Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Imaginez : vous venez de finir un bon dîner, la table est encore encombrée de tasses à café, de miettes de pain. Pour beaucoup, ce moment rime avec un rituel précis : allumer une cigarette. Le fameux "petit plaisir d’après-repas". D’ailleurs, vous connaissez sûrement quelqu’un – ou c’est peut-être votre cas – qui affirme ne pas pouvoir savourer le café sans fumer. Mais d’où vient ce besoin ? Est-ce un réflexe ancré dans le corps, ou plutôt une sorte de douce habitude mentale, bien plus ancrée dans notre esprit que dans notre biologie ?
Ce sujet, à la fois universel et source de nombreuses consultations, mérite d'être regardé de plus près. Car en consultation, cette question revient tout le temps : « Docteur, je ne fume presque jamais, sauf après les repas, et je n’arrive pas à m’en passer ». Certains évoquent la sensation de digestion facilitée. D’autres parlent d’un « vide » ou d’une sorte de récompense. Qu’en dit la science ? Et surtout, comment s’en libérer ?
Dans cet article, on ne parlera que de ce fameux « moment cigarette » après les repas. Pourquoi existe-t-il ? Quel mécanisme derrière ce geste ? Et surtout, comment la thérapie brève et l’hypnose peuvent proposer des solutions concrètes, rationnelles – et humaines.
On entend souvent : « La cigarette m’aide à digérer ». Beaucoup y croient dur comme fer. Pourtant, les études scientifiques sont formelles : la nicotine stimule certes (un peu) l’activité digestive à court terme, mais cet effet reste très limité. Pire, à long terme, elle aggrave parfois les troubles digestifs, en ralentissant la motricité intestinale après le pic de stimulation initial.
Alors, si ce n’est pas le corps qui réclame une cigarette, qu’est-ce qui se passe réellement ?
La réponse se cache souvent dans notre cerveau. Le geste de fumer devient très vite un rituel. Le repas se termine, on se lève (ou on s’attarde à table), un café, une blague. Puis la main cherche inconsciemment le paquet de cigarettes. C’est simplissime… comme un enfant qui a besoin de son doudou pour dormir, alors qu’il n'en a plus vraiment besoin biologiquement.
« J’ai l’impression que la cigarette symbolise une parenthèse, un temps mort avant de reprendre la journée », confie Arnaud, 41 ans, lors d’une consultation à Liège. Beaucoup partagent cet avis. Il ne s’agit donc pas vraiment d’un besoin physique impérieux mais d’un conditionnement ancré dans la routine. Un peu comme ceux qui ne peuvent s’endormir sans lire quelques lignes d’un livre.
L’habitude naît d’une suite de signaux répétitifs : fin de repas → détente → cigarette. Après quelques semaines ou mois, c’est l’association qui prime : le cerveau « réclame » la cigarette – mais c’est la routine mentale qui est aux commandes… et non l’estomac !
L’hypnose pour arrêter de fumer : une alternative efficace aux méthodes traditionnelles
En Belgique, cette question est tellement fréquente en cabinet de tabacologie qu’elle est même au centre de nombreuses recherches sur la dépendance comportementale. Car le cerveau humain adore les schémas. Lorsqu’il en tient un, il s’y attache.
Alors, mythe digestif ? Surtout une association psychologique. Ce n’est pas le corps qui crie famine de nicotine, mais un conditionnement mental, renforcé jour après jour. Un peu comme une vieille chanson qu’on ne peut s’empêcher de fredonner sans même s’en rendre compte.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi cette impulsion surgit à ce moment précis ? Vous pourriez croire que c’est la faute du corps. Pourtant, le vrai coupable, c’est bien souvent le cerveau.
Voici ce que montrent les recherches : à la fin d’un repas, le niveau de stress diminue (merci les endorphines libérées pendant qu’on mange). Mais à ce moment précis, beaucoup cherchent une transition, une « béquille » pour marquer la pause ou la digestion. Fumer devient alors le pont entre deux activités, comme un point-virgule dans une phrase.
