Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
Parlons franchement. La libido en baisse chez la femme, c’est tellement courant qu’on en oublierait presque comment elle peut bouleverser une vie. Beaucoup de femmes se retrouvent un matin à se demander : « Mais où est passé mon désir ? » Ce n’est pas seulement une question honteuse glissée en fin de consultation. C’est un tsunami discret dans le quotidien, un grain de sable qui fait crisser toute la machine, à la maison comme sous la couette. Pourquoi le désir sexuel féminin s’enfuit-il parfois ? Quelles sont les causes les plus fréquentes ? S’agit-il seulement d’une passade ou doit-on s’en inquiéter ? Détrompez-vous : ce n’est pas juste la fatigue ou les hormones. C’est souvent bien plus complexe. Plongeons au cœur de la question, pour (re)trouver l’envie.
Mais avant tout, n’oublions jamais ceci : demander de l’aide, ça change tout. Sexologue – Mme Sabrina Bauwens reçoit chaque semaine des femmes qui pensent être seules à vivre ce mal-être. Elles repartent soulagées. Vous aussi, vous pouvez franchir le pas. Laissez-nous vous guider, étape par étape.
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Des chiffres concrets d’abord : selon plusieurs enquêtes européennes, près d’une femme sur trois déclare connaître des baisses de libido régulières. C’est énorme, non ? Et pourtant, le sujet reste tabou, enveloppé de non-dits et d’excuses souvent toutes faites : « Je suis fatiguée », « ce n’est pas le moment », « ça va passer ». Mais parfois, cela ne passe pas. Pourquoi ?
Le dérèglement de la libido féminine n’a jamais une seule cause. Il ressemble plus à un puzzle dont les pièces sont éparpillées : hormones, stress, couple, estime de soi… Certaines pièces disparaissent sans prévenir. D’autres s’usent à force de trop tirer dessus. Un peu comme une machine à café qu’on néglige, un matin elle refuse de démarrer. Et c’est la panique.
Première cause, souvent citée en consultation : la fatigue chronique. Celle qui colle à la peau, même après une nuit complète. Les femmes jonglent entre travail, famille, enfants, parfois proches dépendants… Un marathon sans fin. Forcément, à force, l’énergie dédiée au plaisir diminue, remplacée par le simple besoin de survie quotidienne. Le cerveau, trop sollicité, fait passer la sexualité au second plan. Vous reconnaissez la sensation ? Cette « charge mentale » dont on parle tant, elle a un effet direct sur le moteur du désir. Un moteur qui tourne à vide.
Ensuite viennent les variations hormonales. Après l’ovulation, juste avant les règles, pendant la grossesse, autour de la ménopause. Sans surprise, chaque bouleversement du corps féminin influe sur la sexualité. Parfois, la chute de testostérone – oui, même chez la femme ! – joue les trouble-fête. Pour d’autres, c’est la pilule ou certains médicaments qui agissent en sous-main, comme un toxique invisible qui coupe le courant.
Un autre élément s’invite souvent sans faire de bruit : la charge émotionnelle. Se sentir mal dans son corps, avoir vécu un accouchement difficile, porter un regard critique sur son image… La libido, c’est aussi du mental. Une estime de soi en berne ou des souvenirs douloureux cassent l’élan du désir. Peut-être que vous avez déjà ressenti cette gêne persistante ? Refus d’être touchée, impression d’être « éteinte », comme si la vie était en pause. << La sexualité, c’est aussi le reflet de notre bien-être global >>, peut-on entendre dans le cabinet de Sexologue – Mme Sabrina Bauwens.
A tout cela s’ajoutent les problèmes de couple (communication en panne, routine, conflits larvés) et l’impact du passé (abus, violences conjugales, traumatismes non digérés…). Les causes psychologiques ne comptent pas pour du beurre : elles pèsent lourd dans la balance du désir. Quand le lien affectif s’effiloche, la libido vacille. L’histoire de Julie, 42 ans, illustre bien ce glissement : « Depuis que les tensions sont revenues entre nous, je n’ai plus envie. Mon corps me dit ‘non’, même si ma tête voudrait parfois dire ‘oui’. »
En résumé ? La baisse de libido féminine n’est pas anodine. C’est un signal d’alarme du corps et du cœur. N’ignorez pas ce message : il mérite de l’attention, pas de la honte.
