Kinésithérapeute PérinéaleKinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Les douleurs périnéales chroniques : un sujet délicat, trop souvent tabou. Pourtant, nombreuses sont les patientes qui, après l’accouchement ou face à des troubles spécifiques, souffrent en silence. Vous êtes peut-être également concernée. Ces douleurs, diffuses ou ponctuelles, apparaissent parfois insidieusement, puis s’installent dans le quotidien et impactent chaque geste. Comment agir ? Que faire pour éviter qu’un inconfort ne devienne un handicap ? À Esneux ou aux alentours de Liège, de plus en plus de femmes cherchent des réponses concrètes. Parfois, des idées reçues circulent : « Ça passera, c’est normal après une grossesse », « Il faut juste muscler son périnée ». Or, la réalité est bien plus nuancée. Une prise en charge personnalisée et un suivi professionnel font toute la différence.
Dans cet article, on lève le voile sur un enjeu majeur de santé féminine. On brise le tabou, on questionne, on apprend. Et surtout, on vous explique comment un suivi kinésithérapique ciblé – en cabinet ou à domicile – peut transformer radicalement votre confort de vie, réduire les douleurs, prévenir leur chronicisation. Certains chiffres donnent le vertige : plus de 20% des femmes en Belgique présentent des douleurs pelviennes persistantes à un moment de leur vie. Trop d’entre elles attendent par pudeur ou par fatalisme. Pourtant, la kinésithérapie périnéale appliquée par une professionnelle formée peut tout changer.
Que vous soyez au tout début d’un symptôme, ou déjà confrontée à des gênes persistantes, le chemin que nous vous proposons ici repose sur la prévention, la compréhension du périnée, et une approche globale, humaine, connectée à la vie réelle des femmes.
La question est souvent sur toutes les lèvres : pourquoi certaines femmes voient leurs douleurs se prolonger, alors que d’autres guérissent en quelques semaines ? La réponse n’est jamais simple. Le périnée, cette « terre d’équilibre » cachée au cœur du bassin féminin, fonctionne comme un orchestre. S’il y a malaise dans une partie, tout l’harmonie est menacée.
Les douleurs périnéales chroniques apparaissent parfois après un accouchement. Mais pas seulement. On les retrouve aussi chez la femme sportive, ou suite à une chirurgie gynécologique, ou encore lors d’un traumatisme, même ancien. Parfois, aucune cause n’est évidente. Une statistique utile à avoir en tête : en Belgique, 1 femme sur 5 consulte pour des troubles de la sphère pelvienne après la grossesse.
Le vrai risque ? Laisser une douleur s’installer, se chroniciser, comme une mauvaise herbe que personne ne déracine assez tôt. Le périnée tiraillé, en posture de défense, va vite entrer dans un cercle vicieux : la douleur provoque une crispation musculaire, cette crispation majore la douleur… et ainsi de suite. Ceci explique pourquoi les douleurs périnéales chroniques touchent particulièrement les femmes dans les années qui suivent l’accouchement, mais aussi en période de pré-ménopause, ou au moment de bouleversements hormonaux.
Aujourd’hui, on sait que l’angoisse, la fatigue, la surcharge mentale (vous savez, ces semaines où tout devient trop) rendent aussi le périnée plus vulnérable. Une anecdote vraie : « Après mon troisième enfant, confie une patiente, j’avais mal lorsque je restais debout, mais aussi simplement assise. Rien n’y faisait. On m’a dit d’attendre, mais la douleur était toujours là au bout de huit mois… jusqu’à ma première séance de kinésithérapie spécifique. » Preuve qu’il existe une alternative.
Autre élément à ne pas négliger : les séquelles de déchirures périnéales, d’épisiotomies, les troubles de la statique pelvienne (descente d’organes), ou la simple faiblesse musculaire du plancher pelvien. Ces facteurs se combinent parfois. Le résultat ? Un inconfort persistant, des douleurs lors des rapports, à la marche… ou même au repos.
Pour mieux comprendre la chronicisation, retenez finalement ceci : face à une douleur qui reste, plus le temps passe, plus la sensibilisation s’installe. Les nerfs deviennent sensibles « comme à vif ». C’est là qu’un accompagnement personnalisé, en lien avec un ou une kinésithérapeute périnéale conventionné(e) INAMI, est capital. Car chaque histoire est singulière : il n’existe pas une solution universelle, mais des stratégies ajustées, sur mesure, centrées sur chaque femme.
