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Sexologue à Liège : Réveillez votre intimité avec Charlotte CessionSexologue Cession

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

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Sexologue : accompagner les troubles de l’excitation – Un nouvel élan pour la vie intime

“Pourquoi je n’ai plus envie, ni même ces frissons d’avant ? Est-ce normal de ne rien ressentir, ou au contraire, d’avoir l’impression que ça déborde et de perdre le contrôle ?” Voilà des questions que nombre de personnes se posent en silence. Les troubles de l’excitation sexuelle font partie des difficultés les plus fréquentes rencontrées auprès d’une sexologue. C’est parfois un blocage, parfois une vague incontrôlable. Le point commun ? Une grande part d’incompréhension, de honte, et souvent l’idée qu’on est seul.e à vivre cela. Or, c’est faux.

Vous aimeriez retrouver ces sensations, ou tout simplement comprendre pourquoi l’élan intime s’est envolé ? Certains jours, la sexualité ressemble à une fenêtre embuée : on pressent la lumière derrière, mais elle reste floue. Souvent, il suffit d’un accompagnement pour la réouvrir. Et c’est là que la démarche auprès d’une sexologue prend tout son sens.

Dans cet article, nous vous proposons un plongeon au cœur des mécanismes de l’excitation sexuelle, des difficultés classiques aux solutions thérapeutiques éprouvées. Nous irons explorer, pas à pas, comment la parole, le corps, les émotions, ici comme à Liège ou ailleurs, viennent façonner une vie intime plus harmonieuse. Si vous cherchez des pistes concrètes, cet article est pour vous.

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Comprendre les troubles de l’excitation : de quoi parle-t-on vraiment ?

Derrière les murs épais de la gêne, se cachent de multiples réalités. Parler de “trouble de l’excitation”, ce n’est pas seulement évoquer “le manque d’envie”. C’est, pour beaucoup, une mosaïque de sensations, d’attentes, de déceptions, d’émotions. La sexologue, à travers l’écoute bienveillante et la connaissance des récentes avancées scientifiques, aide à démêler ce fil complexe. Mais comment s’y retrouver ?

Les points clés : excitation, désirs et blocages

Imaginez l’excitation sexuelle comme un feu : parfois vif, flamboyant, parfois une fine braise. D’autres fois encore, c’est la pluie qui l’éteint, ou le bois qui manque. Selon le DSM-5, principal référentiel en santé mentale, les troubles de l’excitation sexuelle se définissent comme une difficulté persistante à atteindre ou maintenir l’état d’excitation désiré, malgré la présence de stimulations.

Les symptômes fréquents ? Chez la femme : faible lubrification, absence de sensations, “corps froid”. Chez l’homme : absence d’érection, érection fugace… Mais n’imaginez pas que tout se limite au plan physique. L’excitation, c’est d’abord dans la tête. 80 % des difficultés trouvent une origine dans le mental : stress, peur de l’échec, manque d’estime, souvenirs négatifs. La barrière, elle est souvent invisible. Vous êtes-vous déjà vu.e penser à faire la liste des courses pendant l’amour ? Ce n’est pas rare. Rassurez-vous : vous n’êtes pas seul.e.

Pour beaucoup, s’ajoute la pression du “tout va bien dans le couple / tout va bien au lit”. Mais la réalité, ce sont des hauts et des bas, parfois des “pauses longue durée”, comme le démontre une étude menée en Belgique sur plus de 2000 personnes en cabinet de sexologie. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 1 personne sur 3 consulte pour un trouble de l’excitation dans sa vie. Que ce soit un “frein”, ou trop de “pédale d’accélérateur”.

Podcast & Interview Charlotte Cession : Pour en savoir plus sur ces problématiques, écoutez l’interview de Charlotte Cession à propos du consentement et des difficultés sexuelles courantes dans la région d'Esneux.

Il n’y a donc pas à avoir honte : c’est un sujet de société, partout, y compris aux alentours de Liège. Accepter de consulter, c’est déjà un premier pas. La sexologue peut alors évaluer, conseiller, accompagner. Son rôle ? Faire le tri dans ce puzzle et vous aider à remettre l’élan où il vous manque.

