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Jalousie excessive et gestion émotionnelle : retrouver confiance en soi et dans son coupleSexologue Mme Bauwens

Sexologue – Mme Sabrina Bauwens

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33

Sexologue : jalousie sexuelle excessive et gestion émotionnelle – sortir de l’emprise et retrouver confiance en soi et dans son couple

Ça vous est peut-être déjà arrivé : vous sentez la gorge se serrer en voyant votre partenaire sourire à quelqu’un d’autre. Ou un message, anodin, déclenche une tempête dans votre tête. D’un coup, la peur prend toute la place. La jalousie sexuelle excessive, ce n’est pas qu’un caprice ou une lubie. C’est même l’un des motifs de consultation les plus récurrents en sexologie, parfois bien caché derrière l’humour ou la culpabilité. D’ailleurs, savez-vous faire la différence entre une jalousie “normalisante” et une jalousie qui mange tout ? Pas si facile.

Dans cet article, embarquez pour un tour d’horizon complet sur la jalousie sexuelle excessive : ses origines, les ressorts psychologiques, ses impacts relationnels, les solutions thérapeutiques modernes et les moyens de mieux gérer ses émotions. Un voyage qui parlera tant aux personnes qui souffrent qu’à leurs partenaires… ou à ceux, nombreuses et nombreux, qui redoutent ces orages dans leur relation de couple. Curieux de comprendre, d’avancer, ou simplement de mieux vous connaître ? Cet article est pour vous.

Thérapie de couple : pourquoi consulter en sexologie ?

Qu’est-ce que la jalousie sexuelle excessive ? Quand devient-elle problématique ?

La jalousie sexuelle excessive, parfois nommée “jalousie pathologique”, c’est moins une question d’intensité qu’une histoire d’envahissement, de perte de repères. Les pensées deviennent obsédantes, l’imagination se nourrit des moindres détails, chaque situation anodine peut se transformer en cauchemar éveillé. Mais, revenons au début. Qu’est-ce que la jalousie, en général ? Et à quel moment déraille-t-elle ?

Vous l’avez sans doute déjà entendue, la fameuse phrase : “un peu de jalousie, c’est normal, ça prouve qu’on tient à l’autre.” Pas faux, mais pas toujours vrai non plus. À petites doses, la jalousie peut effectivement signaler l’attachement, l’importance qu’on accorde à la relation. Mais quand elle s’installe comme un locataire indésirable, qu’elle parasite la vie sexuelle et affective, là, tout s’inverse. La jalousie n’est plus un signal, c’est une prison.

En sexologie, on considère qu’une peur modérée de perdre l’autre, ou de voir l’attention du partenaire s’égarer, fait partie du spectre des normalités. Mais quand le doute ronge jusqu’à abîmer la confiance en soi ou l’autre, quand le couple est sous tension permanente, la jalousie devient un problème à part entière. Et attention : ce n’est pas une question de faiblesse ou de “manque de maturité”. C’est bien plus profond.

À Liège, de nombreux patients franchissent le pas du cabinet après avoir ressenti une “perte de contrôle”. Des angoisses chroniques en voyant leur partenaire prolonger la conversation avec un(e) collègue, une peur panique d’infidélité (même sans aucun indice), le besoin irrépressible de vérifier les messages, le corps qui se tend dès que l’on évoque la possibilité d’une attirance extérieure… Peut-être vous reconnaissez-vous dans ces exemples, ou peut-être observez-vous ces comportements chez un(e) ami(e). Une chose est certaine : la vie sexuelle et l’épanouissement du couple en souffrent presque systématiquement.

Pour la sexologue Sabrina Bauwens, il existe plusieurs signes d’alerte :

  • Pensées obsessionnelles sur la fidélité du partenaire

  • Comportements de vérification (regarder le téléphone, interroger les amis, fouiller…)

  • Contrôles (horaires, sorties, vêtements)

  • Soupçons permanents, interprétation négative des gestes ou mots

  • Conflits répétés, violences verbales ou émotionnelles

  • Baisse du désir sexuel ou au contraire rapports sexuels compulsifs pour “rassurer”

Bien sûr, il y a des degrés. Mais plus ces comportements s’installent, plus ils créent un cercle vicieux. Moins on fait confiance – à soi comme à l’autre –, plus la jalousie grossit. Et, parallèlement, les émotions négatives grandissent : tristesse, colère, honte… Parfois même, de la dépression.

