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Troubles sexuels et image de soi : Pourquoi notre regard intérieur façonne l’intimitéSexologue Cession

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76

Rendez-vous en Ligne

Troubles sexuels et image de soi : Pourquoi notre regard intérieur façonne l’intimité

Imaginez un instant : vous vous regardez dans le miroir après la douche. Un regard franc, mais peut-être critique. Les yeux s’arrêtent sur un détail que vous seul remarquez. Un grain de beauté, quelques rondeurs, une cicatrice. Ce n’est qu’un reflet… Mais pour beaucoup, ce reflet commande bien plus que l’apparence. Il agit comme un chef d’orchestre sur l’estime de soi, le désir sexuel – parfois jusqu’à saboter la vie intime. Vous avez déjà ressenti ce doute au moment de vous déshabiller devant votre partenaire ? Vous n’êtes pas seul. Aux alentours de Liège, la question de l’image de soi revient très souvent dans la vie des couples ou lors des premières étapes d’une relation.

Dans cet article, nous décortiquons ce lien complexe – parfois douloureux – entre troubles sexuels et perception de soi. Écrit avec la collaboration et le regard expérimenté de Charlotte Cession, sexologue, il se veut un guide rassurant, mais aussi scientifique. Vous trouverez ici des réponses concrètes, loin des clichés, et des pistes thérapeutiques. Prêt à plonger dans ce miroir ?

L’image de soi au cœur de l’intimité : comment se fabrique-t-elle ?

Avant de s’intéresser au problème, il faut d’abord comprendre ce terrain invisible sur lequel il s’enracine. L’image corporelle, ce n’est pas juste une histoire de beauté. C’est la façon – souvent inconsciente – dont on se perçoit, dont on se juge, dont on imagine être vu. Au fond, n’est-on jamais vraiment nu qu’aux yeux de soi-même ?

L’enfant apprend très vite le regard des autres. Un compliment, une remarque ou une moquerie – et la graine est plantée. En grandissant, cette graine devient une forêt d’idées reçues sur le corps, le poids, les seins, le sexe. Le rôle des réseaux sociaux, des pubs, du porno n’arrange rien. Les standards sont inaccessibles, les photos retouchées, les modèles en réalité bien peu représentatifs.

Mais ce n’est pas que du visuel : l’image de soi touche aussi à l’identité de genre, à son histoire, aux souvenirs du premier amour, parfois même à des traumas. En Belgique, des études montrent que plus de 60% des jeunes adultes se disent insatisfaits de leur corps (source : UCLouvain, 2023). À Liège ou ailleurs, l’insatisfaction se retrouve dans tous les milieux sociaux.

Parlons vrai : qui n’a jamais eu peur de paraître ridicule, « pas assez bien », pas assez beau/belle, pendant un rapport ou en débutant une nouvelle relation ? Ce manque de confiance brouille tout, du désir à l’orgasme, jusqu’à la capacité à se laisser aller. Dans certains cas, il devient le lit de troubles beaucoup plus profonds, ceux qui amènent à consulter une sexologue.

Les patients le disent souvent en séance : « Je n’arrive pas à lâcher prise », « Je me sens jugé », « J’ai honte de mon ventre quand je me montre nu(e) », ou même « Je crains de ne pas être à la hauteur sous la couette ».

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

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Le souci, c’est que l’image de soi ne se limite pas aux complexes esthétiques. Elle touche le cerveau. Dans certaines situations, chaque minute confrontée au miroir ou au regard du partenaire peut générer du stress, voire de l’anxiété de performance. Et le sexe n’aime pas la pression…

Quand l’image de soi bascule en troubles sexuels : de l’inhibition au blocage

Concrètement, comment cette perception peut-elle altérer la vie sexuelle ? L’exemple le plus courant : ce fameux réflexe de « cacher son corps ». Certains évitent la lumière, ou gardent un tee-shirt lors des rapports. Pour d’autres, c’est plus invisible : rejet du toucher, peur d’être vu, crainte de déplaire au moment d’atteindre l’orgasme. Bref, plus l’image de soi est abîmée, plus le terrain devient glissant.

