Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00
Vous avez parfois l’impression de voir votre adolescent glisser sur une pente. L’énergie baisse, la motivation s’effiloche. Le décrochage ? Ce mot fait peur… Et pourtant, de plus en plus de familles à Liège et aux alentours se heurtent à ce mur invisible. Un jour, tout semble rouler, et puis soudain, l’école devient un champ de mines, les résultats chutent, l’ado se replie sur lui-même. On se demande où est passé ce regard vif, cette curiosité. Comment réagir, comment aider ? Bonne nouvelle : des solutions existent. Une psychologue spécialisée pour adolescents connaît les chemins pour aider votre ado à sortir du brouillard.
Dans cet article, on va explorer les racines du décrochage chez les jeunes, les signaux à ne pas manquer, les vrais leviers pour prévenir la spirale… et le rôle clé du psychologue pour ados. Que vous soyez parent, prof ou concerné directement, ces lignes vous donnent des pistes concrètes, sans faux-semblant. Prêt ? Suivez le fil. Vos questions ont des réponses.
Le décrochage, ce n’est pas juste des notes en baisse. C’est une mue silencieuse. Imaginez la flamme vacillante dans une lampe : l’adolescent ne se reconnaît plus, ni dans ses bancs d’école, ni dans le regard des adultes. Quelles sont les causes ? Pourquoi certains jeunes, pourtant brillants et entourés, dérapent-ils sans prévenir ? Pour commencer, il faut regarder la réalité en face. Les chiffres sont là : en Belgique, selon la Fédération Wallonie-Bruxelles, près de 13 % des élèves n’obtiennent pas leur diplôme secondaire. À Liège, le phénomène est palpable, et chacun connaît peut-être, dans son entourage, un jeune qui a lâché prise. Parfois, le décrochage commence bien avant la sortie du système scolaire : absences répétées, fatigue, désintérêt croissant, conflits à la maison.
Souvent, les adolescents ne mettent pas de mots sur ce qu’ils vivent. Ils s’isolent. Leur chambre devient leur refuge, le smartphone, une fenêtre sur d’autres mondes. Derrière ce repli se cachent plusieurs facteurs : difficultés familiales, harcèlement, anxiété, troubles d’apprentissage ou simple perte de sens face à l’école. Les signaux sont subtils parfois. Un ado n’arrête pas de participer aux cours du jour au lendemain. C’est une glissade, un lent effacement. Bien sûr, certains parents pensent d’abord à la crise d’adolescence, à la paresse ou au manque de volonté. Mais tout n’est pas si simple. Vous vous dites peut-être : “Je fais tout pour l’aider, rien ne change.” Rassurez-vous : chercher de l’aide, c’est déjà une étape clé. Un psychologue pour adolescents à Liège a l’habitude de décoder ces situations. Il éclaire ce que les parents ne voient plus, face à un ado qui se ferme comme une huître.
Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI offre ainsi un accompagnement précieux. Sa pratique s’enracine dans l’écoute active, la compréhension fine du vécu adolescent… Le but : remettre de la lumière là où tout semble flou. N’ayez pas peur de consulter tôt : plus l’intervention vient vite, plus elle évite les vases communicants de la spirale négative. Dans certains cas, des diagnostics précis (troubles d’apprentissage, anxiété, TDA/H, phobie scolaire…) sont posés, aidant à ajuster l’accompagnement.
Le décrochage n’est pas une fatalité. Mais il réclame un regard neuf. Ce regard, c’est parfois la psychologue qui l’apporte, en travaillant en réseau avec enseignants, parents, médecins – parce que l’école n’est qu’un maillon de la chaîne.
Vous doutez ? Voici ce que disent certains jeunes : “J’ai cru que je ne valais plus rien… Quand la psy m’a écouté sans me juger, j’ai pu poser des mots. Petit à petit, tout a changé.” Ce témoignage résonne, car personne n’est à l’abri, mais tout le monde peut repartir du bon pied.
Venez en discuter : le cabinet de la psychologue spécialisée à Esneux (tout près de Liège), c’est un cocon pour reprendre confiance et s’outiller. Pour approfondir la question, lisez notre article sur le test de QI chez les adolescents.
Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Pas facile de différencier un vrai décrochage d’une simple période de flottement… Pourtant, certains signes reviennent souvent. Vous remarquez que votre enfant part en retard, traîne des pieds le matin, multiplie les excuses pour sécher les cours ? Les résultats scolaires chutent, mais cela va plus loin : l’ado s’isole, jusqu’à se couper des amis. Un repli sur soi, parfois même de l’irritabilité ou de la tristesse inexpliquée.
C’est un classique : le fameux “ça va” du jeune. Sauf que, dans le regard, on lit comme un voile. Sa passion pour le sport, le dessin ou la musique ? Elle s’étiole. Les réseaux deviennent alors une échappatoire. Certains adolescents passent des nuits blanches sur leur téléphone, s’épuisant sans s’en rendre compte. D’autres somatisent : maux de ventre, de tête, troubles du sommeil à répétition. Les absences injustifiées explosent, tout comme les “petites maladies” qui tombent à pic les jours d’examen. Un parent nous confiait récemment : “Mon fils ne décrochait plus les yeux de son écran, il oubliait ses rendez-vous, n’avait plus envie de rien… À force de repousser, on a failli rater le coche.”
Il ne faut pas non plus négliger les changements de comportement plus discrets. Votre ado, joyeux autrefois, devient taciturne. Il parle peu, fuit les repas en famille. Parfois, c’est la colère qui éclate, voire quelques gestes auto-destructeurs. Voilà, ces petits signaux, mis bout à bout, tracent le profil d’un jeune en perte de repères. La lassitude s’installe, le tonus fond comme neige au soleil. C’est là qu’un psychologue spécialisé pour adolescents sait ouvrir un espace où le jeune n’a pas à “s’expliquer” ou à “se défendre” contre ses parents. Il découvre un lieu neutre, sans pression, où il peut déposer ce qu’il ressent vraiment.
Et puis, ce n’est pas juste une question de volonté. Certaines difficultés peuvent découler de troubles non diagnostiqués : anxiété, TDA/H, dyslexie… L’ado n’est pas paresseux, il lutte chaque jour à sa façon. Une psychologue attentive pourra observer les mécanismes en jeu. Vous voyez l’image ? Un iceberg : la partie visible, c’est la baisse des notes, mais le gros du problème est caché. Et si on le regarde trop tard, la collision est inévitable.
Vous voulez creuser les signaux d’alerte et comment y répondre ? Notre article "un psychologue pour enfants : une bouée face aux troubles du comportement" détaille de nombreux cas et solutions concrètes.
C’est souvent la grande question : faut-il attendre un vrai blocage, ou vaut-il mieux anticiper ? La réponse est claire : plus tôt, mieux c’est. Si les absences se répètent, si l’angoisse monte, si l’ado se sent submergé ou vous exprime son mal-être, c’est le moment de se tourner vers une spécialiste. À Liège et dans ses environs, des familles lèvent le voile sur les difficultés de leurs enfants dès les premiers doutes – et en sortent renforcées. Il ne s’agit pas d’un aveu de faiblesse, mais d’un choix malin pour éviter que la mèche n’embrase toute la maison. Même une seule consultation peut dénouer une situation avant qu’elle ne tourne à la crise. Un climat de confiance s’installe, l’ado se sent pris au sérieux… et le dialogue rouvre peu à peu.
Les enseignants également jouent un rôle, mais la psychologue spécialisée apporte un regard extérieur, bienveillant, sans enjeu de notes ou de sanctions. Elle pose des questions différentes : “Qu’est-ce qui t’empêche d’avancer ? Qu’est-ce qui te bloque vraiment ?” Le jeune, peu à peu, change de posture : il ne subit plus, il agit, il comprend comment il fonctionne. Ce juste tempo, ce n’est pas une course. C’est comme la germination d’une graine : parfois, il suffit d’un petit coup de pouce pour que la plante reprenne vie.
