Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Vous arrive-t-il parfois de vous demander pourquoi, malgré l'amour ou l'attirance, l'osmose sexuelle ne s'installe pas dans votre couple ? Pourtant, tout "devrait" fonctionner. Mais non. C'est comme essayer d'accorder deux instruments de musique qui ne sont tout simplement pas faits pour composer dans la même tonalité. Si cette impression vous parle, vous n’êtes pas seuls. Les problèmes de compatibilité sexuelle concernent des milliers de couples, en Belgique comme ailleurs. Et ce n’est pas une question de longueur du nez ou de complexité psychologique réservée aux autres — c’est une réalité humaine, ordinaire, parfois silencieuse mais pesante.
Des différences de désir sexuel, de rythmes, de préférences ou de besoins apparaissent. Parfois dès le début. Parfois après dix ans de vie commune. Mais alors, comment comprendre ces décalages ? Faut-il consulter un sexologue ? À partir de quand ces différences deviennent-elles un vrai problème, qui nuit à la relation ? Dans cet article, plongeons ensemble dans l’univers méconnu — et pourtant si courant — de la compatibilité sexuelle au sein du couple. Avec des pistes pour mieux se comprendre, s’adapter parfois, et choisir quand il faut, de demander de l’aide.
Vous vous remémorez vos débuts ? Cette période magique où tout semblait couler de source. Les caresses comme la parole. Mais voilà, peu à peu, une forme de routine s’installe, ou bien chacun dévoile davantage ses envies, ses croyances, ses tabous. Ce qui ne posait pas problème hier commence à gêner. Parfois sans qu’on puisse vraiment mettre le doigt dessus. La compatibilité sexuelle, contrairement à l’idée reçue, n’est pas forcément innée ou automatique en amour. Elle se construit, se nourrit, se déconstruit parfois aussi.
En consultation, il n’est pas rare que des couples s’exclament : “Notre problème principal ? Nous ne sommes pas sur la même longueur d’onde au lit… Lui, il veut souvent, moi beaucoup moins.” Ou encore : “Elle aime les préliminaires longs, moi je préfère aller droit au but.” Au fond, ce choc entre attentes, désirs et fantasmes n’a rien d’exceptionnel. Selon une enquête publiée dans la revue The Journal of Sex Research, plus de 60 % des couples rapportent au moins un “décalage” de besoins sexuels formalisé au cours de leur vie commune.
Un exemple ? Prenons Julie et Thomas. Après deux ans de relation, Julie déplore que Thomas “n’ait aucun sens de la surprise”. “C’est toujours pareil, même heure, même position. À force, je me lasse.” Lui, au contraire, vit mal les périodes où Julie refuse ses avances sans explication. “Je me sens rejeté”, dit-il, “ce n’est pas contre toi, je n’en ai juste pas envie”, répond-elle. La discorde s’installe. Qui a raison ? Personne. Ou plutôt : tout le monde, à sa façon.
Il y a tant de facteurs invisibles qui façonnent la compatibilité sexuelle d’un couple : éducation, passé, valeurs, histoire corporelle, mais aussi la présence d’un stress au travail, la fatigue (évidemment !), ou des événements de vie comme la naissance d’un enfant. Autant d’éléments qui agitent et changent la donne sous la couette.
Vous êtes-vous déjà demandé : qui a défini la “norme” ? Pourquoi devrait-on désirer au même moment, dans la même forme ? Eh bien… Ce n’est qu’une vue de l’esprit ! On oublie souvent à quel point chacun traîne derrière lui une “bibliothèque érotique” construite depuis l’adolescence. Une métaphore simple : imaginez deux disques vinyles différents. Parfois, les chansons se ressemblent, parfois elles sont aux antipodes. Vouloir les faire tourner parfaitement en même temps, tout le temps, c’est utopique.
Les sexologues l’assurent : rien n’est plus variable que la libido humaine. Chez les uns, c’est une marée montante à chaque pleine lune ; chez d’autres, une source calme, mais profonde. Parfois, il suffit d’un mot, d’une caresse… D’autres fois, ce sont les circonstances, le stress, l’ambiance qui font tout changer.