Il y a d’abord un impact sur le désir sexuel. Moins on se sent séduisant, moins le doute laisse place au plaisir. Ensuite, cette tension malmène la lubrification, l’érection, le lâcher prise. L’esprit court-circuite les sensations, la panne s’installe.

Chez certains, cela prend même une ampleur quasi-invisible, comme si le plaisir était réservé « aux autres ». Le cerveau fabrique des idées parasitaires : « Je ne vaux rien », « Mon corps est moche, alors à quoi bon »… Le cercle vicieux commence.

Charlotte Cession, sexologue, observe fréquemment ces spirales. « Beaucoup de patients me disent : je sais que le problème est dans ma tête, mais impossible d’en sortir. » En séance, l’objectif est alors de réparer l’image que la personne s’est construite. Car ce miroir, on l’emmène partout, y compris sous la couette.

Paradoxalement, ce ne sont pas toujours les personnes les plus éloignées des standards qui en souffrent. L’anxiété peut toucher aussi des corps « conformes » si le regard intérieur est dévalorisant.

Une étude canadienne, parue en 2020, le montre sans détour : l’insatisfaction corporelle est un facteur aggravant central des troubles sexuels, chez l’homme comme chez la femme. Elle multiplie par trois le risque de trouble du désir, par deux les risques de douleurs ou de blocages au moment de l’orgasme.

À ce stade, les signaux peuvent devenir gênants au quotidien :

  • Évitement des contacts intimes, baisse de la fréquence des rapports.
  • Peur de l’échec (érection, orgasme, lubrification…)
  • Difficulté à communiquer ses envies ou ses peurs à l’autre.
  • Mise à distance, parfois rupture du couple.

Les troubles sexuels liés à l’image de soi ne sont pas une fatalité. Mais ils demandent d’être nommés, reconnus, et accueillis sans jugement. Et c’est là que la sexologue intervient comme une boussole, entre empathie et outils thérapeutiques.

Vous êtes concerné(e) ? À quoi bon se débattre seul, alors qu’un accompagnement peut souvent tout changer ? Vous n’êtes pas une exception. Aux alentours de Liège, de très nombreux patients ont déjà franchi ce pas vers une sexualité libérée des complexes.

Quels sont les troubles sexuels qui naissent d’une mauvaise image de soi ?

Tous les troubles sexuels ne sont pas liés à l’image de soi, bien sûr. Il existe des causes médicales, hormonales, relationnelles. Mais pour beaucoup de patients en consultation, l’insatisfaction corporelle exerce une influence majeure, souvent cachée.

Quels sont les symptômes que les sexologues rencontrent le plus fréquemment ? Petit tour d’horizon, sans tabou.

  • Baisse du désir sexuel (« Je ne me sens pas attirant, donc je n’ai pas envie »). Souvent, le problème touche l’un des deux partenaires, installant une distance qui, si elle n’est pas nommée, risque de s’enraciner. Pour en savoir plus sur ce sujet, vous pouvez consulter cet article sur la perte de désir dans le couple.
  • Lubrification difficile chez les femmes, troubles de l’érection chez les hommes, souvent exacerbés par la peur de « ne pas être à la hauteur ».
  • Anorgasmie (« Je me bloque au dernier moment, comme si mon corps disait non. »). Un paradoxe typique : envie présente, mais plaisir qui ne suit pas.
  • Évitement des rapports, stratégies pour contourner la nudité, refus de passer par la case « préliminaires ».
  • Douleurs (vaginisme, dyspareunie). Des crispations psychiques se traduisent en tensions physiques, jusqu’à rendre l’acte impossible.
  • Anxiété de performance (sentiment d’être « sous examen » pendant toute la relation sexuelle).
  • Difficulté à parler sexe en couple : on évite, on minimise, souvent par peur de décevoir ou d’être (encore) rejeté.

« Je me sens invisible, » confient certains patients. D’autres au contraire se sentent « trop visibles », comme si chaque ride ou chaque pli devenait une cible potentielle du regard critique de l’autre. Après un accouchement, pendant la ménopause, après une rupture, ces questions reviennent souvent. Parfois, de jeunes adultes découvrent aussi qu’un complexe d’enfance a façonné leur façon d’aimer ou de désirer.