La nicotine, en stimulant le système nerveux central, crée une sensation de (fausse) concentration et un léger « pic de bien-être ». Mais… bonne nouvelle, cet effet ne repose sur rien d’indispensable à la digestion ou au plaisir post-repas. Ce n’est qu’un tour de passe-passe dopamine, comme un petit feu d’artifice qui s’éteint aussitôt. L’envie, elle, reste une association mentale : le cerveau attend sa récompense "après le fromage", pas avant.
Autre élément psychologique : l’anticipation. On le sait : les fumeurs se projettent souvent dans la satisfaction de la cigarette d’après-repas, bien avant de débarrasser la table. Cette anticipation maintient l’envie. Le fameux "je me retiens jusqu’au moment où je pourrai savourer ma clope" ne fait qu’ancrer encore plus fort l’habitude dans la mémoire.
Résultat : L’envie de fumer après manger ne relève presque jamais d’un manque physique. D’ailleurs, les personnes qui ont arrêté de fumer depuis plus de six mois témoignent souvent : « Finalement, ce n’est pas la nicotine qui me manquait, c’était le geste, le rituel, l’excuse pour souffler cinq minutes ». Encore une preuve que la force de l’habitude mentale surpasse de loin le besoin physiologique.
Et si vous testiez ? Attendez 20 minutes après le repas, occupez-vous l’esprit autrement : faites la vaisselle, appelez un ami, faites un tour dehors. Souvent, l’envie passe toute seule. Comme une vague qui perd en intensité dès qu’on détourne le regard.
C’est ici que la psychologie moderne et les thérapies brèves, comme l’hypnose, entrent en jeu. À quoi sert l’hypnose dans ce contexte ? À démonter, avec douceur mais efficacité, l’automatisme qui lie « fin de repas » et « cigarette » dans votre cerveau. Un peu comme on démêle patiemment un nœud au lieu de tirer, quitte à tout casser.
À Esneux et aux alentours de Liège, de plus en plus de personnes consultent un hypnothérapeute pour ce motif bien précis : le tabac « occasionnel » mais collé à un moment clé de la journée.
L’hypnothérapie à Esneux : une pratique moderne aux résultats concrets
Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH, propose une approche professionnelle et moderne. Son travail ne remplace jamais un accompagnement médical classique, mais il vient en soutien, pour agir là où les médicaments n’ont aucun effet : dans la part émotionnelle et rituelle du tabac.
La première séance vise toujours à comprendre le rituel propre à chacun. Pour certains, c’est la cigarette du matin, pour d’autres celle du midi, parfois celle du soir. Mais le cas du « tabac après repas » est unique : il touche des personnes qui n’ont pas l’impression d’être "vraiment" dépendantes, puisqu’elles attendent un seul moment précis pour fumer. Justement, c’est ce point faible qui peut devenir une vraie force dans l’accompagnement.
L’hypnose va alors « débrancher » le conditionnement cerveau-cigarette d’après-repas, en proposant de nouveaux ancrages : respirer profondément, boire un thé, écouter de la musique, ou même simplement savourer la détente du moment avec un autre geste. Par exemple, un patient témoignait : « Après la séance, j’ai spontanément eu envie de sortir marcher après manger, au lieu de fumer. Comme si le cerveau avait reprogrammé la récompense différemment ».
Arrêter de fumer à Liège : l’hypnose, une solution naturelle et moderne
La clé ? Il n’y a pas de « poudre magique ». Le travail démarre par une prise de conscience : oui, c’est possible d’arrêter uniquement la cigarette d’après-repas, même si on continue à fumer dans d’autres contextes. On peut déjouer le « piège » du cerveau un moment à la fois, comme on déplace une pièce d’échec plutôt que de tout renverser d’un coup.
En bref, l’hypnose ne fait pas "disparaître" l’envie. Elle la remplace par une autre association, plus saine. Ni plus, ni moins.
Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Pour arrêter de fumer après les repas, il ne suffit pas de « décider » une bonne fois pour toutes. Il faut comprendre ses déclencheurs : ce qui fait lever la main sur le paquet, presque sans réfléchir.
