Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
Vous vous sentez perdu(e) face à vos attirances ? Ou peut-être vos enfants, ou l’un de vos proches, commencent-ils à questionner le genre ou la sexualité ? Si ces sujets paraissent parfois abstraits, ils occupent pourtant une place toute concrète dans la vie réelle. La question de l’identité de genre, couplée aux interrogations sur l’orientation sexuelle, fait partie des motifs de consultation de sexologie les plus fréquents aujourd’hui. En Belgique, comme ailleurs, on observe une hausse des personnes cherchant à comprendre ce qu’elles ressentent. Comment différencier genre et orientation ? Pourquoi la confusion est-elle si courante ? Quelles pistes en sexologie pour mieux vivre ces remises en question, en individuel, en couple ou en famille ?
Dans l’intimité d’un cabinet comme celui de Sabrina Bauwens, sexologue à Esneux, ces histoires réelles sont racontées chaque semaine. Parfois, il s’agit d’un adolescent qui ne se reconnaît pas dans le sexe qui lui a été assigné à la naissance. Ou encore d’une adulte qui, après des années en couple, commence à ressentir du désir pour le même sexe et s’en veut de bouleverser sa vie. Parfois, c’est une quête invisible : être "différent" sans pouvoir poser de mots. L’identité sexuelle, c’est une mosaïque d’expériences, de doutes et de construction de soi – tout sauf une case à cocher. Alors comment trouver sa place, ou soutenir celle d’un proche ?
Dans cet article, nous explorerons en profondeur la question des questionnements identitaires liés au genre et à la sexualité : définitions, expériences vécues, accompagnement psychosexuel et solutions concrètes proposées par les sexologues. Un seul mot d’ordre : curiosité, bienveillance et ouverture, pour vous outiller et permettre un mieux-être durable.
Très souvent, tout commence par une confusion. Pour la majorité, le sexe (biologique), le genre (ressenti) et l’orientation sexuelle (attirance) s’alignent plus ou moins sans que l’on ait à y penser. Pour d’autres, cette équation n’est tout simplement pas si évidente. Et c’est bien ici que les questions émergent : "Suis-je normal(e) si je me sens fille dans un corps de garçon ? Est-ce grave si j’aime à la fois les hommes et les femmes ? Et si je ne ressens pas d’excitation sexuelle, c’est grave ?"
Prenons le temps de décortiquer :
- Sexe biologique : c’est l’aspect biologique – chromosomes, organes génitaux, hormones. Ce que le médecin attribue à la naissance : "c’est une fille" ou "un garçon". Mais chez environ 1 personne sur 2000 naissances, même cette catégorie est incertaine : on parle alors d’intersexuation. Autant dire que la nature, déjà, n’aime pas les cases figées.
- Genre : c’est le ressenti profond, intime, de se sentir (ou non !) homme, femme, ni l’un ni l’autre, ou un peu des deux… Il s’agit de l’identité de genre. Elle n’est pas visible dans le miroir mais se vit dans la tête, le cœur et parfois s’exprime ou se cache longtemps.
- Expression de genre : c’est la façon dont on exprime ce ressenti à l’extérieur (par la manière de s’habiller, parler, se coiffer, etc). Exemple typique : une femme qui aime les vêtements masculins… mais reste femme dans son ressenti profond. Ou un homme qui prendra soin de ses ongles sans être moins "homme".
- Orientation sexuelle : il s’agit du type d’attirance romantique ou sexuelle vers les hommes, les femmes, les deux, aucun, ou au-delà du binaire. Les mots clés ici sont hétérosexualité, homosexualité, bispsexualité, pansexualité, asexualité… et parfois même, aucune étiquette ne correspond vraiment.
Lors que cette symphonie s’aligne, tout est simple et fluide. Mais dès qu’un des éléments détonne – par exemple, un enfant "assigné garçon" mais qui se sent "fille" –, questions, peurs, mais aussi espoirs pointent le bout de leur nez. D’où l’importance d’un vocabulaire précis, pour accueillir les divergences sans jugement ni tabou.
