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Sexologue Charlotte CESSION  – proche de LiègeSexologue Cession

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76

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Sexologue à Liège pour adolescents et jeunes adultes : comprendre, écouter et accompagner les questions intimes

À l’adolescence et au début de l’âge adulte, les questions autour de la sexualité déboulent souvent comme un train en marche. Et parfois, ça déraille un peu : doutes, peurs, incompréhensions, malaise. Les réseaux sociaux bombardent d’images et d’idées, pas toujours justes… On se compare, on s’interroge : “Est-ce normal ce que je ressens ?”, “Pourquoi je n’ose pas en parler à mes parents ?”, “Comment savoir si c’est le bon moment ?”. En consultation de sexologie, ces voix trouvent une écoute, un espace pour déposer les mètres cubes de questions que l’on trimballe discrètement sur le dos.

À Liège, plus de 3 adolescents sur 5 confient avoir déjà parlé à quelqu’un d’un souci en lien avec la sexualité avant 20 ans. Mais beaucoup hésitent à franchir la porte d’un cabinet. La peur du jugement, de la honte, ou l’impression que “ça va passer tout seul”. Pourtant, parler à une sexologue spécialisée peut changer la donne. Charlotte Cession accompagne au quotidien des jeunes aux prises avec leurs émotions, leurs doutes et le poids du regard social.

Dans cet article, on zoome sur ce qui coince – mais aussi sur ce qui peut s’ouvrir – quand la parole se libère enfin autour de la sexualité chez les mineurs et jeunes adultes. Que ce soit une première relation, la découverte du corps, une orientation différente ou une gêne qui empêche d’avancer, la sexologie s’adapte, écoute et agit. Prêt à y voir plus clair ?

L’éveil de la sexualité chez les jeunes, entre découverte, pression sociale et vraies questions

L’adolescence : une période charnière. Sur le plan sexuel, c’est le grand chamboulement. Les hormones font le grand écart. Le corps change, les envies apparaissent, dans le désordre parfois. Mais dans ce désordre, tout le monde ne se sent pas à l’aise. Certains avancent, d’autres freinent ou se sentent en décalage. Face à tous ces bouleversements, se pose une première question essentielle : comment reçoit-on et intègre-t-on la sexualité à cet âge ?

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège explique souvent à ses jeunes patients : “Personne ne détient la notice de montage du désir.” Internet fourmille de conseils, d'images crues, mais la réalité, c’est que chacun avance à son rythme. Les industries du porno, la pub et les séries ont placé la sexualité sur une scène toujours bien éclairée, parfois factice. Résultat ? Pression pour “être prêt”, paraître “expérimenté”. Ça crée du stress, des fausses croyances et, parfois, des angoisses qui s’invitent chaque fois qu'on aborde le sujet.

Parlons chiffres ! Selon une enquête menée en Belgique, 42% des adolescents déclarent avoir subi des injonctions ou des moqueries liées à la sexualité (apparence physique, virginité, pratiques sexuelles). Le regard de l’autre – amis, partenaires, famille, réseaux sociaux – pèse lourd. Certaines phrases, balancées à la va-vite, peuvent s’ancrer dans la tête et bloquer la découverte intime (“T’es encore puceau ?”, “Tu n’as pas de poitrine ?”). Avancer dans sa sexualité, c’est aussi apprendre à déconstruire ces idées reçues.

Êtes-vous parent d’un adolescent ? Peut-être que votre enfant n’ose pas vous parler d’un sujet tabou : masturbation, pornographie, orientation sexuelle, contraception… Souvent, les premiers réflexes sont l’auto-censure (“Je ne veux pas inquiéter mes parents”, “Ils ne comprendraient pas”). Là, la sexologue intervient comme un tiers bienveillant, ni juge, ni parent, juste là pour écouter, conseiller sans imposer.

