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Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège: Attentes irréalistes dans le coupleSexologue Cession

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76

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Sexologue : surmonter les attentes irréalistes dans le couple

Vous rêvez d’un couple épanoui, d’une sexualité fluide et passionnante… Toujours ? Le mythe du couple parfait hante les réseaux, s’infiltre sur les écrans et parfois dans nos propres lits. Mais la réalité, elle, est bien plus nuancée. Saviez-vous que dans certains pays comme la Belgique, plus de la moitié des couples consultent au moins une fois dans leur vie pour des difficultés intimes ou relationnelles ? D’où vient ce fossé entre fantasme et réalité ? Et surtout, comment apprendre à surmonter ces attentes irréalistes dans notre vie de couple ? Charlotte Cession, sexologue à Liège, accompagne chaque jour des hommes et des femmes aux prises avec ces pressions invisibles ou très concrètes.

Dans cet article, on va plonger sans filtre dans ce qui pèse vraiment sur le couple moderne. On va démystifier ce qui s’impose à nous – injonctions, scripts sexuels, idées reçues… Ce sera parfois dérangeant. Mais nécessaire. Vous suivez ?

Couple moderne : pourquoi sommes-nous obsédés par le « modèle parfait » ?

Pourquoi tant de couples courent-ils après une sexualité « idéale », un bonheur conjugal sans nuage ? Une piste : la société actuelle, dopée aux images retouchées, aux success-stories, forge des miroirs déformants. Instagram, YouTube, magazines, séries Netflix… Partout, des modèles impossibles : relations fusionnelles, sexualité spontanée, performance sans failles. Ça fait rêver. Mais ça fait aussi mal.

Les patients le disent souvent en début de consultation : « Je voudrais être comme les autres », « Pourquoi je ne ressens plus d’excitation comme au début ? ». Vous aussi ? Rien d’anormal. Les sexologues à travers le monde, et à Liège notamment, notent deux tendances-clés :

  • Des attentes nourries par la comparaison : les réseaux montrent une vie sexuelle stéréotypée et sans accroc.
  • Une peur du jugement : l’impression d’être « anormal » si l’on vit moins de passion qu’au cinéma ou que chez les amis ?

Exemple vécu : Julie, trentenaire dynamique, évoque une pression sourde. « Avec mon compagnon, on ne fait plus l'amour deux fois par semaine. Je me demande si on est en train de rater notre vie… ». Elle n’est pas la seule. Les chiffres en témoignent : une récente étude publiée en Belgique montrait que près de 65% des couples avaient le sentiment de “faire moins bien que la moyenne”. Mais au fond, c’est quoi la moyenne ?

À force de s’aligner sur un idéal inatteignable, le couple s’épuise. Comme une corde tendue à craquer, il suffit d’un imprévu – fatigue, stress, routine – et tout se crispe. Résultat : frustration, doute, mésentente au lit, et consultations chez la sexologue. Pourquoi ce silence sexuel ? Trop souvent, c’est la peur de ne pas correspondre qui enferme.

Alors, comment identifier ce qui nous appartient vraiment… et ce qui vient d’ailleurs ?

Ce que les attentes irréalistes font au couple (et à la sexualité)

Tout commence souvent par de petites phrases. « Chez nous, c’est différent… On ne devrait pas ?» Les attentes irréalistes s’immiscent au quotidien. Elles sabotent le lien. Parfois insidieusement.

Sur le plan sexuel : performance, spontanéité imposée, recherche du plaisir quasi-constant, peur de l’ennui. La pression, ce n’est pas qu’un mot. Savez-vous que la majorité des dysfonctions sexuelles (baisse de désir, troubles de l’érection, absence d’orgasme) sont aggravées par ces croyances ? C’est documenté : le poids des attentes fausse la relation à son propre désir.

Chez certain(e)s, la spirale est redoutable : moins on y arrive, plus on pense qu’il y a un problème. Moins on ose en parler, plus on s’enferme. « Il paraît que l’on devrait avoir envie au même moment. Pourquoi on n’y arrive plus ? » Mais ce n’est qu’un mythe. Le désir va et vient, comme une marée. Accepter les creux, c’est déjà faire un pas vers l’apaisement (et souvent vers le plaisir d’ailleurs).

Vous aimeriez retrouver une sexualité vivante, sans pression ? Un conseil de sexologue : commencez par questionner le scénario dans lequel vous croyez devoir évoluer. « Est-ce bien mon rêve ou celui des autres ? ». La différence est fondamentale.