Le bal des hormones. Voilà un terme qui revient sans cesse chez la sexologue. Les œstrogènes, la progestérone, la testostérone… Trois danseurs, chacun avec ses variations et rythmes. Leur mission ? Orchestrer l’équilibre du désir, de la lubrification, de la sensibilité érotique. Quand l’un d’eux s’emballe ou flanche, le corps accuse le coup. On croit parfois que la testostérone ne concerne que les hommes. Grave erreur ! Sa baisse impacte la libido chez la femme aussi fort que chez l’homme.
Pendant la grossesse, l’allaitement ou la ménopause, c’est un feu d’artifice hormonal. Certaines femmes se découvrent soudain avides de plaisir, alors que d’autres se sentent anesthésiées. Aucune règle précise, juste une valse unique pour chaque histoire. Après un accouchement, beaucoup de femmes aux alentours de Liège vivent cette transition étrange : « Mon envie a disparu d’un coup, comme si mon corps n’était plus le mien. » Vous vous demandez pourquoi ? C’est souvent la chute hormonale, doublée d’un épuisement bien réel.
Le rôle des hormones n’est pourtant qu’une pièce du puzzle. On oublie souvent le poids des médicaments : antidépresseurs, traitements hormonaux, certains antihypertenseurs. Ils peuvent agir comme un couvercle sur la marmite du désir. Les traitements pour l’endométriose, le SOPK, ou encore certaines maladies chroniques ne font pas mieux. Face à ce constat, la question revient sans cesse : quid de la solution magique ? Elle n’existe pas, bien entendu.
Ce qui rassure, c’est que la science avance. Les chercheurs étudient le lien entre libido et hormones chez la femme à la loupe (voir par exemple cet article sur le rôle des hormones dans la libido féminine). Ils montrent que certaines périodes de la vie, particulièrement la ménopause, sont associées à une diminution naturelle du désir, mais cela n’est pas une fatalité. La reprise du désir est possible, souvent en accompagnement personnalisé. Ce n’est donc pas une malédiction, mais un phénomène qu’on peut comprendre… et apprivoiser.
A la frontière du corps physique et du psychisme, l’équilibre est subtil. Pensons, par exemple, à l’image de soi. Après une chirurgie, une maladie, une prise de poids, le sexe peut devenir un sujet « radioactif ». Certaines femmes déclarent même se sentir « invisibles » en tant que femmes désirables. La confiance en soi n’est pas un bouton qu’on allume, mais on peut la restaurer ! Dans son cabinet à Liège, Sabrina Bauwens reçoit des femmes de tous âges qui souhaitent faire ce chemin, étape par étape.
Mettons aussi en lumière le stress, ce fameux voleur de désir. Stress aigu, stress de performance, stress au travail… ils éteignent la flamme aussi sûrement qu’un seau d’eau froide. Parfois, il suffit d’un léger changement dans le mode de vie (repos, activités apaisantes, nouvelle communication dans le couple) pour voir des signes de reprise du désir. Mais souvent, il faut un accompagnement professionnel. Vous en doutez ? Parcourez cet article sur les conseils pratiques pour relancer la sexualité du couple, vous verrez que des solutions existent !
Parlons maintenant de consultation. Comment se déroule une prise en charge ? Pas de tabou. Une première rencontre avec une sexologue comme Madame Bauwens permet avant tout de déposer ses difficultés, faire le point, parler sans peur du jugement. À chaque étape, il est possible de découvrir d’où vient cette baisse de libido, puis d’agir (thérapie sexuelle, conseils pratiques, parfois collaboration avec votre médecin traitant). En Belgique, l’accès à la sexologie s’est démocratisé : vous n’êtes pas seules à franchir le pas, loin de là !
Et non, la confiance dans le couple ou l’entente sexuelle ne sont pas réservées aux ‘autres’. Vous aussi, vous pouvez retrouver plaisir et envie. La libido se soigne : voilà le message à retenir.
Le moment de vérité, souvent, arrive de façon insidieuse. Les rapports s’espacent. Les caresses aussi. Le désir s’enfuit, sans précipitation, mais un matin on réalise que c’est le désert affectif. Qui en parle d’abord ? Rarement la femme, parfois le partenaire, le plus souvent… personne. La honte, le doute, l’idée de ne « pas être normale » enferment dans le silence. Et c’est bien là le piège.
Première étape : reconnaître la situation. Nier, se dire « c’est dans ma tête », ou attendre que ça passe, ne fonctionne qu’un temps. Le désir est un thermomètre de l’état intime. Sentir le malaise, la perte d’élan, l’irritabilité devant une sollicitation, c’est déjà pointer du doigt la difficulté. Les symptômes ne mentent pas : chute d’intérêt, plaisir en berne, douleurs possibles (sécheresse vaginale, vaginisme), perte de spontanéité. Parfois, la simple idée d’une étreinte fatigue. Ça vous parle ? Ce n’est pas une fatalité.
