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Soutien sexologique en cas de troubles hormonaux : Quand la chimie du corps bouleverse l’intimité

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76

Soutien sexologique en cas de troubles hormonaux : Quand la chimie du corps bouleverse l’intimité

Désirer quelqu’un. Ressentir du plaisir. Parler d’intimité avec son partenaire. Ces mots peuvent sembler banals tant qu’ils coulent de source… Mais, parfois, des rouages invisibles se grippent. Le corps se met, comme qui dirait, “en mode avion” sans prévenir. Les troubles hormonaux peuvent alors changer la donne : ils modifient la libido, impactent le désir, le plaisir, provoquent douleurs ou gênes inattendues. Qui peut vous accompagner dans ces montagnes russes ? La sexologue devient ici une boussole précieuse pour retrouver confiance, compréhension et complicité.

Dans cet article, on zoome sur cette thématique souvent tenue secrète : comment la sexologie aide les femmes et les hommes à traverser ces tempêtes hormonales. Vous avez probablement déjà tapé sur Google : “Pourquoi je n’ai plus envie de faire l’amour ?” ou “Sexualité et ménopause, comment retrouver du plaisir ?” Vous n’êtes pas seul·e. Peut-être même êtes-vous aux alentours de Liège et cherchez-vous une oreille attentive, un accompagnement neutre, sans tabou ? Pourquoi ne pas consulter ?

Alerte spoiler : cet article ne va pas donner une recette magique. Il va creuser, questionner, proposer des pistes. Un peu comme une promenade dans les bois en Belgique : parfois plate, parfois vallonnée, toujours pleine de surprises. Installez-vous, on détaille tout. Prêt·e à découvrir, au-delà des idées reçues ?

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Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76

Pourquoi les troubles hormonaux impactent-ils aussi fortement la vie sexuelle ?

Parlons vrai. On entend souvent “C’est dans la tête !” lorsqu’il s’agit de sexualité. Pourtant, il y a beaucoup de science là-dessous. Les hormones sont ces messagers chimiques discrets mais puissants : œstrogènes, testostérone, progestérone, dopamine… Elles orchestrent notre appétit pour l’amour comme un chef d’orchestre dirige ses instruments. Qu’un seul musicien commette une fausse note : c’est tout le morceau qui en pâtit.

Imaginez : vous êtes en pleine forme. Et soudain, sans grande raison apparente, la libido s’effondre. Plus de désir, à peine une caresse tolérée. Chez les femmes, cela arrive souvent à la ménopause, mais pas seulement : après un accouchement, lors du syndrome prémenstruel, sous contraception hormonale, ou avec des maladies thyroïdiennes. Les hommes non plus ne sont pas épargnés. L’andropause existe, si si, même si elle s’exprime différemment, insidieuse, au fil des ans, ou brutalement après un souci de santé (prostate, dépression, diabète…).

Dans les faits, pourquoi ces déséquilibres peuvent-ils faire flamber ou, au contraire, geler toute envie ? C’est simple : nos cellules sexuelles dépendent d’un équilibre soigneusement régulé. Testostérone chez l’homme, œstrogènes et progestérone chez la femme : ces taux varient en permanence. Fatigue ? Stress ? Prise ou arrêt de médicaments ? Tout joue. Sans parler du mental, indissociable du physique…

La sexologue en consultation observe la même chose d’un rendez-vous à l’autre : la sexualité ne disparaît pas sans raison. Mais on culpabilise rapidement, surtout quand la société nous répète “Le désir, c’est naturel !” Oui, sauf que la nature a ses ratés. Pour certains, ces bouleversements rappellent la traversée d’un tunnel : sombre, inconfortable, un peu effrayant. Et s’il y avait, justement, un guide à l’autre bout ?

Plus concrètement, quels sont les symptômes qui amènent à consulter ? Chez certains, c’est une fatigue inexplicable, qui éreinte le désir sexuel. Pour d’autres, la sécheresse vaginale ou la dysfonction érectile installent la peur d’un nouvel échec. Quelques chiffres : près de 50 % des femmes rapportent une baisse de la libido à la ménopause ; chez les hommes de plus de 50 ans, jusqu’à 40 % se plaignent de troubles de l’érection liés à l’andropause.

L’aspect le plus déstabilisant ? Se sentir “anormal·e”, ou même honteux. Combien de couples ne s’enlisent-ils pas dans le silence, les non-dits, la frustration ? Si le moteur cale, c’est rarement un manque d’amour… mais parfois un souci hormonal, invisible, insidieux, inavoué.

