NeuroPsy ADO-ENFANT Liège POTTIER SolennPsychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00
L’adolescence. Ce mot seul évoque déjà tempêtes, montagnes russes, et parfois, imprévisibilité totale. À la maison, parents et ados se heurtent comme deux plaques tectoniques. Un jour, votre enfant rit aux éclats ; le lendemain, il s’enferme dans sa chambre, bouche fermée, cœur fermé. Si vous lisez ceci, c’est sans doute que vous cherchez des clés pour comprendre ce mystérieux chamboulement appelé adolescence. Et êtes-vous seul à ressentir ce vertige parental ? Rassurez-vous, non.
L’adolescence est cette période où l’enfant devient grand, sans être adulte. On a souvent l’impression d’assister à une métamorphose : la chenille qui sort de son cocon, maladroite, un peu perdue et farouche. Au niveau du cerveau, ça bouillonne ! Les émotions s’entrechoquent, guidées par une puberté qui transforme le corps et la psyché. Mais au-delà des changements physiques, il faut savoir que le cerveau de l’adolescent se remodèle lui aussi. L’hormone du stress grimpe, les réactions fusent plus vite… C’est la période où l’on se construit, se cherche, doute, s’essaye.
Selon une étude menée en Belgique, plus de 70% des adolescents évoquent des hauts et des bas émotionnels fréquents. Voilà qui explique bien des portes qui claquent ou des silences pesants. Si certains repères semblent s’envoler, c’est que le cerveau adolescent aborde l’émotion différemment. Les zones cérébrales impliquées dans la gestion des émotions, comme l’amygdale et le cortex préfrontal, ne sont pas encore totalement matures. Ce n’est pas une légende : ils ressentent « plus fort » !
Faut-il pour autant s’inquiéter à chaque crise de larmes ou éclat de colère ? Bien sûr que non. Mais comprendre ce qui se joue, c’est une première étape clé. L’adolescence, c’est l’apprentissage de soi – et ça ne se fait pas sans quelques bosses. C’est pour cela qu’un psychologue pour adolescent peut jouer un rôle majeur, comme un phare dans la nuit, guidant le navire des émotions vers l’âge adulte.
Aucune famille n’est vraiment préparée. Les parents se sentent parfois désemparés, isolés, perdant pied. Pourtant, regarder son ado changer, c’est un spectacle fascinant, plein de surprises – et parfois de contradictions inédites ! Vous vous souvenez de votre jeunesse ? Avez-vous déjà discuté avec d’autres parents dans la cour de récréation ? Les anecdotes fusent : « Le mien ne sort plus de sa chambre », « Ma fille pleure pour une raison inconnue, puis explose de rire ». Bref, la mosaïque de l’adolescence est vivante et imprévisible.
Mais comment distinguer le normal du préoccupant ? Où s’arrête la tempête et où commence la détresse ? C’est justement là qu’un psychologue spécialisé enfants et adolescents peut aider à y voir plus clair. Entre comportements « typiques » et signes d’appel, leur œil aguerri permet d’accompagner parents et jeunes sans dramatiser ni minimiser.
Dans la région à Liège par exemple, de plus en plus de familles font appel à des professionnels formés à la psychologie des adolescents. Car chaque ado est unique. Et votre histoire de famille n’est pas celle du voisin.
Parfois, il est difficile de savoir si « ça va trop loin », si la tristesse ou l’irritabilité cachent autre chose. Quels signaux émotionnels doivent attirer l’attention des parents ou des enseignants ? Devriez-vous consulter si votre ado s’isole ou pleure souvent ? Posons-nous les vraies questions.
Une variation émotionnelle chez un adolescent, c’est normal. Ce qui inquiète, c’est l’intensité, la durée ou la répétition. Si le comportement de votre enfant change soudainement et durablement, cela peut être un indicateur : perte d’appétit, insomnie, désintérêt pour les amis ou les passions, baisses scolaires, agressivité inhabituelle… Les repères s’effritent. Alors, faut-il s’inquiéter ?