Certains troubles sexuels sont très étroitement reliés à l’image corporelle, comme le montrent les travaux de la sexologue américaine Lori Brotto. Par exemple, dans le vaginisme, la peur d’être jugée ou « vue » à nu majore la contraction involontaire des muscles lors des rapports. Chez l’homme, l’image négative de soi majorerait aussi le risque de dysfonction érectile, indépendamment de l’âge ou de l’état de santé, mais tout aussi bien en cas d’infidélité ou de séparation.

Lors des consultations à Liège, la sexologue Charlotte Cession propose souvent de travailler l’acceptation corporelle. C’est une des premières étapes pour dénouer certains problèmes intimes, avant même d’aborder la technique ou la communication dans le couple.

Dans la réalité, ces troubles ne sont pas toujours « visibles » à l’œil nu. Parfois, le problème s’exprime plus dans le silence, l’ennui ou la routine que dans les difficultés physiques. La preuve ? Selon une étude publiée par le CHU de Grenoble, 54% des patients consultant pour trouble sexuel disent « cacher » tout ou partie de leur malaise à leur partenaire.

La bonne nouvelle ? Il existe aujourd’hui des solutions, en sexologie ou thérapie de couple, qui redonnent confiance et plaisir, en travaillant sur l’image de soi – comme un muscle qu’on renforce pas à pas.

Prenons un exemple vécu, partagé par une patiente (les détails sont changés pour l’anonymat). « Après deux enfants, j’avais gardé des kilos, j’évitais la lumière. Je faisais l’amour seulement dans le noir. Mais plus le temps passait, moins j’osais. Un jour, mon mari a cru que je ne l’aimais plus. En réalité, j’avais peur de mon propre reflet. Ce n’est qu’en nommant ce problème, et en travaillant sur ma perception, que j’ai retrouvé du plaisir. »

N’attendez pas d’être arrivé(e) à l’extrémité de la lassitude. Il est possible de réconcilier image de soi et désir. Ce chemin commence parfois par une rencontre : celle d’une sexologue, d’une écoute bienveillante et d’un accompagnement personnalisé.

Ce sujet rejoint d’ailleurs la notion de consentement et de communication au sein du couple, comme le détaille cet article expert de Charlotte Cession sur le consentement.

Que propose la sexologie quand image de soi et sexualité sont en conflit ?

La sexologie ne consiste pas seulement à expliquer « comment fonctionne le corps ». C’est avant tout une discipline qui réconcilie le psychisme, le corps, et la capacité de ressentir du plaisir. Lorsque l’image de soi est abîmée, le premier pas est d’apprendre à nommer ce malaise, sans honte ni tabou.

En consultation sexologique, la première étape, c’est l’accueil. Charlotte Cession propose un espace sécurisé, dans lequel on n’est ni jugé, ni réduit à ses « échecs ». Parfois, un dialogue suffit à faire bouger quelques lignes : dire, ce n’est déjà plus subir.

Mais la sexologie va plus loin : elle propose des outils concrets, adaptés à chaque situation particulière. Voici quelques pistes, extraites d’années de pratique et validées par des études scientifiques.

  • Travail sur l’image du corps : exercices de visualisation positive, autorisation à explorer le plaisir sensuel sans objectif de « performance ». Cela passe aussi par la prise de conscience des automatismes négatifs (« Je me juge tout le temps ») et l’apprentissage d’un regard plus bienveillant.
  • Déconstruction des croyances limitantes : on identifie ensemble les phrases intérieures qui minent la confiance (« Je ne vaux rien si je ne donne pas d’orgasme », « Mon conjoint(e) va me quitter pour plus jeune/plus beau »…). Puis on explore : d’où viennent-elles, sont-elles toujours vraies ? Peu à peu, l’idée se transforme, le corps suit.
  • Désexualisation des symptômes : on propose de dissocier l’acte sexuel de l’idée de « test » ou de « performance ». Place à la tendresse, au plaisir du moment, à la lenteur. Pour de nombreux couples, cette libération est une révélation.
  • Jeux de rôle, exercices à domicile : la sexologue guide des petites missions concrètes, parfois ludiques (admirer son corps, expérimenter l’auto-massage, s’habiller différemment…). Ces outils réconcilient le dialogue avec soi-même et avec l’autre.
  • Thérapie de couple : lorsque le partenaire est impliqué, il peut s’agir d’un travail à deux : apprendre à communiquer, à se révéler ses insécurités, à affirmer ses envies sans peur du rejet. Vous souhaitez savoir quand consulter une sexologue pour des difficultés de communication dans le couple ? Découvrez cet article sur la communication sexuelle à Liège.