Le conseil qui revient souvent aux alentours de Liège : n’attendez pas que le malaise s’installe. “J’attends le déclic”, “ça passera”… Et si prendre rendez-vous devenait justement ce déclic ? Car, bonne nouvelle : la consultation sexologique peut véritablement changer la donne. À la clé ? Retrouver du sens, du lien, du plaisir.

Vous hésitez à sauter le pas ? Beaucoup consultent trop tard, pensant que “ce n’est rien”. Pourtant, la prise de conscience, c’est déjà avancer.

Quand consulter une sexologue en cas de troubles hormonaux ?

La question semble simple… mais la réponse ne l’est jamais. Par nature, on attend, on s’autodiagnostique, on fouille internet en quête de témoignages. C’est humain. Pourtant, la prise en charge rapide change tout. À partir de quand doit-on oser pousser la porte d’un cabinet de sexologie ?

Imaginez une jeune femme de 33 ans, tout juste maman. Elle pleure, se sent coupable : plus de désir sexuel, aucune envie d’être touchée. Son compagnon s’inquiète, commence à douter de lui. Elle-même se trouve “fichue”. Cela rappelle la ménopause ? Oui, mais cela arrive aussi après une grossesse, après du stress ou en cas de déséquilibre thyroïdien. Le scénario varie, mais la difficulté reste la même : oser demander de l’aide.

Prenons un homme d’une cinquantaine d’années : sportif, vie de famille, mais la sexualité part en vrille. Érections évanescentes, mauvaise humeur, sentiment de déclin. Il se sent “diminué”, s’enferme dans le mutisme. Peut-être que, lui aussi, subit une andropause mal comprise.

Si vous vous reconnaissez dans ces histoires, un conseil : ne restez pas seul. La consultation sexologique n’est pas réservée aux inquiétudes “graves”. Parfois, quelques séances suffisent à démêler un fil, comprendre un mécanisme, réassurer sur la normalité d’un ressenti. Les demandes les plus courantes à une sexologue ?

  • Baisse de la libido inexpliquée, soudaine ou progressive ;
  • Sensation de plaisir absent ou diminué ;
  • Sécheresse, douleurs, anorgasmie après une modification hormonale ;
  • Dysfonction érectile ou troubles de l’éjaculation ;
  • Culpabilité ou honte d’en parler à son/sa partenaire ;
  • Difficultés relationnelles liées à la sexualité (problèmes de communication, peur du rejet…)

Ce n’est pas tout : le stress impacte aussi la sexualité. Il alimente un cercle vicieux entre malaise hormonal et baisse du désir sexuel. La sexologue intervient alors comme un miroir neutre : elle pose des questions, interroge croyances et habitudes, clarifie les attentes. Plus qu’une simple écoute, elle propose des actions concrètes, personnalisées.

Dans certains cas, la démarche sexologique s’intègre à une prise en charge médicale globale. Une consultation sexologique ne remplace pas l’avis d’un endocrinologue ou d’un gynécologue, mais complète brillamment le suivi. Le travail de Charlotte Cession, sexologue à Esneux, consiste à faire le lien : comprendre le corps, mais aussi la tête ; mettre des mots sur les non-dits.

Une métaphore ? Imaginez que la sexualité est un feu de cheminée. Les hormones, c’est le bois et les allumettes. Mais si la cheminée est bouchée (stress, croyances, douleurs…), la flamme ne prend pas, même avec le meilleur bois ! La sexologue aide à déboucher la cheminée : on relance la circulation, on clarifie ce qui bloque.

Pour certains, le passage en consultation se fait en solo ; d’autres préfèrent venir en couple. Les deux sont possibles. Quand consulter à deux ? Quand le dialogue est rompu, que la complicité vacille, ou que les incompréhensions s’accumulent. La thérapie de couple menée par une sexologue permet alors de rétablir la confiance, d’oser parler calmement d’un sujet devenu sensible.

Parfois, le motif semble minime : “J’ai l’impression que mon corps ne répond plus comme avant.” Peu importe la cause : interpréter, comprendre, rassurer, voilà le rôle de la sexologue. Trop de gens attendent la “catastrophe” pour agir. Il suffit pourtant d’un petit signal, d’un doute. À Liège, il n’est pas rare non plus de consulter pour des questions très ponctuelles (contraception, changements corporels, nouvelles pathologies…). Aucun sujet n’est “trop petit” pour oser demander conseil.

Que peut vraiment apporter une sexologue face à des troubles hormonaux ?

Soyons directs. Une sexologue ne “donne pas des hormones”. Son arme, c’est la parole, l’écoute, la pédagogie. À quoi sert la consultation sexologique, alors ? À réhabiliter la confiance, la curiosité, la capacité à ressentir du plaisir… même quand la chimie corporelle se détraque.

