Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76
Perte de plaisir : ce terme résonne chez de nombreux individus, traversant périodes de doute, de fatigue ou de remise en question – individuellement ou en couple. Ce malaise pesant, discret mais envahissant, peut se traduire différemment selon l’histoire de chacun. Certains le vivent comme une absence totale de sensations durant les rapports, voire une aversion pour la sexualité. Pour d’autres, il s’agit d’une perte d’envie, de désir, ou d’un plaisir autrefois éclatant devenu terne, mécanique, ou trop rare. Qu’il s’agisse d’une absence d’orgasme, d’une sexualité routinière, ou d’une lassitude généralisée, la perte de plaisir est aujourd’hui une des premières causes de consultation chez la sexologue. Pourtant, il existe de multiples voies pour s’en libérer et réinventer son rapport à soi, à l’autre, et à la sexualité.
Aborder le sujet de la perte de plaisir sexuel est essentiel tant il touche à l’intimité et au bien-être général. Or, on l’oublie souvent : sexualité ne rime pas systématiquement avec spontanéité ni avec magie naturelle. Elle s’inscrit dans une dynamique de santé globale, en lien étroit avec l’affectif, le mental, le corps, et le contexte du couple. La société actuelle, en Belgique comme ailleurs, impose une exigence de performance sexuelle et de jouissance immédiate, créant parfois autant d’attentes que de pressions. Difficile dans ces conditions de garder une relation vivante et authentique au plaisir, et de s’écouter profondément.
Lorsque le plaisir disparaît – brutalement ou en s’étiolant peu à peu –, cela met en lumière un déséquilibre : stress, routine, difficultés communicationnelles, facteurs physiologiques ou psychologiques, vécu du corps, croyances héritées, blessures passées, ou tout simplement éloignement au sein du couple. Ces facteurs sont souvent imbriqués. Il est alors naturel, mais pas facile, de se tourner vers une sexologue expérimentée à Liège ou ailleurs pour être accompagné, entendu et conseiller. Dans cet article inédit, nous allons plonger dans les réalités de la perte de plaisir, explorer les différentes causes, déconstruire les tabous, et détailler les solutions concrètes proposées par votre sexologue. Nous verrons comment, pas à pas, il est possible de renouer avec ses sensations, revitaliser son lien à l’intimité et retrouver une sexualité vivante et pleine de sens.
Cet article complet de 5500 mots s’adresse à toutes personnes confrontées à un essoufflement du plaisir sexuel, célibataires ou en couple, hommes comme femmes. Spécifiquement conçu pour le public francophone des consultations en sexologie aux alentours de Liège, il offre un éclairage scientifique sérieux, de la curiosité, des conseils et des pistes d’accompagnement authentiques. Un seul objectif : montrer qu’aucune perte de plaisir n’est une fatalité, surtout lorsqu’on avance avec la bonne écoute et l’accompagnement professionnel adapté.
Avant même de chercher des solutions, il est fondamental de comprendre ce qui se joue dans la perte de plaisir sexuel : qu’entend-on exactement par « plaisir » ? Comment le corps, le cerveau, nos expériences, notre relation à l’autre interviennent-ils dans la genèse (et parfois la disparition) du plaisir ? Quelles sont les formes que prend ce symptôme, les enjeux derrière et les conséquences sur la vie quotidienne ?
Définir le concept de plaisir sexuel paraît simple, mais il recouvre des réalités multiples et subjectives. À l’échelle physiologique, le plaisir sexuel désigne l’ensemble des sensations agréables liées à l’excitation érotique, allant des prémices du désir à la satisfaction ou l’orgasme. Il se manifeste par des réponses neurologiques, hormonales et corporelles (libération de dopamine, endorphines, contraction musculaire, modification du rythme cardiaque, etc.). Mais ce plaisir est aussi un vécu psychique, émotionnel, relationnel. Chacun le ressent différemment, en fonction de son histoire, de son identité, de son éducation à la sexualité, de ses croyances… Il n’existe pas un « plaisir sexuel » uniforme, mais une mosaïque de plaisirs, de degrés d’intensité, de scénarios.
