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Sexologue à Liège : peur de la sexualité après une séparation – Comprendre et dépasser ses blocagesSexologue Mme Bauwens

Sexologue – Mme Sabrina Bauwens

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33

Sexologue à Liège : peur de la sexualité après une séparation – Comprendre et dépasser ses blocages

Une séparation laisse des traces, des cicatrices visibles et invisibles. Parmi les plus méconnues : la crainte, parfois panique, de reprendre une vie sexuelle. Vous avez vécu une rupture difficile ces derniers mois ? D’autres y sont passés, peut-être même dans votre entourage, sans jamais oser en parler. À Liège, en Belgique, comme ailleurs, la reprise de la sexualité après une séparation s’accompagne souvent de doutes, de peurs, de tabous tenaces.

Ce n’est pas “juste dans la tête”. Cela se joue dans le corps, dans le cœur, et dans le regard que l’on porte sur soi. Comment expliquer cette peur ? Pourquoi la sexualité peut-elle sembler effrayante, alors qu’elle était naturelle avant ? Mettons de côté les jugements faciles. Imaginons, le temps de cet article, un espace de parole — comme dans le cabinet d’un sexologue — où toutes les émotions sont bienvenues.

Approchez, on va parler vrai : c’est normal de se sentir “dérouté·e”, loin de ses repères, déboussolé·e dans son intimité après la fin d’une histoire. Cet impact sur la sexualité, il est fréquent. Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul·e. Gardons à l’esprit un mot-clé tout au long de cet article : soutien. Ce mot, il pourrait bien changer le cap de votre traversée.

Et si vous cherchez à approfondir pourquoi et comment une thérapie de couple ou une consultation sexologique peuvent vous aider lors d'une crise, lisez cet article : "Pourquoi consulter quand le couple ne va pas bien?"

Vous vous demandez si la perte du désir sexuel, après une rupture ou au fil du temps, est normale ? Découvrez un article dédié à ce sujet : Causes et solutions pour retrouver le désir sexuel à Liège.

Pourquoi la peur de la sexualité surgit-elle après une séparation ?

Cela commence, parfois, par un simple malaise. Un rendez-vous amoureux, mais la gorge qui se serre. La perspective d’un contact physique, et le cœur qui s'accélère. Pourquoi tant d’angoisse ? Il faut remonter aux racines.

Quand une relation se termine, c’est un monde qui bascule. Les repères volent en éclats. Ce que l'on croyait acquis : la confiance, le désir partagé, la sécurité affective, disparait. Une rupture, c’est la fin d’une histoire, mais pour beaucoup, aussi la naissance de croyances nouvelles : “Je ne suis plus désirable.” “On va me juger.” “Je vais revivre la même déception.”

Dans les cabinets de sexologie à Liège et aux alentours de Liège, ce thème revient tous les mois. La rupture "abîme" l’estime de soi. Non, ce n’est pas de la faiblesse. C’est humain. Certaines personnes ressentent un regain de liberté sexuelles après leur séparation, d’autres demeurent paralysées pendant des mois, voire des années.

Pourquoi cette différence ? Les études scientifiques pointent plusieurs facteurs : la façon dont la rupture est vécue (subie ou décidée?), les antécédents de traumatismes, le rapport au corps, la manière dont le couple vivait la sexualité avant la rupture. Un petit exemple : une relation où la sexualité était source de conflits ou de non-dits laissera plus de traces négatives, que si elle était épanouissante et respectueuse.

À cela, viennent s’ajouter des facteurs culturels, sociétaux, religieux. À titre d’illustration : en Belgique, le poids des normes sociales autour du couple, mais aussi du célibat, peut majorer ce que l’on appelle la “honte sexuelle”. Vous avez peut-être déjà entendu ces phrases : “À ton âge, tu devrais avoir refait ta vie…” ou bien “Reprendre une vie sexuelle ? Ce n’est pas si compliqué, bouge-toi !” Pourtant, la réalité intime est bien plus complexe.