Pour résumer : le trouble de l’excitation, c’est bien plus qu’un souci technique. C’est, bien souvent, le résultat d’interactions complexes - biologiques, psychiques, relationnelles, culturelles. Oubliez l’idée du remède “miracle”, ou du “ça va revenir naturellement”. Comme une plante, la sexualité a parfois besoin d’un peu d’eau, de lumière… et parfois d’être rempotée.

Quels sont les troubles de l’excitation ? Pourquoi sont-ils si fréquents ?

On entend beaucoup parler de “baisse de libido”, ou de “panne”. Mais côté excitation, il existe de multiples visages du blocage, ou de la difficulté à canaliser l’énergie sexuelle.

Chez la femme, on parle souvent de “trouble de l’excitation sexuelle féminine” : difficulté à ressentir du plaisir, à se “laisser aller”, absence de lubrification malgré du désir, ou coupures soudaines (“corps présent, tête ailleurs”). Chez l’homme, c’est parfois l’érection qui disparaît, ou qui n’apparaît pas du tout, sans explication évidente, alors que l’envie peut être là. Difficile à vivre, surtout quand l’image du “performant” est imposée par la société.

Mais saviez-vous que certaines personnes souffrent au contraire d’une excitation trop forte, impossible à maîtriser, qui finit par gêner leur quotidien ? Ce n’est pas “juste” une addiction : c’est parfois épuisant, et la honte isole. L’important est d’oser en parler, plutôt que d’accumuler les non-dits. Un bon accompagnement fait souvent toute la différence.

Sexologue & addictions : Pour celles et ceux pour qui l’excitation devient ingérable, ou quand la sexualité prend trop de place, consultez un spécialiste. Le lien entre excitation et addiction y est détaillé.

Il existe aussi des cas “mixtes” : envie présente, excitation absente, ou excitation présente sans envie. Non, vous n’êtes pas perdu.e : ce sont des réalités cliniques fréquentes, même si on en parle peu ! Près d’un couple sur deux traversera, un jour, une période de trouble de l’excitation. Pour les personnes LGBTQ+, la vulnérabilité est encore plus marquée à cause des représentations, du stress social, ou du manque d’espaces sûrs pour en parler (Sexualité inclusive).

Pourquoi sont-ils aussi fréquents ? Plusieurs raisons : stress professionnel, fatigue, charge mentale (“penses-tu à moi ou à la vaisselle ?”), surconsommation d’écrans, manque de dialogue, traumatismes, évolutions hormonales (ménopause, post-partum)… Tout cela joue. Même les couples apparemment soudés traversent un jour des orages. L’excitation, c’est sensible comme la météo.

Ajoutez à cela les fausses croyances : “Le désir doit être spontané”, “Il faut toujours avoir envie”, “Si on s’aime, ça doit être facile”. Erreur. Le désir humain s’entretient, se cultive et parfois se réapprend. Après une maladie, un accouchement, ou un deuil, la sexualité se transforme. Vivre une “pause”, ce n’est ni une fatalité, ni une fin en soi.

La sexologue, en travaillant de concert avec vous, avec ou sans partenaire, aide à comprendre : Est-ce le corps ? Le mental ? Une relation de couple à repenser ? Souvent, la solution est multifactorielle. Et à force de patience, d’écoute, et de petits exercices, l’élan peut renaître… différemment, mais plus authentique. L’accompagnement, c’est l’art de la “remise en mouvement”.

Comment la sexologue accompagne-t-elle les troubles de l’excitation ?

Ici, pas de baguette magique. Mais un chemin, et souvent un soulagement immense de pouvoir poser enfin des mots. L’approche de la sexologue, comme Charlotte Cession, s’appuie sur la recherche scientifique, mais surtout, sur une alliance de confiance avec la personne.

Vous êtes peut-être nerveux.se à l’idée de consulter ? C’est normal. Beaucoup se demandent : “Vais-je devoir tout raconter, parler à quelqu’un qui va juger ?“. Rassurez-vous : le cabinet de sexologie est un espace neutre. Vous parlez... ou non, à votre rythme. Rien n’est imposé.

