357 avis : 4,9/5 ⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️

Sexologue Liège : Femmes, osez franchir les blocages intimesSexologue Cession

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76

Rendez-vous en Ligne

Sexologue pour femmes : franchir le mur des douleurs et blocages intimes

Pour beaucoup de femmes, parler de leur sexualité reste épineux. On garde parfois le silence des années, la boule au ventre, la honte qui colle à la peau. Lorsqu’il s’agit de douleurs pendant les rapports ou de blocages qui semblent surgir de nulle part, les mots viennent difficilement. Pourtant, prendre soin de sa santé sexuelle est tout aussi essentiel que soigner son sommeil ou son alimentation. C’est une part de nous, sensible, fragile, souvent cabossée par le passé, l’éducation, ou de simples tensions du quotidien. Vous vous reconnaissez ? Cet article n’est pas une leçon. C’est un guide concret, fruit de l’expertise d'une sexologue, pour lever le voile sur ces douleurs et blocages trop souvent passés sous silence.

Au fil des pages, on va plonger dans ce qui se cache derrière un “ça fait mal” ou un “je n’y arrive plus”. Sans tabou. Avec des vrais outils, des exemples vécus, des clés pour avancer — que ce soit à Liège ou ailleurs. Parce qu’un frein dans la sexualité, ce n’est ni une fatalité ni une tare. C’est souvent le début d’un travail sur soi. On commence ?

Pourquoi tant de femmes souffrent-elles de blocages sexuels ou de douleurs pendant les rapports ?

Commençons par une évidence : la douleur, ce n’est jamais “dans la tête”. Mais c’est rarement seulement dans le corps non plus. Dans mon cabinet, la plupart des femmes s’interrogent : "Est-ce que je suis normale ?" "Pourquoi ça bloque ?" D’autres arrivent avec des questions en filigrane, à peine osées. Leur vécu, leurs histoires et leur environnement façonnent chaque ressenti. Imaginez un vieux coffre où, couche après couche, on aurait rangé des peurs, des idées reçues, des souvenirs, parfois des tabous hérités, parfois des traumatismes. Un jour, le coffre est trop lourd. Il déborde — c’est là que surviennent les blocages sexuels ou la douleur génitale.

La Sexualité féminine, contrairement à certaines idées reçues, n’est pas un simple bouton On/Off. C’est un écosystème. Hormones, mémoire corporelle, émotions, relation à soi et à l’autre… tout s’imbrique. Voici les principales causes que l’on croise aux alentours de Liège (et bien sûr, partout ailleurs) :

Causes médicales : infections vaginales, endométriose, sécheresse, troubles hormonaux… Parfois, la gêne est physique. Parfois, invisible, mais bien réelle. L’absence de diagnostic mène à la spirale suivante : la peur d’avoir mal, donc l’impossibilité de se détendre, donc une douleur qui s’intensifie. La diagnostic médical reste la première étape. Oui, ce n’est pas glamour, mais c’est vital. On ne traite jamais un problème sans éliminer une cause physique potentielle.

Facteurs psychologiques et relationnels : le stress agit comme un étau — il resserre tout : les muscles, la respiration, le plaisir. Après une journée stressante, il est parfois impossible de “laisser-aller”. Certaines femmes ont grandi dans des familles où la sexualité était tabu, mauvaise, voire synonyme de danger. Le poids inconscient de cette éducation rejaillit, parfois très longtemps après l’enfance. Les traumatismes sexuels, même anciens, se traduisent souvent par des blocages. De même, des soucis de couple, des conflits non résolus ou une communication défaillante aggravent les douleurs sexuelles. Pour en savoir plus sur ce phénomène, découvrez cet article sur le silence sexuel et l’évitement.

La peur de décevoir, la peur d’être jugée ou de ne pas être “à la hauteur” — cela aussi, ça s’insinue. On le voit chez les jeunes femmes aussi bien que chez celles qui ont déjà traversé plusieurs relations.

Mais alors… Faut-il vivre avec ? Certainement pas. Osons le dire tout net : ce qui “anéantit” une envie, ce sont souvent ces micro-blessures laissées sans soins. Une douleur, ce n’est jamais anodin. C’est un message du corps. Et c’est là qu’entre en jeu la sexologie, discipline qui jongle entre psycho, médecine, et réalité du quotidien.