Écouter (vraiment) son couple : comment reconnaître des attentes toxiques ?

Reconnaître que l’on est influencé, ce n’est pas si simple. Nos idées se mêlent à celles de l’entourage, de la culture, de notre histoire familiale aussi. Pourtant, il existe quelques signaux d’alarme à ne pas négliger.

Première question à se poser : avez-vous l’impression d’être “à côté” de votre couple, comme si vous jouiez un rôle ? Ce décalage, beaucoup le décrivent : “J’aimerais dire non sans culpabiliser”, “Je veux être désiré(e), mais je ne sais même plus ce qui me plaît réellement”.

Autre question : vivez-vous des déceptions régulières, parce que la réalité ne colle pas à l’image que vous vous faisiez d’une soirée, d’un rapport, d’une discussion ? Ce mal-être grandit, surtout si rien n’est verbalement posé. Souvent, ça aboutit à une blessure d’estime de soi. Comme si on n’était jamais « suffisant(e) ».

Des anecdotes, il y en a plein. Pierre raconte : « Je croyais que ma compagne serait toujours prête à faire l’amour, comme dans nos premiers mois. Mais elle est fatiguée, stressée, je le prends pour moi. » La réalité : personne ne reste sur un mode passionnel indéfiniment. D’où l’importance d’ajuster ses attentes. La routine n’est pas un symptôme d’échec, mais un terrain pour réinventer.

Dans les consultations aux alentours de Liège, les cas sont variés. Certains couples s'imposent des normes strictes : X fois par semaine, telle position, tel rythme, telle façon de jouir… Et si on faisait autrement ?

Voici quelques attentes toxiques fréquentes relevées en sexologie :

  • Pensée du “toujours” : toujours envie, toujours du plaisir, toujours le même niveau de désir partagé. Faux ! C’est un idéal inaccessible.
  • Comparaison sociale : se sentir nul car “les autres font mieux”. Mais qui sait, vraiment, ce qui se passe derrière les portes closes ?
  • Tabous hérités : certaines idées reçues restent très présentes : “un vrai homme doit prendre l’initiative”, “une femme doit être disponible”… Or, le désir est fluctuant, personnel, changeant.

Peut-être vous reconnaissez-vous dans l'une de ces situations. Peut-être votre conjoint(e) aussi. Ce n’est pas une fatalité. Ne pas correspondre à un idéal n’a rien d’alarmant. Vouloir sortir de ce piège est déjà un acte de courage. D’ailleurs, la plupart des sexologues s’accordent : c’est le dialogue qui sauve la relation, bien plus que la performance.

Un outil simple : parler avec son/sa partenaire de ses désirs… et de ses peurs. C’est là que tout commence. Mais encore faut-il créer la sécurité nécessaire pour oser dire. Plusieurs études récentes montrent que la satisfaction sexuelle est bien plus liée à la qualité du lien que… à la fréquence.

Vous vous demandez comment amorcer cette discussion parfois délicate ? On y vient.

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Quels outils pour dépasser les attentes irréalistes ? Approches de sexologue à Liège

Revenir à l’essentiel, apprendre à reconnaître ce qui nous vient « d’ailleurs » ou de notre propre insécurité. Voilà le cœur du travail d’un(e) sexologue à Liège. L’objectif ? Vous aider à transformer le couple en espace vivant, évolutif, intime à votre image. Mais comment faire concrètement ?

Premier axe : questionner les mythes. C’est un exercice central. Plus on met au jour ce qui s’invite sans qu’on s’en rende compte (par exemple “le devoir conjugal” ou “l’obligation d’être tout le temps partant.e”), plus on relâche la tension. Parfois, il faut déconstruire patiemment des croyances héritées de nos parents ou de la société. Oui, ça demande du temps. Non, ce n’est pas confortable. Mais c’est libérateur.

La sexologue propose souvent des exercices simples

  • Faire la liste écrite de ses propres attentes… puis celles qu’on perçoit chez le partenaire. Croisez-les ! Vous serez surpris de voir les différences de perceptions.
  • Savoir verbaliser ce qui fait peur (« Si on ne fait pas l’amour pendant X temps, j’ai peur que tu t’éloignes », « J’ai honte de proposer certaines choses »). Les mots ont le pouvoir d’éclairer ce qui restait enfoui.
  • Distinguer le désir spontané (celui qui surgit naturellement) et le désir réactif (celui qui apparaît quand l’autre initie). Beaucoup de couples se reconnaîtront.

