Sexologue CessionSexologue Charlotte CESSION – proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Reprendre une sexualité épanouie et libre, après une infidélité. Vaste programme. Qui n’a jamais entendu un proche se plaindre, après un adultère, de ne plus parvenir à se laisser aller ? Les chiffres sont là : en France, une enquête IFOP montrait en 2023 qu’un couple sur trois se dit déjà concerné, chez les plus de 30 ans. Chez nos voisins, en Belgique, le constat ne diffère guère. Et dans ces histoires, la sexualité… se retrouve bien souvent au cœur du cyclone.
Culpabilité, comparaisons, peurs, mais aussi désir de rebond : toute la palette émotionnelle défile, entre le moment du choc et la tentation d’une renaissance. Vous êtes concerné ? Aucun manuel tout prêt ne tient face à l’intime blessure. Néanmoins, un accompagnement par une sexologue spécialisée en reconstruction post-infidélité peut s’avérer crucial pour renouer avec l’espoir d’aimer – et de jouir – à nouveau, vraiment.
Dans cet article, on va poser les choses. Calmer le tempo. Décortiquer les grands pièges qui empêchent de retrouver une sexualité libre, pour mieux donner des clés concrètes – validées scientifique – et humaines. Charlotte Cession, psychologue‑sexologue à Esneux, explore souvent ces problématiques en séance. Son approche, ancrée dans l’expérience clinique et les recherches, éclaire notre analyse.
Découvrons comment, après la tempête, certains couples ou individus parviennent à retrouver cette spontanéité, cette “légèreté” qui permet enfin de désirer sans feindre, sans peur, sans calcul. Car la sexualité libre, ce n’est pas “refaire comme avant”. C’est, parfois, accepter de réinventer la partition à deux voix, ou même en solo.
Quand une trahison est révélée, nombreux sont ceux qui croient que seul le cœur est atteint. Erreur. La sexualité – celle du couple, parfois même la sienne propre – encaisse, des mois durant, une onde de choc d’une puissance insoupçonnée. Mais, au fond, pourquoi ?
C’est d’abord une question d’enracinement biologique. Les dernières recherches en psychologie montrent qu’après une data de rupture de confiance, l’axe du stress (cortisol, adrénaline) s’emballe. Impossible alors de “lâcher prise”. Vous l’avez déjà vécu ? Corps crispé, peur permanente de ne pas être “à la hauteur”, comparaison obsédante avec “l’autre”. La jalousie vient souder tout ça en béton.
Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège l’exprime souvent ainsi : “Dans la séance, après une infidélité, le désir devient un terrain miné. On a l’impression que chaque caresse interroge : suis-je unique à ses yeux ? Est-ce qu’il/elle pense encore à cette autre personne ?”.
On ne le répétera jamais assez : l’infidélité n’est pas qu’une histoire de corps. Mais elle attaque souvent la confiance corporelle, celle-là même qui permettait, le soir, de se retrouver nu(e) sans crainte du regard.
Une étude parue en 2022 dans le Journal of Sex Research l’a prouvé : 68% des femmes et 59% des hommes concernés par une infidélité récente évoquent une perte d’estime sexuelle pendant au moins six mois. Ce sentiment n’est pas irrationnel. Il est même physiologique. Tant que le couple – ou la personne – n’a pas digéré l’événement, l’excitation sexuelle peine à percer à travers le voile du doute.
Alors, dans les environs de Liège, à Paris ou ailleurs : qu’est-ce qui “grippe” le retour à une sexualité libre après l’adultère ? C’est d’abord un cortège de verrous mentaux très humains :
À la clé de ces réactions, bien souvent : un cercle vicieux. Moins on se sent désirable, moins on ose. Moins on ose, plus l’autre le ressent… et s’éloigne encore. La sexualité, alors, devient le théâtre d’une négociation permanente. On fait “l’amour” pour se rassurer, pas par désir. À force, l’épanouissement s’assèche.
Peut-on sortir de ce piège ? Oui, à condition – et c’est là tout l’enjeu – de comprendre comment la notion de sexualité libre change de sens après une infidélité. Et c’est ce que nous décortiquons dans la suite.
Dépendance affective, rejet du corps, interrogations sur le pardon, routine qui s’installe à marche forcée : chaque situation porte sa spécificité. Les sexologues reçoivent régulièrement, aux alentours de Liège, des couples ou des individus en consultation pour ces questions, parfois des années après l’évènement initial.
Comme le souligne judicieusement l’article Perte de plaisir avec son couple : quand consulter une sexologue ?, les automatismes qui s’installent après une brèche dans le lien conjugal peuvent mener à une « crise du désir ». C’est un fait, documenté à la fois sur le terrain clinique et dans les publications internationales.
