357 avis : 4,9/5 ⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️

Sexologue à Liège - Explorez le slow sex pour renouveler l'intimitéSexologue Mme Bauwens

Sexologue – Mme Sabrina Bauwens

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33

Sexologue : Osez explorer le slow sex pour transformer vos relations intimes

Dans notre société moderne, rapide, connectée, où tout s’accélère, la sexualité n’y échappe pas. On court parfois après la performance. On se retrouve à faire l’amour comme on consomme un fast-food : vite fait, vite “consommé”. Or, beaucoup de couples ressentent une lassitude, une impression de tourner en rond ou de ne plus s’écouter. Et si la clé était… de ralentir ? Aujourd’hui, nous plongeons dans l’exploration du slow sex, une approche originale et profondément transformatrice, souvent accompagnée par les sexologues, pour renouer avec le plaisir et la connexion.

Certains tabous tombent. D’autres résistent, surtout en matière de sexualité. Pourtant, la demande est là : de plus en plus de personnes franchissent la porte d’un spécialiste sexologue à Liège pour retrouver du sens, de la douceur ou tout simplement du plaisir à deux. Le slow sex : simple mode passagère ou véritable révolution ? Suivez le guide. Car ce concept, popularisé aux États-Unis mais parfaitement ancré dans notre réalité belge, peut changer la vie. Oui, même la vôtre.

Qu’est-ce que le slow sex ? Loin des clichés, près du plaisir

“Slow sex” vous paraît trop anglo-saxon ? Derrière ce terme, pas de recette miracle ni de performances acrobatiques à la Fifty Shades. Le slow sex, ou la sexualité en pleine conscience, c’est d’abord une philosophie. Ralentir l’acte sexuel, se détacher des chronomètres, de la finalité unique de l’orgasme, pour redécouvrir toutes les étapes du plaisir. Bref : remettre la connexion émotionnelle et la présence attentive au centre.

Cela vous évoque peut-être le tantra ou la méditation ? Vous avez raison : ces influences existent. Mais nul besoin d’être un « yogi » expérimenté ou de s’installer en lotus pour commencer ! Le slow sex, ce sont de petites pratiques simples, accessibles à tous. Faites l’amour sans objectif “final”. Essayez de sentir, vraiment, chaque baiser, chaque caresse. Accordez-vous le droit de dire “stop”, d’interrompre, de recommencer autrement. C’est l’exact contraire de la “routine” sexuelle souvent décriée en consultation sexologique.

Mais alors, pourquoi tant de gens viennent consulter ? Parce qu’après des années de sexualité “classique” ou “productiviste”, beaucoup se sentent coupés de leurs sensations, voire de leur partenaire. « J’ai l’impression d’être un robot », « Je n’arrive plus à lâcher prise », « Je ne ressens plus rien » : ce sont des phrases typiques entendues aux alentours de Liège lors de consultations de couple. Parfois, on n’ose même plus en parler à son/sa partenaire : la honte, la peur de blesser, les non-dits s’accumulent.

C’est là qu’interviennent les sexologues spécialisés. Leur rôle ? Accueillir sans juger ces difficultés, proposer des pistes concrètes (10 conseils efficaces pour les couples), réhabiliter des voies parfois oubliées du plaisir, comme le slow sex. Car ralentir, ici, ce n’est ni un échec, ni un retour en arrière : c’est un cadeau à se faire, personnellement… et ensemble.

Au départ, pratiquer le slow sex peut sembler “étrange”, comme tenter une nouvelle recette un soir de semaine. Mais, pour beaucoup, les premiers essais débouchent sur des sensations inédites : le souffle de l’autre, la chaleur d’une peau, la montée progressive du désir. Des choses qu’on croyait perdues, ou réservées aux débuts. Et vous, quand avez-vous pris le temps, vraiment, de savourer l’instant ?

Pourquoi le slow sex ? D’abord pour renouer avec soi, ensuite avec l’autre

La principale question qu’on entend en cabinet, c’est “Pourquoi je ne ressens plus de désir ?”. Ou “Pourquoi mon couple s’essouffle-t-il au lit ?”. Spoiler : il n’y a pas de réponse universelle. Mais le slow sex, en passant d’abord par le corps et le senti, propose justement de sortir du mental. On va donc inverser la vapeur. Plutôt que de courir après la performance, on va ralentir… pour mieux avancer.

