révolutionna la science. Il n’est pas question ici de vouloir “créer des génies”, mais bien de montrer que chaque distraction a de quoi être comprise et, surtout, valorisée.

En Belgique, de nombreux établissements scolaires commencent à s’ouvrir à ces approches, cherchant à ne pas brider ces esprits créatifs, tout en leur donnant cadre et soutien. Mais ce n’est pas encore la plupart. Il reste souvent aux parents, accompagnés par des professionnels de la psychologie de l’enfant, la mission délicate de “jongler” avec cette spirale entre créativité et distraction sans jamais l’étouffer.

Vous vous demandez peut-être : où placer la limite ? Faut-il corriger en priorité la distraction, ou encourager la créativité coûte que coûte ?

Eh bien, la bonne nouvelle, c’est que l’un n’exclut pas l’autre. C’est un peu comme jardiner : il faut canaliser, sans couper la tige qui pousse de travers. On guide la pousse, on taille avec délicatesse, pour que la fleur déploie toute sa beauté. Voilà le défi… et la richesse d’un accompagnement souple, humain, enraciné dans la réalité quotidienne des familles.

Stratégies d’accompagnement pour renforcer attention et confiance

Comment valoriser les forces de l’enfant distrait ?

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

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La première étape, souvent négligée, consiste à changer de perspective. Plutôt que de considérer la distraction comme un défaut absolu, il peut être extraordinaire de s’arrêter un instant et d’observer : qu’y a-t-il derrière cette inattention ? Quelles aptitudes uniques, quels talents dorment sous cette apparente agitation ? La réponse est rarement évidente, mais l’accompagnement par une psychologue pour enfants formée à ces profils est un atout précieux à Liège et ailleurs.

Voici les leviers essentiels pour valoriser un enfant distrait mais créatif :

Valoriser au quotidien : attention aux regards et aux mots

Le regard que porte l’entourage – parents, professeurs, amis – sur l’enfant a un effet miroir. À force d’entendre “tu es distrait”, “tu n’écoutes jamais”, “on ne peut pas te faire confiance”, l’enfant finit par s’en convaincre. Ce dialogue intérieur, une fois ancré, freine toute initiative et bride sa créativité. À l’inverse, imaginez ce que donne un enfant à qui on dit : “Tes idées sont originales”, “Tu as une façon différente de voir les choses”, “Tu inventes toujours quelque chose de chouette”. L’enfant se construit sur ces compliments. Il croît en lui. Il ose. C’est le soleil qui fait éclore la fleur.

Les forces de l’enfant ne se limitent pas aux résultats scolaires. Oui, il oublie parfois son cartable, mais fait preuve d’une bienveillance incroyable avec ses amis. Oui, il rêve en pleine dictée… mais invente une histoire géniale dans la cour de récré. Observez ces atouts insolites, notez-les, soulignez-les.

Et si vous instauriez un rituel : chaque soir, partagez ensemble trois choses positives réalisées dans la journée. Même minimes. Savoir écouter, avoir aidé, avoir dessiné, avoir partagé… Progressivement, l’enfant retrouve l’estime de soi, un ingrédient-clé pour dépasser ses difficultés.

Dans mon cabinet, un adolescent me dit un jour, à propos de ses difficultés scolaires : “J’ai l’impression d’être un poisson qu’on force à grimper à l’arbre !” Cette métaphore, soufflée par Albert Einstein, symbolise l’inadéquation entre l’enfant et des attentes parfois déconnectées de ses vrais atouts. À chaque poisson son eau : il faut parfois aider l’école (et surtout les parents) à reconnaître et valoriser les points forts autrement.

Petit conseil pour les parents : osez demander aux enseignants ce qui ressort positivement – pas seulement les points qui coincent. Un mot positif affiché sur le frigo a plus de pouvoir qu’on ne croit. La valorisation passe aussi par la reconnaissance institutionnelle.

Pour aller plus loin, un rendez-vous avec une psychologue spécialisée pour adolescents peut-être l’occasion d’un bilan. Pas un test qui met la pression. Un espace neutre, où l’on explore les compétences hors normes : créativité, sens de l’humour, logique, empathie, mémoire visuelle… Parfois, c’est une révélation pour les familles et… pour l’enfant lui-même !