Quand parle-t-on de perte de plaisir ? Peut-on la mesurer, la quantifier ? La sexologie distingue plusieurs nuances :
Le plaisir sexuel est fragile car il dépend de facteurs imbriqués : le corps et son fonctionnement (hormones, santé, sensibilité), mais aussi le mental (stress, anxiété, estime de soi), le contexte relationnel (qualité de la communication, écoute mutuelle, routine), le passé (traumatismes éventuels, expériences décevantes, croyances), et le poids du regard social. Il est normal, au cours de la vie, de voir son plaisir évoluer selon les âges, la santé, les événements de vie, la dynamique du couple.
Mais lorsque les difficultés deviennent persistantes, qu’elles provoquent frustration, doute, voire souffrance, il ne faut pas les minimiser ni les vivre dans la culpabilité. C’est alors que l’écoute et l’accompagnement sexologique prennent tout leur sens : sortir de l’isolement, poser des mots, identifier les mécanismes, s’autoriser à explorer autrement sa vie intime.
Le travail de la sexologue à Liège s’appuie sur cette compréhension globale : un symptôme sexuel est rarement isolé, il témoigne souvent d’une demande de sens plus large. C’est pourquoi chaque accompagnement débute par une phase d’anamnèse (histoire personnelle, relationnelle, sexuelle), de dialogue bienveillant, permettant de cerner les racines multiples de la perte de plaisir et de définir des axes de travail personnalisés. Ce n’est qu’en réunissant toutes ces pièces du puzzle qu’on peut réinventer un plaisir qui a du sens pour soi.
Au-delà de l’apaisement du symptôme, cette démarche permet aussi de prévenir d’autres conséquences : repli sur soi, conflits de couple, doutes identitaires, anxiété, voire dépressions. La perte de plaisir n’est jamais anodine ; elle questionne notre rapport au corps, à l’autre et au monde. L’accompagnement professionnel vise ainsi à restaurer le droit au plaisir, réapprendre à s’écouter, se (re)découvrir et se donner l’espace d’une sexualité épanouissante, quelle que soit sa forme.
Pour des informations complémentaires sur l’impact de la routine dans le couple sur le plaisir, n’hésitez pas à consulter cet article détaillé sur le site d’Esneux Médical.
Comprendre la multitude de causes sous-jacentes est essentiel puisqu’aucune perte de plaisir ne ressemble à une autre. Chaque individu est unique dans sa construction de l’intimité. Les consultations en sexologie montrent qu’il est très rare de n’identifier qu’un seul facteur à l’origine de la baisse de plaisir : le tableau est toujours complexe, imbriquant plusieurs dimensions (psychologique, physiologique, conjugale, sociale). Cette section va détailler les principales causes, illustrant à quel point l’écoute et le diagnostic de la sexologue sont précieux.
Facteurs psychologiques : Ce sont les plus fréquemment identifiés en consultation. Le plaisir étant étroitement lié à l’état mental, il est très sensible au stress, à l’anxiété, à la fatigue chronique, mais aussi à la dépression ou au traumatisme passé :
Facteurs biologiques : Le corps physique influence aussi la capacité à ressentir du plaisir, tant du côté féminin que masculin :
Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège
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Facteurs relationnels : La façon dont le plaisir se vit (ou ne se vit pas) en couple est déterminante :
Influence du contexte social : La pression pour « réussir sa sexualité », véhiculée par les médias, le cinéma, les réseaux sociaux, impacte la perception de soi comme « normal/sexy/performant ». On cherche à correspondre à des stéréotypes, oubliant que le plaisir relève d’abord du ressenti authentique. Les schémas hérités (mythes sur l’orgasme, répartition des rôles homme/femme) sont aussi à questionner.
L’importance du diagnostic différentiel : Devant toute perte de plaisir, la sexologue doit éliminer, via un questionnement précis (et parfois un bilan médical complémentaire), les causes purement physiologiques nécessitant une prise en charge spécifique (trouble vasculaire, neurologique, pathologie endocrinienne…).
