Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0494 58 17 54
Changement de vie ? Passage difficile à la maison ? À Liège et alentours, beaucoup de familles vivent des périodes de turbulences. Familles recomposées, divorce, déménagement soudain, deuil, ou arrivée d’un nouveau membre… Les transitions familiales peuvent secouer jusque dans les fondations. Surtout pour les plus jeunes. Un adolescent ou un enfant, face à ce nouveau monde intérieur, peut vite se retrouver comme un bateau sans gouvernail, balloté par des choses qu’il ne comprend même pas toujours. Et vous, parent, vous vous sentez parfois aussi perdu pour l’aider. Ici, on va explorer comment le soutien psychologique peut agir comme une bouée solide pour toute la famille.
Pas de baguette magique, mais des solutions concrètes, de l’écoute, et surtout des clés pour traverser ces étapes en évitant que l’enfant ou l’ado ne coule. Dans une région où le tissu familial est dense, les histoires personnelles se croisent et se bousculent, il est essentiel de ne pas rester seul. Vous allez voir : il y a des professionnels passionnés, des outils adaptés et même quelques lueurs d’espoir inattendues. Plongeons ensemble dans ce thème parfois tabou, souvent sous-estimé.
Vous ressentez le besoin d’en parler ? De comprendre ce que vit votre enfant ? Restez avec nous, chaque partie de cet article va vous éclairer sur un aspect du soutien psychologique en période de transition familiale auprès des jeunes, ici à Liège. Et si vous vous reconnaissez dans une anecdote, une question, n’oubliez pas : c’est normal. On commence tous quelque part.
Qui n’a pas déjà entendu un ado dire : “Mais de toute façon, personne ne me comprend !” ? Surtout quand la maison change de rythme, d’organisation, ou que la vie de famille, soudain, ne ressemble plus à hier. Les transitions, dans une famille, c’est un peu comme un déménagement intérieur. On range, on chamboule, rien n’est vraiment à sa place. Et pour les jeunes, ce bouleversement va bien au-delà de la simple adaptation pratique ou logistique.
Un divorce ? Ce n’est pas juste deux parents qui se séparent, c’est parfois le monde qui s’écroule. Le deuil d’un proche ? Impossible, pour un enfant, de mettre des mots sur la vague qui l’engloutit. L’arrivée d’un petit frère ? Chouette, mais aussi la peur d’être remplacé. À chaque fois, un sentiment de perte, d’incertitude, de rupture avec les repères habituels.
En fait, les enfants et les adolescents sont comme des éponges émotionnelles. Leur cerveau, encore en plein développement, n’a pas tous les outils pour comprendre et gérer ces émotions complexes. Résultat ? Certains se replient, d’autres explosent, d’autres font comme si de rien n’était… jusqu’au jour où la carapace craque. Et plus la transition est brutale, plus les réactions peuvent être inattendues : anxiété, troubles du sommeil, crises de colère, baisse des résultats scolaires ou repli sur soi.
Ce n’est pas qu’ils exagèrent ; c’est que leur zone de sécurité intérieure est menacée. Imaginez un instant : vous êtes dans le noir, quelqu’un change tous les meubles sans vous prévenir. Comment réagiriez-vous ? Chez l’enfant et l’adolescent, la capacité à faire face au changement se construit petit à petit. Le souci, c’est que l’école, souvent, ne prépare pas à ça. Alors le fardeau repose sur la famille… qui n’a pas toujours les outils non plus.
Petite anecdote réelle : lors d’un accompagnement, une jeune fille de 13 ans confiée à Mme Lara TRESALLI disait “Depuis que papa est parti, je me sens comme un animal abandonné sur le bord de la route”. L’image est forte. Mais combien d’enfants, en Belgique ou ailleurs, vivent cela en silence ?
Au cœur du sujet, il y a donc cette nécessité d’offrir aux jeunes, non pas des réponses toutes faites, mais un espace pour mettre des mots, exprimer leurs peurs, leur colère, leur tristesse, sans être jugés. Un espace pour construire une nouvelle carte du monde, avec de nouveaux repères. Voilà pourquoi le soutien psychologique est essentiel lors des périodes de transition familiale.
Et si on ne fait rien ? Les risques sont réels : troubles de l’attachement, problèmes relationnels à l’âge adulte, addictions, échec scolaire… Comme une fissure qui s’élargit avec le temps si elle n’est pas réparée. Mais, bonne nouvelle : de nombreux outils existent pour aider ces jeunes à surmonter l’épreuve.