Vous vivez cela au quotidien aux alentours de Liège, vous n’êtes pas seul(e) : beaucoup de familles partagent les mêmes craintes, les mêmes espoirs. C’est toute une culture éducative à réinventer : remettre le regard sur ce que l’enfant SAIT faire, pas uniquement sur ce qu’il rate ou oublie.

Quelles activités et outils pour développer le potentiel créatif sans perdre le fil ?

Arrive ici la fameuse question pratique : “Oui mais que faire, concrètement, à la maison ou à l’école ?” Les sollicitations sont permanentes, l’attention des enfants surexposée. Comment, alors, canaliser ce flot d’idées pour que la créativité devienne une force et ne reste pas un tourbillon incontrôlable ?

Première règle d’or : instaurer un cadre, tout en laissant l’enfant respirer. La créativité a besoin de limites claires, comme un artiste qui doit choisir la taille de sa toile. Sinon, ça déborde. Voici quelques pistes testées et approuvées :

– Les projets à court terme : Proposez des tâches réalisables en quinze minutes. Créer une petite BD, inventer un nouveau jeu pour les peluches, dessiner la carte d’un monde imaginaire. Cela permet à l’enfant de voir le fruit de sa créativité sans se laisser engloutir par mille idées en même temps.

– Le “Cahier d’Inventions” : Acheter un carnet dédié où chaque idée farfelue, chaque début d’histoire, chaque invention est griffonnée et relue ensemble le soir. Ce support devient un coffre aux trésors, une preuve visible des forces de l’enfant.

– Les défis coopératifs : Invitez un ami, un parent ou un adulte à participer avec l’enfant à un jeu inventé de toutes pièces. Le but ? Faire collaborer et structurer cette énergie créatrice. Les règles du jeu leur appartiennent, mais doivent être explicitement formulées, pour travailler aussi sur la capacité à donner et suivre des consignes.

– Le retour au réel : Beaucoup d’enfants créatifs sont très sensibles aux activités manuelles : jardinage, cuisine, construction de Lego. La manipulation, le contact avec le concret, ramène à l’instant présent et canalise la dispersion mentale. Comme un fil d’Ariane pour revenir dans le “ici et maintenant”.

– La méditation pleine conscience adaptée aux enfants : De simples exercices de respiration, des histoires guidées pour s’ancrer dans le présent. Cela s’apprend ; c’est même ludique ! Et ça fait une vraie différence sur la capacité à se recentrer après un moment d’égarement.

D’un point de vue scolaire, les enseignants peuvent eux aussi valoriser le potentiel créatif. Comment ? En confiant à l’enfant distrait (mais créatif) un rôle de “reporter”, d’observateur, de “chercheur d’idées” pour la classe. Certains supports pédagogiques l’intègrent de plus en plus. C’est un cercle vertueux : plus on fait confiance à l’enfant, plus il se sent légitime de proposer, donc plus il ose… donc moins il décroche.

Des ateliers sont organisés à Liège autour de la créativité, de l’attention, de l’empathie. Pourquoi ne pas s’y inscrire ensemble ? L’enfant découvre ainsi qu’il n’est pas “seul au monde” : d’autres, comme lui, fonctionnent par bonds et ricochets. C’est une vraie bouffée d’oxygène pour tous.

À la maison, chaque semaine, on peut instaurer un “temps fort créatif” sous forme de jeu théâtral, d’improvisation ou de concours d’idées. Aucun jugement, tout est bon à prendre, l’essentiel étant de donner une existence concrète aux idées, avec un début, un milieu… et surtout une fin (sinon, la distraction reprend vite le dessus).

Les écrans, eux, méritent vigilance. Ils captent facilement ces profils, mais leur attention n’est pas travaillée en profondeur. Mieux vaut privilégier des activités créatives “hors ligne” pour solliciter le cerveau de manière active et non passive.

Besoin d’inspiration ou d’idées personnalisées ? Un bilan psychologique axé sur le profil singulier de l’enfant permet aussi de cibler les outils les plus adaptés : certains enfants sont très visuels, d’autres auditifs, d’autres encore plus kinesthésiques.

Rappelez-vous enfin que c’est la persévérance et la répétition qui finissent par porter leurs fruits. On ne change pas un mode de fonctionnement en une semaine ! Si votre enfant saute d’une activité à l’autre, c’est normal. Comme un jardinier patiente en laissant son potager s’épanouir, il faut offrir du temps… Et surtout, ne pas couper avant que ça ait fleuri !