Vous pensez que ces situations sont rares ? En réalité, près de 8 % des adolescents interrogés dans une récente enquête à Liège déclaraient ne pas se sentir “tout à fait” garçon ou fille. Une autre étude aux États-Unis affirme qu’1 jeune sur 20 questionne son genre au moins une fois au cours de l'adolescence. Les chiffres varient, mais partout la dynamique est la même: la diversité gagne en visibilité, même "aux alentours de Liège".
Pourquoi cette explosion de questions ?
Internet, réseaux sociaux, films, séries… Aujourd’hui, l’accès à l’information a changé la donne. Ce que l’on cachait hier se dit aujourd’hui sur TikTok ou dans les podcasts. Plus on nomme, plus on ose s’exprimer, plus la société évolue. C’est une vague. Parfois douce, parfois orageuse, qui secoue les repères de chacun.
Certains, au contraire, vivent ces questionnements comme un fardeau – surtout face aux réactions familiales ou sociales. Dans une famille traditionnelle, dire “je ne me reconnais pas comme garçon” c’est parfois risquer la dispute, l’exclusion ou la peur de “décevoir”. La honte peut alors s’installer comme une pieuvre et étouffer la confiance en soi. Parfois à vie, si l’on n’ose pas parler ou consulter. Mais alors que faire ?
La première étape consiste à clarifier ce que l’on ressent – sans se précipiter sur une étiquette. Un sexologue est justement là pour distinguer le vrai du faux malaise, accompagner sans jugement et ouvrir des pistes de réflexion. Un rendez-vous peut vous permettre de poser les bonnes bases avant d’en parler à vos proches, ou de décider d’une transition sur le long terme. Sabrina Bauwens, sexologue à Esneux, insiste souvent sur la force du dialogue : une réponse sur-mesure pour chaque parcours, car il n’y a pas de norme universelle.
La confusion entre genre et orientation demeure un classique en cabinet. L’exemple le plus courant : “J’aime les femmes, mais je me sens homme ou femme, suis-je bisexuel.le ou transgenre ?”. En réalité, la réponse est parfois simple… mais elle ne tient jamais en deux lignes. Il peut s’agir de plusieurs niveaux d’identification. L’accompagnement sexologique aide à y voir plus clair et à sortir du brouillard, tout en respectant le rythme de chacun.
On imagine parfois que ces questions sont le monopole de l’adolescence. En réalité, elles peuvent surgir à tout âge. Dès l’enfance, certains enfants expriment un malaise vis-à-vis des jeux, des vêtements, ou même du prénom qu’on leur donne. Ce n’est pas juste une “lubie”. Les spécialistes recommandent d'écouter, sans obliger à choisir trop vite. Ce qui compte : le bien-être, pas la conformité.
Chez les ados, les interrogations sur le genre ou l’orientation sexuelle prennent parfois une ampleur déconcertante. Contrairement à la génération de leurs parents, ils ont accès à une foule de témoignages et de termes (“genderfluid”, “pansexuel.le”, “non-binaire”…). Cela peut être déstabilisant, pour eux comme leur entourage. S’imaginer “autre” amène son lot de peurs et d’excitation. Il faut souvent déconstruire des mythes, comme :
Dans la pratique, l'identité est mouvante. Rester dans une case serrée revient à porter des chaussures trop petites : ça fait mal, à la longue. Pour beaucoup de jeunes, exprimer ces doutes, c’est comme souffler après des années d’apnée. Le simple fait de mettre des mots réduit l’angoisse de moitié. La question qui revient le plus chez les ados en sexologie : "Est-ce qu'il existe des gens comme moi ?" Oui, il y en a beaucoup, et vous n’êtes pas seul(e). Ça fait toute la différence de l’entendre de quelqu’un de neutre.
