Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Décider d’arrêter de fumer est une démarche complexe, à la fois physique, psychologique et sociale. Les fumeurs se retrouvent souvent devant un choix cornélien : adopter une méthode classique telle que le patch nicotine ou s’orienter vers l’hypnose. Ces deux approches, bien distinctes dans leur fonctionnement et leur philosophie, font l’objet de nombreuses études et retours d’expérience. Cet article se propose de faire le point sur l’efficacité, la sécurité et l’intérêt thérapeutique de ces deux méthodes, pour vous permettre de faire un choix éclairé, en particulier si vous recherchez une prise en charge personnalisée et moderne, comme proposée par Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH.
La dépendance tabagique est bien plus qu’une simple habitude. Elle associe dépendance physique à la nicotine, ancrages psychologiques (stress, gestes, émotions) et pression sociale. La prévalence du tabagisme reste élevée, y compris en Belgique, où il continue de constituer un motif fréquent de consultation médicale et paramédicale. Le tabac est responsable de nombreuses pathologies chroniques, ce qui fait de l’arrêt du tabac un enjeu majeur de santé publique.
L’un des principaux obstacles à l’arrêt réside dans le syndrome de sevrage : anxiété, irritabilité, troubles du sommeil, prise de poids… C’est pour soulager ces symptômes et augmenter les chances de réussite que différents protocoles d’accompagnement sont proposés, parmi lesquels l’hypnose et les traitements nicotiniques substitutifs (comme les patchs).
Les patchs, forme la plus courante de substitution nicotinique, délivrent de la nicotine de manière transdermique, en quantités dégressives dans le temps. Le principe est d’amoindrir les envies de cigarette et d’atténuer les effets du sevrage physique, tout en réduisant progressivement la dépendance.
Ce dispositif est conseillé dès le début de la démarche d’arrêt, avec dosage personnalisé selon la consommation initiale. Les patchs se posent sur la peau, généralement le matin, et assurent une libération prolongée de nicotine tout au long de la journée. La durée de traitement varie, souvent sur 8 à 12 semaines, avec une diminution progressive des doses.
De nombreux essais cliniques démontrent une amélioration des taux de sevrage grâce aux patchs nicotiniques, comparativement à l’absence de traitement. Selon la revue Cochrane, l’efficacité à 6 mois serait de l’ordre de 14 à 20% selon le profil du consommateur. Il s’agit donc d’un outil structurant, mais qui nécessite généralement un accompagnement motivationnel ou comportemental complémentaire.
Malgré leur intérêt, les patchs ne traitent que la dépendance physique. Or, plus de la moitié des rechutes sont liées à des facteurs émotionnels, des déclencheurs contextuels (fêtes, stress, café) ou des automatismes inconscients. Les principaux effets indésirables rapportés sont des démangeaisons, l’insomnie ou les palpitations. Par ailleurs, les contre-indications (allergies, certains antécédents cardiaques) doivent aussi être prises en compte.
L’hypnose médicale, redécouverte ces dernières décennies et validée par de nombreux protocoles, s’impose de plus en plus comme un choix de pointe pour les personnes souhaitant arrêter de fumer. Elle combine prise en charge des aspects physiques, émotionnels et comportementaux du tabagisme, avec un accent profond sur l’inconscient et les ressources personnelles de chacun.
L’hypnose est un état modifié de conscience naturel, ressemblant à une profonde détente éveillée. L’hypnothérapeute guide le patient pour agir sur les croyances, les comportements automatiques et les émotions qui entretiennent l’addiction. À Esneux, Mme Marcelle Monseur propose une hypnose certifiée NGH (National Guild of Hypnotists), gage de professionnalisme et de modernité, avec une approche toujours complémentaire à l’accompagnement médical classique. Cela permet d’offrir une prise en charge globale, personnalisée et sans jugement.
Une première séance débute par une anamnèse détaillée, afin d’identifier le profil de dépendance, les motivations, les peurs et les antécédents. L’hypnothérapeute adapte ensuite les suggestions, les visualisations et les techniques utilisées, dans un cadre rassurant et confidentiel. La durée d’un accompagnement varie entre une à trois séances, parfois plus selon les besoins et le degré d’addiction.
Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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L’hypnose agit de manière ciblée sur la gestion du stress, la modification des automatismes (ex : la cigarette au café), la gestion des émotions et la reprogrammation positive du cerveau. Elle permet de diminuer les envies, de limiter la frustration et de développer un nouveau rapport, apaisé, au quotidien sans tabac. Plusieurs études scientifiques et enquêtes de terrain rapportent des taux d’abstinence durables allant de 30 à 40% à 6 mois, surtout auprès de patients motivés et bien accompagnés.