Un sexologue observe souvent que la peur de la sexualité post-rupture se traduit non pas par une absence de désir, mais par un conflit intérieur : “Je voudrais, et en même temps je ne peux pas.” Que cache ce paradoxe ? Plusieurs causes possibles :

  • Une blessure d’estime : la peur de “ne pas être à la hauteur” ;
  • La crainte d’être comparé à l’ancien(ne) partenaire ;
  • Le souvenir de relations conflictuelles, voire douloureuses ;
  • Un sentiment de culpabilité (surtout chez les parents séparés) ;
  • Une peur du rejet ou de l’inconnu ;
  • Des peurs anciennes, réveillées par la solitude (abus passés, phobies, complexes corporels…) ;
  • Un rapport au corps et au plaisir perturbé par la dépression ou le stress.

Rien d’anormal ! Tout cela se travaille, pas à pas, avec humanité. Oubliez la pression de devoir “aller mieux tout de suite”. La peur de la sexualité peut être vue comme une sonnette d’alarme : elle indique qu’il y a des émotions à décoder, des étapes à franchir.

Si vous craignez une fois encore une panne sexuelle, l’anxiété de la performance s’invite vite. Je vous invite à lire cet article : Comment gérer l’anxiété de performance sexuelle.

Il existe des outils concrets pour avancer : psychothérapie, ateliers, lectures, groupes de parole, mais aussi la consultation chez lesexologue. On en parle un peu plus loin…

Quels symptômes et conséquences sur la vie quotidienne ?

Comment reconnaître que cette peur a pris trop de place ? Les signes ne trompent pas. Peut-être vous en retrouvez-vous dans une ou plusieurs descriptions suivantes :

  • Évitement systématique des occasions sexuelles (appels, rendez-vous annulés, “j’ai pas le temps”…) ;
  • Auto-sabotage lors de rencontres : vous vous sentez “transparent·e”, “invisible”, ou alors maladroit·e, peu naturel·le ;
  • Difficultés physiques : baisse du désir, troubles de l’érection ou de la lubrification, douleurs, inhibitions, peurs incontrôlées ;
  • Ruminations (“Je ne retrouverai jamais de partenaire”, “Le sexe n’est plus pour moi”, etc.) ;
  • Autocritique permanente du corps, du fantasme – sentiment d’être “cassé·e” sexuellement ;
  • Difficulté à parler sexualité, même avec des ami·es compris.

Cela n’épargne personne. Peu importe l’âge, l’orientation sexuelle, le nombre de séparations vécues auparavant. On rencontre :

  • Des jeunes adultes après une première histoire longue ;
  • Des personnes plus âgées, sorties d’une union de 20 ou 30 ans et qui « tombent de haut » ;
  • Des parents qui culpabilisent de vouloir “vivre leur vie” après une rupture ;
  • Des femmes et hommes timides qui n’osaient pas explorer certains désirs dans leur ancienne vie de couple.

Étrangement, le corps agit comme un “messager”. Il envoie des signaux : fatigue, stress, tension musculaire, maux de tête, insomnies, troubles digestifs… Le lien entre sexualité et santé physique est mieux reconnu par la science qu’on ne le croit (lire plus bas les références scientifiques). Parfois, on cherche trop loin : cette boule au ventre qui apparaît avant un rendez-vous galant, ce manque de sommeil, ce revirement soudain de l’humeur… Tout cela peut être lié à cette peur, qu’on n’ose pas toujours nommer.

Vous vous dites : “Mais ce n’est pas si grave, je m’en remettrai tout seul…” Pourquoi pas ? Mais combien de temps passera-t-on à ruminer, à rester en retrait, à se couper de la tendresse ou du plaisir ? Parfois, le cerveau devient… rusé comme un renard : il trouve mille excuses pour ne pas aller vers l’autre, ne pas explorer de nouveau un corps, une complicité… Et alors, c’est la solitude qui s’installe, tapie dans l’ombre.

Vous aimeriez retrouver une relation de confiance avec votre corps ? Un point important est de distinguer peur “passagère” et blocage “durable” : la première s’estompe souvent avec le temps (quelques semaines ou mois), la seconde perdure, gâche la vie, isole, mine l’estime de soi.

Dans ce cas, il peut être pertinent de consulter un sexologue à Liège. Non, ce n’est pas un aveu d’échec. C’est un acte de courage. Avancer passe d’abord par nommer : « je ne me sens pas prêt·e, j’ai peur, j’aimerais comprendre pourquoi ».

Sexologue – Mme Sabrina Bauwens

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

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Pour approfondir la notion de blocage chez la femme et son impact sur le désir, explorez aussi : image corporelle et blocage du désir féminin.