Voici quelques pistes à explorer :
Le cerveau fonctionne souvent par association. Si, tous les jours, on fume systématiquement après le repas, il crée une habitude aussi solide que la fermeture de la ceinture une fois sorti de table.
Une solution possible : déplacer consciemment la « récompense » du repas. À la place de la cigarette, choisissez une activité. Cela peut être minime : respirer profondément, grignoter un fruit, faire quelques étirements, ou même consulter un article sur l’hypnose pour s’occuper l’esprit.
À ce titre, Mme Marcelle Monseur, grâce à son expérience d’hypnothérapeute certifiée NGH, propose des outils pratiques pour aider à remplacer le geste compulsif par un geste volontaire. Cela paraît simple mais, appliqué au quotidien, ce mécanisme fait parfois toute la différence. Cela demande quelques jours d’adaptation, un peu de patience, mais c’est souvent le point de bascule.
Les résultats à Liège et un peu partout en Belgique affichent des taux de réussite encourageants pour ceux qui veulent s’attaquer uniquement à cette habitude spécifique – sans forcément viser le sevrage complet tout de suite.
Le cerveau adore ce qui est prévisible. Fumer après manger, c’est comme regarder le 20h après une journée de travail : ça rassure, ça structure la journée. La routine prend le pas sur la volonté. On parle de dépendance comportementale.
Quand vous fumez après le repas, une séquence se met en place :
Scientifiquement, le plaisir n'est que le résultat de la libération de dopamine, pas d’un réel « besoin ». Mieux comprendre ces mécanismes rend le changement plus facile à envisager. C’est comme remplacer une vieille habitude par une nouvelle, étape par étape. La clé, c’est la prise de conscience.
Comment réussir à ne pas fumer après le repas ?
Pour ne pas fumer après le repas, il est important d’identifier ses déclencheurs et de remplacer la cigarette par une nouvelle routine. Par exemple, boire un thé, marcher ou pratiquer la respiration profonde peuvent atténuer l’automatisme. S’engager dans une thérapie comme l’hypnose aide à changer durablement cette habitude mentale.
Pourquoi ai-je si envie de fumer juste après manger ?
L’envie de fumer après manger est essentiellement liée à un conditionnement psychologique, pas à un besoin physique. Le cerveau associe ce moment à une récompense ou une transition, créant un réflexe difficile à défaire mais tout à fait réversible.
Faut-il consulter pour arrêter la cigarette d’après-repas ?
Il n’est pas obligatoire de consulter, mais l’accompagnement par un professionnel, comme une hypnothérapeute certifiée NGH, peut fortement améliorer les chances de réussir. L’hypnose offre des stratégies ciblées pour déprogrammer l’habitude mentale liée à la cigarette d’après-repas.
Quand l’habitude de fumer après le repas disparaît-elle vraiment ?
Cette habitude peut s’atténuer dès les premières semaines si elle est remplacée par une autre action. Avec de la régularité et un accompagnement adapté, beaucoup de patients parviennent à l’effacer au bout de quelques mois, voire plus vite selon la motivation personnelle et le suivi.
Références scientifiques :
Buhler, M., et al. "The role of environmental context in smoking relapse." Addictive Behaviors, 2010. Cette étude montre que les rituels spécifiques, comme fumer après un repas, sont principalement liés à une mémoire contextuelle et non à une dépendance physique.
Koszowski, B., et al. "After meal: cue for cigarette consumption." Nicotine & Tobacco Research, 2002. L’enquête met en lumière le caractère conditionné de la cigarette post-prandiale, davantage associé à l’habitude qu'à la nécessité physiologique.
Le Foll, B., et al. "Behavioural addictions and habit formation." European Neuropsychopharmacology, 2017. Les auteurs insistent sur le parallèle entre l’habitude du tabac et d’autres rituels automatiques gérés par le cerveau, ce qui ouvre la porte aux thérapies comportementales.
McRobbie, H., et al. "Hypnotherapy for smoking cessation." Cochrane Database, 2019. Cette revue systématique atteste de l’intérêt de l’hypnose pour traiter les aspects comportementaux et mentaux de l’addiction, en particulier sur les habitudes spécifiques comme la cigarette post-repas.