Oui, si cela devient chronique, « empêche de vivre » ou isole durablement le jeune. Parfois, l’adolescent verbalise sa détresse : « J’en ai marre », « Je n’y arriverai jamais ». Mais souvent, il se mure dans le silence ou use de l’humour pour détourner l’attention. Les maux physiques (maux de ventre, de tête) sont aussi fréquents. Lorsque le mal-être persiste, l’aide d’un psychologue pour enfants et adolescents devient alors précieuse – ce spécialiste saura poser des mots, proposer des outils, soutenir l’entourage.
Attention ! Les enfants hypersensibles ou « tout-feu tout-flamme » ne sont pas forcément en danger. Mais il est important d’écouter leurs besoins et leurs ressentis. Présence, écoute active et bienveillance : voilà le triptyque à retenir avant de tirer des conclusions hâtives.
Quand consulter ? À la moindre question qui vous taraude, mieux vaut s’en remettre à l’avis d’un professionnel. Prendre appui sur un psychologue, c’est offrir à son adolescent un espace neutre, où tout peut se dire sans jugement.
Les consultations de psychologue pour enfant à Liège sont ouvertes à tous, sans tabou ni honte. Rien que le fait de rencontrer un professionnel rassure énormément d’adolescents : ici, on ne juge pas, on construit.
Parfois, il suffit de quelques séances pour identifier des pistes : peur de l’échec, estime de soi en berne, anxiété de performance. D’autres fois, la thérapie sera plus longue – c’est un marathon, pas un sprint.
Consultez aussi des ressources spécifiques sur les troubles anxieux généralisés chez l’enfant et l’adolescent pour aller plus loin.
À retenir : vous pressentez un changement radical, ou une souffrance qui dure ? N’attendez pas. Plus on intervient tôt, mieux c’est.
Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
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Accompagner un adolescent, c’est souvent accepter de ne rien comprendre au premier abord. Ou du moins, se sentir maladroit… Le psychologue spécialisé n’a pas la baguette magique. Mais il possède des outils. Il crée d’abord un espace neutre, une bulle où l’adolescent peut déposer, sans crainte, ses conflits et ses pensées. L’écoute, c’est la première étape. Simple, mais puissante.
Durant un entretien, le psychologue pose des questions ouvertes, invite le jeune à parler de sa semaine, de ses émotions. Pas de questionnaire à cocher, plutôt une conversation. « Qu’est-ce qui t’a mis en colère cette semaine ? », « As-tu eu envie de rien faire ? », « Y a-t-il quelque chose qui t’a rendu fier ? ». On cherche à comprendre ce que ressent l’ado, pas à lui imposer une solution toute faite. Pas de recette miracle, mais un accompagnement sur-mesure.
À ce stade, le psychologue spécialiste adolescents peut proposer des exercices concrets, parfois ludiques, pour aider l’ado à identifier et exprimer ses émotions. Dessiner, utiliser un journal intime, pratiquer la relaxation ou des jeux de rôle. L’idée est de permettre au jeune de donner un nom à ce qu’il ressent, comme un peintre choisit ses couleurs.
Le psychologue, c’est un peu comme un traducteur des émotions adolescentes. Il aide à décoder, il met des mots sur les maux. Car l’émotion, à cet âge, fonctionne souvent comme un volcan : elle bouillonne longtemps sous la surface, jusqu’à jaillir soudainement. L’accompagnement vise à éviter que ça explose, ou que tout s’enkyste. Un bon psychologue n’éteint pas le feu, mais apprend à l’adolescent à l’apprivoiser, à l’exprimer sans se brûler ni brûler les autres.
En parallèle, le psychologue travaille main dans la main avec la famille. Il reçoit parfois les parents seuls, pour leur fournir des clés de compréhension. Pas question de « psychanalyser» chacun, mais plutôt de favoriser un climat apaisé : mieux dialoguer, poser des limites, comprendre ce qui se joue dans la relation parent-enfant. Le but, c’est d’avancer ensemble. On n’isole jamais le jeune de sa famille. C’est comme changer le carrelage d’une pièce, sans regarder si toute la maison est solide : il faut voir ensemble.