Prenons un cas concret : un couple qui consulte parce que « tout va bien dans la relation, mais la sexualité ne suit plus ». Le danger ? Croire qu’il y a un problème médical. Or, dans la majorité des situations, c’est la pression de la norme qui bloque : “On devrait… alors que l’on voudrait…”. L’accompagnement du sexologue consiste alors à proposer un nouvel espace : tester, jouer, sortir du “il faut”. Redécouvrir le plaisir d’explorer sans attentes préconçues.

L’approche s’adapte aux besoins : parfois, c’est la communication dans le couple qui fait défaut ; parfois, c’est l’estime de soi, ou une ancienne blessure non traitée. Oser aborder ces sujets chez une sexologue, c’est souvent le premier pas vers une sexualité plus vivante, plus en phase avec ses désirs réels. Et vous, quelle image avez-vous du couple ? Quelles normes vous pèsent ?

Intéressé par la consultation pour perte de désir ? C’est une question fréquente, et les réponses sont rarement identiques d’un couple à l’autre. C’est ça la richesse du travail en sexologie : chaque histoire est différente, chaque solution l’est aussi.

Parmi les autres outils proposés en cabinet :

  • Éducation sexuelle adaptée : clarifier ce qui relève du fantasme et ce qui fonde une sexualité réaliste et vivante.
  • Dédramatisation : normaliser les fluctuations, les « pannes » et même l’ennui.
  • Exercices de consentement : s’écouter avant de s’imposer quoi que ce soit, réapprivoiser son corps et ses signaux.
  • Rituels de couple : recréer des moments d’intimité, jamais figés, toujours évolutifs : discussion, massages, jeux sensuels… Les scripts figés s'effacent.

Les retours sont étonnants. Après quelques séances, beaucoup découvrent qu’il n’y a pas de “problème à corriger”, mais bien un rythme à retrouver ensemble. Comme un orchestre qui apprend à improviser, le couple prend confiance à condition de pouvoir accorder ses instruments, sans partition imposée.

Les patients se sentent alors capables de traverser une période de baisse de libido sans remettre en question la valeur du lien.

Autre point essentiel : chacun vient souvent avec ses blessures. Un homme élevé à l’idée de virilité stricte ; une femme marquée par l’injonction à la séduction. Tous deux méritent d’en parler sereinement, sans honte. C’est ici que le travail thérapeutique prend tout son sens.

Si le sujet des libidos différentes vous touche, sachez que c’est le motif n°1 de conflit conjugal. Là encore, une attente irréaliste s’invite : croire que les désirs doivent se synchroniser magiquement à chaque étape de la vie.

Dans la pratique, la clé reste la flexibilité et la curiosité : « Et si on faisait différemment cette semaine ? ». C’est ainsi que se renouvelle la complicité, même après des années.

Peut-on vraiment s’affranchir des attentes ? Et après, comment continuer à évoluer ?

Vous en doutez ? S’affranchir totalement des attentes irréalistes n’est pas un objectif en soi. Ce serait encore une attente (ironique, non ?). En revanche, il est possible, avec l’aide d’une sexologue ou en couple, de repérer ce qui freine et ce qui nourrit votre relation. Un couple, c’est comme une plante : on retire les mauvaises herbes, on arrose là où ça en vaut la peine, on accepte que la floraison ait ses saisons.

Ce cheminement, il n’a rien d’immédiat. Chez certains, il passe par le dialogue ; chez d’autres, par un travail individuel. D’ailleurs, de plus en plus d’hommes et de femmes en Belgique n’hésitent plus à consulter, même ponctuellement, pour faire le point sur leurs désirs et ceux de leur couple.

Après avoir mis des mots sur ce qu'ils attendaient l’un de l’autre, certains couples repartent avec un tout autre projet de vie à deux : ralentir, explorer autrement, ménager plus d’espace pour l’inattendu. Ce n’est pas une question d’âge ni de culture : le besoin de se reconnecter à son plaisir (libéré des “on doit”) traverse les générations.

Attention, il n’existe pas de recette universelle. Certains jours, l’ancien réflexe revient – celui de se demander “font-ils mieux ?” – mais l’écart se creuse de moins en moins. À force de pratiquer la bienveillance, on apprend même à en rire…

Si votre rapport à la sexualité et à la relation demeure douloureux, voire conflictuel, il peut être bénéfique de consulter une professionnelle compétente. Oser franchir le pas, c’est se donner une chance de changer de perspective.