Parfois, d’autres professionnels sont impliqués : psychologues, médecins, gynécologues. La sexologie travaille en réseau, selon la situation. Il arrive que l’image de soi soit fragilisée par un traumatisme (abus, violence, moqueries passées). Dans ces cas, l’accompagnement est adapté, en douceur.

Attention, il n’existe pas de remède magique ni d’objectif à atteindre. La thérapie sexologique ne cherche pas la perfection… mais le chemin du mieux-être, petit à petit. La démarche ? Essayer, parfois échouer, mais avancer, sans se juger.

Pour certains, la prise de conscience s’accompagne d’exercices de pleine conscience, de relaxation (voire de méditation), permettant de reconnecter avec les sensations agréables. Pour d’autres, ce sera une redéfinition complète des attentes vis-à-vis de leur sexualité. La sexologue s’adapte à chaque histoire, chaque vécu.

Reste la question du couple. Quand l’image de soi s’effondre, elle peut provoquer une onde de choc dans la relation. Cela génère parfois des malentendus, de la frustration ou du repli sur soi. La thérapie de couple, en sexologie, propose alors de restaurer la confiance par le dialogue, la tendresse, l’écoute mutuelle. C’est comme réapprendre à marcher à deux, dans le respect du rythme de chacun.

Pour en savoir plus sur l’accompagnement personnalisé proposé par la sexologue Charlotte Cession, consultez la page dédiée ici.

Comment renforcer l’image de soi pour prévenir (ou surmonter) les troubles sexuels ?

On dit parfois que « le bonheur vient de l’intérieur ». Quand il s’agit d’épanouissement sexuel, cette maxime se vérifie chaque jour. Prendre soin de son image de soi, c’est un peu comme cultiver un jardin : il faut accepter d’arracher quelques mauvaises herbes, d’arroser régulièrement… et de faire pousser l’estime patiemment.

Voici des pistes, simples mais souvent puissantes, pour reconstruire une image de soi saine et apaisée :

  • S’appuyer sur le positif : Prenez le temps d’identifier ce que vous aimez dans votre corps, sans vous focaliser sur ce que vous n’aimez pas. Un détail suffit pour commencer : un sourire, une main, la courbe d’une épaule…
  • Limiter la comparaison : Rien de pire que les réseaux sociaux pour entretenir le malaise. N’oubliez pas que photos et vidéos ne montrent qu’une facette triée sur le volet de la réalité. À Liège, des ateliers sont parfois proposés pour aider à relativiser l’impact des images sur la perception de soi.
  • Oser parler : Un problème nommé est un problème déjà en partie résolu. Confiez vos doutes à quelqu’un de bienveillant (ami, professionnel, conjoint).
  • Bouger son corps… pour l’aimer : La pratique régulière d’une activité physique, même douce, aide non seulement le moral mais donne confiance en son corps. Inutile de viser la performance, l’idée est juste de retrouver la mobilité, la sensation, la fierté d’être vivant(e).
  • Rire, se faire plaisir : Le désir sexuel renaît souvent là où la joie de vivre est au rendez-vous. Accordez-vous de petits plaisirs, sans culpabilité.
  • S’ouvrir à la nouveauté : Parfois, changer de cadre, de rythme, de playlist, de gestes dans la vie intime suffit à casser une routine négative. Les sexologues accompagnent souvent cette exploration.

