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Adolescents déboussolés : un lieu d’écoute et de repères à LiègePsy ADO-ENFANT Liège TRESALLI

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0494 58 17 54

Adolescents déboussolés : un lieu d’écoute et de repères à Liège

Pourquoi les adolescents se sentent-ils perdus aujourd’hui ?

Qu’est-ce qui se cache derrière ce sentiment de vertige que ressentent tant d’ados aujourd’hui ? Dans de nombreuses familles, on entend des phrases du genre : “Mon fils est toujours sur son téléphone, enfermé dans sa chambre. Il ne parle plus…” ou “Ma fille s’est complètement fermée depuis quelques mois, je ne la reconnais plus…”. D’autres, silencieusement, avancent chaque jour dans un monde bruyant, hyperconnecté, où tout bouge si vite qu’on se sent parfois hors du wagon. L’adolescence, c’est ce moment de la vie où l’on cherche qui l’on est. Un chantier. Plutôt immense, parfois chaotique, si l’on regarde de près.

Les statistiques belges parlent d’elles-mêmes : en 2022, près de 18% des jeunes de 12 à 18 ans avouaient se sentir souvent seuls, perdus, ou angoissés, selon un rapport de la Fondation Roi Baudouin. Un chiffre alarmant qui donne envie d’agir, non ? Mais pourquoi cette génération semble-t-elle déboussolée plus que les précédentes ?

Tout se mélange. D’un côté, l’influence des réseaux sociaux qui imposent leurs codes. D’un autre, la pression de réussite, à l’école mais aussi dans la vie sociale. Sans parler de la nécessité d’avancer parfois dans des familles éclatées, recomposées, où chacun doit retrouver sa place. Résultat ? Les repères classiques volent en éclats.

Certains parlent de la “génération zapping”. Toujours ailleurs, jamais vraiment ici. Mais la réalité, elle, est bien ancrée à Liège. Échec scolaire, isolement, anxiété sociale, harcèlement : voilà le quotidien de nombreux adolescents, tout autour de nous. Peut-être le vôtre, ou celui de votre voisin.

Quand on est ado, tout prend une dimension géante. Un regard qui blesse, un message laissé en “vu” sans réponse, une remarque de trop. L’estime de soi vacille. La quête d’identité s’embrouille. Et les adultes, parfois dépassés, peinent à tendre la main, ne sachant plus quelles paroles apaiseront.

Il est donc essentiel d’offrir - ici, en Belgique - des espaces sûrs, neutres, où l’on peut parler sans être jugé. Parce qu’écouter, c’est déjà comprendre. Et comprendre, c’est soigner.

Les psychologues spécialisés pour adolescents le savent : derrière chaque jeune silencieux, il y a des questions, des tempêtes, parfois des envies de partir, souvent l’espoir d’être entendu. La société a changé, le cerveau adolescent, lui, évolue toujours avec la même intensité. C’est là que le soutien professionnel prend tout son sens.

Savez-vous qu’un ado sur cinq, en province de Liège, hésite à parler de ses soucis par peur d’être jugé ou de décevoir ses parents ? Une statistique… mais aussi un appel à créer des lieux d’écoute à la hauteur de leurs attentes.

Pour certains, l’adolescence, c’est la tempête avant l’éclaircie. Pour d’autres, la nuit noire sans fin. Ensemble, cherchons les phares qui permettent d’avancer.

Un lieu d’écoute à Liège : balises et repères pour adolescents

Imaginez un port dans la tempête. Un endroit où s’abriter, déposer son sac à dos rempli de questions et, l’espace d’une séance, souffler. C’est précisément ce que propose la psychologue spécialisée enfants - adolescents Mme Lara TRESALLI. Dans son cabinet situé aux alentours de Liège, elle accueille les jeunes en difficulté, leurs préoccupations, tout en posant un cadre rassurant, sans jugement.