Première étape : comprendre ce qui se passe. Beaucoup arrivent avec, dans leur sac, toutes les analyses possibles – bilans hormonaux, courbes, magazines santé lus de fond en comble… Mais la peur persiste. La sexologue écoute, pose des questions inédites : “Comment vivez-vous le changement ? Quel impact sur votre rapport à soi, à l’autre ? Quelles croyances limitantes vous freinent ?”

Prenons l’exemple de la baisse du désir sexuel à la ménopause. La sexologue explique, rassure : ce n’est pas une fatalité, c’est une étape, souvent transitoire. Grâce à des exercices personnalisés, à la verbalisation des émotions, à la réconciliation avec son image corporelle, le désir revient, autrement. Parfois même renforcé. Le plaisir, lui aussi, se réinvente.

Pour les hommes, le parcours peut sembler tabou. Parler de dysfonction érectile est vécu comme un aveu de faiblesse. La sexologue aide à mettre à distance la peur de l’échec, la pression de la performance. On explore alors l’éventail du plaisir, l’intimité, la complicité, sans se focaliser uniquement sur la mécanique.

Mais le soutien va plus loin que des conseils. La consultation sexologique joue un rôle central dans :

  • La déculpabilisation : redonner du sens aux fluctuations du désir ;
  • La remise en route du dialogue de couple : apprendre à formuler ses attentes, écouter l’autre sans jugement ;
  • L’élaboration d’exercices (sensuels, de communication, de relaxation) adaptés à chaque histoire ;
  • La guidance vers d’autres spécialistes (gynécologue, endocrinologue, psychologue…) si besoin.

Et si seul le corps vous cause souci ? Douleurs lors des rapports, problèmes d’excitation, absence d’orgasme… La sexologue propose des solutions concrètes, souvent ignorées : lubrifiants adaptés, positions différentes, jeux de découverte sensorielle, conseils sur le rythme et la souplesse des attentes. Rien n’est imposé ; tout s'adapte à chaque couple, chaque individu.

Cerise sur le gâteau : la sexologue ne juge pas. Tous les parcours sont valides. Vous êtes un homme en pleine andropause, une femme ménopausée, un(e) jeune adulte sous traitement hormonal ? Le professionnel accueille vos ressentis, vos appréhensions, vos espoirs. C’est oser déposer son sac à dos lourd de préjugés, pour repartir plus léger.

Besoin d’autres exemples concrets ? Parmi les accompagnements les plus courants en cabinet :

  • Gestion du rapport au corps après une chirurgie (cancer du sein, prostate…) ;
  • Accompagnement de la transition de genre et adaptation hormonale ;
  • Conseils de fertilité en période de déséquilibre hormonal ;
  • Recherche d’une vie affective et sexuelle plus sereine lors d’une maladie chronique (thyroïde, diabète, hypertension…)

Et si la maladie fait peur ? Sachez que la sexualité se réinvente : il ne s’agit pas toujours de “retrouver un rapport comme avant”, mais de créer de nouveaux repères sensoriels et affectifs. Voilà en quoi la sexologue fait toute la différence : elle ouvre des fenêtres là où vous ne voyiez que des murs.

Pour celles et ceux qui hésitent encore à consulter, pourquoi ne pas lire l’article sur la gestion de la baisse du désir dans le couple ou découvrir comment surmonter la perte de libido ? Parfois, cela désamorce bien des inquiétudes, à distance ou sur place chez votre sexologue.

Comment restaurer la confiance et l’intimité de couple après un bouleversement hormonal ?

Faut-il sauver la flamme à tout prix ? Pas toujours évident, surtout quand le couple tangue, que chacun doute ou que la sexualité devient source de conflits, plutôt que de détente. Après un trouble hormonal, l’équilibre est souvent fragile. Comment ne pas confondre baisse de désir sexuel et désamour ? Comment éviter que les “ratés” du corps ne rongent l’intimité émotionnelle ?

Ce qui fait la différence : la communication. Mais attention ! Communiquer, ce n’est pas tout dire, d’un seul bloc. C’est apprendre à évoquer, par petites touches, ce qui change, ce qui blesse, ce qui inquiète. Beaucoup de couples consultent seulement lorsque le malentendu devient insupportable : l’un se sent rejeté, l’autre débordé par la culpabilité ou la contrainte.