L’accompagnement commence souvent par une exploration de votre histoire : Quand a démarré la difficulté ? Qu’est-ce qui a changé ? Quelles croyances sur le désir, la sexualité, l’excitation portent votre histoire familiale ou culturelle ? La sexologue identifie aussi les facteurs “cache-misère” : fatigue, anxiété, problèmes médicaux sous-jacents (thyroïde, médicaments, hormones...).

Ensuite seulement, viennent les propositions concrètes. Il s’agit de vous aider à “déconstruire” certains automatismes : apprendre à reconnecter le corps, à écouter vos sensations, à ralentir. Parfois, des exercices de pleine conscience ou de respiration sont proposés. D’autres fois, ce sera l’accompagnement du couple, la mise en place de rituels de complicité, sans pression de résultat. Parce que, souvent, tout commence par la réhabilitation du plaisir simple (caresses, massages, parfois... juste une promenade main dans la main). On réapprend à être à deux, sans “devoir” réussir.

Les couples qui consultent rapportent un même constat : parler, c’est déjà guérir. Abattre la peur du jugement, oser dire “je ne ressens rien, est-ce qu’on peut faire autrement ?”. Cette parole, la plupart ne la trouvent jamais sans aide extérieure. Le silence érode plus sûrement le désir que tout le reste.

Silence sexuel : Savez-vous que le non-dit sexuel peut être plus toxique pour le couple sur le long terme que le défaut de désir lui-même ? Découvrez ce que recommande la sexologue pour réapprendre la communication sur ce sujet tabou.

Au fil des séances, la sexologue adapte l’accompagnement : parfois individuel, parfois en couple. Le but n’est pas de “revenir à l’avant”, mais de bâtir une nouvelle carte de la sexualité. Favoriser l’auto-compassion, sortir du cercle de la performance, découvrir le plaisir “pour soi”. Et, surtout, rendre la personne actrice de ses choix. Parfois, rebooster l’excitation passera aussi par la prise en compte de facteurs de santé (hormones avec le / la médecin traitant, adaptation médicamenteuse...). Pour d’autres, ce sera la reprise du sport, la diététique, ou même l’hypnose thérapeutique en complément.

Ne craignez pas d’avoir “attendu trop longtemps”. Il n’y a pas de limite d’âge à l’excitation retrouvée ! Des personnes consultent à 25, à 45 ou après la soixantaine. Certaines redécouvrent l’élan après une opération, un deuil, une infidélité, ou une libido en berne due à la routine. Le cerveau et le corps humains gardent toujours des ressources pour s’adapter.

Au centre de cette démarche : la bienveillance, la créativité, la patience. La connexion émotionnelle, la tendresse, la redéfinition des attentes sexuelles. Oubliez la “recette unique”, chaque chemin est différent.

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

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Vivre une sexualité épanouie malgré un trouble de l’excitation : astuces, exercices, espoirs

Imaginez : la sexualité, parfois à sec, d’autres fois trop puissante, peut redevenir une expérience créative. Nul besoin d’un “mode d’emploi parfait”. Il s’agit d’un voyage : découvrir d’autres paysages, oser ralentir, sortir des “obligations de résultat”.

Premier conseil donné par la plupart des sexologues : “Ne cherchez pas à reproduire ce qui marchait autrefois.” Une sexualité évolue, se transforme comme on grandit. C’est le propre de la vie humaine. Mettre de côté la course à la performance, oser explorer sans but défini. Le plaisir, il naît aussi des petites choses ! Un café ensemble, un compliment, une caresse inattendue… La reconnection à l’autre, mais surtout à soi-même.

Voici quelques pistes testées et validées en thérapie :

  • Carte de l’excitation : Tracez la courbe de votre désir sur une journée, une semaine, un mois. Observez : y a-t-il des moments de baisse liés au stress, à la fatigue, à des conflits ?
  • Journal sensoriel : Notez ce qui, dans la journée, éveille vos sens (une odeur, une musique, une image, une texture). Plus on cultive la sensorialité, plus l’excitation pourra renaître.
  • Exercices de respiration / mindfulness : Reprenez contact avec votre corps, ici et maintenant. Fermez les yeux, respirez profondément, imaginez que le souffle circule là où la tension bloque.
  • “Dates” sans pression : Organisez des moments complices à deux, sans attente de passage à l’acte. Juste pour le partage. Le cerveau se fait moins exigeant face à l’absence de but.
  • Communication directe : Exprimez à votre/ vos partenaire(s) vos sensations, sans crainte de blessure (“Je ne ressens rien, je ne sais pas pourquoi, mais j’en parle parce que j’ai confiance.”). Cela vaut de l’or.

