Kinésithérapeute PérinéaleKinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Le sport appelle, l’envie brûle. Mais après neuf mois de grossesse, puis un accouchement parfois marathonien, comment retrouver l’énergie – et la confiance – pour reprendre une activité physique ? Beaucoup de mamans rêvent de courir, sauter, danser, se défouler. Mais difficile d’ignorer cette petite voix : “Et mon périnée, dans tout ça ? Va-t-il tenir ?” C’est ici qu’intervient le bilan périnéal. Cette étape clé, souvent négligée, change pourtant tout dans la reprise sportive en post-partum.
En Belgique, le suivi périnéal s’est fortement démocratisé, et il existe des spécialistes comme Lisa MOENS, Kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI, qui proposent une rééducation personnalisée et bienveillante. Vous voulez comprendre la vraie utilité du bilan périnéal après votre accouchement, surtout si vous rêvez de retrouver votre running ou votre yoga dynamique, sans craindre les fuites urinaires ou autres petits tracas ? Vous êtes au bon endroit. Ici, pas de jargon, pas de jugement, mais des réponses concrètes fondées sur la science et l’expérience de terrain. Prêtes à transformer le tabou en allié ?
On pourrait le comparer à un “check-up technique” de sa voiture avant un long voyage. Sauf qu’ici, il s’agit de vous, de votre corps. Le bilan périnéal, c’est l’évaluation précise de l’état de votre périnée – ce groupe de muscles si discret, mais ô combien essentiel, situé dans le bassin. Ces muscles supportent la vessie, l’utérus et le rectum. À la naissance d’un enfant, ils sont soumis à rude épreuve : étirement, pressions, parfois déchirures ou épisiotomies.
Mais concrètement, à quoi ressemble un bilan périnéal ? Lors de la séance (au cabinet ou même à domicile, un vrai plus pour celles qui viennent d’accoucher), la kinésithérapeute périnéale observe, teste, questionne. Elle prend le temps. Lisa MOENS, à Esneux, par exemple, commence toujours par un entretien approfondi. L’idée : comprendre votre accouchement (voie basse, césarienne ?), les symptômes ressentis (sensations de lourdeur, fuites urinaires, douleurs lors des rapports...), votre rapport à l’activité physique, à votre corps.
Ensuite vient l’examen fonctionnel du périnée : force musculaire, capacité de contraction et de relâchement, synergie avec les abdominaux profonds, réflexes, sensibilité... Pas de panique : tout se déroule dans le respect total de votre intimité, à votre rythme. Le but n’est pas de “noter” mais d’identifier précisément les faiblesses ou points forts. Pour quoi faire ? Adapter la rééducation périnéale et surtout, conseiller – en toute confiance – sur la reprise sportive. Car, et c’est crucial : chaque périnée, chaque histoire, chaque post-partum est unique.
Pourquoi ne peut-on pas sauter cette étape ? Imaginez croiser un pont partiellement fissuré. Faut-il rouler à toute vitesse sans contrôle ? Non. Eh bien, pour votre périnée, c’est pareil. Un bilan évite les surprises désagréables : sensation de “tout qui descend”, incontinence aux éclats de rire ou à la course, douleurs persistantes. Un simple contrôle permet soit de se lancer sereinement dans le sport, soit d’ajuster l’approche – et souvent de prévenir des problèmes futurs.
D’ailleurs, en Belgique, ces bilans sont remboursés chez un(e) kinésithérapeute périnéale conventionné(e) INAMI. Un avantage non négligeable jamais à sous-estimer. Ce suivi s’intègre souvent dans une approche multidisciplinaire, parfois associée au gynécologue ou à la sage-femme, surtout en cas de troubles urinaires ou d’endométriose associée.
Dès la maternité, certaines mamans enfileraient volontiers leur legging pour partir marcher. Hélas, reprendre la course ou les abdos trop vite peut faire plus de mal que de bien. Le sport, c’est comme un plat épicé : trop vite, on se brûle ; bien dosé, on se régale !
Les statistiques parlent d’elles-mêmes : près de 1 femme sur 2 présente une faiblesse périnéale en post-partum. Les symptômes sont multiples :
Ce n’est ni une fatalité, ni un sujet honteux. Mais ces troubles impactent la qualité de vie, la confiance en soi, la relation à son propre corps après l’enfantement, qui est déjà un tsunami physique et émotionnel.