Vous avez cette image que la thérapie de couple ou la démarche chez une sexologue est réservée aux “cas désespérés” ? Faux. Ce sont les couples qui se questionnent qui avancent, qui changent la donne, qui inspirent autour d’eux.

Un jour, Claire et Paul, ensemble depuis 20 ans, racontaient en séance : « On se fiche aujourd'hui de ce que font les autres. Notre règle à nous, c’est de s’écouter sans se forcer. On a retrouvé du désir simplement parce qu’on n’en attendait plus autant… ». Comme quoi, la sagesse n’est pas que dans les livres, parfois elle se tisse sur le fil du vécu.

En conclusion : la clé, ce n’est pas de “réussir sa sexualité”, mais de se sentir libre d’inventer chaque jour un lien qui fasse sens, à deux. Pour certains, ce sera plus souvent ; pour d’autres, moins. L’important, c’est que ce soit choisi, et non subi.

Aux alentours de Liège, de nombreux professionnels vous accompagnent, et la demande ne cesse d’augmenter. Peut-être le signe d’une société qui, lentement, ose regarder la vérité en face : tout le monde doute un jour ou l’autre, tout le monde se trompe sur ce qu’il croit attendre. Peut-être le secret du bonheur conjugal, c’est juste ça : arrêter de se comparer et choisir d’expérimenter, ensemble.

À vous de jouer : et si on décidait d’envoyer balader les scripts qui ne vous conviennent plus ? Si on réinventait le couple, chaque matin, en écoutant vraiment ce qui se passe ici, et pas ailleurs ?

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si mes attentes sont irréalistes dans ma vie de couple ?
Vous pouvez vous demander si vos attentes créent de la frustration, de la culpabilité ou un sentiment d’échec régulier. Si vous ressentez souvent que “ça devrait se passer autrement” ou que vous vous comparez sans cesse à l’idéal, il est probable que ces attentes ne soient pas adaptées à votre réalité.

Pourquoi les couples consultent-ils une sexologue à Liège pour des attentes irréalistes ?
Beaucoup de couples consultent parce qu’ils se sentent coincés entre ce qu’ils croient devoir vivre et ce qu’ils ressentent réellement. La pression sociale ou familiale, mais aussi les représentations véhiculées sur les relations, conduisent à des conflits et à des blocages intimes qui peuvent être levés par un accompagnement professionnel.

Quand faut-il consulter une sexologue pour ce type de problématique ?
Il est conseillé de consulter dès que les attentes créent des tensions, de la tristesse ou une baisse de confiance dans la relation. Plus tôt la démarche est entreprise, plus il est facile de retrouver une communication claire et d’adapter ses attentes pour vivre le couple de façon plus sereine.

Faut-il impliquer obligatoirement son/sa partenaire dans la démarche pour surmonter les attentes ?
Ce n’est pas obligatoire : beaucoup commencent seuls, puis invitent leur partenaire ensuite. L’essentiel est que chacun puisse exprimer ses ressentis et remettre à jour ses vrais désirs, dans le respect de soi et de l’autre.

Références scientifiques

1. Byers, E.S. & Demmons, S.T. (1999). Sexual Satisfaction and Sexual Self-Disclosure Within Dating Relationships. The Journal of Sex Research. Cette étude montre l’importance de la communication authentique entre partenaires pour la satisfaction sexuelle, dépassant le poids des attentes externes.

2. Mark, K.P. (2012). The relative impact of actual and perceived sexual desire discrepancy on satisfaction in heterosexual relationships. Archives of Sexual Behavior. L’auteur analyse les impacts négatifs de la perception de désaccord de désir, aggravée par des attentes irréalistes.

3. Laurent, S.M. & Simons, A.D. (2009). Sexual Dysfunction, Distress, and Depression: The Role of Dysfunctional Sexual Beliefs. Journal of Sex & Marital Therapy. L’article explique comment les croyances dysfonctionnelles sur la sexualité génèrent détresse et baisse de satisfaction conjugale.

4. Brotto, L.A. et al. (2008). The Effects of Mindfulness-Based Therapy on Desire and Arousal in Women With Sexual Desire Disorder. Journal of Sex Research. Ce travail scientifique démontre l’impact positif du lâcher-prise et de l’ancrage dans le présent pour réduire la pression des attentes.

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