En quelques consultations, le psychologue peut ainsi aider à remettre de l’ordre dans la maison « émotionnelle ». À rendre nouveau ce qui semblait banal ou inquiétant : réapprendre à communiquer, à s’exprimer, à demander de l’aide sans honte. Beaucoup de parents s’étonnent du changement, parfois rapide, chez leur ado après quelques rendez-vous. L’effet boule de neige est réel : un climat plus serein à la maison profite à toute la famille.
Si vous recherchez un accompagnement psychologique pour adolescent aux alentours de Liège, sachez que les professionnels spécialisés proposent un accueil respectueux des rythmes, sans jugement. En Belgique, la demande de consultations psychologiques pour adolescents a augmenté de 30% ces cinq dernières années : la parole se libère, les tabous tombent. C’est une très bonne chose.
Mais le psychologue, ce n’est pas que pour la « crise grave ». Il peut aussi aider à gérer le stress scolaire, les relations compliquées avec les pairs, la pression sociale, ou encore les difficultés d’identité. Mieux vaut consulter tôt, en prévention, avant que le malaise ne s’installe. Le psychologue est aussi un repère, un confident, parfois le seul adulte en dehors de la famille à qui l’ado ose tout dire.
Vous souhaitez aller plus loin ? Découvrez des informations complémentaires sur le test de QI chez les enfants et adolescents, parfois utile dans le décodage des souffrances émotionnelles cachées par des troubles scolaires.
Bref : le psychologue spécialisé pour adolescents, c’est un peu comme un phare en pleine mer. Ni directif, ni juge. Juste là, solide, pour éclairer le passage.
On le sait : accompagner un adolescent, c’est parfois vivre en équilibre sur le fil. Comment faire face jour après jour à ces hauts et bas ? Peut-on prévenir les moments de crise ? Voici des solutions concrètes, issues de l’expérience des psychologues spécialisés et de la réalité du terrain.
Premier conseil : ne jamais minimiser l’émotion ressentie par l’ado. Ce qui vous semble « ridicule » (ex : une dispute entre copains) peut, pour lui, devenir une tragédie grecque. Prenez toujours le temps d’écouter, sans juger ni donner tout de suite la solution. Parfois, un simple « Je comprends que tu sois triste » apaise bien plus que vingt conseils mal placés.
Ensuite, soyez cohérent. Les règles doivent être claires, stables, adaptées à l’âge de l’ado. Trop de rigidité, c’est l’étincelle. Trop de laxisme, c’est l’insécurité. Le juste milieu : tenir le cap, comme un capitaine en pleine tempête, mais garder le dialogue ouvert. L’ado a besoin de limites, même si cela l’énerve. C’est son socle. On croit parfois les ados rebelles avides de liberté totale. C’est faux. Ils ont besoin de se heurter à un cadre, précisément pour grandir.
Pensez aussi à valoriser chaque progrès, même minime. Oui, il a oublié ses devoirs… mais il est revenu vous en parler lui-même. Oui, elle a perdu son sang-froid… mais s’est excusée après. Le regard positif fait des merveilles. N’hésitez pas à relire l’article sur « comment accompagner les enfants et les adolescents dans le changement » pour des conseils utiles.
Autre astuce : encouragez votre ado à avoir « un espace à lui » pour exprimer ses émotions. Un carnet, un sport, de la musique, des sorties avec un adulte de confiance (un oncle, une tante, un ami de la famille…). Si vous sentez que l’émotion déborde, proposez un temps calme (écoute musicale, promenade), plutôt qu’une longue discussion qui tournerait au vinaigre. Parfois, le silence fait baisser la pression plus sûrement qu’une explication houleuse.
Et surtout… soyez indulgent avec vous-même. Qui a dit que les parents devaient tout savoir ? L’apprentissage se fait à deux, parfois à tâtons. Comme disait une collègue psychologue à un parent inquiet : « Vous êtes le meilleur parent possible pour votre enfant, aujourd’hui, avec les outils et la fatigue que vous portez. ». Si vous sentez dépassé, osez demander de l’aide. Surtout, n’attendez pas que la corde casse pour consulter. Les psychologues spécialisés peuvent proposer un accompagnement ponctuel ou plus long, selon les besoins.