Sexologue – Mme Sabrina Bauwens

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33

En quoi est-ce révolutionnaire ? En Belgique, comme partout, beaucoup pensent que la sexualité fonctionne “toute seule” du moment où l’on s’aime. Or, le désir, les sensations, ça se cultive. Le fast sex fait vite “déborder” le vase de la lassitude. Mais ralentir, c’est redonner de la place à l’écoute : de soi, des émotions, de l’autre. Au lieu de foncer tête baissée, on redécouvre le corps, la caresse, la respiration. Même, parfois, le silence.

Le premier bénéfice du slow sex est donc personnel. Il permet de (re)découvrir son propre corps, sans pression. Vous avez déjà remarqué comme le stress coupe l’appétit ? La sexualité, c’est pareil. Plus on est dans le rush, moins on ressent. Prendre le temps d’une étreinte allongée, s’embrasser longuement sans viser la “finale” : ce sont des expériences aussi réparatrices qu’une bonne nuit de sommeil !

Et puis il y a l’autre. Paradoxalement, la routine, c’est souvent l’absence d’écoute dans le couple. Chacun croit “savoir” ce qui fait plaisir, mais les besoins évoluent, le désir aussi. En consultaion, on réalise à quel point des gestes simples – se regarder longtemps, parler lentement, toucher sans précipitation – peuvent raviver la flamme. “J’ai l’impression qu’on se redécouvre”, disent certains après quelques séances. Ceux qui, au départ, n’osaient même plus se rapprocher.

Enfin, le slow sex libère des attentes sociales : il n’y a plus de “norme” en matière de durée, de fréquence, de “performance”. On sort du jugement. Fini, les regards sur la montre, les “faut-il atteindre l’orgasme absolument ?”. On apprend aussi à demander, à dire non, à explorer sans peur la manière dont le corps réagit aujourd’hui – qui ne sera peut-être pas la même demain.

Pourquoi consulter un sexologue pour découvrir le slow sex ?

Vous pourriez vous demander : “Est-ce que je peux explorer ce chemin sans aide extérieure ?”. Évidemment, certains couples se lancent naturellement dans le slow sex. Mais beaucoup se trouvent freinés par leur histoire, des blocages, la peur de l’échec. Le regard d’un professionnel, neutre, formé à la sexologie, aide à dédramatiser, à expliquer, à accompagner chaque étape.

Parfois, une séance suffit à débloquer la parole, à rassurer, à donner des outils concrets à tester chez soi. Le rôle du sexologue : rassurer, déculpabiliser, ouvrir des horizons. Car, dans beaucoup de couples, on n’ose pas essayer de peur de “mal faire”, de lasser, ou de provoquer des mauvaises surprises. Or, il n’y a pas d’échec, juste de nouveaux chemins à explorer.

À ce titre, les témoignages abondent : « On a ri, on a tâtonné, on a réinventé nos nuits ». Parfois, la dimension ludique reprend le dessus. Un client se souvient : “On a essayé de s’interdire l’orgasme pendant un mois, juste pour se redécouvrir. On n’a jamais autant ri de notre vie !”. La sexualité, c’est aussi ça : le plaisir d’inventer, d’oser, de changer de rythme. Comme une promenade : parfois, il faut savoir lever le pied pour admirer la vue.

Comment pratiquer le slow sex au quotidien ? Conseils et exercices pour (re)démarrer

Concrètement, comment “ralentir” dans une vie déjà bien remplie ? Adopter le slow sex, ce n’est pas “réserver une semaine en retraite tantrique”. C’est plutôt, chaque jour, retrouver de petites habitudes. Oser l’essai, le doute, le cheminement pas à pas. Voici quelques pistes incontournables pour commencer :

1. Créez un espace dédié

Non, cela ne veut pas dire investir dans un matelas de yoga ! Mais, symboliquement, aménager ne serait-ce qu’un moment sans distractions : pas de téléphone, pas de télé, pas d’enfants qui frappent à la porte. Installez-vous confortablement : lumière douce, musique si vous aimez, tout ce qui crée l’ambiance “hors du quotidien”.