Faîtes-vous partie de ces personnes pour qui ce phénomène prend toute la place, jusqu’à s’introduire dans chaque recoin du quotidien ? Selon certaines études, jusqu’à 10% des adultes traversent au moins une phase de jalousie sexuelle excessive au cours de leur vie. Un chiffre qui grimpe parmi celles et ceux ayant déjà vécu un traumatisme amoureux ou des trahisons passées. Le plus frappant : ce n’est pas lié à l’éducation, la culture ou le sexe. Hommes et femmes partagent le même risque, même si les manifestations diffèrent parfois.

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Pourquoi devient-on parfois jaloux(se) à l’excès ? Origines psychologiques et racines dans l’histoire personnelle

Vous vous demandez peut-être : “Pourquoi moi ?”. Ou encore : “Pourquoi lui/elle ?”. La réponse n’est jamais simple. Il n’y a pas d’ADN de la “jalousie maladive”. Personne ne naît “jaloux(se)”. Mais, il existe bel et bien des ressorts émotionnels et psychologiques, souvent bien ancrés, qui favorisent ce terrain fragile. Les comprendre, c’est déjà sortir de la culpabilité. Rendre la jalousie à sa juste place : un symptôme, pas une fatalité.

Les racines cachées de la jalousie sexuelle excessive – un miroir de notre histoire intérieure

Imaginez une balance. D’un côté, les expériences passées. De l’autre, la confiance actuelle. Lorsque le poids du doute écrase l’ensemble, la jalousie sexuelle excessive s’installe pour de bon. Voici les leviers principaux qui alimentent, consciemment ou non, cette dynamique :

  • Blessures d’attachement : De nombreuses études en psychologie montrent que les carences affectives de l’enfance – parents absents, séparations, trahisons, manque de sécurité émotionnelle – décuplent le risque de jalousie à l’âge adulte. L’enfant apprend que l’amour peut basculer, que la personne aimée peut partir du jour au lendemain. Adulte, il/elle reste en mode vigilance, redoutant sans cesse l’abandon.

  • Traumatismes amoureux : Une ou plusieurs infidélités passées peuvent laisser des traces profondes. Parfois, même longtemps après, chaque geste d’éloignement est perçu comme un danger. L’imagination s’emballe : “Et si ça recommençait ?”. La blessure cicatrise mal.

  • Mauvaise estime de soi : Une estime de soi fragile nourrit le doute : “Je ne suis pas assez bien, pas à la hauteur… Il/elle finira par partir ailleurs”. Souvent, ce sentiment de “ne pas valoir” se projette sur la sexualité : peur de ne pas être assez performant(e), de ne pas combler l’autre, de ne pas séduire.

  • Expériences sexuelles anxiogènes : Pour certains, un passé marqué par des ruptures difficiles, du harcèlement sexuel, des abus, ou une vie sexuelle vécue sur le mode de la performance, laissent une fragilité particulière. Le moindre signal, même anodin, est interprété comme un rappel de danger.

  • Pression sociale et stéréotypes : Il n’est pas rare que la société, les réseaux sociaux, les séries télé, accentuent l’idée que la sexualité doit être exclusive, fusionnelle, possessive. L’idéal romantique vire parfois à la caricature : si j’aime vraiment, je ne dois “partager” personne. Certains s’enferment malgré eux dans cette norme.

Mais attention : la jalousie se nourrit aussi des petits riens du quotidien. L’accumulation de frustrations ou d’incompréhensions sexuelles y joue un rôle clé. La sexologue en consultations l’observe partout, notamment en Belgique, aux alentours de Liège : la moindre baisse de désir, un changement de rythme dans la fréquence des rapports, un manque de mots doux… On s’imagine vite que l’autre trouve mieux ailleurs. Le cerveau, dans sa volonté de tout expliquer, n’hésite pas à inventer des scénarios. Plus la communication flanche, plus l’imaginaire se remplit de doutes.