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0494 58 17 54

Mais à quoi ressemble ce fameux “lieu d’écoute” ? Vous pouvez vous représenter une pièce lumineuse, des fauteuils accessibles, parfois quelques jeux, des crayons, des feuilles, beaucoup de tissus doux. Mais surtout, un climat : celui du respect, de la confidentialité, de la bienveillance. La porte se ferme. Le jeune se sent en sécurité. Ici, pas d’intrusion. Juste l’espace de dire “je n’y arrive plus”, “ça me dépasse”, “j’ai peur”.

Le psychologue pour adolescents ne pose pas de diagnostic en un coup d’œil. Il avance à petits pas. La première séance est souvent courte, douce, presque timide. On observe, on accueille, on pose des questions ouvertes, on ressent ce qui ne peut pas toujours se dire.

Il arrive, souvent, qu’un adolescent venu “pour faire plaisir à ses parents” reparte en ayant déposé un poids énorme. Comme ce jeune garçon, cloîtré depuis des semaines, qui a simplement chuchoté : “J’ai l’impression que ma tête va exploser”. Ou cette jeune fille qui, à force d’accumuler la pression scolaire, s’est barricadée derrière un silence. Quelques mots, parfois un dessin, et c’est le début d’un chemin.

Alors “écouter”, oui, mais comment ? Par une écoute active, sans préjugé, en restituant au jeune sa propre histoire. Parfois, en utilisant des outils concrets : jeux de rôles pour ceux qui craignent les mots, exercices de respiration pour calmer le stress, ou encore utilisation de supports créatifs pour approcher l’indicible : “Dessine-moi ta colère”, “Quels mots poseraient sur ton mal-être ?”

La présence du psychologue est un repère. Comme un phare dans le brouillard. Il indique la route, éclaire sans forcer. Au fur et à mesure que la relation de confiance s’établit, la parole se délie. Parfois lentement, parfois comme une avalanche. L’étape suivante : comprendre ce qui cloche et réintroduire des repères solides.

A Liège et ses environs, les familles en quête d’une solution trouvent ici un interlocuteur capable de décoder le langage adolescent. De redonner du sens, brique après brique. Semaine après semaine, les questionnements prennent forme. Les angoisses se partagent. Les solutions se construisent ensemble.

Vous vous demandez si consulter, chez un psychologue spécialisé, c’est réservé aux cas “très graves” ? Non. Il n’y a pas de hiérarchie dans la souffrance. Chacun a son seuil. Parfois, une consultation suffit à rassurer ; parfois, c’est le début d’un accompagnement suivi. Mais chaque parcours est unique, personnalisé, humain avant tout.

Psychologue pour enfant ou adolescent ? La spécificité réside dans la capacité d’adaptation : il faut comprendre l’évolution psychique à chaque étape, ne pas surinterpréter, offrir un souffle nouveau à chaque jeune croisé.

Dans ce cabinet, à deux pas de la ville, certains arrivent fatigués, d’autres en colère, quelques-uns abîmés. Ils repartent, le plus souvent, avec l’idée que… l’aide existe. Qu’ils ne sont pas seuls sur ce chemin de montagnes russes qu’est l’adolescence.

Alors, pourquoi hésiter à passer la porte ? Vous craignez de vous tromper, de “psychiatriser” une difficulté passagère ? Ici, on accueille sans diagnostic préconçu. La parole circule, le malaise se dit, étape après étape. Et déjà, c’est tout un monde qui s’ouvre…

Quand demander de l’aide pour son ado ? Signes et alarmes à reconnaître

Certains parents craignent de “faire trop”, d’affoler inutilement. Mais comment savoir à quel moment un accompagnement est nécessaire ? À force d’attendre, le malaise s’installe. L’adolescent s’isole davantage. Et eux, les parents, attendent parfois un “signe clair” - une sorte de lumière rouge qui s’allume.

Spoiler : le signal n’est pas toujours flagrant. Un ado ne dira pas “j’ai besoin de voir quelqu’un”, le plus souvent. Il enverra des signes. Parfois minimes : des changements d’humeur marqués, des crises de larmes sans raison, un repli sur soi. Une perte d’intérêt. Ou, à l’opposé, une agitation permanente, une colère explosive.