Pourquoi est-ce si fréquent ? Car les tissus du périnée ont été étirés. Les muscles, relâchés par les hormones et le passage du bébé, mettent du temps à se tonifier. Même chez les sportives régulières. Le sport, s’il est repris sans évaluation, agit alors comme une tempête sur un parapluie déjà fragilisé. Résultat : les fuites apparaissent, la gêne s’installe, parfois sans oser en parler. Et le cercle vicieux des “je n’ose plus bouger” commence…
À l’inverse, passer par un bilan périnéal permet de lever le doute. Peut-être votre périnée est déjà solide, prêt à sauter, danser, nager (bonne nouvelle, ça arrive !). Ou alors, il a besoin d’être boosté, renforcé, chouchouté avant l’effort. C’est la différence entre reprendre le sport “à l’aveugle” et s’élancer avec un parachute double sécurité.
Attention aussi à certaines idées reçues : “je n’ai pas eu de déchirure, donc ça ira !” Faux : parfois, le traumatisme du périnée est silencieux, même après un accouchement sans complication apparente. “Je n’ai aucune fuite, donc mon périnée va bien !” Faux, encore. Certaines faiblesses ne se révèlent qu’à la reprise du sport ou des efforts plus intenses. D’où l’importance du bilan personnalisé.
Enfin, les kinésithérapeutes périnéales, telles Lisa MOENS, suivent une formation pointue en rééducation, mais aussi en prévention. Elles vous éviteront de tomber dans le piège du “tout, tout de suite” – un peu comme un coach pose des jalons pour progresser sans risquer la blessure.
Un rendez-vous type, c’est d’abord une rencontre. Le but : comprendre votre histoire, vos attentes, vos craintes éventuelles.
Pas d’examen invasif “par principe”. La première étape, c’est le dialogue. Votre ressenti, le vécu de l’accouchement, l’éventuelle apparition de symptômes gênants ou non, les antécédents médicaux, les souhaits (retour à quel type de sport ? à quel rythme ?).
Ensuite, l’examen physique débute, avec votre accord. On teste :
Des outils peuvent être utilisés (protocoles validés, parfois biofeedback), mais la parole reste centrale. On peut, si besoin, compléter l’examen par la palpation douce du muscle, voire un test de contractions contre résistance.
Si vous consultez Lisa MOENS à Esneux, le suivi est sur mesure. Selon les résultats, on propose soit un protocole de rééducation (exercices spécifiques, séances régulières), soit des conseils pour une reprise sportive adaptée, parfois progressive. Par exemple : privilégier la marche active, le yoga postnatal, le Pilates doux avant de retrouver la course ou la zumba. Vos objectifs personnels sont toujours pris en compte – pas de modèle unique, mais un chemin pour reprendre plaisir dans le mouvement, sans peur ni gêne, et surtout, sans accidents périnéaux.
Le bilan périnéal, c’est aussi un moment pour poser toutes les questions au professionnel, sans tabou. Vous hésitez sur tel ou tel exercice ? Vous ne savez pas si vous “contractez bien” ? Ce n’est jamais ridicule : la plupart des femmes découvrent leur périnée à ce moment. Et c’est libérateur de se sentir enfin actrice de sa santé pelvienne.
La rééducation se fait, selon les cas, au cabinet, parfois à domicile (utile quand bébé demande encore beaucoup d’attention et de présence) : c’est un atout précieux, qu’offre la prise en charge aux alentours de Liège par Lisa MOENS.
N’oublions pas : le périnée, c’est plus qu’un muscle “fonctionnel”. C’est aussi un marqueur de confiance en soi, de féminité – et parfois d’une nouvelle identité de maman. Savoir qu’on prend soin de ce point d’ancrage, qu’on le renforce à temps, c’est s’offrir un rebond physique et moral.
Lisa MOENS travaille en lien avec un réseau médical multidisciplinaire : gynécologue, sage-femme, spécialistes de l’endométriose ou des troubles urinaires. Une approche “totale” qui rassure, surtout quand la reprise du sport est, pour certaines, un enjeu d’équilibre post-partum voire de reconstruction identitaire après un accouchement difficile.
Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Quelques histoires valent mieux que mille théories. Dans son cabinet, Lisa MOENS voit passer chaque année des centaines de femmes de la région, parfois venues de loin proche de Liège.