Faut-il alors tout remettre en cause ? Non. Mais il est essentiel de se rappeler : la jalousie excessive traduit souvent une douleur, un besoin d’être sécurisé(e), compris(e), considéré(e). Lorsqu’on ne trouve pas ce réconfort à l’intérieur, on le cherche chez le/la partenaire. Cela crée hélas un cercle vicieux…

Vous vivez cette spirale ? Vous n’êtes pas seul(e). D’après certaines enquêtes, près de 30% des couples franchissent le seuil d’une sexologue pour ce motif, même si d’autres raisons sont citées en premier : disputes, manque de sexualité, conflits de valeurs… Dans les faits, la jalousie est souvent le fil rouge qui relie toutes ces difficultés souterraines.

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Au quotidien : comment la jalousie sexuelle excessive s’installe-t-elle dans la relation de couple ? Conséquences et signaux à surveiller

Imaginez une graine. Un doute minuscule. Si on l’arrose chaque jour, elle peut devenir un buisson épineux. Eh bien, la jalousie sexuelle excessive fonctionne comme cette graine. Elle prend racine dans le quotidien et déploie lentement ses branches jusqu’à envahir tout le champ de la relation. Parfois, au départ, elle passe presque inaperçue. Un simple “Tu me manques” plus insistant, un stress à l’idée que le/la partenaire sorte sans nous, des questions récurrentes sur l’emploi du temps… Puis un cran s’ajoute, puis un autre, et bientôt, c’est la spirale.

Le couple bascule alors dans un mode “policier” ou “procès”. Interrogatoires, vérifications, suspicions. La tendresse est remplacée par le contrôle, le doute, la possessivité. La vie sexuelle en pâtit, parfois de manière sournoise : perte d’envie, rapports vécus comme des épreuves, ou, paradoxalement, sexualité surinvestie pour tenter de “garder” l’autre. Chacun se replie sur ses peurs, et petit à petit, la complicité s’étiole.

Plus spectaculaire encore : ces crises de jalousie peuvent donner lieu à des scènes explosives, à des accusations sans fondement, à des ruptures précipitées. Parfois, c’est la sexualité qui cristallise le symptôme. Le plaisir partagé laisse place à la suspicion : “Pense-t-il/elle à un(e) autre pendant l’acte ?”, “Ai-je été comparé(e) ?”, “A-t-il/elle vraiment du plaisir ou simule-t-il/elle ?”.

Le symptôme le plus vicieux, c’est quand la jalousie s’incruste dans le silence. Ce sont tous ces non-dits, ces regards fuyants, ces phrases qui restent en suspens. Vous avez sans doute croisé ces conversations stériles et frustrantes : “Mais tu me fais confiance ou pas ?” Et l’autre : “C’est juste que j’ai besoin d’être rassuré(e)…” Le problème est là : la demande de “preuves” est infinie, car le manque de sécurité vient de l’intérieur.

Voici quelques impacts fréquemment recensés par les sexologues :

  • Baisse de la qualité de la relation sexuelle (perte de sensualité, rapports mécaniques ou absents)

  • Réduction de l’espace personnel, de la liberté individuelle (sentiment d’étouffement pour l’un, de vide pour l’autre)

  • Renforcement des conflits et des malentendus (la communication tourne en boucle, sans résolution durable)

  • Diminution de l’estime de soi des deux partenaires (celui qui jalouse se sent “malade”, l’autre coupable ou rejeté)

  • Enfants impactés, si le foyer est familial (tension générale, perte de repères)

D’un point de vue sexologique, la jalousie sexuelle excessive représente souvent un symptôme secondaire derrière lequel se cachent : des troubles liés à l’érection, une baisse de libido, des “pannes” sexuelles, ou une sexualité non épanouie. D’ailleurs, dans la pratique à Esneux ou lors de consultations à Liège, Sabrina Bauwens observe que la moitié des situations de jalousie excessive recoupent des problématiques profondes de doute sexuel, de performances, de peur de ne pas satisfaire.