Un exemple tout simple : Clara, 38 ans, raconte : « Depuis quelques mois, je trouve toutes les excuses pour éviter les rapprochements. Journée à rallonge, enfants en bas âge, et pourtant… Je sens bien que ce n’est pas que ça. Je me sens absente à moi-même, comme flottante. » Ce « flottement du désir » est un signal classique, que la sexologie prend très au sérieux.
Quand consulter ? Dès que la perte de désir empoisonne la vie de couple ou blesse l’estime de soi. Le silence est le pire ennemi : il aggrave l’isolement. Les femmes qui consultent sont surprises en séance… la plupart pensent être des cas à part. Pourtant, le problème est universel. Aux alentours de Liège, la baisse de libido féminine est l’un des motifs les plus fréquents de consultation, bien avant les troubles purement médicaux. La prise en charge spécialisée est adaptée à chaque histoire.
Deuxième étape : s’autoriser à être écoutée. La consultation sexologique, ce n’est pas une série de questions gênantes. C’est un espace neutre, protégé, pour déposer son histoire. On y décortique le quotidien, le rythme du couple, la vie intérieure. On explore aussi le passé, les blessures enfouies, la place de la sexualité dans la vie d’aujourd’hui. Se comprendre, c’est déjà entamer la réparation. Et surtout, c’est sortir du schéma « le désir devrait être spontané ».
Derrière chaque baisse de libido, il y a un parcours unique. Parfois, la solution est simple : réaménager le quotidien, libérer du temps pour soi, retrouver la complicité du couple. D’autres fois, une thérapie de couple s’impose, ou un soutien individuel lorsqu’il s’agit de traumatismes ou de problématiques d’estime de soi. Une sexologue comme Sabrina Bauwens met en place une stratégie concrète, personnalisée, basée sur la parole et sur des exercices adaptés. C’est tout sauf une approche « catalogue ». L’écoute, c’est la clé. On n’avance jamais seule, même si tout commence par une démarche personnelle.
Troisième étape : agir sur les causes physiologiques quand elles sont identifiées. Il peut s’agir d’un déséquilibre hormonal confirmée par bilan sanguin, d’un traitement à revoir (parlez-en à votre médecin), de troubles douloureux à soigner (infections, sécheresse vaginale, etc.). De petits changements parfois suffisent : intégrer des moments pour soi, pratiquer la relaxation ou le yoga, redonner une place à la sensualité au quotidien (bain, massages, moments de tendresse en dehors du rapport sexuel). « La sexualité, ce n’est pas que le coït », répètent souvent les sexologues. Prendre soin de sa féminité au quotidien, s’autoriser à être objet de désir pour soi-même, voilà une belle porte d’entrée vers le retour du plaisir.
N’hésitez jamais à demander conseil à une professionnelle : c’est un réflexe sain. Pour aller plus loin, cet article sur la gestion des différences de libido dans le couple ou celui consacré au retour de la libido après un accouchement offrent des pistes concrètes, recommandées par des professionnels à Liège et alentours.
Disons-le aussi : la sexualité change au fil des âges et des étapes de vie. Certaines femmes vivent une renaissance du désir après 50 ans, d’autres se « réveillent » après une rupture ou un changement profond d’environnement. Il n’existe pas de norme à suivre. Le plus important : la liberté de s’écouter, de demander de l’aide au bon moment, de refuser la fatalité. En Belgique, beaucoup de femmes redécouvrent leurs envies grâce aux consultations spécialisées. Pourquoi pas vous ?
Reparlons vrai. Prendre rendez-vous en sexologie, ce n’est pas « pour les autres ». C’est pour toutes celles (et ceux) qui refusent de subir le silence. Aussi surprenant que cela puisse paraître, la majorité des blocages du désir féminin se dénoue par une prise de parole sincère. La sexologue n’est pas là pour juger ou imposer un modèle. Elle accompagne, conseille, donne des clés pour comprendre, agir, lâcher la honte.