Le mal-être adolescent est silencieux, sournois. Il se glisse dans les interstices du quotidien. Un repli sur soi, des absences à table, un sommeil déréglé, de la fatigue permanente. Parfois, des troubles alimentaires émergent sans prévenir. Ou encore une chute soudaine des résultats scolaires, alors que tout allait bien jusque-là.

Qui n’a jamais entendu un ado lancer un brutal “foutez-moi la paix !” ou s’enfermer dans un mutisme total ? Ces phrases, ces silences, sont autant de SOS. Ne pas banaliser. Il n’y a pas de honte à demander de l’aide.

Le harcèlement scolaire ? Un fléau, encore trop caché. Savez-vous que près de 15 % des jeunes en Belgique ont rapporté des faits de harcèlement, en présentiel ou via les réseaux sociaux ? Plusieurs n’osent même plus sortir, ni se confier. C’est vertigineux.

Le corps aussi parle. Maux de ventre à répétition, migraines, troubles du sommeil : l’organisme tire la sonnette d’alarme. Les adolescents “somatisent” souvent ce qu’ils ne parviennent pas à dire. Ecoutez, regardez, posez des questions simples, sans forcer. “Tu veux en parler ?”, “Je suis là si tu veux…” Parfois, il suffit d’une main tendue pour franchir cette étape.

Notons encore : l’apparition de conduites à risque (consommations, fugue, sexualité précoce, scarifications) doit absolument alerter. Face à ces signes, mieux vaut consulter trop tôt que trop tard. Un entretien avec un professionnel, même unique, peut parfois désamorcer des comportements très destructeurs.

Un autre indicateur : lorsque la relation parent-ado devient impossible, que chaque échange vire au conflit ou à l’indifférence totale, c’est le signal qu’une médiation peut être bénéfique. Un tiers, neutre, permet d’apaiser les tensions, de retisser, doucement, le lien.

Pour en savoir plus sur les signaux d’alerte et les tests psychologiques adaptés, l’article Les tests de QI chez l’adolescent explique comment repérer certaines difficultés et mieux les cerner ensemble.

N’attendez pas l’irréversible. Les psychologues pour adolescents et enfants sont là pour répondre au doute, à l’inquiétude, au malaise diffus. C’est un service d’accompagnement, pas une sentence. Ici, la souffrance se dépose, se partage. Pour mieux reprendre le fil.

La question à se poser : mon ado va-t-il mieux en ce moment ? S’endort-il apaisé ? Rit-il encore ? A-t-il des projets, même tout petits ? Si la réponse est non, prenez le temps de consulter, même “pour rien”. Souvent, c’est déjà beaucoup.

Enfin, il ne faut pas sous-estimer l’apport d’un accompagnement lorsque l’environnement familial est en turbulence : séparation parentale, déménagement, deuil, maladie grave dans la famille. Quand le sol se dérobe sous leurs pieds, les jeunes cherchent un appui solide. Et parfois, ce soutien est extérieur. C’est sain !

Comment un suivi en psychologie aide-t-il à recaler la boussole ?

Vous vous posez peut-être la question : que fait concrètement un psychologue pour adolescent ? Comment recale-t-il la boussole intérieure qui semble détraquée ? Le suivi psychologique, ce n’est pas “parler pour parler”. C’est, avant tout, un espace pour comprendre ce qui se joue. Dérouler la pelote, poser les mots justes, sortir du brouillard.

Dans le cabinet de Mme Lara Tresalli, l’accompagnement s’adapte à chaque jeune. Certains viennent pour trois séances, d’autres s’installent plus durablement. Mais à chaque fois, il s’agit de recréer du sens. D’aider l’adolescent à donner du sens à ce qu’il vit, à ce qu’il ressent, même lorsqu’il croit que tout est chaos.

Le travail thérapeutique repose sur :

1. L’écoute active et la valorisation de la parole : laisser le jeune s’exprimer, sans thème imposé, même s’il ne dit d’abord que “je ne sais pas pourquoi je suis là”. Au fil des entretiens, les douleurs se précisent, les peurs se révèlent, les colères s’expriment.