Vous êtes concerné(e) ? Ce n’est pas une honte. C’est même humain. Mais il est important de ne pas laisser la graine pousser sans contrôle. Un climat de jalousie excessive, s’il perdure, peut mener la relation à l’impasse, générer du mal-être durable, voire des situations de violence psychologique.

Bonne nouvelle toutefois, et c’est peut-être pour ça que vous lisez cet article : rien n’est figé. La jalousie excessive se soigne, avec patience et méthode. Mais pas n’importe comment : pour sortir du cercle vicieux, il est indispensable de travailler simultanément sur soi, sur le couple et sur la gestion émotionnelle.

Sexologue – Mme Sabrina Bauwens

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33

Comment sortir du piège de la jalousie sexuelle excessive ? Outils pratiques, techniques thérapeutiques et pistes d’amélioration

Voilà une question cruciale. Parce que, parfois, une fois pris dans la tornade, on ne sait plus comment en sortir. Beaucoup pensent que la jalousie est “incurable”, une sorte de fatalité. Faux. Il existe aujourd’hui en sexologie des outils puissants, validés scientifiquement, pour apaiser cette anxiété et retrouver un couple plus épanoui.

La consultation avec une sexologue, comme Sabrina Bauwens, agit en plusieurs temps. Un peu comme on démonte le moteur d’une vieille voiture : on pose un diagnostic, on identifie les pièces usées (les blessures, peurs, croyances), et ensuite on répare, avec patience, chaque élément.

  • 1. Prendre conscience du problème : C’est la première étape, souvent la plus difficile. La personne doit admettre que sa jalousie est devenue envahissante, qu’elle fait souffrir le couple. Ce n’est pas de la faiblesse, c’est le début de la prise en charge.

  • 2. Mettre des mots sur la peur : Beaucoup de jaloux(se)s n’osent pas parler de leurs inquiétudes. En séance, exprimer ce que l’on ressent – peur de l’abandon, du rejet, de la trahison sexuelle – est déjà un soulagement. Pour certains, c’est même une révélation. “Je me rends compte que ma douleur ne vient pas de l’autre, mais de moi”.

  • 3. Retourner à l’origine : Parfois, la jalousie actuelle s’enracine dans une vieille blessure : une histoire d’amour brisée, une humiliation passée, une enfance sans repère solide. Le travail psychothérapeutique consiste à repérer quand et comment ce schéma s’est construit, pour ensuite le déconstruire ensemble.

  • 4. Acquérir des outils de gestion émotionnelle : On n’arrête pas la jalousie par la force du mental seul. Il faut apprendre à réguler l’angoisse, à apaiser ses émotions, à différencier faits et scénarios imaginaires. Des exercices simples sont proposés : respiration, reprogrammation cognitive, écriture, méditation, techniques corporelles… Peu à peu, la pression intérieure diminue.

  • 5. Renforcer l’estime de soi : Réapprivoiser son image, ses désirs, ses qualités en dehors du regard du/la partenaire. Le/la sexologue aide la personne à se reconstruire, à retrouver une sécurité intérieure.

  • 6. Réapprendre la communication : La jalousie aime le flou, l’interprétation. Oser mettre en mots ses besoins, ses limites, ses peurs, et surtout écouter ceux de l’autre, ce n’est pas inné. Mais ça s’apprend, surtout en thérapie de couple.

  • 7. Revenir au plaisir partagé : L’objectif final, c’est de réintégrer la sexualité dans un climat d’échange, de confiance, de plaisir. Reprendre son temps, bousculer les habitudes, oser l’humour et la complicité. Souvent, la réconciliation sexuelle suit naturellement.

Une anecdote parlante : dans le cabinet de Sabrina Bauwens, une jeune femme explique : “Je croyais que c’était lui le problème. Mais après quelques séances, j’ai compris que c’était ma propre peur, non résolue depuis une ancienne rupture, qui menait la danse.” Quelques semaines plus tard, un sentiment d’apaisement nouveau s’installe.

Il existe aussi des outils insoupçonnés à activer en dehors du cabinet : sport, dépassement de soi, projets personnels, retour vers la créativité, réseaux d’amitié hors du couple (souvent désertés chez les personnes jalouses). Reprendre foi en ses propres ressources, c’est sortir du piège du besoin de contrôle.