Comment travailler sur la peur de la sexualité ? Quelles pistes en cabinet de sexologie ?

Le travail en sexologie s’apparente à l’exploration de terres inconnues : on avance parfois “en tâtonnant”, en découvrant peu à peu ses propres repères. Chacun son rythme. Mais par où commencer quand la peur semble tout verrouiller ?

Le premier pas : oser en parler

Étonnamment, 70% des patients évoquent en consultation que le plus difficile a été de pousser la porte du cabinet pour la première fois. Parler de son intimité, de ses peurs, de sa vulnérabilité : le mot est lancé. Ce pas, il nécessite du courage. Pourtant, la relation de confiance qui s’établit avec le sexologue permet rapidement de sortir du sentiment d’isolement. Vous serez écouté·e sans jugement, sans prescription “miracle”, avec une bienveillance rare. On avance à partir de là.

Ensuite ? L’écoute, l’accueil des émotions. “Comment le corps réagit-il quand on parle sexualité ? Quelles images surgissent, quels souvenirs, quelles attentes ?” Il s’agit de faire tomber, peu à peu, les barrières de honte ou de peur.

Quelques situations typiques vues en consultation à Liège : “J’ai honte de ne plus avoir été touché·e depuis des mois”, “Je crains que mon(x) futur·e partenaire me trouve ‘bizarre’”, “J’ai peur d’être maladroit·e au lit, de ne pas retrouver mes repères”…

Le sexologue propose alors un accompagnement sur mesure :

  • Reconstruction de l’estime de soi, réapprivoisement du corps (exercices simples de respiration, de présence à soi, de relaxation, parfois d’autoérotisme sécure) ;
  • Décryptage des schémas de pensée négatifs (Je vais rater, je ne vaux rien) ;
  • Travail sur la peur du jugement ou du rejet ;
  • Exploration des besoins et des limites : ce que vous voulez, ce que vous ne voulez plus.

La reprise de la vie sexuelle peut nécessiter des étapes intermédiaires : retransformer le toucher en un geste sûr, réapprendre à donner et recevoir du plaisir, parfois simplement retrouver l’envie de découvrir l’autre… Un sexologue à Liège, grâce à son expérience, vous aidera à “remettre le pied à l’étrier”, sans forcer, ni vous juger.

Vous pouvez, en consultation, oser partager une angoisse que l’on ne confie à personne : “Je n’ose pas ouvrir une application de rencontre !” ou bien “La dernière fois, je n’ai rien ressenti du tout, pourquoi ?” Parfois, une seule séance permet de relâcher la pression : tout ne doit pas être parfait tout de suite.

Anecdote réelle (témoignage recueilli, prénom modifié) : “Christophe, 47 ans, est venu consulter après avoir rompu une relation de 17 ans. ‘J’avais peur que mon corps ne réponde plus, que je reste bloqué’… En 5 séances, Christophe apprend à se reconnecter à lui, ose se donner le droit d’essayer à nouveau. Le blocage ne disparaît pas du jour au lendemain, mais il redevient acteur de sa sexualité.”

Parfois, on croit que c’est “une fatalité”. Mais non. La sexualité, c’est un muscle : elle se réadapte, elle s'apprend, elle se réinvente même après une longue séparation, même après une période de désert affectif.

Et côté “sexualité et émotions” ? Le sexologue alterne souvent entre techniques de gestion émotionnelle (respiration, pleine conscience), exercices corporels (massage, toucher, relaxation) et espace de parole. Si besoin, il redirige, en cas de dépression sévère par exemple, vers un médecin ou psychologue. La clé : avancer à petits pas. Les outils pratiques font tout : carnet d’émotions, auto-observation du désir, rituels corporels à explorer seul·e ou en duo.

Que vous soyez un homme ou une femme, c’est souvent l’image personnelle qui fausse la perception du plaisir. Travaillez sur les pensées “quoique je fasse, je ne plairai pas”, et vous verrez que le désir renaît… Parfois de façon surprenante ! Car la sexualité, ça ne “se décide” pas. Elle surgit comme une rivière souterraine, quand le lit s’est purifié.