Vous êtes jeune adulte et vous sentez que votre parcours sexuel est “hors normes” ? Rien de plus normal ! L’âge moyen du premier rapport en Belgique – toutes sexualités confondues – oscille autour de 17 ans. Mais chute, devinez quoi ? Le plus important, ce n’est pas d’avoir déjà expérimenté, mais d’être en phase avec ses propres désirs. Chacun son tempo, chacun ses envies.

À ce stade, un questionnement légitime surgit souvent : “Et les peurs, dans tout ça ?”. On y vient.

Quelles sont les raisons fréquentes de consulter une sexologue à l’adolescence ou au jeune âge adulte ?

Contrairement à l’image “sulfureuse” parfois accolée au métier, le rôle du sexologue, c’est d’abord d’accueillir la parole là où elle bloque. Que viennent raconter les plus jeunes à la sexologue Charlotte Cession, à Liège et aux alentours de Liège ? Justement, faisons ensemble le tour des motifs de consultation les plus fréquents à cet âge-là :

Quand l’estime de soi se fêle au contact du regard des autres

Première cause de mal-être sexuel à l’adolescence : l’image de soi, souvent ébranlée. C’est la période de la mutation corporelle, des boutons, des odeurs, du corps qui “gonfle”, qui se transforme. Chez les filles comme chez les garçons, la peur de ne pas “ressembler aux autres” fait de dégâts. Les injonctions du web (“être mince, musclé, épilé…”) s’ajoutent à la météo émotionnelle interne : “Est-ce normal mon sexe ?”, “Pourquoi mes seins ne poussent pas ?”, “Suis-je trop poilu(e) ?”.

Ici, la sexologue va d’abord déconstruire. Rien n’est plus menteur que le miroir social. Prendre le temps d’expliquer la diversité des formes, des ressentis, des rythmes. Rassurer, remettre du vrai dans le fantasme collectif.

Et pour certains, l’image corporelle s’enchevêtre avec des problématiques de poids, de développement ou de corps “non conforme” aux standards. Comme le souligne cet article sur la psychologie des relations et de l’intimité, écouter, c’est déjà réparer une partie du mal.

Mais l’estime de soi est également chahutée par les premières expériences érotiques. Une “première fois” décevante, voire traumatique, peut marquer durablement le vécu sexuel et l’image de soi. D’où l’importance d’un accompagnement professionnel pour déposer son histoire sans craindre le rire, la gêne, la minimisation.

Ensuite vient le sujet qui tourmente beaucoup d’adolescents : “Est-ce que je suis ‘normal’ ?” La normalité n’existe pas dans la sexualité, et la sexologue prend soin de l’expliquer, rarement deux fois de la même façon. Ici, votre chemin compte plus que la moyenne.

Parfois, derrière ces inquiétudes, il y a des histoires bien plus lourdes : harcèlement scolaire, violences, agressions sexuelles passées. D’autres fois, ce sont “juste” les balbutiements maladroits d’une sexualité en construction. Dans les deux cas, la parole libérée fait office de baume.

Un autre motif fréquent de consultation – et pas des moindres – concerne la pornographie. Dès 12-13 ans (parfois avant), la majorité des jeunes ont déjà visionné des images explicites. Loin d’être un tabou, le porno s’est infiltré, au point de devenir une source principale “d’informations” (ou de désinformation) sur la sexualité. Beaucoup s’interrogent : “Pourquoi je n’arrive plus à m’exciter sans vidéo ?”, “Je me compare aux acteurs, j’ai peur de ne pas être à la hauteur”. Ici, le travail de la sexologue vise à déconstruire les mythes véhiculés par la pornographie, à redonner toute sa place à l’intimité, loin du modèle hypersexualisé.

Pour approfondir ce sujet, découvrez cet article sur l’addiction au sexe et à la pornographie. Un vrai fléau silencieux chez les jeunes, souvent banalisé, parfois stigmatisé.

Et puis, il y a le casse-tête de l’orientation et de l’identité sexuelles.