Enfin, il n’est jamais inutile de rappeler qu’aucune cause n’exclut l’autre ; il s’agit toujours d’une **interaction multicausale**. Seul un professionnel de la sexologie, expérimenté et bienveillant, peut aider à démêler les fils, comprendre ce qui, dans l’histoire et le présent de la personne ou du couple, a conduit à l’éloignement du plaisir.
Des ressources existent également pour gérer la baisse de libido avec une sexologue spécialisée.
Face à la perte de plaisir, la tentation est forte de croire qu’« il faut s’y faire » ou qu’il s’agit simplement de « faire plus d’efforts ». Mais la clé d’un accompagnement réussi repose sur une écoute multidimensionnelle, un pas de côté, un travail progressif permettant de redéployer la sexualité au-delà du symptôme. La sexologue est formée pour proposer ce cadre unique, sécurisé, non-jugeant, où chaque problématique trouve sa place et chaque solution est sur-mesure.
L’accompagnement sexologique s’articule autour de plusieurs étapes fondamentales, conçues pour répondre à la complexité émotionnelle et relationnelle du plaisir :
1. L’anamnèse et le diagnostic personnalisé
La première étape consiste à écouter le récit de la personne (ou du couple), sans jugement : historique des difficultés, contextes d’apparition, antécédents médicaux, mode de vie, événements ayant coïncidé avec la perte de plaisir, fonctionnement général de la vie sexuelle actuelle (fréquence, qualité, attentes, routine, éventuelle douleur, pensées associées, etc.). Cette phase est capitale, car elle pose le diagnostic différentiel : la perte de plaisir est-elle principalement physiologique, émotionnelle, relationnelle, ou un mélange de tout cela ? Des questionnaires spécifiques, des tests standardisés sur l’état psychique, la fatigue, la satisfaction sexuelle peuvent compléter l’entretien.
2. L’éducation sexuelle et la déconstruction des tabous
Une part essentielle du travail porte sur la réinformation, la déculpabilisation et la remise en perspective. Beaucoup de blocages viennent d’une mauvaise connaissance du corps, de la physiologie du plaisir, ou de fausses croyances (sur la fréquence « normale », l’orgasme, le « devoir conjugal »…). La sexologue à Liège aide à déconstruire les mythes, expliquer les cycles du désir, les variations interindividuelles, le poids des normes sociales. Ouvrir la parole, exprimer ses angoisses, reconnaître ses droits à l’expérimentation, sont déjà des leviers pour renouer avec son plaisir.
3. L’exploration des causes personnelles, corporelles et psychiques
Comprendre ce qui, dans le vécu, les expériences passées, les croyances, empêche d’accueillir le plaisir. Cela suppose parfois d’aller revisiter un traumatisme, un rapport conflictuel au corps, un stress professionnel ou parental… L’accompagnement favorise un pas de côté, un regard neuf sur soi, mieux connaître son fonctionnement sexuel, ses valeurs et désirs profonds, ses « déclencheurs » de plaisir ou de blocage.
4. Le travail corporel : (re)découverte sensorielle et reconquête du désir
Bien des sexologues travaillent aujourd’hui main dans la main avec des kinés, des praticiens du bien-être corporel. Les exercices de mobilisation sensorielle (massages, respiration, relaxation, autosensibilisation, pleine conscience, yoga sexuel, etc.) permettent de renouer, sans performance, avec les sensations perdues ou ternies. La méthode des « Sensate Focus » (popularisée par Masters et Johnson) propose une série d’étapes pour explorer à nouveau le corps, seul(e) ou à deux, sans pression d’atteinte à un résultat précis. Ce lâcher-prise corporel, progressif, redonne sa place au toucher, au jeu, à la surprise, et casse la routine associée à la perte de plaisir.
5. L’accompagnement du couple : dialogue, créativité et projets partagés
Lorsqu’il s’agit d’une problématique à deux, la sexologue intervient comme médiatrice de la parole, restauratrice de confiance, stimulatrice d’imagination érotique. Des exercices de couple sont proposés : communication sur les attentes, partage de fantasmes, expérimentation de nouvelles pratiques, rituels de découverte érotique, jeux de rôle, écriture érotique, sorties à thème… Tout ce qui peut redonner un élan à l’intime, loin de la codification rigide. On apprend à créer un espace de jeu et de partage, parfois à réapprendre à séduire, s’autoriser à demander, s’ouvrir à la nouveauté. Le couple se (re)découvre, apprend à sortir des schémas connus, à déployer une sexualité renouvelée où chaque partenaire se sent libre et reconnu dans ses besoins.