À quoi sert vraiment une psychologue pour enfant et adolescent dans ce contexte ? Beaucoup imaginent des séances où l’on doit s’allonger sur un canapé, parler des rêves et de Freud… En réalité, tout est bien plus simple (et plus adapté à la réalité des familles d’aujourd’hui !).
Une psychologue spécialisée comme Mme Lara TRESALLI, installée aux alentours de Liège, commence par créer un lieu de confiance. Ici, tout peut être dit – même les choses “qui ne se disent pas à la maison”. Les enfants et ados viennent avec leurs bagages, souvent bien lourds. Mais ensemble, pas à pas, on les aide à alléger ce poids.
La première rencontre, c’est souvent un mélange d’appréhension et de soulagement. Quelque part, les parents espèrent qu’enfin quelqu’un va pouvoir “traduire” ce que l’enfant ressent. L’ado, lui, vient parfois avec la boule au ventre, persuadé que “ça ne sert à rien”. Mais au fil des séances, la confiance s’installe. Une question simple peut parfois ouvrir une brèche : “Comment tu te sens, là, maintenant ?” Pas de jugement, pas de pression. Juste l’accueil de l’émotion là où elle se trouve. Parfois il faut tout un paquet de mouchoirs. Parfois on aborde les difficultés avec humour. Et ça, ça change tout.
La pratique s’appuie sur des outils adaptés à chaque âge :
Ce travail, c’est comme réparer ensemble les poutres d’une maison après une tempête. Cela prend du temps. Il y a des hauts et des bas, bien sûr. Mais, chaque séance, chaque progrès, c’est une brique pour rebâtir la confiance.
Et les parents dans tout ça ? Souvent, ils culpabilisent. Le sentiment d’échec, de ne pas avoir su “protéger” leur enfant, peut être tenace. La psychologue, dans ces moments, leur rappelle que personne ne naît expert en transitions familiales ! Le soutien psychologique permet aussi aux parents de souffler un peu. D’oser demander “comment faire ?” ou simplement, “c’est normal ce qu’il ressent ?”.
Envie de comprendre les différentes approches psychologiques pour enfants et ados ? Découvrez cet article détaillé sur la psychologie enfant-adolescent.
En Belgique, où les familles sont parfois confrontées à des changements matériels et culturels en plus des transitions personnelles, l’accompagnement doit être pleinement personnalisé, attentif aux réalités de chacun. Les psychologues spécialisés adaptent leurs méthodes à la maturité de l’enfant, à la situation familiale, mais aussi au contexte social environnant. Rien n’est laissé au hasard.
Enfin, le suivi psychologique ne se limite pas à “guérir la crise”. Il s’agit aussi d’apprendre aux jeunes et à leurs parents à prévenir les rechutes, à anticiper les prochaines vagues. La résilience s’apprend !
Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
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On se pose souvent la question. Faut-il attendre que ça aille vraiment mal pour faire appel à un psychologue ? La réponse est simple : non. Comme on ne laisse pas une fièvre grimper sans rien faire, on ne laisse pas un mal-être enfler chez un enfant ou un ado. Plusieurs signes d’alerte existent, même s’ils peuvent, au début, paraître anodins. En voici quelques-uns :
Chaque jeune réagit à sa manière. Parfois, les signes viennent en grappes, parfois ils sont furtifs. Un conseil ? Si vous sentez que “quelque chose cloche”, même sans diagnostic, osez consulter. À temps, on peut éviter que le problème ne s’installe définitivement.
Dans la région aux alentours de Liège, les familles hésitent parfois à franchir le pas. Peur du regard des autres ou de “dramatiser”. Mais n’est-ce pas plus courageux de demander de l’aide, que de laisser la souffrance silencieuse ronger la maison ?
Pour celles et ceux qui veulent approfondir, cet article sur la pression de la parentalité pourra aussi vous rassurer.
Et si consulter un psychologue spécialisé n’était pas juste “un truc en plus” mais une vraie clé pour avancer ? Vous seriez surpris des résultats obtenus, parfois très vite, d’autres fois au fil des semaines. Le plus frappant ? La manière dont un soutien ciblé peut transformer la météo intérieure d’un enfant ou d’un ado.
Dès la première séance, certains jeunes ressentent un soulagement. Rien que de mettre des mots sur leurs tempêtes intérieures, de voir que ce qu’ils vivent est normal, pas honteux. C’est déjà un pas de géant ! On a vu des adolescents refaire équipe avec leurs parents alors qu’ils se disputaient sans arrêt. Des enfants reprendre goût à l’école après des mois à “traîner les pieds”.