Et à force de se taire, de croire que "ça va passer", les petits décalages se creusent. On s'éloigne. C’est là que bien souvent, la consultation en sexologie prend tout son sens. Comme on consulte un chef d’orchestre quand les instruments du couple se désaccordent — rien de honteux, bien au contraire ! Les habitants des alentours de Liège, tout comme dans d'autres régions, commencent à délaisser le tabou pour enfin oser consulter.
Toutes les différences ne se ressemblent pas. Certaines restent silencieuses, d’autres explosent en crises. Mais alors, derrière le mot “compatibilité”, que recouvre-t-on vraiment ?
Dans près d’un couple sur deux, l’un a “souvent plus envie” que l’autre. C’est probablement le motif le plus fréquent de consultation chez le sexologue. Et ce n’est pas propre à un genre ou à un âge. Ça touche tout le monde. La société croit souvent que “les hommes souhaitent plus”, mais cette généralisation est trompeuse : le désir fluctue chez tous, selon mille raisons (hormones, humeur, confiance en soi, santé physique…)
Dans certains cas, la différence est permanente. Par exemple : lui, quotidiennement ; elle, une fois par semaine (ou inversement !). D’autres fois, les rythmes se croisent sans jamais se rencontrer — un peu comme ces trains qui se croisent sans s’arrêter. Résultat : frustration, sentiment de rejet, culpabilité… Le déséquilibre en devient une blessure intime.
Pire, le sujet devient tellement tabou qu’on finit par ne plus en parler. On évite. On attend “le bon moment”, qui ne vient pas. En sexologie, il existe des stratégies simples pour enfin sortir de cette impasse : redonner du sens au désir, l’aborder sans crainte, initier des accords flexibles, des routines nouvelles ou des espaces “hors pression”. Gérer les différences de libido est l’une des pistes majeures en thérapie de couple à ce jour.
Question : faut-il se forcer pour l’autre ? Jamais, selon les spécialistes. Mais à l’inverse, faut-il attendre l’alignement parfait des désirs, comme les planètes ? Ce serait risquer d’attendre longtemps. D’où la nécessité de négocier, de faire preuve d’empathie, de rester curieux l’un de l’autre.
Libido, frustration, fréquence des rapports, attente… Voilà les mots clés qui reviennent le plus souvent. La bonne nouvelle : tout est évolutif. Il n’est jamais “trop tard” pour réinventer la partition de son couple.
Le saviez-vous ? Selon l’enquête “Les Français et la sexualité” (Ifop, 2022), 35 % des personnes interrogées déclarent s’être “auto-censurées” dans l’expression de leur désir par peur de rebuter l’autre. Un chiffre qui laisse songeur sur l’ampleur du problème… Une simple parole mise à plat peut suffire à inverser la vapeur.
Vous habitez à Liège ? Les consultations spécialisées se développent, à visage ouvert. Plus besoin de rougir.
En quête de conseils concrets sur ces situations ? Découvrez nos 10 conseils efficaces pour les couples ou encore des informations sur la libido instable.
Autres grandes différences ? Les préférences sensorielles. Certains sont stimulés par un mot doux, d’autres par une tension physique ; certains aiment l’audace, d’autres la lenteur. Comme si chacun avait un clavier secret dont les touches ne “résonnent” pas pareil. À vous de “jouer” à deux pour découvrir cette partition unique.
Cela semblait fonctionner… puis tout d’un coup, ça déraille ? Vous n’êtes pas seuls. Le sexe dans le couple ressemble à une plante : elle a soif d’attention, parfois de réinvention. Au fil du temps, mille grains de sable viennent enrayer la belle mécanique.
D’abord, on croise souvent des phases de transition : naissance d’un enfant, deuil, perte d’emploi, déménagement, retraite… Choc émotionnel ou fatigue physique, tout s’invite dans nos draps. La “machine” du désir s’emballe… ou cale. C’est normal. Souvent temporaire. Mais parfois, le fossé se creuse et s’enkyste en silence.