Sachez qu’il n’est jamais « trop tard » pour changer le regard porté sur soi, même après des années de doutes ou plusieurs échecs sexuels. Des témoignages montrent qu’avec un soutien adapté, l’image intérieure se transforme comme la lumière après un orage.

Et si la solution, c’était de cesser de vouloir ressembler à tout prix à un idéal de magazine ? Les couples les plus satisfaits sont souvent ceux qui osent la sincérité, la vulnérabilité. S’exposer, communique, c’est prendre le risque d’être aimé pour ce que l’on est… pas pour une caricature soigneusement filtrée.

Dans la pratique, beaucoup de patients – de tous âges – témoignent du soulagement ressenti après une ou deux séances seulement. On s’y autorise à dire « J’ai peur », « J’ai besoin d’être rassuré », « Je me sens moche »… et on découvre très vite que l’autre ne juge pas toujours aussi sévèrement qu’on le craint.

La sexologue propose parfois de débuter ce chemin par de très petits pas. Réapprendre à se regarder « comme on regarderait son meilleur ami », sans chercher à tout transformer, mais en accueillant le réel. C’est un point de départ.

Si l’image de soi reste un obstacle infranchissable, il existe aussi des groupes de parole, des ateliers, et bien entendu, des consultations individuelles avec une psychologue-sexologue à Liège ou en Belgique.

L’objectif ? Faire la paix avec son reflet, pour permettre au plaisir, butin discret d’une confiance retrouvée, d’éclore peu à peu.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si mes troubles sexuels sont liés à mon image de moi ?
Si vous ressentez une gêne à vous montrer nu(e), un manque de désir qui apparaît avec des pensées négatives sur votre corps, ou que la peur du jugement bloque le plaisir, il est probable que l’image de soi y contribue. Un échange avec une sexologue permet de préciser cette origine et de trouver un accompagnement adapté.

Pourquoi l’image du corps a-t-elle autant d’impact sur la sexualité ?
Parce qu’elle influence directement la confiance en soi, le lâcher prise et le plaisir partagé. Lorsqu’une personne se sent jugée ou insatisfaite dans son corps, cela crée du stress ou de l’évitement, qui limitent les sensations positives et peuvent provoquer des troubles sexuels.

Faut-il consulter un(e) sexologue dès les premiers doutes ?
L’accompagnement peut être bénéfique quelle que soit la gravité du problème. Plus on consulte tôt, plus il est facile d’éviter que la gêne ne s’installe. Même lorsque le trouble vous semble "petit", ne retardez pas : une écoute professionnelle offre du soulagement très rapidement.

Quand l’image de soi est très négative, peut-elle vraiment s’améliorer ?
Oui, avec un suivi bienveillant et des outils adaptés, l’image de soi peut retrouver douceur et sérénité, quel que soit l’âge ou l’histoire. La sexologie a prouvé son efficacité pour transformer, pas à pas, la façon de se percevoir et de vivre l’intimité.

Références scientifiques

Brotto L.A., Basson R., "Group mindfulness-based therapy significantly improves sexual desire in women", Behavioural Research and Therapy, 2017.
Résumé : La thérapie basée sur la pleine conscience augmente l’acceptation corporelle et améliore le désir sexuel chez les femmes insatisfaites de leur image.

Pope H.G., Phillips K.A., Olivardia R., "The Adonis Complex: The Secret Crisis of Male Body Obsession", Free Press, 2000.
Résumé : Les hommes ne sont pas épargnés par la douleur liée à l’insatisfaction corporelle, qui contribue à de nombreux troubles sexuels.

Bellemare L., Morin C.M., "La sexualité : une question d’image corporelle ?", Revue Québécoise de Psychologie, 2006.
Résumé : L’analyse montre que l’image de soi influe directement sur le plaisir et l’épanouissement sexuel, particulièrement chez les femmes.

Anderson, M., et al., "Body image and sexual satisfaction in women", Sexual Medicine Reviews, 2020.
Résumé : La satisfaction sexuelle est directement corrélée à une image corporelle positive ; travailler ce point en thérapie diminue les troubles sexuels.

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