Peut-on se poser la question du genre ou de la sexualité à l'âge adulte ? Bien sûr. Après une séparation, ou un changement de vie pro, ou à la ménopause, des doutes peuvent ressurgir. Les sentiments changent. L’orientation sexuelle n’est pas figée. Certains découvrent sur le tard une attirance jusque-là refoulée – pour le même genre, par exemple. D'autres se rendent compte qu’ils ou elles se sentent “non-binaires” ou “genderqueers”. L’essentiel ? Rester honnête avec soi-même et s’écouter, même si le reste du monde préfère les catégories simples. La vie, elle, ne l’est pas. En consultation de sexologie, il n’est jamais trop tard pour aborder ces sujets.
Et qu’en est-il pour le couple ou la famille ?
Tout un pan de consultations en sexologie touche la vie à deux, ou à trois. Comment vivre une transition de genre au sein d’un couple hétérosexuel ? Est-ce que l'amour résistera au changement de genre du partenaire ? Si mon enfant me dit “je ne suis pas un garçon, je veux m’appeler Mila”, dois-je m’inquiéter, ou accompagner simplement et sereinement ?
Les parents sont souvent désarmés, parfois en colère ou confus face à des enfants qui ne se reconnaissent pas dans leur genre assigné – surtout quand cela bouleverse la dynamique familiale ou les habitudes scolaires. Ici, l’enjeu est d’éduquer, rassurer, informer… et soutenir. Certains parents, d’abord sceptiques ou paniqués, développent une bienveillance insoupçonnée après quelques séances, et retrouvent une relation apaisée avec leur enfant ou ado.
En couple, ces changements remuent des questions d’intimité, de désir, de fidélité. Une transition de genre peut demander d’adapter entièrement la vie sexuelle et l’expression de l’intimité. Mais avec accompagnement, dialogue et soutien, beaucoup de couples découvrent soudain de nouvelles façons d’aimer, parfois plus profondes, sincères et créatives. La clé : ne jamais hésiter à demander de l’aide.
Vous voulez pousser la réflexion ? D’autres articles abordent en profondeur les questions de couple et de sexualité, à retrouver sur notre site.
Pour celles et ceux qui veulent agir concrètement sur leur bien-être sexuel et leur acceptation de soi, un accompagnement ciblé à Liège existe pour chaque étape de la vie, et pour chaque singularité.
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
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Ce n’est pas tant la différence qui fait souffrir, mais le manque de reconnaissance ; le sentiment de n’avoir sa place nulle part. Lorsqu’un doute persiste sur son identité de genre ou son orientation sexuelle, les effets sur la santé mentale sont sans appel : anxiété chronique, dépression, troubles du sommeil, isolement social, baisse de l’estime de soi. “Mais pourquoi”, me direz-vous, “cela aurait-il un tel impact ? Ce ne sont que des mots”. Oui, mais pour la personne concernée, l’identité c’est le sol sous ses pieds — si ce sol tremble, tout vacille.
D’après l’OMS, les adolescents LGBTQIA+ présentent un risque de tentative suicidaire 3 à 5 fois supérieur à la moyenne, faute d’accompagnement et de reconnaissance. Ce constat se retrouve en Belgique : près de 30 % des jeunes transgenres rapportent avoir envisagé le suicide au moins une fois. Il s’agit d’une urgence de santé publique. Et pourtant, parler de ces sujets reste parfois tabou, même dans le cercle familial ou amical. Voilà pourquoi la sexologie, ancrée dans la neutralité et la bienveillance, joue un rôle de sentinelle précieuse.
Quels signaux d’alerte pour un mal-être lié à l’identité ?
Attention, tous ces signes ne signifient pas systématiquement une souffrance identitaire. Mais, lorsqu’ils s’associent à des questionnements sur le genre ou la sexualité, consulter un(e) sexologue s’avère indispensable. Les professionnels savent créer un espace sécurisé pour verbaliser ces ressentis, sans peur d’être jugé. Parfois, une simple consultation suffira à relâcher la pression. D’autres fois, un suivi sur plusieurs mois permettra de construire les prochaines étapes à son rythme.
La réponse peut se résumer en un mot : OUTIL.