Pourquoi l’accompagnement psychologique fait toute la différence ?

Il n’y a pas de recette miracle. Chaque enfant est unique, chaque famille aussi. Pourtant, l’accompagnement par un professionnel formé, spécialisé en psychologie de l’enfant et de l’adolescent, offre un atout inestimable. Il s’agit bien plus que de “traiter un trouble de l’attention” : il s’agit d’explorer l’univers intérieur de l’enfant, de renforcer son estime de lui, et de lui donner les outils pour transformer sa distraction en une force créatrice.

C’est souvent une véritable révélation pour les parents. Beaucoup arrivent au cabinet inquiets, fatigués, frustrés face aux “oublis”, “inattentions”, voire aux plaintes répétées des enseignants. Mais au fil des séances, ils découvrent une jolie métamorphose : l’enfant s’exprime, partage, prend conscience de ses forces et commence à développer une “boîte à outils” personnelle.

À l’inverse, un enfant non accompagné, “pressé de rentrer dans le moule”, risque de perdre sa confiance en soi. Et, pire, de brider son potentiel créatif au profit d’un unique objectif : ne pas se faire remarquer. Quel dommage pour le monde ! Comme une étoile cachée par une nuée, il faut parfois souffler un peu pour qu’elle brille.

Ce soutien psychologique peut prendre des formes variées. Quelques séances individuelles, parfois des ateliers de groupe, des entretiens parents/enfants… L’important ? Que chacun reparte avec le sentiment d’avoir avancé, compris, retrouvé un peu plus de sérénité.

Pour les familles en Belgique, il existe des réseaux de professionnels compétents. Le bouche-à-oreille, les associations de parents, les forums spécialisés, sont autant de ressources pour trouver la psychologue adaptée. N’hésitez jamais à vérifier la spécialité réelle du praticien, sa formation spécifique, et sa connaissance des profils alliant distraction et créativité.

Pour les enseignants, savoir qu’un adolescent bénéficie d’un accompagnement spécialisé évite bien des soupçons injustifiés (“mauvaise volonté”, “laxisme parental”). C’est une alliance éducative : on forme un trio parent – pro – prof, pour que l’enfant se sente entouré et jamais isolé.

D’autant qu’à chaque âge, les besoins évoluent : un jeune enfant distrait demande accompagnement ludique, alors qu’un adolescent a davantage besoin d’être compris dans sa différence, de transformer son “décalage” en expertise reconnue.

Certaines écoles proposent aussi des interventions directes en classe (ateliers d’expression, groupes de parole, soutien à l’attention). Osez en parler à la direction ! Parfois, un simple relais suffit à ouvrir des portes.

Bref, rien n’est figé. L’essentiel ? Agir tôt, valoriser, accompagner. Les adultes d’aujourd’hui qui ont souffert de leur distraction regrettent souvent qu’on ait “cassé leur élan créatif”. Inversement, ceux qui ont été compris, encouragés, deviennent des inventeurs, chercheurs… ou artistes dans l’âme, fiers de penser autrement.

Si le sujet vous parle, si l’un de vos enfants semble “dans la lune” mais déborde d’idées, n’hésitez pas à chercher des conseils supplémentaires sur cette page dédiée aux troubles de l’attention ou à prendre rendez-vous pour un accompagnement personnalisé.

Accepter la différence, soutenir l’estime de soi : un enjeu pour toute la famille

La dernière clé – sûrement la plus délicate – c’est la confiance. Celle que l’on accorde à l’enfant, celle que l’enfant se construit à force de petites victoires. Rien n’est automatique, rien n’est figé. À chacun son chemin.

Trop d’enfants “étiquetés” distraits intègrent la honte ou le doute, jusqu’à se convaincre qu’ils ne méritent pas d’être reconnus pour leur talent. C’est un cercle vicieux. Pour y échapper, la famille joue un rôle crucial de tremplin, de filet de sécurité.

Pourquoi ne pas raconter à son enfant ces histoires de grands inventeurs, écrivains, ou entrepreneurs, qui, petits, n’étaient “ni bons ni mauvais” à l’école ? Qui ont trimé pour se faire entendre, mais n’ont jamais abandonné leurs rêves ? Ces modèles offrent un horizon, une fenêtre sur l’avenir.