Cependant, tout n’est pas désespéré. On rencontre aussi, parfois, ces histoires de renaissance qui donnent foi : des couples, ou des célibataires, qui mûrissent dans l’épreuve et retrouvent une sensualité plus intense, plus sincère, pas forcément identique à celle d’avant – mais authentique.
Car la sexualité post-infidelité n’est jamais un simple retour en arrière. C’est, si l’on accepte d’ouvrir la porte, la perspective d’un nouveau souffle. Sous condition d’oser revisiter la notion de « liberté sexuelle ».
Sur le papier, la sexualité “libre”, après une trahison, semble une utopie plus qu’une réalité. Pourquoi tant de patients peinent-ils à retrouver légèreté et spontanéité ? Les obstacles sont multiples, souvent plus profonds qu’on ne l’imagine.
Premier verrou : la blessure de la confiance. Quand elle éclate, le sol se fissure. On croyait – naïvement ? – que la confiance était le socle de l’intimité. Après l’infidélité, l’autre est perçu à la fois comme désiré… et comme danger. Et qui « se lâche » entre les bras d’un danger réel ou supposé ?
Deuxième point-clé : l’auto-saboteur interne. Vous arrive-t-il, au moment de l’intimité, d’imaginer votre partenaire « penser à lui/elle » ? Cette pensée, insidieuse, coupe littéralement le fil du désir. Difficile, alors, de construire une nouvelle expérience sensorielle.
Troisième obstacle : la peur du “rejeu”. Beaucoup, même ceux qui pardonnent, n’osent plus se laisser aller. “Si je me donne, ne va-t-il/elle pas recommencer ?”. Cette crainte – souvent taboue – freine le retour au plaisir, même longtemps après les faits.
Quatrième verrou : la sexualité imposée comme réparation. Certains “forcent” des moments d’amour physique dans l’idée de recoller les morceaux au plus vite. Mauvaise pioche : si l’on passe en mode automatique, le corps devine la supercherie. Résultat : on s’enferme dans un “plaisir factice”.
Remarquez-vous, à travers ces constats, que la sexualité n’est jamais qu’un symptôme visible de la souffrance intérieure ? Difficile de prendre du recul, face à cela. Et pourtant, c’est essentiel : sans mise à distance, le couple (ou la personne) ne fait que répéter le passé, en boucle.
Dans ses consultations à Esneux, Charlotte Cession aborde régulièrement ces sentiments ambivalents. Son expérience montre que nombre de patients souffrent aussi d’une idée fausse : celle que “liberté” devrait rimer avec “absence de limites”. Or, après une infidélité, oser parler de ses peurs, verbaliser ses besoins, reconnaître ses fragilités sexuelles… c’est déjà sortir de sa cage mentale.
Dernier point, souvent passé sous silence : la peur du fantasme. Beaucoup hésitent à explorer de nouveaux terrains ou jeux érotiques après une trahison, de peur d’être “comparés”. Un terrain qu’il faudra pourtant apprivoiser, si l’on veut tracer un chemin vers une sexualité renouvelée.
Pour certains couples, un accompagnement sexothérapeutique à Liège ou ailleurs permet d’assainir ce terreau parfois “empoisonné” par les non-dits, la honte ou la rancœur. Un échange sur les vrais désirs, la possibilité d’oser dire “non”, sont autant d’étapes vers une sexualité libérée… des démons du passé.
On avance. Entre le choc de la nouvelle et le retour à une sexualité libre, l’histoire est jalonnée d’étapes. Pas de recette universelle, mais des constantes émergent, validées par la recherche et l’expérience clinique sur le terrain – y compris à Liège, selon Charlotte Cession.
C’est la base. On croit, souvent, tout se dire après un adultère. La réalité ? Les échanges touchent rarement au cœur du problème : ce qui s’est joué, dans la sexualité du couple, avant, pendant et après la trahison. Parler n’est pas tout avouer – mais c’est accepter la vulnérabilité. “Quand nos sexualités se sont-elles perdues ? Que craignons-nous, aujourd’hui, dans l’intimité ?”.
Une sexologue aide à poser les vrais mots, même ceux qui brûlent. On peut aborder à la fois les fantasmes inavoués, les peurs de rejet, la difficulté à retrouver un plaisir “authentique”. Pour beaucoup de patients, à Liège comme ailleurs, c’est le premier moment d’apaisement.
Parfois, il s’agit aussi de reconnaître que la sexualité précédente était loin d’être parfaite. L’infidélité marque alors une rupture salutaire avec de vieux automatismes. On s’autorise à réinventer le lien, sur un mode plus adulte.
Vous êtes en solo après l’infidélité ? Ces étapes de parole valent tout autant pour “soi à soi” : réflexion intime, journaling, ou discussions avec une sexologue permettent de remettre à plat ses envies, ses blocages et ses désirs de renouveau.