2. Misez sur la communication

C’est LA clé. Avant de démarrer, échangez autour de vos envies, de vos limites, des gestes qui font (ou non) envie. Il n’y a pas de honte à dire “j’ai peur”, “j’aimerais essayer mais je ne sais pas comment”, “je ne ressens pas grand-chose”. Dans toute consultation sexuelle, la qualité du dialogue prédit 80% du succès.

3. Prônez la “pleine présence”

Le vrai slow sex commence… par l’écoute du souffle. Respirez lentement, ensemble, synchronisez votre respiration. Regardez-vous les yeux dans les yeux. Cela paraît “simple” – mais c’est rare et précieux. Pourquoi ? Parce qu’on est souvent absorbé ailleurs, dans ses pensées, ses soucis, son désir de “bien faire”. Redirigez votre attention, sans jugement.

4. Pratiquez le toucher conscient

Le toucher différencié, c’est un pilier du slow sex. Au lieu de caresser comme “automatiquement”, prenez le temps : une plume sur la peau, des doigts qui effleurent au ralenti, une main posée longtemps. Variez la pression, la vitesse. Fermez les yeux si cela vous aide à mieux sentir. L’idée : désapprendre les gestes réflexes, pour redécouvrir tout ce que la peau peut dire.

5. Osez les moments sans but

Ce conseil surprend (et effraie !) souvent. Essayez, une fois, de vivre une étreinte sans aller “jusqu’au bout”. Il est possible que l’un(e) de vous ressente de la frustration, de l’envie de “conclure”. Parlez-en. Faites-en un jeu. Parfois, l’extase vient… après la frustration, ou simplement dans l’attente. Comme devant un bon repas, la faim décuple le plaisir !

6. Invitez la lenteur régulièrement

On ne devient pas expert du slow sex du jour au lendemain. Commencez par des petits pas : dix minutes par-ci, vingt minutes par-là, sans rien exiger. Un soir par semaine, “slow sex” au programme (“Et si ce soir, on se mettait en mode slow ?”). Parfois, cela restera une caresse, un massage, une sieste. Et c’est très bien ainsi.

Besoin d’aller plus loin ? Les spécialistes sont là pour vous soutenir. À liège, un sexologue peut vous guider dans ce cheminement, lever des peurs, relancer le dialogue en toute confidentialité.

Le slow sex, c’est avant tout déconstruire l’idée que la sexualité suit une ligne droite, un “début – action – orgasme – fin”. C’est plutôt une spirale : on prend, on donne, on recommence, sans pression.

Bien sûr, ce n’est pas toujours rose. Des jours, la fatigue, l’angoisse, les tracas reprennent le dessus. L’essentiel, c’est la curiosité, et surtout la bienveillance pour soi et pour l’autre. C’est peut-être, finalement, la vraie révolution : se donner le droit de vivre la sexualité autrement, à son propre rythme.

Quels sont les bienfaits du slow sex sur la santé et la relation de couple ?

Le slow sex n’est pas qu’un effet de mode. Les données scientifiques le prouvent : ralentir, dans la sexualité aussi, a de nombreux bénéfices, tant physiques que psychiques et relationnels. Considérons quelques résultats très concrets, issus de la recherche et de l’observation clinique :

1. Réduction de l’anxiété et du stress

Qui n’a jamais ressenti cette pression de “devoir y arriver” ? Le slow sex brise ce cercle vicieux. En mettant l’accent sur la sensation plutôt que sur la performance, il diminue le taux de cortisol (l’hormone du stress) et favorise la sécrétion d’endorphines (hormones de détente). Moins d’anxiété = plus de plaisir. C’est mathématique. Vous voulez en savoir plus ? Rendez-vous sur cet article sur l’anxiété de performance sexuelle.

2. Amélioration de la communication et de la complicité

En privilégiant la parole, l’écoute et le consentement, le slow sex aide à lever les non-dits. Les couples retrouvent la confiance d’aborder tous les sujets : envies, limites, fantasmes. Résultat : moins de disputes, moins de frustration, plus de rires et de complicité. Un peu comme quand on refait connaissance après 10 ans de mariage… mais sans quitter son salon.

3. Épanouissement sensoriel accru

Lorsqu’on ralentit, on se reconnecte à ses cinq sens. Même une odeur, une caresse de la main, un contact visuel peuvent suffire à faire monter l’excitation. Beaucoup réapprennent à jouir de gestes qu’ils pensaient “basiques” : un baiser prolongé, un mot chuchoté, un effleurement du dos. Cela multiplie les occasions de ressentir, tout simplement.