La première force d’une psychologue pour ados à Liège, c’est d’offrir un espace sans jugement. Le bureau de Mme Lara TRESALLI n’a rien d’un tribunal. Imaginez plutôt une pièce calme, hors du tumulte du collège ou du lycée. Là, l’adolescent trouve une écoute attentive, des explications claires, la possibilité de déposer ses doutes, ses peurs. Parfois, ce qu’il lâche en une heure, il n’avait jamais réussi à le dire ailleurs. Les mots sortent enfin, la pression retombe. Pour certains jeunes, la consultation agit comme une décompression, une boussole. “Je ne savais pas que j’avais le droit d’avoir peur, confie une ado suivie récemment. Avec la psychologue, j’ai compris que je n’étais pas seul.”
La psychologue va plus loin qu’un simple échange verbal. Elle utilise des outils adaptés à l’âge, à la personnalité, au vécu de chaque adolescent. Cela peut passer par des jeux de rôles, des exercices d’affirmation de soi, des tests psychométriques, ou tout simplement, par le récit de situations vécues. Elle aide le jeune à clarifier ce qui l’angoisse, à détecter les vrais blocages. Parfois, c’est un problème avec un prof, parfois une estime de soi en chute libre… ou une peur de ne pas trouver sa place. Ensemble, ils travaillent sur les ressources : comment faire face aux critiques, comment éviter l’évitement, comment gérer le stress avant un examen. Ce sont des techniques concrètes, qu’on peut ensuite appliquer à la maison ou en classe.
Dans d’autres cas, la psychologue travaille en réseau. Elle échange avec les parents (avec l’accord du jeune), les enseignants, parfois le médecin généraliste. C’est un vrai puzzle ! Chaque pièce compte. L’objectif ? Redonner à l’ado le pouvoir d’agir, de reprendre le fil de sa scolarité, et surtout de retrouver confiance en lui. N’imaginez pas un suivi à perte de vue : en quelques séances, il arrive déjà de sentir un tournant. Un témoignage ? Oui, il y a celui de Damien, 15 ans : “J’avais tout arrêté, je ne voulais plus sortir du lit. La psychologue ne m’a pas jugé, on a cherché ensemble les solutions, et j’ai réussi à remonter.”
Et le rythme ? Chaque suivi est personnalisé. Certains jeunes ont besoin d’un appui rapide et ponctuel, d’autres d’un accompagnement plus long pour consolider les progrès. Il ne s’agit pas de plaquer des recettes : chaque parcours est unique. L’approche développée par Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados à Esneux prend ainsi en compte la globalité du jeune – ses forces, ses fragilités, ses espoirs. Ce n’est pas une baguette magique, mais une dynamique salutaire, qui “redonne du printemps” à l’intérieur, selon les mots de plusieurs parents.
Vous cherchez des pistes concrètes sur l’aide psychologique à l’adolescence ? Consultez notre article "Adolescents déboussolés : un lieu d’écoute à Liège" pour en savoir plus.
Vous vous sentez parfois démuni face au comportement de votre ado ? C’est normal. Vous n’êtes pas seuls. Quand le décrochement scolaire s’installe, quelques conseils concrets permettent d’éviter que la situation ne s’aggrave.
Premier réflexe : cultivez le dialogue. Ça a l’air simple, mais c’est un vrai défi ! Les ados se braquent vite s’ils sentent qu’on veut les contrôler. Préférez des questions ouvertes, du genre “Qu’est-ce qui te pèse en ce moment ?”, plutôt que “Pourquoi tu ne travailles pas assez ?”. Restez à l’écoute, sans minimiser ni dramatiser. Un ado voudra parfois parler la nuit… ou au détour d’une promenade.
Deuxième astuce : valorisez ce qui va bien. Même les petites réussites ! Un 11/20 en maths alors que le dépannage semblait impossible, c’est déjà une victoire. Rappeler à l’ado ses forces, ses progrès, éclaire le chemin. Il reprend confiance, se sent reconnu pour qui il est, pas seulement pour ce qu’il “n’a pas fait” ou “ne fait pas”. Le décrochage, c’est souvent le symptôme d’une profonde perte d’estime de soi.
Troisième piste : structurez le quotidien. Avoir des horaires fixes (pour dormir, manger, se reposer), éviter la surconsommation d’écrans en soirée, remettre en place des rituels familiaux (même juste un repas ensemble par semaine). Ces repères sécurisent. L’adolescence est un âge de transition où les repères bougent vite. Un cadre réconfortant, ce n’est pas une prison, c’est un phare au large.
