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Pourquoi j’ai encore des fuites plusieurs années après mon accouchement ?Kinésithérapeute Périnéale

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25

Rendez-vous en Ligne

Pourquoi j’ai encore des fuites plusieurs années après mon accouchement ?

Ce matin, comme mille autres, vous vous habillez, jetez un œil dans le miroir... et, dans un coin de la tête, la même angoisse revient : l’inquiétude des fuites urinaires. Pourtant, votre accouchement date déjà d’il y a cinq, parfois dix ans. On vous a promis que ça passerait, que c’était “normal après bébé”. Mais voilà que ça continue, sans prévenir, parfois pour un rire trop franc ou un éternuement. Vous n’êtes pas seule. Des milliers de femmes en Belgique restent concernées par ce souci. Que cache cette persistance ? Pourquoi, malgré le temps ou les essais de rééducation, votre corps continue de vous jouer ces tours ?

Dans cet article, on parle vrai, concret, loin des tabous. On va chercher, pas à pas, pourquoi les fuites urinaires deviennent parfois des compagnons de route bien malgré nous, des années après la naissance d’un enfant. Le tout, vu sous la loupe de la kinésithérapie périnéale, ce métier souvent méconnu et pourtant capital pour la santé féminine. Pas de jargon, juste des faits et des solutions. Prêtes ? On y va.

Comprendre les fuites urinaires qui persistent : Simple fatalité ou avertissement du corps ?

“C’est dans la tête.” “Il fallait faire la gym du périnée juste après l’accouchement.” “C’est l’âge…” Qui n’a jamais entendu ces phrases ? Pourtant, la vraie question mérite d’être posée : un corps féminin, même des années après l’accouchement, ne devrait-il pas récupérer, retrouver son équilibre ? Alors, pourquoi ce tabou reste-t-il aussi solide ?

Commençons par casser une idée reçue. Toutes les fuites urinaires ne relèvent pas d’une “usure normale”. Non, ce n’est pas une fatalité. Mais il faut comprendre ce qui se passe. Pendant la grossesse, votre ventre s’arrondit, votre bébé grandit… et votre périnée subit. Imaginez une nappe fine qui, peu à peu, doit soutenir toujours plus de poids. Parfois, malgré une récupération apparente, cette nappe conserve des micro-déchirures, des faiblesses, invisibles au quotidien.

Ça pourrait s’arrêter là. Mais non. D’autres facteurs s’invitent :

  • Changements hormonaux de la ménopause qui relancent les soucis
  • Certaines cicatrices internes, jamais complètement refermées
  • Accouchements difficiles, gros bébés, forceps, ou simplement accouchements naturels à répétition
  • Hérédité : eh oui, certaines familles y sont plus exposées, question de fibres tissulaires
  • Des oublis dans la rééducation à l’époque, faute d’informations ou de prise en charge adéquate

Alors, des années après, sans forcément prévenir, ces fuites peuvent resurgir. Pour une simple course à pied, ou après une toux trop sévère. Un muscle, ça se travaille ; un réflexe, ça s’apprivoise. Sans entretien, la mécanique rouille, tout simplement. Et sachez-le : jusqu’à 40 % des femmes, proche de Liège comme ailleurs, souffrent de ce problème à un moment de leur vie.

Une anecdote « ordinaire », pas si rare que ça…

Marie, 37 ans, institutrice à Esneux. Deux beaux enfants, dernier accouchement remontant à six ans. “Tout allait bien, puis j’ai repris le step avec des copines. Dès la première séance, catastrophe : fuite à chaque saut. J’en ai pleuré de honte… et je n’en ai parlé à personne.”

Ce récit, je l’entends tous les jours. À force de taire ces gênes, beaucoup de femmes font une croix sur le sport, parfois sur leur vie sociale. C’est peut-être votre cas. Mais pourquoi devrait-on s’y résigner ?

Car derrière la fuite se cache souvent un périnée paresseux ou oublié, un plancher pelvien qui manque de tonus, voire une mauvaise coordination entre souffle, ventre et muscles intimes. Bref, une histoire de mécanique et de connexion !

Autre cause fréquente à ne pas négliger : le muscle du périnée, comme tout muscle, manque parfois d’informations ou d’exercices adaptés à la vraie vie (pas ceux appris en trois minutes à la maternité…). Sans suivi, il “oublie” son rôle, particulièrement lors d’efforts ou d’émotions.

Heureusement, des solutions existent, efficaces et modernes, en cabinet comme à la maison, même longtemps après l’accouchement.