6. Le suivi et la consolidation : refixer les acquis et prévenir les rechutes
L’accompagnement par la sexologue ne s’arrête pas à la simple disparition du symptôme. Il s’agit d’installer durablement de nouvelles manières de vivre la sexualité, de prévenir la réapparition des anciens « pièges » : routine, repli sur soi, pression de performance. Un temps est consacré à faire le point : qu’ai-je découvert sur moi ? Quelles sont les stratégies qui fonctionnent ? Comment vais-je intégrer cette nouvelle dynamique dans mon quotidien ? Cette phase de consolidation, où la personne (ou le couple) s’approprie ses nouveaux outils, est déterminante pour une sexualité durablement épanouie.
Ces différentes étapes sont toujours personnalisées : il n’existe pas de protocole type, mais une dynamique ajustée au vécu de chacun. Il est également possible de bénéficier d’un relais avec d’autres professionnels (psychologue, médecin, sophrologue, thérapeute de couple) si nécessaire – le travail pluridisciplinaire étant souvent la clé du succès.
Pour mieux comprendre l’apport des consultations sexologiques, notamment dans l’accompagnement des couples, cet article aborde le renforcement de l’intimité sexuelle à Liège.
Face à la perte de plaisir, la tentation du fatalisme ou du repli sur soi est grande. Pourtant, l’expérience en sexologie montre que chaque changement, même minime, peut provoquer un effet domino et relancer la dynamique intime. Il est possible de réinventer son rapport au plaisir, d’ouvrir de nouveaux espaces de rencontre avec soi et l’autre, et d’installer une sexualité plus fidèle à ses désirs profonds.
La démarche thérapeutique invite d’abord à reconnaître que la sexualité – loin d’être linéaire et immuable – se construit, se renouvelle, et s’adapte. Il n’existe pas de « solution miracle » mais un chemin d’exploration au long cours. Voici quelques clés essentielles pour instaurer un changement durable :
1. Lâcher prise sur la performance sexuée
Sortir des injonctions (« réussir l’orgasme », « satisfaire l’autre », « être normal ») et écouter d’abord ses propres sensations, ses rythmes, ses besoins. Oser « dédramatiser » la perte de plaisir, la voir comme une invitation à réinterroger ses pratiques ou ses désirs, non comme un échec.
2. Découvrir la sexualité comme espace de jeu et de créativité
Le plaisir n’est pas monotone : il est fait de surprises, de prises de risque, de nouveautés. Changer de décor, d’habitudes, tester une nouvelle gestuelle, écouter ensemble un podcast érotique, écrire ses fantasmes, s’amuser à séduire différemment… sont autant de pistes pour réenchanter sa vie intime.
3. Revenir à soi, à son corps, à ses émotions
La (re)découverte de la sensualité passe aussi par des cheminements individuels : prendre soin de son corps, renouer avec ses sensations plurielles (musique, danse, massages, sport…), identifier ses « moments ressources » où l’on se sent bien, apprendre à demander ce qui fait du bien et à dire un vrai « non » à ce qui ne procure pas de plaisir.
4. Construire un dialogue réel avec son/sa partenaire
Mettre en mots, sans accusation ni honte, ce que l’on traverse. Parler de ses fantasmes, de ses peurs, de ses manques… Exprimer la gratitude aussi, identifier ensemble ce qui nourrit la complicité. La communication sincère sur le registre du plaisir (et du non plaisir) renforce la confiance, aide à ajuster les attentes, et favorise une sexualité plus horizontale, respectueuse, joyeuse.
5. Intégrer dans la durée les découvertes faites en sexothérapie
Une des clés du succès est la capacité à pérenniser les avancées faites en séance. Cela suppose d’oser pratiquer dans le quotidien, parfois d’instaurer des rituels (soirées dédiées, jeux à thèmes, challenges à partager…), et surtout d’oser demander du soutien si la difficulté revient. La démarche préventive, la vigilance à ne pas retomber dans la routine, assurent une vie sexuelle vivante.