Quatrième conseil : sollicitez les ressources autour de vous. Collèges, associations, services d’aide à la jeunesse existent aux alentours de Liège. Des groupes de parole pour parents d’ados, des ateliers de gestion du stress, ou encore des médiateurs scolaires – toutes ces aides peuvent compléter le travail de la psychologue. Et parfois, une rencontre inattendue, une phrase glissée au bon moment par un adulte de confiance, déverrouille la situation.
Dernière recommandation, mais pas des moindres : admettez que personne n’est parfait. Les tensions, les disputes, les hauts et les bas, font partie du jeu. Le plus important, c’est de rester disponibles, sans forcer la discussion. Oser demander de l’aide quand on sent qu’on atteint ses limites, c’est faire preuve de courage, pas de faiblesse. Plusieurs parents le racontent : “Accepter d’être soutenus, d’être guidés, c’est ce qui nous a permis d’accompagner notre ado sans nous épuiser.”
Sur le plan local, à Liège et dans la région, les familles peuvent faire appel à psychologue enfants adolescents pour bénéficier d’un accompagnement personnalisé, adapté à la réalité du terrain. Les suivis sont pensés pour s’intégrer harmonieusement dans la vie de famille, sans alourdir l’agenda ni donner l’impression “d’un fardeau de plus”. L’intérêt, c’est le sur-mesure et la proximité.
Vous voulez un aperçu concret des soutiens locaux ? Découvrez l’article "soutien psychologique aux familles en transition à Liège".
Enfin, rappelez-vous qu’une situation de décrochage n’efface pas tout ce qui a été construit avant. On ne perd pas en route les qualités, les passions, l’intelligence d’un adolescent. Parfois, il suffit d’un petit coup de pouce pour raviver la flamme.
Comment repérer rapidement un décrochage scolaire chez un adolescent ?
Les premiers signes du décrochage incluent des absences répétées, une chute des résultats, un repli sur soi, et une perte d’intérêt pour l’école. Observer ces signaux, en gardant un regard bienveillant, permet de réagir tôt et d’éviter que la situation ne dégénère.
Pourquoi consulter un psychologue spécialisé pour adolescents à Liège en cas de doute ?
Consulter une psychologue spécialisée offre à l’ado un cadre neutre où il peut exprimer ses difficultés sans jugement. À Liège, un suivi adapté prend en compte le contexte local, aide à poser des mots sur la souffrance, et propose des solutions concrètes pour raccrocher.
Faut-il impliquer les parents dans le suivi psychologique de leur adolescent ?
L’implication des parents, avec l’accord du jeune, favorise une prise en charge globale. La communication facilitée entre le psychologue, les parents et parfois les enseignants, enrichit le suivi et maximise les chances d’un retour positif à l’école.
Quand s’inquiéter et solliciter rapidement une aide professionnelle ?
Dès que l’ado manifeste un mal-être durable (au moins quelques semaines), un changement de comportement, une détresse visible ou des absences injustifiées à répétition, il est essentiel de consulter. Plus l’accompagnement est précoce, meilleures sont les chances d’éviter une rupture sévère.
Références scientifiques :
- Blaya, C., "Le décrochage scolaire : de la compréhension à la prévention", Revue française de pédagogie, 2012. Résumé : Cet article analyse les causes multiples du décrochage et détaille les ressources de prévention à l’école et en famille.
- Fortin, L. et al., "Le rôle des facteurs psychologiques dans le décrochage scolaire", Revue canadienne de psychologie de l'éducation, 2004. Résumé : Les auteurs mettent en lumière l’importance du soutien psychologique dans le maintien de la motivation scolaire chez les adolescents.
- Janosz, M., "Facteurs de risque associés au décrochage scolaire : état des connaissances", Éducation et francophonie, 2000. Résumé : Ce travail synthétise l’ensemble des facteurs personnels et contextuels qui augmentent le risque de décrochage.
- Tétreault, S. et al., "Intervenir auprès des élèves à risque de décrochage scolaire", Vie pédagogique, 2016. Résumé : Les auteurs présentent des approches d’intervention efficaces pour aider les jeunes en difficulté, en soulignant l’importance du travail interdisciplinaire.