Ensuite, le stress chronique — notre pire ennemi ! Le corps n’est pas un bouton ON/OFF. Sous pression, l’organisme secrète des hormones (cortisol…) qui inhibent la libido et la capacité à se “laisser aller”. Le résultat ? Les envies s’étiolent, la distance s’installe. Même constat en cas de dépression, de surmenage, de contrariétés familiales ou médicales. La sexualité devient alors le miroir amplifié des tensions du quotidien.
Mais d’autres facteurs entrent en scène :
- Problèmes d'érection ou dysfonction érectile
- Douleurs pendant l'acte pour elle (dyspareunie, vaginisme...)
- Vieillissement, ménopause, andropause
- Changements hormonaux après grossesse
- Résurgences de traumatismes sexuels passés
- Anxiété de performance (“vais-je être à la hauteur ?”)...
À force d’accumuler ces petits grains de sable, l’harmonie se grippe. Clin d'œil aux femmes : la ménopause joue un rôle immense — sécheresse vaginale, chute de libido, douleur (voir notre article sur l'anorgasmie et douleurs féminines). Chez Monsieur, la même chose survient parfois après cinquante ans, sous le nom d’andropause. Bref, le corps évolue, et avec lui, l’alchimie du couple. Ce n’est pas une fatalité — mais il faut en parler, se donner le droit de changer.
Ajoutons-y la pression de la performance, véhiculée par l’imaginaire collectif et les médias. On croit qu’il faut faire l’amour “tant de fois” sous peine d’échec. Ou que le plaisir “doit” atteindre tel sommet, dans telle position. Pression, normalité, réussite, épanouissement deviennent alors des mots chargés d’angoisse plutôt que de liberté.
Sincèrement, combien de couples pensent encore (à tort !) “ça ira mieux avec le temps” ? Parfois oui, mais parfois non. Mettre des mots sur le malaise, c’est déjà ouvrir la porte à une solution. Les sexologues constatent d’ailleurs que consulter à temps évite bien des ruptures ou des souffrances inutiles.
N’oublions pas la dimension culturelle ou spirituelle. Certaines familles, traditions ou communautés véhiculent des discours très forts (interdits, honte ou sous-entendus à propos du corps, du plaisir…). Ces croyances peuvent verrouiller la liberté d’expression, de découverte — et renforcer l’impression d’incompatibilité chronique. D’où l’importance de (re)découvrir son mode d’emploi personnel, loin des pressions héritées.
Aux alentours de Liège, de plus en plus de thérapeutes formés en sexologie savent accompagner ces situations en douceur, sans jugement. Consulter ne veut pas dire “on est perdu”, mais “on veut mieux se comprendre”. Un changement de paradigme salutaire.
Peut-être vous reconnaissez-vous dans l’un de ces exemples ? Dans ce cas, il n’est jamais trop tard pour amorcer le dialogue — avec un professionnel si besoin. Pourquoi consulter en sexologie ? Vous aurez sans doute la réponse rien qu’en entamant l’échange.
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
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Vous vous demandez par où commencer ? Voici quelques pistes issues de la pratique clinique, applicables seul… ou ensemble.
1. Oser la communication franche (sans exploser !)
Cela paraît évident, mais c’est LE secret. On évite le “tu ne veux jamais” ou “je me sens nul(le)” au profit du “j’aimerais, et toi ?”. Exprimez vos envies, sans tabou. Faites-le non pas au lit (quand le malaise est déjà là), mais à tête reposée, autour d’un café. Nommez ce que vous ressentez, aussi maladroit que cela paraisse. Ce n’est pas grave de bafouiller. C’est en forgeant qu’on devient forgeron.
2. Faites le tri dans ce qui vous appartient… et dans ce qui appartient à l’autre
Chacun a sa “carte du tendre” : histoire, préférences, blessures. N’imputez pas à l’autre l’origine de votre désir ou désamour du moment. S’interroger sur son propre fonctionnement, c’est déjà aider l’autre à mieux vous comprendre.