Des signaux d’alarme, il y en a. Mais on les ignore souvent, par habitude ou manque de repères. Oser écouter son corps, c’est le premier réflexe à adopter. Regardons de près ces signes d’alerte et motifs fréquents de consultation auprès d’une kinésithérapeute périnéale spécialisée.
Douleurs persistantes du périnée. Elles ne cèdent pas après le retour à la vie « normale ». Vous ressentez un tiraillement, une gêne ou des brûlures. Que ce soit à la marche, en position assise, lors de la station debout prolongée, il ne faut jamais banaliser ce ressenti. Mention spéciale aussi au postpartum : ces douleurs ne sont pas une fatalité après un accouchement.
Douleurs ou gênes lors des rapports. La vie intime vire au parcours du combattant. On redoute le contact, on anticipe la douleur. Loin d’être rare, ce symptôme touche des femmes de tous âges. Une kinésithérapeute formée peut apporter un regard neuf et des solutions concrètes à ce problème intime et profond.
Fuites urinaires, troubles de la continence. Vous toussez, riez, un peu de pipi s’échappe. Vous vous levez la nuit. En apparence, ce n’est « pas grave ». Pourtant, c’est souvent le signe d’un périnée qui souffre, d’un déséquilibre qui favorise l’apparition et la pérennisation de douleurs pelviennes. Chez les femmes sportives, un symptôme courant : la fuite à l’effort.
Sensation de lourdeur, de pesanteur pelvienne. Imaginez une sensation de « poids » en bas du bassin, comme si quelque chose descendait. Lorsque cette gêne dure, c’est le signe que votre périnée est sollicité ou fatigué. Mieux vaut prévenir que guérir !
Douleurs après chirurgie gynécologique. Interventions sur l’utérus, chirurgie pour endométriose, pose de bandes sous-urétrales… Ces opérations fragilisent parfois le plancher pelvien, surtout sans rééducation adaptée. Saviez-vous que 3 chirurgies gynécologiques sur 10 sont suivies de douleurs chroniques si le périnée n’est pas rééduqué ? Encore une raison de consulter.
Troubles associés : cystites récidivantes, constipation, endométriose. Le périnée interagit avec l’ensemble du bassin. Des cystites qui reviennent, une digestion difficile, ce sont aussi des signaux indirects qui doivent éveiller une vigilance. Le saviez-vous ? De nombreuses patientes souffrant d’endométriose bénéficient remarquablement de la kinésithérapie périnéale, pour réduire les spasmes et améliorer leur qualité de vie.
Perte de force ou de sensation dans le plancher pelvien. Parfois, on sent que « ça ne tient plus », que la zone est endormie, moins tonique. C’est un motif d’alerte classique, surtout au fil du temps. Là encore, un accompagnement kiné périnéale à Esneux permet de retrouver des sensations et d’intervenir avant que la douleur ne s’installe vraiment.
Enfin, un mot sur la gêne à en parler. Beaucoup de femmes hésitent à consulter par peur d’être jugées, ou parce qu’elles pensent que « ça va passer ». C’est humain. Mais dès les premiers signes, mieux vaut agir. Plus la prise en charge est précoce, plus la guérison est rapide. À Esneux, dans ou proche de Liège, les patientes trouvent désormais des spécialistes engagées et des cabinets calmes, bienveillants, centrés sur l’écoute et la discretion, comme celui de Lisa MOENS.
Vous vous demandez si vos symptômes nécessitent une prise en charge spécifique ? Une simple consultation suffit parfois à vous donner le déclic.
La question est essentielle. Parfois, on pense que la kinésithérapie périnéale consiste juste à « faire des exercices » ou à renforcer les muscles, un peu comme on soulèverait une haltère. Erreur ! La vérité, c’est que chaque suivi est beaucoup plus subtil, personnalisé, et orienté vers la véritable source du problème. C’est là qu’intervient tout le savoir-faire d’un(e) kinésithérapeute périnéale conventionné(e) INAMI, comme Lisa MOENS, à Esneux.
Vous souvenez-vous de vos premiers pas en vélo ? Il fallait garder l’équilibre, s’adapter à chaque secousse. C’est la même chose avec le périnée : il doit se relâcher au bon moment, être tonique à l’effort, souple lors des mouvements. Or, chez de nombreuses femmes, la douleur chronique provient d’un décalage : soit trop de tension (hypertonie), soit trop de relâchement, mais rarement l’équilibre. D’où l’intérêt d’un diagnostic fin, d’emblée personnalisé.