Pour certains, un trouble de l’excitation sera surmonté rapidement. Pour d’autres, il faudra du temps. Il n’y a pas d’échec. Les études montrent que le fait de consulter une sexologue permet d’améliorer la vie intime dans 75% des cas, et d’augmenter la satisfaction sexuelle globale, même si la situation de départ semblait “irrécupérable”. En clair ? Les chiffres sont avec vous.

L’accompagnement peut également s’inscrire au sein d’une thérapie de couple à Liège. Dans ce cadre, c’est le duo qui chemine ensemble, réapprend à faire équipe face à l’adversité. Nombreux couples découvrent des aspects de leur sexualité insoupçonnés.

N’oubliez pas non plus : la sexualité n’est jamais “finie”, même en période de trouble. On peut vivre de beaux moments, de la tendresse, de la sensualité, indépendamment de l’excitation pure. Osez vous offrir cette permission. C’est souvent en lâchant prise, en donnant du temps au temps, que le feu finit par reprendre doucement.

Une petite anecdote pour finir ? Un patient qui, après dix ans de blocage, annonce au fil d’une séance : “Je ne ressens toujours pas de grandes flammes, mais j’avais oublié la chaleur d’un simple bras autour de moi. Finalement, c’est ça que je veux retrouver. Le reste viendra.” Voilà peut-être la plus belle victoire.

FAQ – Questions fréquentes

Pourquoi consulter une sexologue quand on souffre d’un trouble de l’excitation ?

Consulter une sexologue permet de mieux comprendre les origines possibles du trouble, qu’elles soient psychologiques, physiques ou relationnelles. Un accompagnement personnalisé aide à lever les blocages et à retrouver une vie intime épanouie plus sereinement.

Comment se déroule une consultation sexologique pour trouble de l’excitation ?

La première consultation vise à cerner votre situation, comprendre l’histoire des symptômes et vos attentes. Ensuite, la sexologue propose des pistes adaptées, des exercices pratiques ou un suivi de couple en fonction de vos besoins.

Quand faut-il s’inquiéter d’un blocage de l’excitation sexuelle ?

Lorsque la difficulté d’excitation persiste pendant plusieurs semaines ou impacte votre bien-être, votre couple ou votre estime de soi, il est conseillé de consulter. Repousser l’accompagnement augmente souvent le mal-être, alors qu’une aide spécialisée peut relancer la dynamique.

Faut-il vivre en couple pour consulter une sexologue à propos de l’excitation ?

Non, tout le monde peut consulter, que l’on soit célibataire, en couple ou dans toute autre configuration relationnelle. L’accompagnement s’adapte à chaque parcours pour réapprendre le plaisir et la confiance au rythme de chacun.

Pour approfondir : références scientifiques

Bancroft, J., & Janssen, E. “The Dual Control Model of Sexual Response: Implications for the Understanding of Sexual Function and Dysfunction”, The Journal of Sex Research, 2000. Résumé : L’article présente un modèle intégratif des processus d’excitation/inhibition sexuelle, utile pour mieux comprendre et traiter les troubles de l’excitation.

Clayton, A.H. “Female sexual dysfunction: Assessment and treatment”, Journal of Clinical Psychiatry, 2010. Résumé : Cette revue aborde les troubles de l’excitation féminine, les facteurs associés et les différents traitements actuels en sexothérapie.

Laumann, E.O., Paik, A., & Rosen, R.C. “Sexual dysfunction in the United States: Prevalence and predictors”, JAMA, 1999. Résumé : Une enquête épidémiologique démontrant la fréquence et la diversité des troubles de l’excitation dans la population générale adulte.

Girard, A., Courtois, F., & Binik, Y.M. “An Update on the Classification of Sexual Disorders in DSM-5”, Current Sexual Health Reports, 2017. Résumé : Les auteurs expliquent les nouveaux critères des troubles sexuels, en insistant sur la portée clinique des troubles de l’excitation.

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