Un(e) sexologue, ce n’est pas qu’un interlocuteur neutre. Il ou elle est formé·e pour écouter, nommer, informer mais aussi dédramatiser et recadrer. Souvent, le sexologue accompagne une première étape : celle de l’acceptation de soi, en commençant par poser les termes (“transgenre”, “cisgenre”, “pansexuel”, “asexuel”). Ensuite, il ou elle oriente vers des parcours médicaux ou psychothérapeutiques dont certains sont très spécialisés (psychiatrie, endocrinologie, groupes de parole, aide sociale, etc.). Tout dépend de la situation, de l’âge, du contexte social.
Quand consulter ? Plusieurs situations peuvent mener à un rendez-vous :
Un travail approfondi permet de “démêler la pelote” petit à petit. Certains patients parlent d’un soulagement proche de la délivrance après seulement quelques séances (« J’ai pu respirer pour la première fois depuis des années »). D’autres découvrent qu’il n’y a pas de “bonne” ou “mauvaise” façon de construire son identité sexuelle. C’est bravo. L’objectif prioritaire reste le mieux-être : retrouver confiance, apprivoiser sa différence, construire de nouvelles relations, voire amorcer une transition si nécessaire… Toujours avec l’accompagnement adéquat. Ce processus est comme la pousse d’une plante fragile : l’important, c’est le terreau, pas la forme finale de la fleur.
Et pour les proches ? Les parents, conjoints, frères et sœurs sont souvent décontenancés. “Qu’ai-je fait de mal ?”, “Que vais-je dire à la famille ?”, “Vais-je perdre mon enfant tel que je l’ai connu ?” Le rôle du sexologue est aussi d’accueillir leur parole, parfois leur colère, leur tristesse. Chacun a le droit de ressentir le choc. Mais, au fil du temps, beaucoup trouvent une façon d’aimer autrement, ou d’accepter la surprise que réserve la vie.
Parfois, pour des cas spécifiques comme le dysfonctionnement relationnel ou sexuel en couple, il est intéressant de compléter avec une thérapie conjugale. L’articulation des différents professionnels autour de l’identité renforce la solidité du projet de vie.
Besoin d’aller plus loin ? L’article Orientation sexuelle : pourquoi en parler avec une sexologue décortique en détail les bénéfices de la parole, que l’on soit adulte ou adolescent.
Accompagner ces parcours demande finesse et patience. Comme le dit souvent un patient : "Le plus dur, c’est de sauter la première marche. Ensuite, la lumière revient peu à peu…" Et vous, où en êtes-vous dans ce cheminement ?
Un processus d’exploration identitaire ne se résume pas à un coming out devant toute la famille un soir de Noël. Parfois, la révélation se fait en silence, entre soi et soi. Parfois, elle se vit en plusieurs étapes : d’abord avec un.e professionnel.le, puis une amie chère, puis enfin, le travail ou la famille. Pour quelques-uns seulement, tout se passe en un éclair. Pour la grande majorité, c’est un chemin sinueux, avec des doutes, des reculs, de nouvelles questions. Et c’est normal.
Quels leviers pour s’aligner dans l’acceptation de soi ?
Pour les parents, les conjoints et la famille, l’accompagnement permet parfois de transformer une tempête en douceur. Il n’y a jamais qu’un seul scénario, mais le dialogue partagé crée souvent davantage de respect et d’amour qu’un silence plombant.
Parfois, les personnes découvrent qu’elles sont “fluide”, c’est-à-dire que leur identité ou leur orientation varie selon les périodes de vie ou les contextes. C’est normal également. La société aime les cases ; la vie, elle, préfère la couleur et le mouvement. Les études démontrent que la possibilité d’adopter une étiquette souple ou temporaire réduit les symptômes anxieux et dépressifs. Comme le dit un vieux proverbe : “Qui s’accepte, s’ouvre au monde”.