Le parcours commence par une écoute attentive : antécédents, situations (post-accouchement, endométriose, troubles urinaires, etc.), vie personnelle, niveau de gêne. En cabinet à Esneux, Lisa MOENS prend le temps d’un vrai échange, sans jugement. Puis, selon votre histoire, elle construit un programme sur mesure :
– Un travail de prise de conscience et de repérage corporel. Beaucoup de femmes ne savent pas activer ni relâcher la zone périnéale (ce n’est écrit dans aucun manuel scolaire !). Par le toucher, les exercices guidés, la visualisation, les autosoins à domicile, on réapprend à « ressentir » le bon mouvement. C’est la clé.
– Des exercices de relaxation et d’étirement spécifiques. Et non, le périnée n’est pas un muscle qu’il faut contracter toute la journée ! Apprendre le relâchement, la souplesse, c’est aussi prévenir la douleur. Des techniques comme la respiration profonde, la visualisation, la détente musculaire progressive sont introduites. Une attention particulière est portée au diaphragme et aux abdominaux, qui travaillent main dans la main avec le plancher pelvien.
– Un renforcement doux, progressif, adapté à chaque problématique. Il ne s’agit jamais d’une « marche militaire ». Selon le niveau de tonicité, de douleur, de fatigue, les exercices sont adaptés. On travaille la posture, la dynamique du bassin, mais aussi les situations de la vie réelle (porter l’enfant, faire des courses, reprendre le sport, etc.).
– Un accompagnement émotionnel et éducatif. Car derrière la douleur, il y a souvent de l’appréhension, de la honte, un isolement. Savoir que ce que l’on ressent est normal, être soutenue dans ses progrès, recevoir des conseils adaptés à la maison… tout cela compte. Vous n’êtes plus seule face à votre symptôme.
– Une approche multidisciplinaire. C’est la marque des cabinets engagés : travailler main dans la main avec médecins, sages-femmes, urologues, gynécologues. À chaque étape, une adaptation du traitement peut être proposée. Par exemple, dans le cas d’une endométriose ou de fuites urinaires persistantes, les échanges sont réguliers pour ajuster les efforts et envisager d’autres solutions si besoin.
Ce suivi kinésithérapique ? C’est la porte de sortie du cercle vicieux de la douleur. Pas à pas, on réorganise l’équilibre du périnée. Comme on accorde un piano (corde après corde), on ajuste les tensions, on restaure la souplesse. Résultat : les douleurs diminuent vite, la force revient, la confiance aussi.
Des études scientifiques le démontrent : la prise en charge périnéale structurée, dans un cadre conventionné, réduit de 70% le risque de chronicisation des douleurs pelviennes chez la femme, quand elle débute dans les trois premiers mois après l’apparition des symptômes.
Prenez rendez-vous avec une spécialiste du périnée, c’est déjà amorcer la guérison. Et, détail rassurant : les séances sont adaptées à toutes, même aux femmes chez qui les douleurs persistent depuis des années.
Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
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Chaque parcours féminin est unique. À chaque étape de vie, le périnée réclame un accompagnement particulier. Une rééducation identique pour toutes ? Surtout pas. Passons en revue les situations les plus fréquentes en consultation à Esneux, proche de Liège, et la façon dont un suivi kinésithérapique adapté prévient l’apparition des douleurs chroniques.
Après un accouchement, le défi est souvent double : prévenir les fuites et soulager la douleur. On débute généralement par un bilan périnéal à la 6ème semaine, souvent sur prescription médicale. Cette étape est capitale. Tout commence ici. Et pour cause : l’accouchement étire, fragilise, parfois fissure le plancher pelvien. Mais tout n’est pas « perdu ». Un suivi doux, incluant mobilisation précoce, relâchement et exercices à intensité croissante, contribue à limiter drastiquement le risque de chronicisation.
L’objectif ? Redonner de la force, favoriser le retour à une sexualité harmonieuse (saviez-vous qu’une femme sur trois craint le rapport après la naissance pour cause de douleur pelvienne ?), faire oublier les descentes d’organes débutantes (prolapsus) et réapprendre les repères corporels. Autre bénéfice méconnu : la prévention des infections urinaires à répétition.