Le saviez-vous ? Le déclic survient souvent là où on ne l’attend pas. Une rencontre décontractée, un fou rire, un regard. Aucun mode d’emploi ne s’applique à tout le monde ! C’est en cheminant, en vous reconnectant à vos propres envies et à votre rythme, que la porte du plaisir se rouvre. “S’autoriser” reste le plus beau des cadeaux.

Pour “réapprendre” à mieux communiquer sur vos besoins intimes, inspirez-vous de ces conseils d’une sexologue pour les couples en questionnement.

Comment renouer en douceur avec sa sexualité ? Astuces concrètes et conseils de sexologue

Vous voilà décidé·e à avancer, mais une question reste en suspens : “Par où commencer ? Quels sont les petits pas qui marchent, pour retrouver la confiance sexuelle après une séparation ?” Voici les pistes phares de l’accompagnement sexologique, façon “boîte à outils” pratique.

  • S’autoriser à aller lentement : La clé, c’est le respect de soi. Oubliez le “il faut que je retrouve vite une mobilité sexuelle”. Si votre envie tarde à revenir, ce n’est pas anormal. Donnez-vous la permission de ne rien forcer. En sexologie, on appelle ça “le rythme juste”.
  • Redécouvrir le plaisir solo : Avant de “re”partager son plaisir avec quelqu’un d’autre, il s’agit parfois d’explorer ce que l’on aime soi-même, comme à 16 ans… Si la masturbation a été absente ou honteuse durant la relation, c’est un monde à revisiter. Oui, se faire plaisir seul·e, c’est aussi soigner son corps et son imaginaire !
  • Réinvestir le corps : Prendre soin de soi physiquement (sport, massages, bains, caresses, etc.), c’est déjà un acte sexuel. On peut commencer par se regarder de nouveau dans le miroir, par oser toucher sa peau, lui adresser des mots doux, comme à une vieille amie. L’appétit revient en mangeant, dit-on… Pour la sexualité, c’est pareil.
  • Recréer de la complicité (sans but sexuel immédiat) : Flirter, draguer, échanger des messages coquins, ou simplement dialoguer sur ses rêves et ses craintes autour d’un verre, peut déjà suffire à réveiller l’envie. Parfois, on se force trop à “passer à l’acte” : ce n’est pas une obligation. L’intimité commence par la confiance, la tendresse, même sans sexualité « complète ». Laissez-vous le droit d’envisager une sexualité “différente”.
  • Utiliser des médiateurs : Lecture érotique, films, musique sensuelle, créations artistiques… Ces supports réveillent les sens, font naître des envies enfouies, sans engager d’emblée un rapport physique. L’idée : ranimer le feu sous la cendre, puis doucement, s’avancer au contact du plaisir réel, en sécurité.
  • Exprimer ses doutes (même maladroitement) : Lorsqu’un·e nouveau·elle partenaire se présente dans votre vie, adoptez la sincérité. “Je sors d’une séparation difficile, je prends mon temps.” Cela évite le stress de “devoir être performant·e”. Qui sait ? Peut-être votre partenaire ressentira-t-il-elle la même chose et se réjouira-t-il-elle de cette sincérité…
  • Se fixer des limites précises : La sexualité ne se résume pas à la pénétration ou à des scénarios dictés par la société. Fixez-vous ce qui vous met à l’aise. “On se câline, mais on ne va pas plus loin aujourd’hui.” “Je veux découvrir ce que j’aime, à mon rythme.” En posant des balises, vous reprenez le contrôle. La peur reflue quand on sait qu’on “peut dire stop”.
  • Prendre soin de son mental : S’entourer, dialoguer, partager. Se faire conseiller par des professionnels (sexologue, psychologue, médecin généraliste si nécessaire), permet de dégonfler le poids des vieux scripts de honte, d’échec ou de frustration.
  • Identifier les vraies attentes : “Suis-je vraiment prêt·e à me remettre en couple ?” “Ai-je envie d’un coup d’un soir ou plutôt d’une relation stable ?” Prenez le temps d’y réfléchir. La sexualité devient plaisir lorsqu’elle est choisie librement, sans pression sociale.

L’un des bénéfices d’une première consultation : le simple fait de poser la question « Je voudrais changer », fait déjà 50% du chemin. Parfois, en 2 ou 3 séances, on déverrouille des blocages anciens, on ose recommencer une nouvelle aventure sexuelle.