La reconnaissance sociale joue aussi un rôle majeur. De plus en plus d’écoles, d’entreprises ou d’associations proposent des outils pour faciliter la transition : adaptation des vestiaires, changement de prénom à l’école, accès à des documents administratifs neutres (en Belgique, la carte d’identité neutre existe). Chaque victoire, même symbolique, aide à s’inscrire dans le collectif – et donc à se rassurer. Mais pour les plus isolé.e.s, la démarche reste encore complexe. C’est là qu’un suivi sexologique personnalisé fait toute la différence, comme le prouvent de nombreux témoignages recueillis chaque mois.
N’oublions pas, enfin, que la sexualité elle-même n’est pas figée. Être "homme", "femme", "trans", "bi", "ace", c’est autant de façons d’aimer — corps et cœur — et chacune mérite respect. Une sexualité épanouie repose sur le consentement, la liberté et la confiance mutuelle, quels que soient le genre, l’orientation ou le corps. Dès lors, un accompagnement professionnel vise à "re-permettre" la découverte, sans préjugé ni injonction.
Vous vous sentez prêt(e) à entamer ce chemin, ou à soutenir un proche ? N’hésitez pas à consulter une sexologue spécialisée. Les consultations sont confidentielles et toujours centrées sur le respect et la bienveillance. Entreprendre ce parcours, c’est vous donner la chance de vous découvrir, vous, et de bâtir une relation apaisée avec autrui.
Pour faire un premier pas, découvrez aussi cet article : le point G, mythes et réalités selon une sexologue, pour déconstruire les tabous autour de la sexualité.
Comment savoir si je dois consulter un sexologue pour des questionnements identitaires liés au genre ou à la sexualité ?
Si vous ressentez un mal-être, de l’anxiété, un isolement ou des difficultés à verbaliser vos ressentis sur l’identité de genre ou l’orientation sexuelle, il peut être utile de consulter. Un sexologue vous accompagne dans la clarification, sans jugement, et vous propose des outils adaptés pour avancer à votre rythme.
Pourquoi les questionnements sur le genre et l’orientation sexuelle sont-ils de plus en plus fréquents aujourd’hui ?
La visibilité accrue des minorités de genre et d’orientation, l’accès facilité à l’information, ainsi qu’une société plus ouverte expliquent l’augmentation des questionnements. Il ne s’agit pas d’un “effet de mode”, mais d’un besoin vital d’alignement entre ressenti intérieur et vie extérieure.
Quand un enfant ou un adolescent commence à questionner son genre, faut-il s’inquiéter ou consulter immédiatement ?
Il est important d’écouter sans panique : la plupart des enfants explorent leur identité, mais cela ne mène pas toujours à une transition. Toutefois, si un mal-être est présent ou si les changements impactent la vie familiale ou scolaire, consulter un(e) professionnel(e) permet d’obtenir des conseils adaptés.
Faut-il nécessairement choisir une étiquette précise pour être heureux(se) avec son identité sexuelle ou de genre ?
Non, l’essentiel est de se sentir aligné(e) avec soi-même. Beaucoup de personnes s’épanouissent sans se contraindre à une catégorie figée. L’important est l’authenticité et le respect de son propre rythme, et non le fait d’entrer dans une case.
1. Lindqvist EK, Sendén MG, Renström EA. "What is gender, anyway: a review of the options for operationalizing gender". *Sex Roles*, 2021. Une revue complète sur la diversité des identités de genre et leur opérationnalisation dans la recherche scientifique.
2. Pausé CJ. "Sexual and gender minorities' mental health". *The Lancet Psychiatry*, 2020. Cette revue souligne les enjeux de santé mentale chez les personnes LGBT+, notamment le risque suicidaire accru.
3. Olson KR, Durwood L, DeMeules M, McLaughlin KA. "Mental health of transgender children who are supported in their identities". *Pediatrics*, 2016. Cette étude montre une baisse significative des troubles anxieux chez les enfants transgenres accompagnés sur le plan familial et thérapeutique.
4. Diamond LM. "Sexual Fluidity in Male and Females". *Current Sexual Health Reports*, 2016. L’auteure démontre que la fluidité de l’orientation sexuelle et du genre est un processus normal au cours de la vie humaine.