Dans le cabinet de Sexologue – Mme Sabrina Bauwens, on décortique chaque histoire. On clarifie la relation au corps, au partenaire, au plaisir. Parfois, simplement comprendre le « pourquoi » désamorce le sentiment d’anomalie. On entend alors des phrases comme : « Je ne savais pas que c’était aussi fréquent… », ou « J’aurais dû venir plus tôt ». Les outils sont concrets : exercices d’intimité, communication dans le couple, prise en compte des rythmes de vie, gestion de la fatigue. Pour certaines, une orientation médicale ou psychologique complémentaire s’avère utile. Mais tout commence par une parole accueillie, sans filtre.
Le rôle du partenaire est crucial. Il n’est pas rare qu’il se sente démuni, inquiet, rejeté. Or, la sexualité est un langage à deux. En consultation, la parole peut (doit) circuler, permettre d’exprimer ses attentes, ses peurs, ses besoins. La charge ne doit pas reposer sur les seules épaules de la femme. Parfois, la thérapie de couple fait des miracles. Elle redonne souffle à la relation, permet de retrouver une sexualité vivante et respectueuse du rythme de chacun. Pour approfondir le sujet du couple, n’hésitez pas à consulter cet article dédié à la perte de libido dans le couple.
Un point clé : évitez le piège de la performance. La sexualité, ce n’est pas une question de quota ou de chiffres à atteindre. Peut-être que votre libido a toujours été fluctuante. Peut-être qu’elle a disparu momentanément, puis revient par surprise à une période inattendue. L’accompagnement sexologique apprend à « surfer » avec ces vagues et à faire la paix avec son rythme. Tu n’es ni en retard, ni à côté de la plaque ! Parfois, relativiser, réapprendre à jouer, découvrir ou retrouver la sensualité, c’est déjà bien plus qu’un simple retour du désir sexuel. C’est une renaissance.
Une métaphore pour finir : la libido féminine ressemble à une plante capricieuse. Elle pousse, grandit, s’étiole, renaît parfois de façon surprenante. Elle a besoin d’eau, de lumière, d’attention. Si on la néglige, elle se met en veille. Si on la cultive, elle offre mille nuances inattendues ! S’autoriser à prendre soin de soi, se faire accompagner, c’est offrir à cette plante la chance de refleurir. Et cela, à tout âge.
Dans les moments de doute, retentez le coup : osez parler, osez consulter. Et rappelez-vous cette statistique : 80% des femmes accompagnées en sexothérapie rapportent une amélioration de leur vie intime. Rien que ce chiffre-là vaut qu’on tente l’aventure, non ?
La libido n’est jamais perdue à jamais. Elle attend juste le bon souffle pour se rallumer.
Si la perte de désir sexuel femme dure plusieurs semaines, s’accompagne de souffrance ou perturbe la relation de couple, il est important d’en parler à un professionnel. Une baisse passagère peut être normale, mais une libido en baisse persistante nécessite souvent une écoute spécialisée pour en déterminer la cause et trouver des solutions adaptées.
Après un accouchement, les changements hormonaux, la fatigue et le bouleversement du quotidien influencent fortement la libido. Cette absence du désir sexuel n’est pas anormale et s’améliore souvent avec du temps et une bonne communication de couple. Il ne faut pas hésiter à consulter si le mal-être persiste ou gêne la vie affective.
Il est conseillé de consulter dès que la baisse de libido devient source de tension, d’isolement ou d’incompréhension, aussi bien pour soi que pour le couple. Plus la prise en charge est précoce, plus les résultats seront positifs et durables, même si le problème semble mineur au départ.
Les médicaments ne sont pas forcément la solution principale pour retrouver la libido chez la femme. La plupart des traitements débutent par un accompagnement sexologique, des conseils personnalisés et, si besoin, un bilan médical pour exclure une cause physique. L’important est d’agir sur tous les facteurs, y compris émotionnels et relationnels.
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1. Brotto LA, et al., "Women's sexual desire and arousal disorders", BMJ, 2022. Cette revue explique les différentes causes médicales et psychologiques à l'origine de la baisse du désir chez la femme.
2. Leeners B, et al., "The effect of endocrinological disorders on female sexual function", Journal of Sexual Medicine, 2018. Cette étude décrit les conséquences des troubles hormonaux sur la sexualité féminine.
3. Kingsberg SA, et al., "Hypoactive sexual desire disorder in women", Menopause, 2017. L’article détaille les traitements et stratégies efficaces pour améliorer la libido féminine.
4. Basson R, "Women's sexual dysfunction: revised and expanded definitions", CMAJ, 2005. L’auteur précise l’importance d’une prise en charge globale pour mieux comprendre et soigner la baisse du désir chez la femme.