Exemples concrets de situations fréquentes

Souvent, les mots sont tus. Voici des histoires anonymes, glanées au fil des rendez-vous, qui vous parleront peut-être. Prenons “Élise” (prénom changé) : trente ans, dynamique, en couple depuis huit ans. Du jour au lendemain, impossible d’avoir un rapport sans grimacer. Sécheresse, crispation, refus du corps. Pour elle, tout aurait pu s’expliquer par le stress et la fatigue. Mais le malaise persistait. Après exclusion médicale, c’est la culpabilité, l’impression d’être “défaillante” qui prenait le dessus. Le verrou s’auto-alimente. Autre exemple : “Sophie”, qui, chaque fois qu’elle voulait se rapprocher de son partenaire, ressentait une angoisse panique. Son histoire familiale avait totalement effacé la notion de plaisir, ne laissant que la peur d’être envahie.

Il en va de même pour tant de femmes, que leur orientation sexuelle soit hétéro ou non. Blocages et douleurs sont universels, bien plus présents qu’on ne le croit.

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76

Rendez-vous en Ligne

Comment la sexologue accompagne-t-elle la femme vers la guérison ?

Imaginez une lanterne que l’on tiendrait dans le noir. La sexothérapeute n’apporte jamais de solutions prêtes-à-porter. Elle éclaire, elle guide, souvent pas à pas, vers une meilleure connaissance de soi. Les consultations commencent dans la douceur. Vous pouvez parler, ou non. Avancer, ou simplement écouter. Beaucoup de femmes “posent leur valise”. Pour la première fois, on les écoute sans juger. Parce que ce n’est pas “que dans la tête”. Parce qu’on ne va pas proposer une pilule magique — ce n’est pas le style de la maison.

Le temps de l’exploration s’ouvre : On revient sur l’histoire, les peurs, parfois même sur la première fois où tout s’est coincé. On peut remonter loin. Une sexologue comme Charlotte Cession, à Liège (proche Esneux), travaille en lien avec de nombreux professionnels médicaux. En cas de doute, un bilan gynécologique peut être conseillé en parallèle de la prise en charge psychologique.

Ensuite, place à la pédagogie. Eh oui, beaucoup de femmes ont mis de côté leur propre plaisir, leur connaissance du corps. On (re)découvre l’anatomie, la physiologie du désir féminin. Saviez-vous que la lubrification n’est pas toujours immédiate, même quand l’envie est là ? Ou que certaines douleurs sont liées à des réflexes musculaires involontaires (vaginisme, dyspareunie) ? Tout ça s’apprend, se comprend… et surtout, peut évoluer. Il n’y a pas d’âge limite pour changer sa vie intime.

Petit à petit, on travaille sur le “lâcher-prise”. Parfois, par la relaxation, par des exercices à faire seule ou en couple. Par la parole, par l’écriture, par des rituels symboliques aussi. Les consultations deviennent un petit laboratoire : on y teste des astuces concrètes, on s’entraîne à dire “stop”, à exprimer ses besoins. On peut également découvrir d’autres articles sur la perte de plaisir au sein du couple ou explorer la question du désir et du stress (lien ici), deux sujets fréquemment abordés.

Un point important, la confidentialité. Tout ce qui est dit, testé, essayé, reste dans cet espace sécurisé. Cela paraît évident, mais ça change tout : on avance différemment lorsqu’on se sent à l’abri du jugement. La sexologue sait aussi orienter vers d’autres spécialistes si besoin : kiné pelvien, sage-femme, psychologue, nutritionniste, etc. Un vrai travail d’équipe au service de la santé intime des femmes.

Enfin, ce suivi, c’est aussi accepter que sortir d’un blocage psychosexuel prend du temps. Parfois, on avance de trois pas, on recule de deux. Il y a des “relapses”, des pannes ; c’est normal. Ce sont les signaux d'un cheminement vers une sexualité mieux vécue, à son rythme.

Quels sont les types de douleurs ou de blocages pris en charge ?