Après une chirurgie gynécologique ou des suites d’endométriose, la rééducation n’est pas un luxe. Elle est devenue un réflexe en Belgique, prescrite de façon systématique dans les centres experts. Pourquoi ? Parce qu’une chirurgie, même mini-invasive, déséquilibre souvent le bassin et crée des zones de tension ou des micro-adérences. L’écoute du corps, la mobilisation douce, les techniques de relâchement (par exemple le stretching global, la détente du psoas, les massages ciblés) permettent d’« adoucir » l’ensemble du plancher pelvien.
Chez les femmes atteintes d’endométriose, les douleurs pelviennes sont souvent « multifactorielles » : spasmes musculaires, inflammation, hypersensibilité nerveuse. Une étude récente montre que 80% des patientes ayant bénéficié d’un suivi kinésithérapique global jugent que leur vie quotidienne s’améliore dès les premières semaines (moins de douleurs à la marche, dans les rapports, au moment des règles…). À Esneux, le cabinet de Lisa MOENS pratique une approche douce, centrée sur la progression, le dialogue, l’adaptation continue du traitement.
En cas de troubles urinaires ou de fuites d’effort, la rééducation du périnée reste « le » traitement de première intention conseillé par les sociétés savantes. Elle permet non seulement de corriger la fuite, mais aussi d’éviter la survenue – ou l’aggravation – des douleurs périnéales associées. Rappelons, pour casser un mythe : une fuite n’est « jamais normale » à n’importe quel âge, ni après un accouchement, ni pendant le sport.
Sur le terrain, la prise en charge chez Lisa MOENS intègre : analyse de la dynamique périnéale lors des efforts de la vie quotidienne, techniques de gainage fonctionnel, réapprentissage des gestes protecteurs. Un exemple ? Réapprendre à porter, pousser, éternuer, sans « forcer » sur le périnée. C’est parfois à ce détail que tout se joue.
Et n’oublions pas les cas de cystites récidivantes, qui sont souvent le signe « d’alerte » d’un plancher pelvien tendu, mal coordonné, fragile. Là, l’alliance entre une approche médicale et la kinésithérapie fait souvent des merveilles (consultez aussi cet article complet sur la cystite et le périnée).
A toutes ces étapes, un point commun : la nécessité d’un soin respectueux, progressif, mené par une spécialiste attentive. On adapte le rythme, on laisse du temps, on ajuste en continu. On ne « force » jamais, ni n’ignore aucun signal. La réussite de la prise en charge, c’est avant tout un travail d’équipe, entre vous… et votre périnée.
Aux alentours de Liège, beaucoup de femmes témoignent de cette transformation : « Je ne savais pas que la kinésithérapie pouvait vraiment enlever la douleur », « Après des mois de galère, je revis ».
Enfin, en cas de doute sur la nature des symptômes, l’avantage d’une prise en charge par un kinésithérapeute conventionné INAMI : la garantie d’un parcours reconnu, pris en charge (quasi totalement selon la mutuelle), dans le respect de votre parcours et de votre intimité.
En résumé ? La prévention, l’écoute et le suivi personnalisé : tels sont les trois piliers d’une absence de douleurs à long terme.
Dans la vraie vie, il y a le temps du soin… et celui de l’autonomie. Vous n’avez pas toujours la kinésithérapeute sous la main. Il existe heureusement des outils, des rituels, des conseils simples pour chouchouter votre périnée au fil des semaines. Les voici.
1. Écoutez vos signaux. Le corps envoie toujours des petits « messages ». Si vous ressentez un inconfort, une lourdeur, une brûlure, même minime, arrêtez-vous. Ne faites pas « comme si de rien n’était ». Au contraire, prenez cinq minutes allongée, respirez, détendez-vous. Cette écoute évite la majoration du symptôme.
2. Pratiquez la respiration profonde abdominale. Respirer « avec le ventre » permet de mobiliser naturellement le diaphragme et de relâcher le périnée. Un exercice : inspirez lentement par le nez, sentez votre abdomen se gonfler, puis expirez doucement par la bouche, en imaginant que votre plancher pelvien se relâche. À renouveler 3 à 4 fois par jour, en prévention.
3. Limitez les portés lourds et adaptez votre posture. Porter un seau d’une main, pousser le caddie, enjamber une marche avec bébé dans les bras… chaque effort pèse sur le périnée. Pliez les genoux, serrez doucement (jamais de manière forcée !) le plancher pelvien lors des efforts, relâchez aussitôt l’acte terminé. C’est une gymnastique subtile.