Beaucoup de jeunes viennent consulter pour comprendre, mettre des mots, chercher un repère face à leurs préférences, leurs attirances ou leur genre. “Suis-je gay ? Hétéro ? Bi ? Fluide ?”, “Et si j’aimais une personne trans ?”. Il n’y a pas de “bonne réponse”, mais chercher la sienne est déjà un pas. La sexologue travaille main dans la main avec des associations et des ressources éducatives pour accompagner ce questionnement sans précipiter de diagnostic.

Un témoignage souvent entendu en consultation : “C’est la première fois qu’un adulte ne me juge pas quand je parle de tout ça.” Peut-être parce qu’il n’y a pas d’attente à satisfaire, ni de “norme” à atteindre. Simplement le droit d’être en chemin, et d’aller à son rythme.

Par ailleurs, nombre de jeunes adultes consultent aussi pour des difficultés dans la gestion du désir, de l’érection, de l’orgasme… Parfois des troubles qui font écho à la pression de performance (être “endurant”, “explosif”, “satisfaisant”). Cela peut affecter l’estime de soi, la joie de se découvrir à deux ou seul.e. Sur ces questions, la consultation pour la perte de désir est l’une des plus sollicitées.

Enfin, pour quelques-uns, la sexualité n’est pas (ou plus) une source de plaisir, mais de douleur. Vulvodynie, douleurs testiculaires, angoisses liées à la pénétration. Autant de sujets encore peu partagés, mais qu’une écoute professionnelle peut rendre moins pesants.

À chaque histoire, sa mosaïque d’émotions. Les motifs de consultation font éclore des parcours uniques, du plus classique au plus “atypique”. Et le rôle de la sexologue ? Poser le cadre, accueillir la parole, orienter si besoin.

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

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Comment se déroule une consultation de sexologie avec un adolescent ou un jeune adulte : sécurité, dialogue et respect

Imaginons. Vous poussez la porte, la boule au ventre. Ou c’est votre enfant, votre sœur, votre frère. Peut-être vous demandez-vous : “Mais comment ça se passe, une consultation sexologique à mon âge ? Qu’est-ce qu’on me demande ? Est-ce que mes parents sauront tout ?” Autant de questions légitimes, auxquelles il vaut mieux répondre en toute honnêteté.

D’abord, le premier rendez-vous. Pas de jugement, pas de tabou. Plutôt un café chaud, une chaise qui grince parfois, et une professionnelle qui rassure d’emblée : “Ici, tout reste confidentiel. Zéro obligation de raconter ce que vous n’avez pas envie de dire tout de suite.” L’accueil, c’est la base. Un espace neutre, loin du bruit de la maison et des attentes extérieures.

Dans la plupart des cas, la sexologue commence par une série de questions larges, sur l’état émotionnel, les raisons de la venue, les attentes – souvent floues au début. Les échanges peuvent être très concrets (“Je n’ai pas de plaisir”, “Je ne comprends pas mon orientation”), ou partir de ressentis plus vagues (“Je me sens différent”, “Je ne supporte pas mon corps”). Certains jeunes écrivent leurs questions sur une feuille, d’autres n’osent pas parler les dix premières minutes. Tout est normal.

Ensuite, il y a la question de la confidentialité. En Belgique, dès 15-16 ans, un jeune peut consulter seul, sans obligation d’en référer à ses parents (sauf situation grave : danger, maltraitance, etc.). La démarche relève du secret professionnel, comme chez un médecin. Mais dans les faits, beaucoup de jeunes préfèrent être accompagnés par un parent, au moins la première fois. Là, la sexologue propose un cadre mixte : quelques minutes avec l’adulte, puis un entretien individuel, pour rassurer et laisser la parole circuler.

Lorsque la question porte sur l’orientation sexuelle, le genre ou une expérience traumatisante, l’approche reste douce. On avance par étapes. Une métaphore entendue en cabinet : “La sexualité, c’est comme un jardin, certains y plantent vite des fleurs, d’autres préfèrent attendre avant de cultiver.” Nul besoin d’être “prêt” pour tout aborder, chaque consultation s’adapte à la maturité du jeune, à son entourage, à ses besoins du moment.