Un sexologue pour femmes n’a pas de baguette magique. Mais il a une caisse à outils bien remplie. Une bonne nouvelle : la majorité des douleurs et blocages liés à la sexualité peuvent être améliorés ou résolus, surtout s’ils sont explorés tôt. Voici les situations les plus courantes, que ce soit en Belgique, à Paris ou ailleurs :

1. Douleurs pendant les rapports (dyspareunie) : Ce terme, un peu barbare, cache une réalité quotidienne. Jusqu’à 20 % des femmes vivent, au moins une fois dans leur vie, une douleur persistante pendant la pénétration ou juste après. Parfois, les causes sont mécaniques (manque de lubrification, infections, cicatrices post-accouchement). D’autres fois, elles sont liées à la contraction involontaire des muscles du périnée (cher “plancher pelvien” dont on entend de plus en plus parler). Les solutions ? On va du traitement médical à l’apprentissage de la respiration, en passant par des positions différentes, ou même… le temps : accepter que certaines phases du cycle menstruel rendent la zone plus fragile.

2. Vaginisme : C’est l’un des plus grands “tabous”. La pénétration devient impossible, voire impensable. Le corps bloque, les muscles “sautent” comme une alarme anti-intrusion. Culpabilité, solitude, impression d’être “cassée”… Un diagnostic précis est indispensable. Parfois, des séances de kinésithérapie périnéale sont nécessaires, en parallèle de la prise en charge sexologique. La clé : patience et bienveillance. Un déclic peut se produire à tout âge.

3. Absence de désir (baisse de libido) : Paradoxalement, ce n’est pas une vraie douleur physique… mais c’est bien plus courant qu’on ne le pense. Beaucoup de femmes consultent parce que “ça ne leur fait plus envie” ou “ça ne décolle plus”. Le couple s’essouffle. On s’inquiète, à tort, que c’est la fin du plaisir partagé. Or, mille et unes raisons peuvent expliquer une libido aux abonnés absents (stress, conflits, fatigue, hormones, etc.). Une fois identifiées, on peut avancer, seule ou à deux. Pour approfondir ce thème : lire l'article "libido en berne, comment vaincre la baisse du désir sexuel dans le couple".

4. Blocages émotionnels ou psychologiques : Ils ne sont pas toujours visibles. On peut être à l’aise de parler devant une amie, et pourtant bloquer totalement dans l’intimité. Les causes ? Parfois une éducation stricte, une mauvaise expérience, une peur obsédante (la grossesse, la douleur, la peur d’être jugée). Parfois, un traumatisme. L’accompagnement est alors sur-mesure : lever le voile sur le vrai besoin, la vraie crainte — pas celle que l’on croit.

5. Perte de plaisir : Beaucoup disent : “J’y arrive, mais je n’y prends plus goût.” L’anorgasmie féminine concerne bien plus de femmes qu’on ne le pense. Entre ce que le couple attend, ce qu’on “doit” ressentir, et ce qu’on vit réellement, il y a un monde. Pour celles qui souhaitent s’informer sur les solutions, explorez cet article dédié à l’anorgasmie féminine.

6. Incapacité à communiquer sur ses envies ou ses ressentis : Ce n’est pas “rien”. Au fil des séances, la sexologue donne des outils pour formuler des demandes simples (“ça me plaît”, “non, ici, ce n’est pas agréable”). Souvent, un des plus gros blocages concerne les “premiers mots” à poser. Un exemple ? Dire “arrête” sans vexer, ou “encore !” sans rougir. Cela aussi, ça s’apprend !

Les motifs de consultation, aux alentours de Liège comme partout, évoluent avec le temps. Mais la quête de sens, de plaisir et d’apaisement reste la même. Si certaines douleurs doivent impérativement faire l’objet d’un avis médical (infections, kystes, sécheresse anormale), beaucoup relèvent d’un accompagnement doux, progressif, rigoureux.

Quand et comment franchir le pas d’une consultation chez la sexologue ?

La grande question… “Est-ce grave ?” “Est-ce que ça vaut la peine de consulter ?” Voici un secret : vous n’êtes pas obligée d’attendre d’être “à bout”. La prévention (comme en sport !) change tout. Plus on ose parler tôt de ses difficultés, plus l’évolution est rapide. Un blocage installé depuis peu se dénoue parfois en quelques séances. Après des années de silence, c’est plus long, mais jamais impossible.

