NeuroPsy ADO-ENFANT Liège POTTIER SolennNeuroPsychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Solenn POTTIER
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0488 49 13 49
L’enfance, c’est un vrai labyrinthe. Entre les questions qu’on se pose comme parent – “Est-il en retard ?”, “Pourquoi bloque-t-il sur ce problème de maths ?” – et la réalité intérieure de l’enfant, il y a tout un monde à explorer. Un monde où le test cognitif n’est pas qu’un chiffre ou un verdict : c’est, pour le psychologue pour enfant, la lampe-torche qui révèle les coins sombres, les atouts cachés, les chemins tordus du raisonnement logique. Mais comment ces évaluations fonctionnent-elles ? Et surtout, comment peuvent-elles ouvrir une autre porte pour votre enfant ? Oubliez les idées reçues. Ici, on plonge dans le concret, le vécu, les outils de l’accompagnement à Liège et aux alentours, auprès de neuropsychologues spécialisés.
Le raisonnement logique chez l’enfant, ça se construit pierre après pierre. Certains avancent vite, d’autres prennent des détours. Mais chez certains enfants, ce développement semble bloqué. Votre enfant peine à résoudre des énigmes simples ? Il se perd dans les consignes même quand il a l’air attentif ? Parfois, ce n’est pas un problème de motivation, mais de construction cognitive.
Évaluer, c’est comme soulever la carapace d’une tortue pour comprendre pourquoi elle n’avance pas. Un test cognitif pour enfants explore plusieurs domaines : mémoire de travail, capacité à planifier, flexibilité mentale, voire la fameuse logique de “si ceci, alors cela”. Autant d’outils qui font leur vie discrètement dans la tête, mais qui peuvent tout changer sur le terrain de l’école ou à la maison.
Quand un enfant n’arrive pas à déduire qu’il faut mettre un manteau quand il pleut, ou se bloque devant un exercice de mathématiques, ce n’est pas forcément de la mauvaise volonté. Parfois, c’est un décalage dans l’apprentissage du raisonnement logique. Ce n’est pas “grave” en soi, mais cela mérite d’être compris – et c’est là que la psychologie spécialisée entre en jeu.
En Belgique et particulièrement à Liège, de nombreux parents consultent car ils ont remarqué que leur enfant “ne réfléchit pas comme les autres”. Mais à quoi servent réellement ces évaluations ? Et comment un psychologue pour enfants et adolescents peut-il faire la différence ?
Avant même le test, il y a l’observation. L’enfant évite les jeux de construction ? Il abandonne vite un puzzle si ça coince ? Ces indices, souvent subtils, peuvent traduire un petit bug dans l’engrenage cognitif. Un psychologue formé prendra le temps d’écouter les parents, de rencontrer l’enfant, de comprendre ses réactions. C’est parfois lors de cette conversation qu’on remarque le plus : un regard fuyant, une peur de l’échec, une logique “à l’envers” face à des devinettes simples… Ou tout l’inverse, un raisonnement brillant dans certains domaines, mais très hétérogène.
L’école, souvent, tire la sonnette d’alarme. Mais la réalité se construit aussi en-dehors : certains enfants doués de logique planquent leur jeu dans un cadre peu stimulant et se réveillent ailleurs. À l’opposé, un enfant détecté “en difficulté” à l’école peut briller à la maison sur d’autres plans. D’où l’importance d’un regard global, croisant les contextes, avant même de passer au test.
Comprendre les troubles anxieux chez l’enfant peut aussi aider à différencier un blocage purement logique d’une peur de l’échec. On confond trop souvent les deux.
Vous vous imaginez peut-être un examen scolaire version XXL, stressant, long, sous néon ? Rassurez-vous. Le test cognitif, mené par une spécialiste comme Mme Solenn Pottier (voir ici), se déroule dans une atmosphère adaptée. On écoute, on rassure, on transforme même parfois l’épreuve en un jeu. Pour l’enfant, pas de “jury”, pas de notes finales. Un cadre pensé pour qu’il ose donner le meilleur de lui-même.
Pourquoi ? Parce que l’objectif n’est ni de coller une étiquette, ni de pointer du doigt. On veut comprendre comment l’enfant raisonne… et où le bas blesse, si bas il y a.
L’évaluation se compose, la plupart du temps, de plusieurs volets :
Parmi les batteries de tests les plus connues, on retrouve le WISC, le NEPSY, la Figure de Rey, mais aussi d’autres outils très précis. Chaque test, c’est un miroir différent tendu à l’enfant. L’un va révéler ses forces, l’autre ses faiblesses. L’intérêt, ce n’est jamais le score brut : c’est le profil, la cartographie cognitive qui en ressort. Vous seriez surpris de savoir qu’un enfant avec 20/20 en logique peut pourtant peiner à généraliser ses compétences, ou qu’un enfant “bloqué” peut être d’une créativité folle sur d’autres plans.