3. Dépassez la logique du “tout ou rien” : explorez les nuances !
La sexualité n’est pas qu’un acte, mais une somme de gestes, sensations, complicités. On peut être “intimes” de mille façons : massage, mots, regard, caresses, jeu… Détachez-vous de l’impératif “rapport sexuel classique” (avec pénétration). Explorez. Nul besoin d’avoir “envie” au même moment pour partager une intimité !
4. Recourez, selon besoin, au soutien d’un sexologue
La sexologie offre un cadre neutre pour verbaliser ces discordances, poser des mots apaisants. Parfois, quelques séances suffisent à lever le poids, à redonner du jeu là où l’angoisse avait tout figé. Le regard extérieur du professionnel aide à relativiser, à dédramatiser. Comme on confierait sa voiture à un garagiste : rien d’anormal, juste un réajustement.
5. Accordez-vous le droit… d’évoluer !
Vous n’êtes pas figés. Ce que vous aimiez avant vous laissera peut-être indifférent demain… ou l’inverse. Laisser place à la surprise, sortir des sentiers battus, accepter la nouveauté (même minime) entretient la curiosité. Un couple qui parle ouvertement de sexe a statistiquement plus de chances de traverser les orages et d’être heureux, c’est prouvé.
6. Pensez “hygiène de vie”
Le sommeil, l’alimentation, l’activité physique, l’équilibre hormonal jouent sur la qualité de la libido ! Parfois, il suffit de “reprendre possession” de son corps pour voir renaître le désir. Consulter pour “troubles du désir sexuel chez l’homme” ou “faible libido après un accouchement” peut lever bien des doutes (plus d’infos ici : troubles sexuels masculins à Liège).
Cela paraît impossible ? Pas tant que ça. Les progrès cliniques récents en thérapie de couple ont démontré qu’un simple changement d’attitude, un rendez-vous “plaisir”, une re-découverte commune… suffisent souvent à réenchanter la relation. Osez demander : “qu’est-ce qui te ferait plaisir, là, à l’instant ?” ou “qu’est-ce que tu aimerais redécouvrir avec moi ?” Les réponses surprennent, la complicité se réveille.
Enfin, pensez soutien professionnel sans tarder si la souffrance dure, si le couple s’enferme dans le silence, si la peur de “ne plus plaire”, le doute, ou le ressentiment grandissent (voir notre article sur la communication sexuelle). La prise en charge est douce, personnalisée, et s’adapte à chaque réalité.
Citons pour finir une anecdote issue d’une consultation : “Pour la première fois depuis notre mariage, on a osé parler de nos envies opposées… résultat, on a à nouveau ri ensemble.” Comme quoi, parfois, le simple fait d’oser dire redonne des couleurs au tableau du couple.
On croit souvent que vivre ce type de difficulté signifie “ça ne marchera jamais”, ou “l’amour n’est plus là”. Mais la réalité est autrement plus nuancée. Parfois, l’amour subsiste, mais les corps s’oublient, ou vibrent à fréquence différente. Comment faire la paix… Quelles alternatives ?
D’abord, rappelez-vous : la compatibilité sexuelle n’est pas un paquet tout fait à ouvrir le jour J. C’est une construction quotidienne, comme la confiance ou l’humour partagé. Tous les experts l’affirment : aucune relation durable n’existera sans ajustement au fil du temps. Oser évoluer, c’est gagner en liberté, en complicité et… en plaisir.
Mais parfois, malgré tous les efforts, ça ne “colle” pas. Et alors ? Faut-il insister ? Rester ensemble malgré tout ? Un sujet tabou. Selon la sexologie moderne, “être incompatible sexuellement” n’est pas une fatalité, mais parfois, la meilleure option pour préserver sa santé psychologique et son bien-être, c’est d’accepter que certains chemins se séparent. Impossible de forcer le désir. Mais attention, ce constat doit survenir après avoir TOUT tenté pour renouer le dialogue, grâce à un professionnel si besoin. C’est là où le sexologue permet d’y voir plus clair — le fameux “effet miroir” neutre, apaisant.