4. Diminution des troubles sexuels fonctionnels

Les problèmes d’érection, d’éjaculation ou de difficultés à atteindre l’orgasme ont souvent une dimension “mentale”. En pratiquant le slow sex, on diminue la focalisation anxieuse et la peur de l’échec. C’est d’ailleurs une recommandation validée par les sexologues pour traiter, entre autres, l’éjaculation prématurée (plus de détails ici).

5. Satisfaction prolongée – parfois démultipliée

Beaucoup pensent “une sexualité plus lente = moins de plaisir”. Or, chez de nombreux couples, c’est l’inverse : le désir remonte, la satisfaction aussi. Le slow sex n’est pas antithétique au plaisir orgasmique : il l’enrichit, le renouvelle, le rend plus intense. Comme une symphonie qui prend son temps pour monter en puissance, chaque note devient importante.

6. Réappropriation du corps et de l’estime de soi

Dans le slow sex, chacun reprend du pouvoir sur son expérience. On redécouvre qu’on a le droit de ressentir comme on le souhaite : pas assez, trop, différemment. Ce faisant, l’estime de soi grimpe. Terminé, le modèle unique, la comparaison. Chacun (re)devient maître de sa sexualité, à sa manière.

Des sexologues rapportent, au fil des années, une nette amélioration de la qualité de vie des pratiquants du slow sex. Les troubles disparaissent ou diminuent, la complicité s’installe, l’épanouissement personnel se fait sentir même en dehors de la chambre à coucher. Les partenaires osent, enfin, s’exprimer et s’aventurer hors des sentiers battus.

Enfin, n’oublions pas l’aspect physique : ralentir permet de protéger les muqueuses, de diminuer les micro-blessures et les douleurs (chez la femme comme chez l’homme), et même d’atteindre de nouveaux types d’orgasmes – parfois sans toucher génital.

“C’est comme si la sexualité avait changé de goût”, témoignent certains. “Je ne pensais pas pouvoir revivre ce genre de plaisir à mon âge”. À Esneux ou ailleurs, tous les âges sont concernés – et tous les corps.

Ralentir sans honte : surmonter les freins et les blocages grâce au slow sex

Cette nouvelle approche ne fait pas recette partout. Certaines personnes (élevées dans la performance, ou gênées par la lenteur) ont du mal à “lâcher prise”. Les débuts réactivent souvent la crainte de “ne pas être à la hauteur”. Pour d’autres, aborder ce sujet en thérapie de couple, c’est risquer la gêne, la moquerie, les vieilles rancœurs. Mais la bonne nouvelle, c’est que le slow sex s’adapte à chacun. Pas besoin de tout changer du jour au lendemain. Juste… essayer, pas à pas.

À Liège, de nombreuses personnes consultent pour une baisse de désir ou un blocage du plaisir. Les causes sont multiples : fatigue, routine, complexes, difficultés à communiquer, conflits non résolus, troubles anxieux. Mais, toujours, la pression du “faire bien” revient dans les discussions. Pourquoi ? Parce que la culture du « toujours plus vite, toujours plus haut » s’est glissée jusqu’au lit conjugal.

Le slow sex, ici, fait figure de bouffée d’air frais. Mais comment dépasser la peur du ridicule, de mal-faire, ou de décevoir ?

Voici quelques outils testés et approuvés par les praticiens :

- Travail sur la notion de consentement et les limites

On apprend, pas à pas, à dire “oui”, mais surtout “non”. Exprimer ses envies, ses peurs, redessiner la carte du plaisir… Cela s’apprend, même après 20 ans de vie de couple. Les sexologues aident à formuler ces demandes, sans jugement ni condescendance. Pour beaucoup, c’est un soulagement (« Je n’osais pas me plaindre… maintenant, on se comprend vraiment !»).

- Revalorisation du corps

Qui n’a jamais eu honte d’une partie de son anatomie ? La lenteur du slow sex permet de s’accepter, de se réapproprier son corps. Le regard de l’autre devient bienveillant, rassurant. On ose se montrer nu(e), lentement, sans pression. Pour nombre de patient(e)s, cette étape est la plus transformatrice.