Autre aspect important : l’éducation sexuelle différenciée. Une sexologue ne se contente pas de donner “les bases” ou de rappeler l’importance du préservatif. Elle favorise aussi la déconstruction des stéréotypes de genre, aborde la fluidité des identités, le respect du consentement et la complexité du désir. Pour aller plus loin, cet article sur le consentement est une ressource précieuse.

Le choix de revenir ou pas appartient toujours au jeune (hors situations médicales graves). Parfois, une seule consultation suffit pour apaiser une inquiétude. D’autres fois, le suivi s’installe dans le temps, modulé au fil des questionnements.

Petite anecdote : une jeune fille de 17 ans, terrorisée à l’idée de parler de contraception à ses parents, a réussi en trois séances à verbaliser sa peur, puis à aborder le sujet à la maison. Résultat ? Un vent de soulagement pour tous.

Le parcours de consultation, c’est avant tout une main tendue, jamais un examen. On reparle du passé si besoin, on prépare l’avenir si désiré, on compose avec le présent et ses tempêtes. Loin des idées fixes, la sexologie évolue et s’adapte. Rien n’est gravé dans le marbre.

Dernier point, la collaboration avec d’autres professionnels (médecin généraliste, psychologue, gynécologue) se fait si un souci médical ou psychologique majeur émerge. L’essentiel reste que le jeune se sente maître de son histoire. Prendre soin de soi ne dépend d’aucune norme, d’aucune chronologie imposée.

Sexologie et bien-être chez les jeunes : entre éducation positive, prévention et accompagnement au fil des âges

Au fil des rencontres, le rôle du cabinet de sexologie se transforme : parfois “GPS psycho-affectif” pour jeunes déboussolés, parfois baromètre des évolutions sociétales, parfois boîte à outils éducatifs. Parlons-en.

Contrairement aux clichés, la sexologie pour adolescents et jeunes adultes n’est pas une parenthèse médicale : c’est un tremplin vers l’autonomie, une boussole pour mieux s’orienter dans un univers saturé de stéréotypes.

Première mission : l’éducation sexuelle positive. Fini le schéma anxiogène des années 80 (“attention SIDA, grossesse non désirée !”). Aujourd’hui, la sexologue promeut une sexualité épanouie, respectueuse, consentie. On met l’accent sur le plaisir réciproque (et pas seulement masculin), sur la diversité des parcours, sur la confiance dans les ressentis.

Cette éducation s’adresse autant aux jeunes qu’à leurs familles. Beaucoup de parents – un peu déboussolés – cherchent eux aussi des points de repère. Faut-il tout expliquer ? Laisser expérimenter ? Questionner sans juger ? Ici, la sexologue peut proposer des consultations “familles”, des ateliers ou des ressources multiples.

Second volet : la prévention. Prévenir, c’est armer les jeunes contre les fausses informations (légendes urbaines, croyances toxiques, sites douteux), mais aussi contre les dangers concrets : chantage sur les réseaux, diffusions d’images, sextorsion. Selon une étude récente, 1 jeune sur 10 a déjà subi une pression numérique à caractère sexuel. La prévention passe par l’information : quelles applis protéger, à qui parler en cas de problème, comment poser ses limites dans la vie réelle et numérique.

La sexologue travaille également main dans la main avec les écoles et les infrastructures jeunesse, car la santé sexuelle n’est pas qu’une affaire privée mais collective. Sensibiliser, c’est éviter bien des drames en amont.

Troisième pilier : l’accompagnement au fil du temps. Entre 13 et 25 ans, la sexualité n’est jamais un long fleuve tranquille. Les ruptures, les premières fois, les changements de partenaire, le passage de l’école à la fac, tout cela rebat les cartes. La sexologue accompagne aussi les jeunes en situation de handicap, ceux issus de cultures différentes, ou en questionnement sur leur genre, en adaptant son écoute à chaque histoire.