C’est sans doute l’aspect le plus invisible – et le plus coriace. Beaucoup de personnes blessées par l’infidélité développent une image corporelle très dégradée. Dans le miroir, le/la trompé(e) ne voit plus que ses défauts, “la preuve” d’avoir été désaimé.e.
Ce travail, délicat, se fait souvent dans la durée. Les stratégies validées ? Ralentir la sexualité pour laisser place à la tendresse, miser sur le massage, la sensualité, voire la masturbation… pour s’apprivoiser à nouveau. Pour certains, la lecture de témoignages ou de ressources scientifiques peut rassurer – la perte de confiance est banale, et réversible.
Le grand défi consiste ensuite à sortir de la logique de compétition (“suis-je mieux que l’autre ?”) pour investir la construction du plaisir mutuel. Oser vivre la sexualité comme une co-création, pas comme un test à passer.
La sexologue Charlotte Cession insiste : “Retrouver une sexualité libre n’implique pas d’oublier l’infidélité, mais de choisir, consciemment, d’accorder une nouvelle chance à son corps… et à soi-même”.
Après un cataclysme, la sécurité est indispensable. Certains couples ou personnes tentent d’aller trop vite, de “passer l’éponge”. Mauvaise idée : sans temps de reconstruction, on glisse facilement vers un simulacre d’intimité, source de frustration à moyen terme.
Comment retrouver cette sécurité ? Parfois, un cadre “nouveau” : changer de lieu pour les rencontres intimes, instaurer un rituel symbolique (repas, voyage, promenade avant de se retrouver). Cela remet du sens, et du jeu, dans l’acte sexuel.
En parallèle, réintroduire la nouveauté à petites doses. Il peut s’agir de tester de nouvelles pratiques, de laisser la place à plus d’humour, d’imaginer ensemble des scénarios – courts, sans pression. Ici aussi, la guidance d’une sexologue fait la différence : elle aide à respecter le tempo de chacun, à éviter de “trop en faire” ou de tomber dans le piège du porno imposé comme panacée.
Vous le savez peut-être : certains moments, certains gestes ou même certaines paroles réveillent, sans prévenir, une peur panique du “rejeu”. Avant de pouvoir goûter à une sexualité vraiment libre, il est essentiel, à deux ou seul, de cartographier ces “déclencheurs”. Encore une fois, parler, tenir un journal, ou consulter permet de les mettre au jour… pour mieux les apprivoiser, lentement.
Parfois, une situation aussi banale qu’un film un peu érotique ravive la blessure. Accepter ces flashs, les nommer, désamorce leur impact à long terme. C’est tout l’enjeu d’un accompagnement sexothérapeutique : ne plus être “à la merci” de son propre passé.
Un article complémentaire de consultations-liege.be explore en profondeur cette dynamique pour ceux qui veulent aller plus loin après une blessure intime.
C’est une étape sous-estimée : rien ne sert de vouloir “ressusciter” la passion en quelques jours. Pour certains couples, le recul d’une ou deux semaines sans sexualité permet d’évacuer la pression de devoir “réparer maintenant”. Plus encore : certains trouvent même bénéfique d’instaurer un jeûne sexuel accompagné, pour retrouver le manque, puis relancer la machine du désir. Là encore, Charlotte Cession propose souvent ce type d’approche en consultation.
Au fil des semaines, réapprivoiser le corps : mots doux, massages, câlins sans attente génitale, puis, si cela fonctionne, laisser place à la sensualité plus explicite. On ne « performe » pas : on goûte, on expérimente, on célèbre chaque petit progrès.
Dans beaucoup de cas, la liberté sexuelle retrouvée n’a rien à voir avec la sexualité “sauvage” ou débridée attendue par certains : c’est la possibilité réelle de dire oui… ou non, de savourer ses envies, et d’imposer ses limites sans peur.
Pour poursuivre, une lecture suggérée : Libido en berne : comment vaincre la baisse du désir sexuel dans le couple ? (consultations-liege.be).
Dans tous les cas, on ne le répétera jamais assez : s’autoriser à revenir vers le plaisir, ce n’est jamais trahir sa souffrance ou nier le passé. C’est choisir une forme de liberté, à petites touches.
Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Soyons honnêtes : toutes les histoires d’infidélité ne se terminent pas par une réconciliation de couple. Faut-il pour autant renoncer à une sexualité libre et joyeuse, quand on se retrouve seul(e) ?
Les psychologues-sexologues constatent de plus en plus, à Liège comme à Paris, que la période post-adultère, même en solo, peut devenir un laboratoire intime formidable. Parfois, c’est l’éloignement qui redonne envie d’explorer ses propres désirs, hors du regard de l’autre. La masturbation, la lecture de ressources, le recours à la sexothérapie individuelle ouvrent alors de nouveaux horizons.