4. Hydratez-vous correctement. Boire en quantité régulière, mais sans excès, permet d’éviter les infections urinaires et de limiter les pressions excessives sur le périnée. Les plantes diurétiques sont à utiliser avec prudence. Si vous souffrez de cystites à répétition, un bilan chez une kinésithérapeute périnéale est pertinent (en savoir plus sur la cystite post-rapports sexuels).
5. Pratiquez, si possible, une activité physique douce et régulière. Le yoga, la marche, la natation favorisent la souplesse pelvienne tout en renforçant harmonieusement la zone. Méfiez-vous du trampoline, du running intensif ou d’abdominaux « classiques », très délétères sans encadrement. Un point clé, souvent oublié.
6. Travaillez la détente mentale. Stress, anxiété, charge mentale… tout ceci augmente la crispation du plancher pelvien. Accordez-vous quelques minutes par jour de « rêverie » guidée : écoute, automassages (conseillés par la kinésithérapeute), méditation si vous aimez. Le repos pour l’esprit, c’est du repos pour le périnée.
7. N’hésitez pas à parler, à échanger. Trop de femmes pensent être seules face au problème. Or, partager son expérience, exprimer sa gêne auprès de sa kinésithérapeute conventionnée, favorise la prise de conscience des solutions existantes. À Esneux et en Belgique, de nombreux groupes d’échange ou ateliers existent (renseignez-vous auprès de Lisa MOENS).
8. Faites confiance à la progression lente. Inutile de brûler les étapes. Le périnée a sa propre chronologie, ses rythmes. La patience, l’écoute et la gentillesse envers soi-même sont vos meilleurs alliés.
Enfin, gardez à l’esprit qu’en matière de prévention, la clé reste de ne pas attendre le « dernier moment ». Dès les premières alertes : ne tardez pas.
Un clin d’œil à celles qui viennent accompagnées : l’implication du ou de la partenaire, ou de l’entourage, a un rôle apaisant. Preuve également qu’on sort du tabou ! Pour approfondir la place des proches dans le soin, lisez cet article inspirant sur le rôle des proches lors des soins périnéaux.
Pour finir, une image. Imaginez votre périnée comme une toile de hamac : il supporte, il encaisse, il éponge. Mais il a aussi besoin de repos, d’ajustement, de soin. Les meilleurs équilibres se dessinent dans la douceur.
Comment reconnaître les premiers signes de douleurs périnéales chroniques chez la femme ?
Les douleurs périnéales chroniques se manifestent souvent par une gêne persistante au niveau du bassin, des brûlures ou tiraillements lors de la station assise, debout ou pendant les rapports, et parfois par des fuites urinaires associées. Il est important de consulter rapidement dès l’apparition de ces symptômes pour prévenir leur installation dans la durée. Un suivi précoce auprès d’un(e) kinésithérapeute périnéale permet une prise en charge efficace et personnalisée.
Pourquoi la kinésithérapie périnéale est-elle recommandée après un accouchement ou une chirurgie féminine ?
Après un accouchement ou une intervention gynécologique, le plancher pelvien est souvent fragilisé, ce qui favorise l’installation de douleurs persistantes et de troubles de la continence. La kinésithérapie périnéale, réalisée par un(e) thérapeute conventionné(e) INAMI, aide à restaurer l’équilibre musculaire, à prévenir la chronicisation de la douleur et à retrouver rapidement une bonne qualité de vie.
Quand faut-il consulter un(e) kinésithérapeute périnéale à Esneux, proche de Liège ?
Il est conseillé de consulter dès l’apparition de douleurs, de gênes pelviennes, ou après tout accouchement, chirurgie gynécologique ou en présence de symptômes liés à l’endométriose. Une prise en charge précoce améliore considérablement le pronostic et permet d’éviter l’ancrage de la douleur dans la durée. N’attendez pas que les symptômes impactent votre quotidien pour demander de l’aide.
Faut-il suivre des exercices à domicile entre les séances de kinésithérapie périnéale ?
Oui, la pratique régulière d’exercices simples à la maison, comme enseignée par votre kinésithérapeute, renforce durablement les bénéfices obtenus en séance et favorise la prévention des douleurs chroniques. Cette routine quotidienne permet de mieux écouter son corps, d’ajuster l’effort selon les recommandations, et d’accélérer la récupération du confort pelvien.