Dans cette perspective d’aide et de mieux-être, il est parfois nécessaire d’aller consulter un spécialiste de la perte de libido si la sexualité devient source de souffrance ou de blocage.

Un exemple : chez les jeunes LGBTQIA+, le sentiment d’isolement est aggravé par les discours homophobes ou transphobes rencontrés sur les réseaux, à l’école, voire dans la famille. Pouvoir déposer cette difficulté auprès d’un professionnel compétent, c’est déjà regagner du terrain sur la honte ou la peur du rejet. Sur le sujet, l’article “Vers une sexualité inclusive” éclaire ces enjeux.

Enfin, la sexologue a un rôle pivot dans la prévention des violences sexistes, du harcèlement, et dans l’accompagnement suite à des événements difficiles (ruptures, agressions, rumeurs...). Le cabinet devient alors refuge, sas de décompression, espace de parole sécurisé.

En conclusion, consulter en sexologie jeune, c’est un peu comme apprendre à nager : on plonge, parfois on boit la tasse, mais plus on ose, plus on avance, mieux on s’écoute. C’est un apprentissage, pas une compétition.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si mon enfant a besoin de voir une sexologue à Liège ?

Si vous remarquez que votre adolescent présente un mal-être persistant face à la sexualité (inquiétudes, repli, peur du corps, évitement des sujets intimes), ou qu’une situation de harcèlement, de doute sur soi ou d’addiction à la pornographie apparaît, il pourrait bénéficier d’une rencontre avec une sexologue. Mieux vaut consulter tôt que laisser grandir le malaise. Un rendez-vous n’engage à rien : il permet souvent de dédramatiser et de rassurer.

Pourquoi consulter une sexologue aux alentours de Liège dès l’adolescence ?

Parce que c’est une période où les questions se multiplient, et où les réponses trouvées sur internet manquent parfois de fiabilité et d’humanité. Voir une sexologue permet d’avoir une écoute neutre, sans jugements, et d’éviter que des blocages ne s’installent dans la durée. La précocité de l’intervention favorise également la prévention de certaines souffrances liées à la sexualité.

Quand faut-il s’inquiéter de la consommation de pornographie chez un jeune ?

Si le recours à la pornographie devient quasi quotidien, altère les relations sociales, perturbe la perception de la sexualité réelle ou génère culpabilité et isolement, il est utile d’en parler à un professionnel. La sexologue apportera des repères, une information adaptée sur ce sujet encore trop tabou.

Faut-il consulter en présentiel ou une téléconsultation est-elle possible avec une sexologue ?

Les deux options sont possibles en Belgique : la présence physique reste à privilégier pour une première rencontre, mais pour les jeunes à l’aise avec les outils numériques, la téléconsultation offre un cadre rassurant, discret et flexible. Un appel téléphonique préalable permet d’adapter la modalité à la situation de chaque adolescent ou jeune adulte.

Références scientifiques

1. R. De Graaf et al., "Sexual Initiation and Associated Factors in Adolescents: A European Perspective", Archives of Sexual Behavior, 2021. Résumé : Publication sur les pratiques et l’âge du début de la sexualité chez les jeunes en Europe, montrant la diversité des parcours.

2. F. Hellemans, "Adolescents et sexualité : entre tabou et prévention", Revue Santé Publique, 2022. Résumé : Analyse des tabous persistants et des bienfaits d’une prévention informée et adaptée pour les 13-20 ans en Belgique.

3. J. Mulholland et al., "Pornography consumption and implications for adolescent sexuality", Journal of Adolescent Health, 2019. Résumé : Impact de la pornographie sur la construction de la sexualité chez les jeunes et avenues éducatives thérapeutiques.

4. T. Vanwesenbeeck, "Sexual Development and Sexual Health of Adolescents: Lessons from Research", The Lancet Child & Adolescent Health, 2020. Résumé : Revue des enjeux du développement sexuel chez les mineurs, conseils pour les thérapies de soutien adaptées.

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