Plus en profondeur, l’accompagnement psychologique aide à :
L’accompagnement, ici, ce n’est pas “guérir un problème”, mais rendre tout le monde plus fort pour la suite. Un peu comme apprendre à réparer ensemble une roue de vélo percée : la prochaine fois, l’enfant saura déjà quoi faire. Savoir demander de l’aide, oser dire “je ne vais pas bien”, c’est aussi s’armer pour l’avenir.
Il n’est pas rare, à l’issue d’un suivi, d’entendre un ado dire : “Je me sens comme si j’avais fait un grand ménage dans ma tête.” Ou un parent qui affirme : “On arrive enfin à se reparler sans crier.” Ce sont ces petites victoires qui, mises bout à bout, changent radicalement l’ambiance familiale.
L’efficacité n’est pas magique mais concrète. Des études sérieuses le prouvent. Par exemple, une recherche publiée dans l’International Journal of Psychology (voir références) a montré que l’accompagnement psychologique réduit drastiquement le risque de décrochage scolaire après un divorce parental.
Autre bénéfice souvent oublié : la prévention. En aidant les plus jeunes à traverser une transition, on leur donne des armes pour toute la vie d’adulte. Les familles qui font ce pas deviennent des “équilibristes” prêts à affronter d’autres tempêtes. Elles développent une force tranquille, boule de neige de résilience qui roulera encore longtemps.
N’attendez pas d’être au pied du mur. La plupart des enfants qui vont bien dans leur tête aujourd’hui ont, un jour, bénéficié d’un coup de pouce extérieur. Et si c’était votre tour ?
Reste cette question, la plus fréquente : comment garder le cap, au quotidien, dans une famille en transition ? Pas de recette miracle, mais des balises solides à intégrer chez vous, même sans être psychologue !
Voici quelques conseils pratiques, inspirés par l’expérience de terrain des psychologues spécialisés chez les enfants et adolescents :
N’hésitez pas, pour plus d’astuces concrètes, à consulter l’actualité et conseils en psychologie enfant-ado.
Dernier conseil, mais pas des moindres : faites-vous confiance. Vous n’êtes pas seuls. D’autres familles de Liège sont passées par ces vagues. Certaines ont mis des années à s’en remettre, d’autres ont rebondi plus vite grâce à un accompagnement ciblé. Ce qui compte, c’est d’avancer, ensemble, à votre rythme, sans pression. Un pas à la fois.
Comment savoir si mon enfant ou adolescent a besoin d’un soutien psychologique pendant une période de transition familiale ?
Observez si votre enfant change de comportement : tristesse, colère inhabituelle, troubles du sommeil, isolement ou baisse de motivation scolaire. Dès que ces signes persistent ou s’amplifient, il vaut mieux consulter une psychologue spécialisée pour évaluer la situation.
Pourquoi le soutien psychologique est-il crucial lors d’un divorce ou d’un remariage dans la famille ?
Ces étapes chamboulent les repères de l’enfant, qui peut se sentir perdu ou coupable. Un accompagnement permet de dénouer les émotions, de sécuriser l’enfant, et de prévenir l’apparition de troubles plus profonds à l’adolescence ou à l’âge adulte.
Quand consulter une psychologue spécialisée si un enfant semble bien gérer une transition familiale ?
Même si tout semble aller, il est conseillé de consulter si vous avez des doutes, ou si votre enfant exprime, même faiblement, de l’inconfort. Un entretien préventif peut déceler des souffrances cachées et fournir des outils pour mieux traverser la période.
Faut-il obliger un adolescent à consulter une psychologue contre sa volonté ?
Il vaut mieux dialoguer et présenter la psychologue comme une alliée, non comme une punition. Forcer n’est pas constructif ; par contre, expliquer le rôle bienveillant d’un professionnel peut lever la méfiance et faciliter la prise de rendez-vous.
Références scientifiques
Kelly, J. B. & Emery, R. E. (2003). Children’s adjustment following divorce: Risk and resilience perspectives. Family Relations, 52(4), 352–362.
Résumé : Analyse les facteurs de risque et de résilience chez les enfants durant la séparation parentale.
Amato, P. R. (2000). The consequences of divorce for adults and children. Journal of Marriage and Family, 62(4), 1269–1287.
Résumé : Revue des conséquences psychologiques du divorce sur les enfants et adolescents.
Lansford, J. E. (2009). Parental divorce and children’s adjustment. Perspectives on Psychological Science, 4(2), 140–152.
Résumé : Étudie le lien entre transitions familiales et ajustement psychologique de l’enfant.
Hetherington, E. M. (1999). Should we stay together for the sake of the children? In Coping with divorce, single parenting, and remarriage. Mahwah, NJ: Erlbaum.
Résumé : Exploration de l’impact du divorce et du remariage sur le développement de l’enfant.