Vous l’avez compris : la clé, ce n’est pas de “se forcer à faire confiance”, mais de retrouver une paix intérieur et tous les plaisirs du couple adulte, loin des chaînes invisibles de la jalousie.

Enfin, la consultation sexologique prend souvent en compte la question de la sexualité : travail de désensibilisation face aux angoisses sexuelles, réapprentissage du désir, gestion des pannes et des frustrations, intégration du plaisir partagé plutôt que du plaisir en rivalité. À Esneux ou ailleurs, la sexologie moderne s’envisage ainsi : une prise en charge globale de l’humain, et non du simple symptôme.

Dans certains cas, la jalousie sexuelle excessive peut être le signal d’un trouble anxieux sous-jacent : dépression, TOC, trouble de la personnalité. Là, un accompagnement multidisciplinaire (thérapeute, médecin, parfois psychiatre) peut être proposé pour retrouver un équilibre durable. Rien de honteux : le but est d’avancer, pas de coller une étiquette.

Pour finir, n’oubliez jamais : la confiance en soi et dans la relation, c’est comme un muscle. Si on l’entraîne, même après des années de doutes, il redevient plus fort que la jalousie la plus tenace. Osez la première démarche : consulter une sexologue aux alentours de Liège, c’est déjà sortir de l’ombre de la peur.

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FAQ – Questions fréquentes

Comment différencier une jalousie normale d’une jalousie sexuelle excessive ?
Une jalousie “normale” se manifeste par un léger inconfort passager, sans altérer la confiance et la communication dans le couple. À l’inverse, la jalousie sexuelle excessive provoque souffrance, conflits répétés et comportements obsessionnels. Si vous doutez ou si cela pèse sur la relation, il est conseillé de consulter.

Pourquoi la jalousie sexuelle excessive nuit-elle souvent à la vie intime d’un couple ?
Parce qu’elle installe un climat de méfiance et de peur, qui bloque la spontanéité et la complicité. Quand l’un ou l’autre partenaire se sent jugé, surveillé ou accusé, le désir s’étiole et le plaisir devient secondaire ou associé à la tension.

Quand faut-il consulter une sexologue pour la jalousie sexuelle excessive ?
Il vaut mieux consulter dès lors que la jalousie cause une souffrance durable ou commence à dégrader la qualité de vie personnelle ou relationnelle. En parler à une professionnelle permet de faire le point, d’identifier les causes et de trouver des solutions adaptées.

Faut-il inclure son partenaire dans le suivi de sexologie en cas de jalousie ?
Oui, si possible et si les deux personnes sont prêtes. Un travail en couple favorise la compréhension mutuelle, la reconstruction de la confiance et prévient les non-dits nuisibles à la relation. Néanmoins, on peut initier une démarche en solo si l’autre n’est pas prêt à consulter.

Références scientifiques

1. Tarrier, N., Beck, G., et al. "Obsessive sexual jealousy: cognitive-behavioral conceptualization and treatment." British Journal of Psychiatry, 1990.
Cet article présente la conceptualisation et les traitements efficaces de la jalousie sexuelle pathologique selon l’approche cognitivo-comportementale.

2. Pines, A. M. "Romantic jealousy: Understanding and conquering the shadow of love." Psychology Press, 2013.
La chercheuse analyse les mécanismes psychologiques de la jalousie dans la relation de couple amoureuse et leur prise en charge.

3. White, G. L., & Mullen, P. E. "Jealousy: Theory, research, and clinical strategies." Guilford Press, 1989.
Un ouvrage de référence, alliant revue d’études et analyse clinique des différentes formes de jalousie et de leurs impacts sur les couples et la sexualité.

4. Brehm, S. S., Miller, R. S., Perlman, D., & Campbell, S. M. "Intimate relationships." McGraw-Hill, 2012.
Ouvrage de synthèse sur le vécu émotionnel dans le couple, incluant un chapitre scientifique consacré à la jalousie excessive et à ses conséquences psychosociales et sexuelles.

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