À la maison, des règles simples aident : prévoir des plages de temps sans interruption, où l’enfant peut créer sans contrainte. Instaurez le droit de se tromper, le droit de recommencer. Faites de la maison une “zone sans jugement”. On célèbre la tentative, pas seulement le résultat.

Et pour les moments de découragement (car ils viendront), pensez au fameux journal de petites victoires. Un cahier (ou une boîte à souvenirs) où l’enfant note les moments où il a persévéré, où son idée a fait mouche, où il s’est senti accueilli tel qu’il est. Feuilleter ce carnet en période de doute, c’est un antidote puissant contre la démotivation.

L’intervention de la psychologue pour adolescent peut transformer le rapport de l’enfant à lui-même, et, par ricochet, renforcer la cohésion familiale. Il n’est pas rare, lors de bilans, d’entendre un parent dire : “En fait, je crois que c’est moi, adulte, qui ai du mal à accepter cette différence !” Un cheminement se fait aussi chez les adultes. Accepter un enfant créatif ET distrait, c’est accepter le chaos, parfois, mais surtout miser sur la curiosité, l’inattendu, la richesse de la différence.

Enfin, soutenez-vous, soutenez les autres parents, partagez vos doutes, vos découvertes, vos conseils. Rien ne remplace l’entraide entre familles concernées. Un café, une discussion à la sortie de l’école… Souvent, c’est là que naissent les plus belles réponses.

Pour celles et ceux qui cherchent une ressource répandue à Liège ou dans le reste du pays, n’hésitez pas à consulter les pages spécialisées pour la parentalité ou les psychologues spécialisés. On ne répétera jamais assez : il n’y a pas de honte à être distrait, ni à penser autrement. Le monde de demain a besoin de ces têtes pleines d’idées, capables de voir ce que personne ne voit encore.

FAQ – Questions fréquentes

Comment reconnaître les forces d'un enfant distrait mais créatif ?

Observez ce qui anime votre enfant : sa capacité à inventer, à résoudre des problèmes de façon originale ou à s’intéresser à de nombreux sujets. Discutez avec ses enseignants et valorisez ses points forts au quotidien pour renforcer son estime de soi. Un accompagnement par une psychologue spécialisée permet aussi d’identifier des talents insoupçonnés.

Pourquoi faire appel à une psychologue spécialisée pour adolescents en cas de distraction et créativité ?

Parce qu’un regard professionnel aide à différencier la distraction “problématique” d’une différence de fonctionnement liée à la créativité. La psychologue propose des outils pratiques, sécurise l’enfant et offre un espace d’écoute bienveillant pour la famille, afin de valoriser chaque talent.

Quand faut-il s’inquiéter de la distraction d’un enfant ?

Si la distraction devient envahissante, gêne la vie scolaire, sociale ou familiale, il est conseillé de consulter. Un bilan psychologique permet de faire la part des choses et d’éviter de passer à côté de troubles nécessitant un accompagnement adapté.

Quelles activités privilégier pour développer le potentiel créatif d’un enfant distrait ?

Proposez des projets courts, des activités manuelles, un cahier d’inventions et des temps collectifs de création. Ces outils structurent la pensée tout en valorisant la créativité et en renforçant la confiance en soi.

Références scientifiques

1. White HA, Shah P. "Creative Style and Achievement in Adults with Attention-Deficit/Hyperactivity Disorder." Personality and Individual Differences, 2006. Étude démontrant que les adultes avec un profil attentionnel atypique développent souvent une créativité supérieure à la moyenne.

2. Zabelina DL, Robinson MD. "Don't Be Absent-Minded: The Role of 'Absentmindedness' in Creativity." Psychology of Aesthetics, Creativity, and the Arts, 2010. Résumé : Cet article explore le lien direct entre l’inattention ponctuelle et la capacité créative.

3. Kaufman SB, et al. "Creativity and Mental Illness." Cambridge Handbook of Creativity, 2010. Résumé : Analyse approfondie du rôle des profils neuropsychologiques atypiques dans l’émergence de talents créatifs.

4. Klein C, Boals A. "Expressive Writing Can Increase Working Memory Capacity." Journal of Experimental Psychology, 2001. Résumé : Montrant que l’écriture créative et expressive améliore la mémoire de travail et l’organisation cognitive, particulièrement chez les enfants à profil distrait.

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