Qui consulter ? Pourquoi la kinésithérapie périnéale reste indispensable même après plusieurs années

La bonne nouvelle, c’est qu’il y a une porte de sortie. Il n’est JAMAIS trop tard pour s’occuper de son périnée. Oui, vous avez bien lu. Réhabiliter, renforcer et reconnecter ce muscle intime, ce n’est pas réservé au post-partum immédiat. Même après dix ans, le corps garde une extraordinaire capacité d’adaptation.

Qui pour vous accompagner ? Un kinésithérapeute périnéale conventionné INAMI, spécialisée, formée à cette expertise pointue, qui connaît tant les secrets du muscle pelvien que ses blocages psychiques. Lisa MOENS, au cabinet à Esneux, travaille dans une approche résolument humaine, parfois en coordination avec médecins, urologues, sage-femmes ou psychologues selon le vécu de chaque femme.

Son approche va bien plus loin que la classique “gym du périnée”. On parle ici d’un bilan complet : évaluation manuelle précise, analyse de la posture, étude de la respiration, travail sur le core (la sangle abdominale), et surtout, pédagogie. Vous comprenez ce qui se passe, ce que vous ressentez, et pourquoi votre corps envoie ces signaux.

Parfois, une simple technique ou un mot juste débloque tout. Par exemple : apprendre à “fermer le plancher” à chaque éternuement, coordonner sa respiration sur l’expiration, ou réapprendre les réflexes de protection automatique. Ce sont de petits outils, mais ils changent le quotidien ! De nombreuses femmes repartent libérées, avec un mode d’emploi personnalisé. Bien sûr, chaque cas est unique – certaines auront besoin de quelques séances, d’autres d’un suivi plus long, surtout après des antécédents comme des interventions chirurgicales ou des accouchements très compliqués.

On l’ignore trop, mais la kinésithérapie périnéale est prise en charge (sur prescription médicale) dans un cadre conventionné en Belgique. Un soulagement financier… et psychologique ! Exit la honte, place à l’écoute et à la reconstruction. D’ailleurs, plusieurs articles détaillent cet accompagnement, que ce soit pour prévenir des infections urinaires (prévenir les infections urinaires) ou traiter des suites de cystite (rééquilibrer le corps après des cystites chroniques).

À retenir : On n’est jamais “trop vieille” ou “trop loin” de son accouchement pour oser (re)prendre soin de soi. Prendre rendez-vous, c’est le premier pas.

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

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Comment la kinésithérapie périnéale peut vous aider à tourner la page ?

Vous vous demandez comment se déroule une vraie prise en charge ? Très loin de l’image poussiéreuse du “simple coussinet à contracter”. Ici, chaque séance est pensée comme une enquête personnalisée. Décortiquons.

Première étape, le bilan. À quoi sert-il ? Mettre en lumière les maillons faibles du système. Tonus du périnée : faible, moyen ou trop tendu ? Coordination du diaphragme ? Blocages abdominaux ? Patientes sportives, sédentaires ? Nombre d’accouchements ? Interventions médicales précédentes ? Douleurs, inconforts, fatigue, vie sexuelle perturbée ? Tout compte. Seule une analyse globale permet d’ajuster la prise en charge.

Ensuite, place à la rééducation ! Ici, on parle de techniques modernes, validées scientifiquement – ce n’est pas “à l’ancienne”. Quelques exemples :

  • Biofeedback pour visualiser les contractions (voir en direct comment vos muscles réagissent).
  • Mobilisations douces pour réveiller les reflexes intéroceptifs : “Mon corps se rappelle comment fermer la porte quand il faut”
  • Exercices de respiration et gestion du souffle, car souvent, périnée et diaphragme travaillent main dans la main
  • Travail sur la posture et la sangle abdominale profonde (le fameux transverse !)
  • Conscientisation du corps dans le quotidien, pour transposer les progrès loin de la table de kiné

C’est ici que la magie opère. Beaucoup de patientes disent “avoir redécouvert leur corps”, simplement parce qu’enfin, elles comprennent pourquoi il bloque, et ce qu’il faut faire différemment.

Et pour celles qui ont tenté des exercices seules, sur YouTube ou Instagram, sans succès… sachez-le : rien ne vaut l’ajustement en cabinet ou en coaching personnalisé. Parfois, un petit détail fait toute la différence : angle du bassin, force du souffle, rythme, correction d’un mauvais réflexe.

Un point clé : cette démarche n’est pas négligeable même plusieurs années après l’accouchement. Loin d’être un luxe, c’est un investissement dans votre confort, votre liberté, votre confiance en vous. Oui, cela demande du courage, parfois un peu de temps. Mais, à la clef, le retour de l’autonomie, le plaisir de reprendre le sport, la vie sociale décomplexée… et surtout, des nuits sans crainte de fuite.