Là, la thérapie de couple orchestrée par une sexologue redonne courage et souplesse au dialogue. Elle propose des exercices – non invasifs – pour relancer la tendresse, la complicité, la découverte. On se concentre sur les sensations, le toucher, la lenteur… plutôt que sur la performance. Parfois, il s’agit juste de réapprendre à se regarder, à s’apprécier autrement.

Le soutien ne vise donc pas à “forcer” la sexualité, mais à réinventer le cadre. Le but ? Restaurer la confiance. Parce qu’au fond, chacun espère la même chose : être désiré, accepté, aimé tel qu’il est. Avec ou sans fonction parfaite, avec ou sans orgasme garanti. N’oublions pas que, selon les études, plus de 2 couples sur 3 traversent à un moment de leur vie un épisode de crise sexuelle liée aux changements hormonaux ou à une maladie. Ils s’en sortent souvent… grâce au dialogue et à l’écoute professionnelle.

Dans certaines situations – comme après une maladie grave, une opération, un accouchement difficile – la question n’est même pas de retrouver une vie sexuelle “normale”, mais d’accepter une nouvelle normalité. Cela implique du temps, de la patience, et parfois l’élaboration de nouveaux rituels pour renouer avec le plaisir ou l’intimité. La sexologue accompagne ce cheminement, sans précipiter.

Envie d’aller plus loin ? Certains articles aident à mieux communiquer sur ces sujets délicats : à lire sur les relations et l’intimité ; ou, sur l’impact de la routine sur la baisse de plaisir. Même si tout semble figé, la discussion, accompagnée, redevient un levier puissant. Laissons du temps au temps.

Enfin, rappelons que le rôle de la sexologue est également de prévenir les crispations. Identifier rapidement les mécanismes de repli, la peur de l’échec, le silence, pour proposer des alternatives : ateliers, lectures, médiations, jeux de couple… Chacun peut trouver un outil adapté. Même en Belgique, la pudeur reste forte sur ces questions. Les patient.e.s témoignent cependant : “Il suffit parfois d’un rendez-vous pour oser en parler à la maison.” La magie de l’accompagnement professionnel est là.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si mes troubles sexuels sont liés à un problème hormonal ?
Plusieurs signes indiquent un lien hormonal : libido en chute soudaine, troubles de l'érection, sécheresse, troubles du plaisir apparus après un changement corporel, ou à certaines périodes (ménopause, andropause, post-accouchement). Un bilan médical, associé à une consultation sexologique, permet d’orienter le diagnostic et d’agir efficacement.

Quand faut-il consulter une sexologue pour une baisse du désir sexuel ?
Lorsqu’une diminution du désir sexuel dure plus de quelques semaines, ou si elle provoque du mal-être, de la frustration ou des conflits dans le couple, il est conseillé de prendre rendez-vous. La sexologue peut aider à identifier l’origine du problème et proposer des outils pour le surmonter.

Pourquoi la ménopause ou l’andropause impactent-elles autant la sexualité ?
Ces étapes provoquent une modification des taux hormonaux, ce qui affecte l’équilibre du corps (lubrification, érection, plaisir) mais aussi la confiance en soi et la communication de couple. Le soutien sexologique permet d’adopter des stratégies adaptées pour continuer à s’épanouir.

Faut-il consulter en couple ou seul lors de difficultés sexuelles liées aux hormones ?
Les deux sont possibles. Consulter en couple favorise le dialogue et l’entraide, surtout si la difficulté a un impact relationnel. En solo, cela permet de travailler sur ses ressentis profonds, ses craintes et ses attentes, sans pression. L’essentiel est de ne pas rester isolé avec son mal-être.

Références scientifiques

1. Brotto, L.A., & Laan, E. “Sexual Desire and Arousal Disorders in Women.” New England Journal of Medicine, 2021. Résumé : Une revue complète des troubles du désir féminin et de leurs causes multifactorielle, y compris les variations hormonales.
2. Corona, G. et al. “The role of hormonal therapy for sexual function in aging men.” Reviews in Endocrine and Metabolic Disorders, 2016. Résumé : Synthèse des impacts de l’andropause sur la sexualité masculine et bénéfices potentiels de la prise en charge globale.
3. Wierman, M.E. et al. “Sexual function and dysfunction in women: A patient’s guide.” Endocrine Reviews, 2010. Résumé : Explication des troubles sexuels féminins liés aux dérèglements hormonaux, avec recommandations thérapeutiques.
4. Lewis, R.W. et al. “Definitions/epidemiology/risk factors for sexual dysfunction.” Journal of Sexual Medicine, 2010. Résumé : Revue des facteurs de risque et d’épidémiologie des troubles sexuels chez l’adulte, avec focus sur l’âge et les changements hormonaux.

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