2. Le repérage des points forts : dans une société qui pointe souvent ce qui ne va pas, il est essentiel de retrouver confiance en ses ressources. Oui, vous avez du potentiel. Oui, des passions existent et peuvent vous aider à avancer, parfois cachées derrière la montagne des difficultés.

3. La remise en mouvement : un adolescent qui va mal, se fige. Projets en suspens, amitiés en stand-by. Le suivi psychologique aide à faire les premiers pas pour sortir de la torpeur : “Qu’aimerais-tu tenter ?”, “Qu’est-ce qui ferait que la semaine soit différente ?”.

4. La construction d’objectifs : on ne demande pas à un jeune d’avoir de grandes ambitions du jour au lendemain. On pose ensemble de petits jalons, étape après étape. Parfois, cela commence par “revenir à l’école deux jours sur cinq” ou “réussir à dormir sans crise d’angoisse”.

Ce suivi n’est jamais figé. Certains adolescents préfèrent s’exprimer à travers le dessin, l’écriture, la musique. Le psychologue s’adapte à chaque personnalité, encourage l’expression de soi, l’exploration de ce qui fait vibrer.

Dans d’autres cas, une dimension familiale peut être sollicitée. La médiation aide à désamorcer des tensions, à renouer le dialogue familial. Les séances sont alors conçues comme des respirations, non pas des procès.

Un chiffre frappant : selon l’Observatoire de la santé de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 70 % des jeunes ayant eu au moins trois séances d’accompagnement psychologique se sentent “mieux outillés pour faire face au stress ou à l’angoisse”. Un outil, donc, mais aussi un tremplin.

La parole soigne quand elle est respectée. Les séances servent aussi à démystifier certains mythes qui pèsent sur l’adolescence : non, un ado “difficile” n’est pas un “mauvais” adolescent. Il est un jeune en décalage, en déplacement, qui cherche ses nouveaux repères. Le voyage est ardu, mais accompagné, il se fait moins seul.

Certaines familles choisissent de consulter ensemble, pour sortir du cercle vicieux des disputes et des non-dits. Soutenir l’adolescent, c’est aussi soutenir son environnement. Parfois, c’est en parlant de ce qui fait mal, tous ensemble, que la guérison démarre.

L’accompagnement de psychologues pour enfants et adolescents à Liège permet ainsi de remettre du souffle dans des quotidiens fatigués. Et, surtout, de rappeler cette évidence : il n’y a pas de honte à demander de l’aide. Au contraire, c’est la première étape pour aller mieux.

Prenez une boussole. Posez-la doucement. Lorsqu’elle tourne dans tous les sens, deux solutions : attendre qu’elle se recale… ou chercher, avec un professionnel, comment la remettre sur son Nord. C’est toute la différence entre subir l’adolescence… et la traverser.

Pour aller plus loin sur les mécanismes psychologiques à l’adolescence, lisez aussi <La pression de la parentalité> : un article qui rappelle qu’accompagner, ce n’est pas être parfait, mais présent.

Conseils pratiques pour les familles : ouvrir le dialogue et mieux soutenir

Vous, parents, proches, éducateurs, vous vous sentez parfois démunis. “Mais comment l’aider ?”, “À quoi bon lui parler, il ne m’écoute plus depuis des mois !”… Et si la clé, c’était justement d’oser ouvrir le dialogue sans pression, sans attente immédiate ? Voici quelques pistes, issues de l’expérience de terrain :

1. Choisir le bon moment. Les adolescents ont leur propre rythme. Le dialogue ne se force pas, il s’invite. Au repas, lors d’un trajet en voiture, en promenant le chien… Loin des écrans, des conflits, dans un cadre neutre.

2. Poser des questions ouvertes. Privilégier des phrases du type : “Raconte-moi ta journée ?”, “Comment tu te sens ?”, plutôt que “Tout va bien à l’école ?”. On évite le questionnaire, on privilégie l’écoute active.