Souvent, lors de la première séance, une discussion a lieu avec les parents. On pose des questions sur l’histoire développementale, les points forts et faibles, l’ambiance familiale, les attentes. Puis vient le moment du test proprement dit : l’enfant passe de table en table, d’énigme en énigme. Parfois il bute, parfois il s’étonne lui-même : “Ah, je ne pensais pas que je pouvais y arriver !” Ce moment de surprise, vous le verrez aussi dans le regard du psychologue.
Ce qu’on oublie souvent, c’est que l’évaluation n’est pas figée : l’enfant a le droit d’être fatigué, déstabilisé, ou même d’avoir un “mauvais jour”. On prend le temps. Parfois, il faut s’y reprendre. Et le rapport final, loin d’être un couperet, vise à donner des pistes concrètes pour la maison et l’école.
Vous vous demandez à quoi ressemble ce rapport ? Il s’agit d’un document synthétique, clair, qui reprend les résultats, mais surtout qui propose de vraies pistes d’aide. Inutile de savoir que votre enfant est “dans la moyenne”. Ce qui compte, c’est comment l’aider concrètement : appuyer sur ses forces, contourner ses faiblesses, l’aider à apprendre à apprendre. Les meilleurs comptes rendus, ce sont souvent les enfants qui les “expliquent” eux-mêmes, une fois mis en confiance !
Si vous voulez creuser la question, d’autres articles à ce sujet peuvent vous éclairer sur le test de QI chez l’enfant. Car l’intelligence n’est pas qu’une histoire de logique – mais la logique en est un pilier !
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On a parfois peur du test, comme d’un diagnostic. Pourtant, dans l’immense majorité des cas, le véritable bénéfice, c’est ailleurs qu’il se loge. Un psychologue pour enfant, quand il rend son rapport, ne donne pas une recette toute faite. Mais il livre une boussole. Une boussole pour les enseignants, pour les parents, et parfois pour l’enfant lui-même qui découvre soudain pourquoi certaines portes lui résistaient.
Imaginez un enfant incapable de gérer sa journée. Il oublie son agenda, il perd ses affaires, il saute une étape sur deux dans ses devoirs. On imagine vite de la paresse… alors qu’un test cognitif va révéler un trouble de la planification ou de la mémoire de travail. Résultat : on ajuste. Un agenda visuel, une routine plus cadrée, des outils concrets – rien de sorcier, mais le diable est dans les détails !
Pour d’autres, le test révèle habilité. Parfois, un enfant qui semble “décalé” a tout simplement un décalage entre son niveau de logique et ses compétences linguistiques. Dans ce cas, plutôt que d’insister sur la parole, on peut lui proposer des jeux logiques, des défis adaptés… Histoire de ne pas brider son potentiel.
Il ne faut jamais oublier les conséquences positives sur l’estime de soi. Un enfant qui croit “être nul” apprend parfois qu’il fonctionne différemment – et que cela peut devenir une force. Dans un système scolaire plutôt uniforme, ce coup de projecteur fait la différence. Il y a parfois un avant et un après test, comme si l’enfant pouvait spécifiquement dire : “Ah, je comprends mieux pourquoi je bloque… et comment avancer.”
Dans certains cas, cette évaluation va enclencher un accompagnement pluridisciplinaire. Orthophoniste, logopède, enseignant référent, voire suivi psychologique. Une équipe peut alors se mettre en place, surtout aux alentours de Liège, où les réseaux sont dynamiques. Il n’y a pas d’âge pour déclencher un test, mais plus l’identification est précoce, plus les adaptations sont simples et efficaces. On gagne du temps, et surtout du confort de vie ! De nombreux parents trouvent un apaisement, car “comprendre, c’est déjà agir”.
Dans certains cas – mais ce n’est jamais systématique – le test peut aider à diagnostiquer des troubles plus larges : trouble du spectre autistique, déficience intellectuelle, trouble déficit d’attention… ou troubles anxieux, qui se camouflent très bien derrière des airs “distraits”. Pour aller plus loin sur ce point, découvrez aussi ce article sur TDA/H ou anxiété chez l’enfant sur le site de Consultations-Liège.
Mais attention : ce n’est pas un détecteur de “maladie”. Juste un éclairage supplémentaire – bien souvent rassurant – sur le fonctionnement cognitif. Le but, toujours, c’est d’ouvrir le champ des possibles. Car chaque enfant construit son intelligence à sa façon. Le tout, c’est de le comprendre à temps.
On pourrait croire qu’après le test, tout s’arrête. En fait, c’est souvent là que tout commence. Le test fournit des clés de compréhension, mais c’est sur le terrain que la famille va, petit à petit, ajouter les bonnes briques.
Dans la majorité des cas, le psychologue pour enfant rédige des recommandations pratiques. Ces conseils, loin d’être flous, sont parfois très concrets : aménagements scolaires (temps supplémentaire, consignes adaptées), jeux de logique à la maison, béquilles organisationnelles, travail de respiration pour gérer le stress qui freine la logique.