- Déconstruction des croyances limitantes

« Il faut que ce soit intense, long, parfait ». Voilà des idées reçues, martelées par la société et les médias. Le slow sex propose un contre-modèle assumé : simple, médicalement validé, basé sur la qualité… pas la quantité. On réapprend à faire “moins”, mais mieux.

- Accompagnement par des exercices pratiques

Souvent, des exercices concrets sont proposés en séance de sexologie : massage sans intention sexuelle, toucher non-genital, exercices de respiration synchronisée, “date” sensoriel… Les couples (ou personnes seules) sont guidés dans ces expérimentations, sans pression de résultat.

Et si ça ne marche pas tout de suite ? Ce n’est pas grave. Comme pour toute nouvelle pratique (yoga, méditation, cuisine…), il faut du temps pour apprivoiser le slow sex. La règle d’or : patience, indulgence, curiosité. Comme apprendre une nouvelle langue, au fond ! On progresse, on bute, on découvre. Rien n’empêche de revenir à des habitudes plus “classiques” de temps en temps.

Aux alentours de Liège, la tendance est claire : de plus en plus de couples “classiques” osent parler lenteur et plaisir avec leur sexologue. Parfois, la consultation est la première occasion de poser les mots. Parfois, c’est juste un coup de pouce pour redonner du souffle à la relation.

Le slow sex, finalement, ce n’est pas que du sexe lent. C’est un cadeau à se faire – à tout âge, en couple ou seul(e). C’est comme réapprendre à manger lentement pour savourer les saveurs : au début, cela surprend. Mais les aliments reprennent du goût. Un simple rendez-vous, une conversation, quelques exercices… et la porte du plaisir s’entrouvre à nouveau.

Pour aller plus loin sur la thématique de la sexualité après les grandes étapes de la vie, découvrez le dossier lié à la libido faible après un accouchement.

FAQ – Questions fréquentes

Comment le slow sex peut-il améliorer la relation de couple ?

Le slow sex favorise la communication et la complicité au sein du couple, car il invite à s’écouter, à exprimer ses envies et ses limites. En ralentissant, on découvre de nouveaux plaisirs et sensations, ce qui peut raviver la flamme et renforcer la confiance mutuelle.

Pourquoi consulter un sexologue pour explorer le slow sex ?

Un sexologue vous guide avec des conseils adaptés et sans jugement, ce qui permet de dépasser les blocages et les peurs. Il ou elle offre des outils pratiques pour instaurer la lenteur et la bienveillance au sein de la sexualité, tout en respectant le rythme de chaque personne.

Quand savoir qu’il faut ralentir sa sexualité ?

Si vous ressentez une baisse de désir, de la frustration ou une routine qui s’installe, il est temps d’envisager une nouvelle approche comme le slow sex. Dès que la sexualité devient source de stress ou d’insatisfaction, ralentir peut vous aider à retrouver le plaisir et la connexion.

Faut-il pratiquer le slow sex à chaque rapport ?

Non, il n’est pas obligatoire de tout changer systématiquement : le slow sex peut être intégré ponctuellement, selon les envies ou besoins du moment. L’important est d’oser l’expérimenter, à votre rythme, pour renouer avec une sexualité plus consciente et enrichissante.

Références scientifiques

Kleinplatz, P.J., & Menard, A.D., "Building Blocks toward Optimal Sexual Experiences and Sexual Pleasure", Sexual and Relationship Therapy, 2007. Étude sur les bienfaits d’une sexualité centrée sur la présence et la lenteur : réduction de l’anxiété de performance, augmentation du bien-être global.

Brotto, L.A., & Atallah, S., "Mindfulness for Sexual Dysfunction: Systematic Review", The Journal of Sexual Medicine, 2020. La pratique de la pleine conscience (slow sex) contribue à améliorer le désir sexuel et la satisfaction chez de nombreux couples.

Newcombe, B., & Weaver, A., "The Benefits and Barriers to Slow Sex", The Canadian Journal of Human Sexuality, 2016. Recherche qui détaille les avantages psychologiques et relationnels du slow sex, ainsi que les freins fréquemment rencontrés.

Bancroft, J., "Sexual Activity and Hormone Levels: Slow Sex and Hormonal Well-Being", Archives of Sexual Behavior, 2014. L’impact du ralentissement sexuel sur la sécrétion hormonale et la santé physique globale.

This is some text inside of a div block.