6. Accepter que la sexualité évolue avec la vie
Les métamorphoses du corps, des émotions, du lien de couple obligent à ajuster en permanence notre rapport à la sexualité. Ce n’est pas un signe d’échec, mais de maturité. La vie intime idéale n’existe pas : il y a des phases de creux, de remontée, de découverte. Cela vaut aussi bien en individuel qu’en famille recomposée, en couple long terme, après une séparation ou une trahison affective.
N’oublions pas que l’accompagnement sexologique ne vise pas « la normalité », mais la cohérence et l’épanouissement individuel. C’est ce que proposent les consultations en sexologie à Liège : écouter, ouvrir, accompagner sur tous les plans – psychique, physique, émotionnel, relationnel et même spirituel, si tel est le souhait de la personne.
Pour aller plus loin sur l’importance de la parole et la gestion des silences dans le couple, vous pouvez explorer cet article dédié au silence sexuel dans les couples.
Enfin, il est parfois nécessaire de faire appel à la sexologue pour accompagner des contextes de vie spécifiques : post-accouchement, pathologie chronique, orientation sexuelle ou identité de genre, expériences passées douloureuses. Le réseau d’accompagnement en Belgique permet aujourd’hui un suivi éthique, bienveillant, pluridisciplinaire et confidentiel, respectueux du rythme et de la singularité de chaque patient.
Comment reconnaître une vraie perte de plaisir sexuel par rapport à une simple baisse de désir ?
Une vraie perte de plaisir sexuel se manifeste par l’absence ou la diminution notoire des sensations agréables lors de l’acte, même si le désir est présent. Si c’est uniquement le désir qui baisse mais que le plaisir revient dès que l’activité sexuelle commence, il s’agit plutôt d’un trouble du désir. La distinction est importante pour choisir l’accompagnement adapté.
Pourquoi consulter une sexologue en cas de perte de plaisir sexuel ?
Consulter une sexologue permet d’identifier les causes profondes de la perte de plaisir, grâce à un regard objectif et bienveillant. La sexologue propose des outils personnalisés pour restaurer le dialogue, réinvestir la sensualité et retrouver une sexualité épanouie, seul ou en couple. Un accompagnement individualisé aide à sortir de la culpabilité ou de l’isolement.
Quand faut-il s’inquiéter d’une perte de plaisir sexuel durable ?
Il est recommandé de consulter si la perte de plaisir persiste depuis plusieurs semaines ou mois, qu’elle provoque une souffrance ou entrave la vie quotidienne ou relationnelle. Une intervention rapide évite que le trouble ne s’installe, permettant de préserver l’estime de soi et la dynamique du couple.
Faut-il être en couple pour commencer une sexothérapie autour de la perte de plaisir ?
Non, la perte de plaisir peut tout à fait être prise en charge individuellement, car elle concerne souvent une démarche personnelle avant d’être conjugale. La sexologue accompagne selon la situation de chacun, en individuel ou en couple, selon le contexte et les besoins exprimés lors du premier entretien.
1. Brotto LA, Klein C, Gorzalka BB, et al. "A review of sexual function measures for use in clinical trials in men and women: Research and clinical applications." Journal of Sexual Medicine, 2010. Synthèse sur les outils d’évaluation de la fonction et du plaisir sexuels.
2. Basson R. "Women’s sexual dysfunction: revised and expanded definitions." CMAJ, 2005. L’article pose les bases de la compréhension multidimensionnelle de la perte de plaisir chez la femme.
3. Mitchell KR, Wellings K, Nazareth I, et al. "Attitudes towards sexual pleasure, sexual problems and help seeking among adults in Great Britain: analysis of Natsal-3." Sex Transm Infect, 2019. Exploration des tabous et des freins à la consultation en sexologie.
4. McCabe MP. "Relationship factors in the development and maintenance of sexual dysfunction." Curr Opin Psychiatry, 2005. Revue sur l’impact des dynamiques conjugales dans la perte de plaisir sexuel.