Dans d’autres cas, un suivi est proposé. L’objectif : redonner confiance à l’enfant et l’aider à intégrer de nouvelles stratégies. Le psychologue peut accompagner sur plusieurs séances, mais c’est souvent toute la famille qui apprend à voir l’enfant autrement. On arrête de forcer ce qui bloque, on investit dans ce qui fonctionne.
Parfois, les difficultés de raisonnement logique s’accompagnent de troubles du langage ou de l’attention. Là encore, la coordination est essentielle. Un outil-clé : un carnet de liaison avec l’école, ou des rendez-vous partagés avec les enseignants. On crée des ponts. D’autres articles vous permettront de découvrir le rôle de la logopédie : trouble de l’attention ou du langage (logopédie à Tilff).
L’objectif ultime : que l’enfant retrouve du plaisir à réfléchir, à résoudre des énigmes, à oser des stratégies. Qu’il se découvre capable d’apprendre autrement. Qu’il arrête de penser que “tout le monde y arrive sauf lui”. Car, entre nous, vouloir que tous les enfants raisonnent pareil, c’est comme planter des carottes et attendre des pommes de terre.
En consultation, on rencontre chaque année des enfants qui, grâce à un test, reprennent goût à l’apprentissage. Même quand le diagnostic est difficile à vivre (trouble spécifique du raisonnement, haut potentiel…), la clé, c’est l’attitude : on ne stigmatise pas. On accompagne. Le chemin est souvent long, mais chaque victoire compte : “Je n’ai pas réussi ce problème-là… mais j’en ai compris un autre.”
Dans certains cas, le test met en lumière que tout va bien côté logique – et que le problème vient d’ailleurs : anxiété, harcèlement, surmenage, fatigue, troubles sensoriels. Là, c’est une autre histoire, et le psychologue pourra orienter vers un autre spécialiste. L’important, c’est d’avoir osé ouvrir la porte !
Il arrive aussi que la famille elle-même soit accompagnée pour déculpabiliser, parce que la pression éducative pèse. Le sentiment de “mal faire” est universel. Si cela vous parle, vous trouverez des réponses sur la pression de la parentalité.
Voilà pourquoi, en Belgique et plus spécifiquement à Liège, on trouve de plus en plus de parcours pluridisciplinaires centrés sur l’enfant – et non sur ses “déficits”. Les familles retrouvent de l’espoir. Et les enfants, leur capacité à créer des connexions là où on ne les attendait pas toujours.
Comment savoir si mon enfant doit passer un test cognitif pour le raisonnement logique ?
Si votre enfant rencontre régulièrement des difficultés à résoudre des problèmes simples, à organiser ses idées ou semble en décalage par rapport à ses camarades, cela peut justifier un test cognitif. Un professionnel, comme une neuropsychologue spécialisée, peut vous guider pour évaluer la pertinence d’un bilan.
Pourquoi faire un test cognitif chez un psychologue plutôt qu’à l’école ?
Un psychologue spécialisé dispose d’outils et d’une expertise spécifique pour comprendre le fonctionnement global de votre enfant. Le bilan est personnalisé, adapté à chaque profil, et vise à proposer des pistes concrètes d’accompagnement, au-delà de la seule réussite scolaire.
Quand doit-on consulter : faut-il attendre l’avis de l’école ou agir en amont ?
Il n’est pas nécessaire d’attendre un signal d’alarme de l’école. Si vous, en tant que parent, ressentez un décalage ou des difficultés, consulter un psychologue spécialisé vous aidera à mieux comprendre rapidement la situation et à agir plus tôt pour soutenir votre enfant.
Faut-il s’inquiéter en cas de résultats “moyens” lors d’un test cognitif sur la logique ?
Des résultats moyens ne signifient pas forcément que votre enfant a un trouble du raisonnement logique. L’examen complet du profil de l’enfant, de ses forces et de ses fragilités, permet de nuancer l’interprétation et de cibler un accompagnement ressourçant, si besoin.
Diamond, A. (2013). Executive functions. Annual Review of Psychology, 64, 135–168. – Revue majeure sur le développement des fonctions cognitives exécutives chez l’enfant.
Toplak, M. E., West, R. F., & Stanovich, K. E. (2011). Practitioner Review: Do performance-based measures and ratings of executive function assess the same construct? Journal of Child Psychology and Psychiatry, 54, 1312-1334. – Analyse des outils d’évaluation du raisonnement et des fonctions exécutives chez l’enfant.
Sternberg, R. J. (2003). The Psychology of Reasoning and Problem Solving. Wadsworth/Thomson Learning. – Ouvrage de référence sur la psychologie du raisonnement logique chez l’enfant et l’adolescent.
Gioia, G. A., Isquith, P. K., Guy, S. C., & Kenworthy, L. (2000). Behavior Rating Inventory of Executive Function. Child Neuropsychology, 6(3), 235–238. – Étude sur un outil reconnu de mesure des fonctions cognitives en neuropsychologie pédiatrique.