Pour vous donner un exemple, une jeune fille confiait à sa psychologue « qu’elle n’arrivait plus à dormir depuis des semaines ». Après quelques séances, elle a mis en évidence que l’angoisse de ne pas réussir au lycée était à la racine de son mal-être – une fois identifiée, la peur a pu être « travaillée », et la vie a repris son cours. Des histoires comme celle-ci, il y en a des centaines chaque année.
Prenez aussi le temps de vous ressourcer, vous, parents. Un parent épuisé ou stressé n’aide pas son jeune à trouver la sérénité. Savoir demander un relais (famille, amis, professionnel), c’est faire preuve d’intelligence parentale.
Enfin, n’hésitez pas à consulter un expert à la moindre alerte – ou simplement pour prévenir. Des articles tels que Comment renforcer la confiance en soi chez les jeunes à Liège vous donneront des pistes supplémentaires à explorer avec votre enfant ou ado.
Ce que nous enseignent les psychologues spécialisés : l’émotion chez l’adolescent n’est jamais un défaut, mais un signal, une invitation à dialoguer autrement. Les outils existent. À chacun de faire un pas vers l’autre, sans oublier de se pardonner les maladresses sur le chemin.
Comment identifier un trouble émotionnel chez l'adolescent ? Repérez une souffrance qui dure dans le temps, qui handicape les relations et la vie quotidienne de votre enfant. N’hésitez pas à consulter si l’isolement, la tristesse, la colère ou l’anxiété persistent ou s’aggravent, pour bénéficier d’un accompagnement adapté.
Pourquoi consulter un psychologue spécialisé pour adolescence ? Un psychologue spécialisé apporte un regard neutre, des outils concrets et un espace d’écoute, essentiel pour traverser cette « zone de turbulences » sans dramatiser ni minimiser. Sa présence aide aussi l’entourage à mieux soutenir le jeune et à décoder ses besoins.
Quand faut-il envisager une consultation pour mon ado ? Consultez dès que vous avez un doute ou constatez un changement inquiétant et persistant dans le comportement ou les émotions de votre adolescent. Plus l’accompagnement est précoce, meilleures sont les chances de voir le jeune rebondir et retrouver son équilibre.
Faut-il inclure les parents dans le suivi psychologique adolescent ? Oui, l’implication des parents est capitale : un bon psychologue travaille toujours en lien avec la famille, pour soutenir la communication et favoriser un climat apaisé à la maison. La collaboration aide chaque membre à mieux vivre cette étape de croissance délicate.
Pour approfondir sur la gestion des émotions chez l’enfant et l’adolescent ou comprendre les spécificités des troubles de l’attention, découvrez d’autres ressources sur la pression de la parentalité ou relisez l’article dédié aux troubles anxieux chez les jeunes.
Ce texte vous a éclairé ? Partagez-le autour de vous avec d’autres parents, éducateurs ou enseignants, pour qu’ensemble, on fasse entendre la parole des ados. À chaque étape, osez dialoguer. Demander de l’aide n’est jamais un aveu d’échec, mais la preuve qu’on avance…ensemble.
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Références scientifiques :
- Steinberg, L. “Cognitive and affective development in adolescence.” Trends in Cognitive Sciences, 2005. Résumé : Cet article expose la maturité différente des zones cérébrales impliquées dans le contrôle des émotions chez l’adolescent.
- Casey, B. J., et al. “Imaging the developing brain: what have we learned about cognitive development?” Trends in Cognitive Sciences, 2000. Résumé : Analyse des processus cérébraux impliqués dans la gestion émotionnelle durant l’adolescence.
- Spear, L.P. “The adolescent brain and age-related behavioral manifestations.” Neuroscience & Biobehavioral Reviews, 2000. Résumé : L’auteur met en évidence les spécificités du cerveau adolescent expliquant la turbulence émotionnelle.
- Blakemore, S.J. “The social brain in adolescence.” Nature Reviews Neuroscience, 2008. Résumé : Cet article souligne le rôle clé du développement social et émotionnel dans le cerveau adolescent.