3. Eviter les jugements. L’adolescent craint, plus que tout, le regard critique ou l’incompréhension. Bannir les “quand j’étais jeune…” au profit du “je comprends que ce n’est pas simple”.

4. Respecter ses silences. Parfois, il faut simplement patienter. Laisser à l’ado le temps de revenir. Montrer qu’on est là, prêt à écouter, sans insister à tout prix. “Quand tu voudras, je suis là.”

5. Proposer des ressources externes. Si la communication reste trop difficile, n’hésitez pas à suggérer un accompagnement extérieur. Un professionnel du secteur psychologique à Esneux saura établir un contact respectueux, dénouer les fils emprisonnés.

6. Prendre soin de soi comme parent. Accompagner un ado, c’est épuisant. Autorisez-vous à partager vos doutes, à demander vous aussi de l’aide, à prendre du recul. L’accompagnement parental existe, et il fait du bien.

En appliquant ces conseils au quotidien, sans attendre la crise, on rétablit un climat de confiance. Les ados, même mutiques, reçoivent les messages d’amour, et savent qu’ils ne sont pas seuls face à la tempête.

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI propose des entretiens conjoints parents/ados, si besoin, pour mieux renouer le dialogue sans explosive.

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0494 58 17 54

À force de petites graines plantées et de patience, la lumière revient toujours. Si votre adolescent semble perdre pied, sachez qu’un espace d’écoute, de respect, et d’accueil existe tout près de chez vous.

FAQ – Questions fréquentes

Comment repérer qu’un adolescent a besoin d’un soutien psychologique à Liège ?

Observez les changements soudains de comportement, l’isolement, la chute des résultats scolaires ou l’apparition de troubles physiques sans raison médicale. Si le mal-être dure plus de quelques semaines ou impacte fortement le quotidien, il est préférable de consulter rapidement un psychologue spécialisé.

Pourquoi consulter une psychologue pour enfants et adolescents est-il bénéfique même pour des difficultés “mineures” ?

Un accompagnement précoce permet de désamorcer des souffrances naissantes, d’éviter que le malaise ne s’installe durablement, et de renforcer les ressources du jeune. Cela favorise une meilleure estime de soi et prévient l’apparition de troubles plus graves à l’avenir.

Quand prendre rendez-vous chez un psychologue pour adolescents si l’école ou la famille alerte sur un mal-être ?

Dès les premiers signaux persistants, il est conseillé de consulter – un entretien ponctuel peut déjà apaiser une situation et aider à trouver des solutions concrètes. Plus le soutien arrive tôt, plus la récupération est rapide et efficace.

Faut-il impliquer la famille lors du suivi psychologique de l’adolescent ?

Souvent, l’implication familiale permet de renforcer l’accompagnement, surtout quand la communication est rompue. Le psychologue adapte le suivi selon la situation de chaque famille, toujours dans le respect de la confidentialité de l’adolescent.

Références scientifiques

García-Carretero, M.Á., et al. "Emotional distress in adolescents: A systematic review." Journal of Adolescence, 2020. Résumé : L’étude présente les principaux facteurs de risque du mal-être adolescent et les stratégies d’accompagnement efficaces.

Van Petegem, S., et al. "The transition from childhood to adolescence: A systematic review of internalizing symptom trajectories." Child and Adolescent Psychiatry and Mental Health, 2019. Résumé : Ce travail montre l’augmentation des symptômes d’anxiété et de dépression à l’adolescence et l’importance du dépistage précoce.

Griebler, U., et al. "Providing a safe environment for adolescents in the health care system." BMC Pediatrics, 2017. Résumé : L’article retrace les bénéfices d’un cadre sécurisant et neutre pour faciliter la parole chez les jeunes en difficulté.

Steinhausen, H.-C. "Developmental psychopathology in adolescence: Findings and concepts." European Child & Adolescent Psychiatry, 2017. Résumé : Une revue des troubles les plus fréquents et des approches thérapeutiques adaptées à l’adolescence.

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