Consulter une sexologue pour femmes n’est pas une “punition”, ni une honte. C’est un cadeau qu’on se fait. Venir seule est fréquent. Venir à deux aussi (le blocus de la parole touche souvent aussi le partenaire). Parfois, la première séance consiste simplement à vérifier “si on se sent à l’aise”. On teste, on juge l’ambiance, la confiance. Pas de “forcing”. Vous gardez le contrôle du processus.

Voici quelques signes qui doivent alerter :

  • La douleur persiste, ou s’aggrave, malgré un traitement gynecologique
  • Le blocage génère de l’anxiété, de la culpabilité, du mal-être dans le couple ou dans la vie de tous les jours
  • Le plaisir, le désir, l'envie s’effritent de manière durable
  • L’idée d’en parler provoque honte, malaise, ou sensation de “différence”

Le rendez-vous n’engage à rien. On peut très bien venir “pour voir”, poser quelques questions, s’informer sur les étapes possibles. Parfois une seule séance suffit à y voir plus clair — comme une boussole remise en route après un brouillard épais.

L’enjeu, c’est d’éviter les spirales de malentendus. Beaucoup de couples délaissent leur vie sexuelle par crainte de blesser l’autre ou de “trop compliquer l’histoire”. C’est comme marcher sur des œufs : plus aucun faux pas n’est possible, chacun se tient à distance. Paradoxalement, c’est là qu’on a le plus besoin d’aide. N’hésitez pas à consulter la rubrique dédiée à la thérapie de couple pour mieux comprendre comment rétablir le dialogue.

Pensez-y : prendre rendez-vous avec une spécialiste de la sexualité, que ce soit en Belgique, à Paris ou ailleurs, c’est s’accorder de la valeur, reconnaître ses besoins et ses limites.

Et si la vraie révolution, c’était… de se donner le droit d’aller mieux ?

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si mes douleurs pendant les rapports sont “normales” ou inquiétantes ?

Toute douleur qui persiste au-delà de quelques rapports, malgré un traitement de base (lubrifiant, patience, réduction du stress), mérite un avis médical et/ou sexologique. N’attendez pas que cela devienne un vrai obstacle à votre vie intime pour consulter.

Pourquoi est-ce si difficile d’en parler à son/sa partenaire ou à un professionnel ?

La sexualité reste un sujet tabu, souvent chargé de honte ou de fausses croyances. Mettre des mots sur ses difficultés prend du temps ; l’accompagnement par un sexologue permet justement de lever ces blocages progressivement, sans jugement et dans un espace sécurisé.

Quand faut-il consulter une sexologue spécialisée dans la douleur ou les blocages sexuels ?

Dès que la gêne, la douleur ou le blocage impacte négativement le plaisir, le couple ou l’estime de soi. Il n’est jamais trop tôt ou trop tard pour consulter, les solutions sont adaptées à chaque histoire individuelle et le passage à l’action reste toujours bénéfique.

Faut-il venir seule ou en couple pour une première consultation ?

Il est tout à fait possible de venir seule, si c’est plus facile ou si le blocage est personnel. Mais si la difficulté concerne la communication ou la dynamique du couple, une consultation à deux peut s’avérer très utile pour poser des bases de dialogue et de compréhension réciproque.

Références scientifiques

1. Brotto L.A., "A Brief Cognitive Behavioral Intervention for Sexual Dysfunction in Women," Journal of Sex & Marital Therapy, 2017. Résumé : Un protocole court en thérapie comportementale améliore la satisfaction sexuelle et réduit la douleur chez les femmes.

2. Reissing E.D., "Women's Sexual Pain Disorders: Genito-pelvic pain/penetration disorder," Canadian Journal of Psychiatry, 2015. Résumé : L’article décrit les causes physiques et psychologiques des douleurs sexuelles féminines et l’importance de la prise en charge pluridisciplinaire.

3. Pukall C.F., "The Treatment of Sexual Pain Disorders in Women," Current Sexual Health Reports, 2019. Résumé : Les traitements multidisciplinaires, incluant sexothérapie et kinésithérapie, sont les plus efficaces pour les douleurs sexuelles féminines.

4. Basson R., "Women's sexual dysfunction: revised and expanded definitions," BMJ, 2006. Résumé : Une approche globalisée de la sexualité féminine intègre causes médicales, relationnelles et émotionnelles pour mieux accompagner les patientes.

This is some text inside of a div block.