Pour mieux comprendre pourquoi certaines femmes restent sujette à ces fuites nocturnes, n'hésitez pas à consulter l'article paru sur les pertes urinaires nocturnes.

Un dernier mot pour celles qui hésitent : il y a souvent une dimension émotionnelle… Peur du regard, peur de “revenir en arrière”, honte de parler d’intimité. Mais la prise en charge en cabinet est toujours confidentielle, respectueuse et, surtout, portée par une écoute sincère. N’ayez pas peur d’en parler. Ne gardez plus ce secret pour vous – le premier rendez-vous est souvent le plus difficile, mais c’est surtout le dernier avant le vrai changement.

Le rôle central de l’approche globale et multidisciplinaire chez les femmes

Vous l’aurez compris, derrière les fuites urinaires, il y a rarement une cause unique. D’où l’intérêt de travailler en équipe, en véritable synergie de soins. Chez Lisa MOENS, kinésithérapeute périnéale à Esneux, le réseau est une force : médecin généraliste, sage-femme, gynécologue, parfois urologue si besoin. Parce que chaque femme, chaque périnée a son histoire, son historique, ses sensibilités uniques.

Le secret de la réussite ? S’adapter à chaque étape de vie. Prendre le temps d’explorer d’autres soucis fréquents : endométriose, douleurs chroniques, épisodes de cystites récidivantes ou suites de chirurgie. En rapprochant les connaissances, on détecte parfois des blocages hors du périnée lui-même : fatigue chronique, habitudes de vie qui freinent la récupération, carences nutritionnelles… Ou tout simplement, des peurs et croyances qui bloquent le progrès, insidieusement.

Loin de l’image du protocole unique, ici, c’est du sur-mesure, chaque séance étant un tissage humain, alliant exercices, encouragements, conseils pour la vie quotidienne. Parce que le problème n’existe pas “que sur la table” – il accompagne partout, dans la tête, dans le couple, dans la gestion du quotidien.

Et si la rééducation du périnée pouvait devenir la porte ouverte à une reconnexion à soi ? Résoudre la fuite, c’est commencer par écouter son corps. C’est aussi prévenir d’autres soucis à venir : infections, douleurs pelviennes, perte de confiance, repli social… Par ailleurs, plusieurs articles à destination des femmes évoquent ce lien fondamental : n’hésitez pas à découvrir le rôle de la kinésithérapie périnéale dans la prévention des cystites ou dans des situations spécifiques décrites sur l'approche complémentaire de la kinésithérapie pour la santé périnéale féminine.

Dans les environs de Liège, la prise en charge de ce type de troubles s’est d’ailleurs grandement développée, et il n’est plus rare de croiser une patiente qui explique avec humour avoir “retrouvé sa jeunesse” après quelques séances. Les mots des patientes sont toujours ceux-ci : soulagement, libération, regain d’énergie, espoir. Parfois, la vie recommence “aux alentours de Liège”, sans filtre ni peur du regard des autres.

Bien sûr, chaque histoire est unique. Mais la science est formelle : la rééducation fonctionne dans la durée, pourvu qu’on prenne le temps, même si le parcours nécessite parfois une implication à long terme.

FAQ – Questions fréquentes

Pourquoi ai-je encore des fuites urinaires plusieurs années après mon accouchement ?
Votre périnée peut avoir gardé des séquelles invisibles longtemps après la grossesse, notamment des faiblesses musculaires ou des réflexes mal réapparus. Des facteurs comme l’âge, la ménopause, ou une mauvaise coordination abdos-périnée majorent ces risques. Une prise en charge tardive en kinésithérapie périnéale permet souvent d’y remédier efficacement.

Comment la kinésithérapie périnéale peut-elle m’aider même longtemps après l’accouchement ?
Grâce à un bilan précis et des exercices ciblés, le kinésithérapeute périnéale aide à restaurer la tonicité et le réflexe de fermeture du périnée. Même plusieurs années après, ces muscles répondent à une rééducation adaptée, intégrant posture, respiration et gestes quotidiens.

Quand dois-je penser à consulter un spécialiste du périnée pour mes fuites ?
Dès que les fuites deviennent gênantes ou impactent votre quotidien (sport, rires, vie sociale), il n’est jamais trop tôt ni trop tard. Un spécialiste évaluera les causes et proposera une approche personnalisée pour retrouver votre confort.

Faut-il une prescription médicale pour consulter une kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI à Esneux ?
Oui, une prescription du médecin permet la prise en charge selon les modalités INAMI en Belgique. Cela assure un accompagnement conventionné, avec remboursement, auprès de votre kinésithérapeute agréée.

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