Pour d’autres, la liberté sexuelle se reconquiert à deux, mais sur de nouvelles bases. Certains couples, après une trahison, inventent de nouveaux cadres : dialogue fouillé sur la fidélité, choix d’un mode de relation moins restrictif (polyamour, libertinage soft, etc.), ou au contraire, recentrage exclusif. Ce qui compte, c’est la sincérité du choix : décider à deux de ce qui nourrit, pas de ce qui “répare l’image”.
Dans tous les cas, la présence d’une sexologue à l’écoute, qui connaît les spécificités de la région (notamment en Belgique ou à Liège), permet un cheminement moins solitaire. Charlotte Cession, par exemple, propose des séances adaptées à ceux qui vivent ces transitions, avec ou sans partenaire.
Une anecdote concrète, glanée en consultation : “Je croyais ma libido morte après ce qu’il m’avait fait subir”, raconte C., 39 ans, suivie à Esneux. “Mais à force d’en parler, d’oser masser mon corps sans honte… j’ai refait l’amour à moi-même avant de pouvoir en refaire à quelqu’un. C’est d’abord là que la liberté revient”.
En d’autres termes : la sexualité libre d’après l’infidélité ne se décrète pas. Elle s’expérimente, lentement, dans l’écoute de soi. Pour certains, cela passe par une redéfinition du couple. Pour d’autres, par une reappropriation individuelle.
Une question fréquente : “Peut-on vraiment retrouver une sexualité aussi intense qu’avant, voire meilleure ?”. La réponse : ce n’est ni certain, ni impossible. Mais, dans beaucoup de cas, cette expérience du chaos libère la parole sur les envies, les limites, les fantasmes. Certaines personnes osent, pour la première fois, s’avouer bisexuelles, ou parler de leur identité de genre, comme l’explique cet excellent article sur l’identité sexuelle.
Retrouver ou inventer une nouvelle liberté passe donc par l’audace d’explorer, pas à pas, ce qui nourrit le désir de l’instant. Le chemin surprend toujours. Parfois, contre toute attente, le goût du risque revient… mais sur de nouvelles fondations.
Comment reconstruire la confiance sexuelle après une infidélité ?
La confiance sexuelle nécessite du temps, de la communication authentique et parfois l’aide d’une sexologue. Prendre le temps de valider ses émotions, instaurer de nouveaux rituels et accepter la vulnérabilité sont essentiels pour retrouver une intimité authentique.
Pourquoi la sexualité devient-elle source d’angoisse après une trahison dans le couple ?
Parce que la sexualité est liée à l’estime de soi et à la confiance, la trahison déstabilise profondément ces repères. Les peurs, les comparaisons et les doutes viennent alors parasiter le plaisir sexuel, rendant importante la parole et l’accompagnement spécialisé.
Quand consulter un sexologue pour relancer la sexualité après une infidélité ?
Consultez lorsque le désir ne revient pas de lui-même après plusieurs mois ou que la souffrance persiste dans l’intimité. Un accompagnement professionnel permet de sortir des schémas répétitifs et d’envisager une sexualité renouvelée et apaisée.
Faut-il toujours rester en couple pour retrouver une sexualité libre après l’adultère ?
Non, il est possible de renouer avec une sexualité libre en solo ou dans une nouvelle relation, l’essentiel étant de travailler sur l’estime de soi et d’oser explorer ses désirs sans pression du passé. Parfois, la transition solo s’avère bénéfique avant de se réengager.
Hall, J.H., & Fincham, F.D., “Relationship dissolution following infidelity: Consequences and coping mechanisms”, Journal of Social and Personal Relationships, 2020. Résumé : L’article analyse les conséquences psychologiques et sexuelles de l’infidélité et les stratégies de reconstruction de l’intimité au sein du couple.
Karantzas, G.C., et al., “The Influence of Trust and Attachment on Sexual Satisfaction After Infidelity”, Archives of Sexual Behavior, 2021. Résumé : La recherche met en lumière les liens entre confiance, style d’attachement et qualité des rapports sexuels après adultère.
Mark E. et al., “Sexual Desire Discrepancy Following Infidelity: A Longitudinal Survey”, The Journal of Sex Research, 2022. Résumé : L’étude mesure les impacts durables de l’infidélité sur le désir sexuel et propose des pistes d’accompagnement thérapeutique.
Cantor, J.M., et al., “Sexual self-esteem and recovery after relationship betrayal”, Sexual and Relationship Therapy, 2019. Résumé : Article centré sur les enjeux de l’estime de soi sexuelle post-traumatique et l’efficacité de la sexothérapie pour rétablir la liberté intime.