Marie, 33 ans, ancienne marathonienne : “Après mon accouchement, j’avais envie de reprendre la course, pourtant je me sentais ‘lâche’ au niveau du pelvis. Un passage chez Lisa m’a rassurée – pas de prolapsus mais un manque de force au périnée profond. Après 8 séances de rééducation, j’ai pu remonter sur tapis. Cette fois, sans fuites et avec confiance.”
Sophie, 28 ans, yoga addict : “Césarienne, pas d’accouchement vaginal, je croyais que je n’avais pas besoin de bilan. Raté : douleurs au coccyx, sensation de pesanteur en position de chien tête en bas. À l’examen, hypertonie du périnée, mauvais relâchement. Travail de respiration et relâchement ciblé : je me suis réapproprié mon corps – et mon tapis !”
Les motifs les plus fréquents de consultation en cabinet : envie ou besoin de reprendre le sport, sentiments de gêne, interrogations sur les bons exercices à faire ou à bannir, peurs de “mal faire”.
La particularité d’une prise en charge spécialisée en kinésithérapie périnéale pour les sportives est l’ajustement très fin des conseils d’après vos objectifs. Par exemple :
Ce n’est donc jamais “interdit de sport” mais “autorisons-nous à le faire de manière progressive, et à s’écouter”. Les coachs le disent souvent : le corps “parle”. À nous d’apprendre son langage, grâce à l’aide du professionnel.
Vous êtes inquiète pour votre envie de reprendre la salle de sport après un accouchement difficile ? Normal. Mais, avec un bon accompagnement, le périnée se renforce. Il devient ce trampoline souple qui absorbe, soutient, et laisse toute la liberté de danser, marcher ou pédaler – sans crainte ni honte.
Dans cet article sur la faiblesse périnéale et les cystites, on voit qu’un périnée “endormi” peut aussi favoriser infections et douleurs – raison de plus pour soigner son retour à l’activité, main dans la main avec un(e) spécialiste.
Et la cerise sur le gâteau ? Correction des fausses croyances. Non, l’âge ou le type d’accouchement n’empêchent pas la récupération. Non, il n’est jamais “trop tard” pour faire un bilan. Même des femmes venues depuis longtemps au cabinet d’Esneux retrouvent, après guidance, du confort dans le mouvement. Et vous ?
Le sport n’est donc pas réservé à celles qui “tiennent leur plancher”, mais à toutes celles qui acceptent de s’occuper de leur périnée, comme d’un muscle précieux, à choyer pour la vie.
Parmi les thèmes abordés durant la prise en charge, citons aussi la gestion des autres soucis fréquents du post-partum : constipation, douleurs pelviennes, reprises de rapports sexuels parfois délicates. Une prise en charge globale, dans la bienveillance et la bonne humeur, fait toute la différence.
Un dernier conseil : ne jamais culpabiliser de “prendre le temps”. Le périnée, c’est un jardin intérieur. On ne force pas une fleur à pousser, on l’accompagne, petit à petit.
Pour aller plus loin sur la prise en charge des pertes urinaires nocturnes, d’autres articles de référence existent, pour vous aider à démystifier ce muscle oublié.
Comment savoir si mon périnée est prêt pour la reprise du sport après accouchement ?
Un bilan périnéal réalisé avec une kinésithérapeute spécialisée vous donne une évaluation précise de la force et de la souplesse de vos muscles pelviens. C’est le seul moyen fiable pour décider du meilleur moment pour reprendre une activité sportive en toute sécurité.
Pourquoi faut-il consulter un(e) kinésithérapeute périnéale même sans symptômes après un accouchement ?
Certaines faiblesses périnéales sont silencieuses et ne se manifestent qu’à l’effort ou après plusieurs mois. Un suivi permet de prévenir les risques de fuites urinaires ou gênes, et de retrouver confiance dans la reprise du sport.
Quand débuter la rééducation périnéale : juste après l’accouchement ou faut-il attendre ?
En général, la rééducation débute six semaines après l’accouchement, dès que la cicatrisation est bonne. Il n’est jamais trop tard : même des années plus tard, un bilan et une prise en charge adaptée restent bénéfiques.
Faut-il un avis médical pour effectuer un bilan périnéal avant la reprise du sport ?
Il est conseillé d’avoir l’accord de son gynécologue ou médecin traitant, surtout en cas de complications post-partum. Mais dans la majorité des cas, la prise en charge par un(e) kinésithérapeute périnéale conventionné(e) INAMI se fait sans obstacle, pour un accompagnement personnalisé et rassurant.