Par ailleurs, assumer une sexualité différente (pas forcément à deux, ni dans les mêmes formes, ni à la même fréquence) n’a rien de choquant. C’est même souvent salvateur. La clé ? Ne pas juger ni imposer, mais (re)découvrir l’autre avec curiosité. Pour certains couples, la découverte de nouveaux plaisirs ou pratiques (sécurité, respect…) rouvre des portes jusque-là fermées. Pour d’autres, des compromis créatifs (alternance de rythmes, “sessions” plus courtes mais régulières, “rendez-vous”…) créent un nouvel équilibre. Bref, il y a mille chemins, parfois hors des sentiers battus.
Un chiffre qui en dit long : dans une étude menée en 2020 en Belgique, 22 % des couples confiaient que le “manque de dialogue sexuel” avait fragilisé, parfois définitivement, leur union. Pourtant, ceux qui avaient osé entamer cette démarche à deux témoignaient ensuite d’un “sentiment de libération”, même si tout n’était pas résolu…
Vous songez à consulter ? Rien de plus simple. Les sexologues à liège, et partout ailleurs, proposent désormais des créneaux discrets, sans jugement. Alors, pourquoi attendre ?
Pour approfondir : anxiété, performance sexuelle, dysfonction érectile.
En conclusion, la compatibilité sexuelle n’est pas une recette magique, ni une obligation. C’est une aventure. Parfois cahoteuse, imparfaite, mais précieuse. Osez franchir le pas. Parler, explorer, demander de l’aide, c’est déjà une victoire sur les non-dits qui font mal. Et qui sait, le bonheur sexuel n’est peut-être pas si loin qu’on le croit…
Comment savoir si notre couple présente un problème de compatibilité sexuelle ?
Si vous ressentez souvent de la frustration, de l’insatisfaction, ou que vous évitez les moments d’intimité par peur du conflit, il peut s’agir d’un souci de compatibilité sexuelle. L’absence de dialogue sur le sujet ou la sensation persistante de “ne pas être compris” sont aussi des signaux-clés. N’hésitez pas à consulter un sexologue pour y voir plus clair et trouver des pistes d’épanouissement.
Pourquoi les différences de libido apparaissent-elles dans le couple ?
Les différences de libido sont liées à de nombreux facteurs : stress, fatigue, événements de vie, hormones, confiance en soi… Chaque personne évolue et traverse des phases différentes. Ces écarts sont fréquents ; savoir en parler à deux permet de trouver un équilibre satisfaisant sans culpabilité ni tabou.
Faut-il consulter un sexologue en cas d’incompatibilité sexuelle ?
Consulter un sexologue est recommandé dès que vous ressentez une souffrance, un blocage persistant, ou une incompréhension qui nuit à la relation. Un professionnel aide à mettre des mots sur la difficulté, à communiquer différemment et à trouver ensemble des solutions adaptées à votre couple.
Quand la compatibilité sexuelle devient-elle un obstacle majeur dans le couple ?
Elle devient problématique lorsque le malaise s’installe durablement, que la frustration règne, ou que les tentatives de rapprochement échouent malgré vos efforts. À ce stade, il est préférable de ne pas attendre et de consulter pour éviter des conséquences négatives sur l’ensemble du couple.
Lehmiller, J. J. – Sexual Compatibility and Relationship Satisfaction: New Evidence – The Journal of Sex Research, 2021.
Résumé : Une revue de recherche sur l’impact de la compatibilité des préférences et désirs sexuels sur la satisfaction conjugale ; démontre leur importance et propose des leviers d’action.
Mark KP. – The Importance of Sexual Compatibility in Romantic Relationships – Sexual Medicine Reviews, 2012.
Résumé : Explique pourquoi la compatibilité des attentes sexuelles joue un rôle dans la stabilité et l’intimité du couple, avec des exemples cliniques.
Willoughby BJ, et al. – Dyadic processes and sexual outcomes in committed relationships – The Journal of Sex Research, 2016.
Résumé : Étude sur la communication intime et la manière dont la négociation sexuelle influence la cohésion du couple.
Carter S, Peroni J. – Sexual Desire Discrepancy: Understanding the Frustration Gap – Archives of Sexual Behavior, 2018.
Résumé : Analyse des impacts psychologiques et des solutions à la différence de désir sexuel au sein du couple.