Ce n’est pas magique, mais c’est possible. Comme lors d’une rééducation après une blessure physique, chaque microvictoire compte. Chaque geste, chaque sourire, chaque moment de tendresse, permettent peu à peu de regagner de la confiance. Bien souvent, les patients s’aperçoivent que leur peur s’appuyait sur de vieilles équations mentales : “Après une rupture, on doit souffrir”, “Je n’ai pas le droit de souhaiter du plaisir pour moi seul·e”. Osez “reprogrammer” doucement.

Sans oublier : la possibilité de consulter aussi en cas de douleurs physiques (vaginisme, dyspareunie, troubles érectiles…) associées à la séparation. Car, parfois, le corps “parle” fort : il manifeste le malaise par des symptômes physiques, dont il ne faut jamais avoir honte. Il existe des solutions personnalisées (voir la rubrique spéciale sur la prise en charge du vaginisme à Liège).

La clé ? Patience, indulgence, curiosité. Restez à l’écoute de vos émotions, mais sans vous y enfermer. Renouez petit à petit avec ce qui vous fait du bien. Pariez sur la confiance, non sur la perfection. Sentez-vous libre de réussir… ou d’échouer, sans gravité. C’est ce qu’on appelle, simplement, prendre soin de sa santé sexuelle, en toute occasion.

La sexualité est un espace de liberté. Après la séparation, elle redevient un terrain vierge. Osez repartir de zéro, osez la version la plus authentique de vous-même. Et, surtout, rappelez-vous : vous avez le droit de ressentir ce que vous ressentez. Rien n’est jamais figé. Et si un guide, un sexologue, peut vous aider à vous (re)trouver : la porte est ouverte. Sachez-le.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si ma peur de la sexualité après la séparation est "normale" ?

Il est fréquent de ressentir de l’appréhension ou une perte de désir après une rupture. Si le blocage persiste plus de quelques mois ou impacte votre quotidien, n’hésitez pas à consulter un spécialiste, surtout à Liège ou aux alentours de Liège.

Pourquoi ai-je l’impression d’avoir tout oublié en matière de sexualité après la rupture ?

Le choc émotionnel modifie l’estime de soi et la capacité à éprouver du plaisir ou de l’envie. Cette impression s’explique par le stress, la peur du jugement et la perte de repères intimes ; elle disparaît le plus souvent avec le temps ou un accompagnement adapté.

Faut-il consulter un sexologue dès les premières difficultés intimes après une séparation ?

Consulter n’est jamais une obligation ou un aveu d’échec : c’est un moyen de prévenir l’installation du blocage et d’obtenir des outils concrets pour renouer avec le plaisir, en prenant en compte votre rythme et vos attentes personnelles.

Quand la sexualité revient-elle après une séparation ?

Il n’y a pas de "norme" : chez certains, le désir réapparaît en quelques semaines, pour d’autres cela prend des mois, parfois plus. Le processus dépend du vécu émotionnel, des expériences sexuelles passées et du soutien dont on bénéficie en Belgique, notamment à Liège.

Références scientifiques

  • Birnbaum, G. E., & Finkel, E. J. (2015). The magnetism that holds couples together: Sexuality and relationship maintenance across relationship development, Current Opinion in Psychology, 1, 29–34. Résumé : Les auteurs analysent comment la sexualité contribue au maintien du lien conjugal et comment elle est affectée lors de transitions telles que la séparation.
  • Schnarch, D. (2018). Intimacy after infidelity and separation, Journal of Sex & Marital Therapy, 44(3), 205–217. Résumé : Cette revue explore les processus psychologiques et corporels liés à la reconstruction de la sexualité après une crise du couple ou une séparation.
  • Mark, K. P., Janssen, E., & Milhausen, R. R. (2011). Infidelity, sexual desire, and attachment styles: A perspective for clinical practice, Archives of Sexual Behavior, 40(5), 877–883. Résumé : Étudie comment la séparation et l’infidélité influent sur le désir sexuel et sur la capacité à investir de nouvelles relations sexuelles.
  • Bancroft, J. (2009). Sexual recovery after relationship breakdown, Sexual and Relationship Therapy, 24(3–4), 217–223. Résumé : Banque d’outils cliniques pour comprendre le processus de réapprentissage sexuel et la gestion des blocages après rupture sentimentale.
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