Contrairement aux patchs, l’hypnose traite l’origine profonde des comportements addictifs, offrant une approche holistique. Elle peut aussi s’intégrer à un protocole de soins plus large : médecins, tabacologues, psychologues, et hypnothérapeute travaillent souvent en synergie pour maximiser les chances de succès, notamment aux alentours de Liège.
Pour bien choisir sa méthode, il est capital de comparer l’efficacité, la sécurité, la personnalisation et les éventuelles contre-indications des deux approches.
Les données de la littérature scientifique montrent une efficacité modérée et équivalente des patchs et de l’hypnose sur le taux d’abstinence durable à 6 mois, mais une supériorité de l’hypnose sur la prise en charge des facteurs émotionnels et psychologiques. Une méta-analyse (Barth et al, 2018) rapporte un taux de succès de 30% pour l’hypnose, versus 20% pour le patch seul, avec une augmentation notable si une alliance thérapeutique est créée dès la première séance.
Les patchs proposent un protocole standardisé, certes efficace mais peu adaptable. L’hypnose offre, à l’inverse, une personnalisation dès la première consultation. Les séances sont adaptées à la personnalité, au vécu et aux fragilités potentielles du patient, ce qui renforce l’engagement et la motivation.
L’hypnose, réalisée par un hypnothérapeute certifié NGH, n’entraîne aucun effet secondaire physique, ni interaction médicamenteuse. Les patchs exposent, quant à eux, à certains risques cutanés ou à la persistance d’une dépendance “déplacée” à la nicotine, même à faible dose.
Le choix d’une méthode de sevrage tabagique ne doit pas être dicté par la mode, mais sur la base d’une évaluation personnalisée de son profil, ses antécédents et ses attentes.
Les patchs sont avant tout indiqués chez les gros fumeurs avec une forte dépendance physique, ou ceux qui redoutent intensément le syndrome de manque. Ils sont également utiles chez les patients ayant déjà fait l’expérience positive de cette méthode ou présentant des contre-indications à l’hypnose (psychose non stabilisée par exemple).
L’hypnose est particulièrement recommandée en première intention si la cigarette est surtout un refuge émotionnel (stress, anxiété, peur du vide), ou si le fumeur a déjà échoué avec d’autres méthodes. C’est également l’option de choix si la personne souhaite s’engager dans une démarche globale, axée sur le bien-être et la transformation intérieure. À noter que nombre de patients rapportent d’excellents résultats avec l’hypnose même après l’échec des substituts nicotiniques.
Il est tout à fait possible d’associer traitements substitutifs et hypnose, pour maximiser les chances de succès. L’accompagnement psychologique reste un facteur clef pour prévenir les risques de rechute, surtout dans les premières semaines. Un travail conjoint médecin-hypnothérapeute est recommandé, comme élaboré par Mme Marcelle Monseur lors des consultations d’arrêt du tabac à Liège.
De nombreux mythes entourent encore l’hypnose, qui serait assimilée à un état de contrôle ou de manipulation mentale. Or, il s’agit d’une approche moderne, validée scientifiquement, et utilisée de longue date dans les centres de santé et hôpitaux comme développé dans cet article.
Loin d’être antagonistes, médecine conventionnelle et hypnose gagnent à travailler ensemble. L’hypnose ne vise pas à se substituer aux traitements validés (patchs, conseils médicaux, autres substituts…), mais à compléter l’arsenal thérapeutique disponible afin de s’attaquer aux causes “profondes” de l’addiction.
Ce positionnement est au cœur de la pratique de Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH à Esneux : respect du secret professionnel, prise en charge individualisée, articulation avec les soignants de premier recours… L’hypnose ouvre la voie à une démarche positive, sans jugement, où le patient retrouve le pouvoir sur son comportement tabagique, même après de nombreux échecs.
Les avancées récentes intègrent la neuroscience, la personnalisation ultra-fine des suggestions, et un encadrement professionnel strict. La certification NGH garantit un niveau d’exigence, de respect de la déontologie et d’adaptabilité, pour une prise en charge sécurisée, efficace et moderne. Dans la région de Liège, cette approche attire de plus en plus, comme en témoignent les retours des patients et les collaborations avec les centres médicaux à Liège.
Quelle que soit la méthode choisie, l’arrêt du tabac demande une préparation mentale, une stratégie comportementale et, si besoin, l’appui d’un spécialiste. Voici quelques conseils pour faire le point avant de se lancer :
La réussite n’est pas une histoire de volonté ou de caractère, mais d’adaptation progressive du corps et du cerveau à une nouvelle liberté, celle du quotidien sans tabac. Choisir l’hypnose, les patchs, ou une association des deux, c’est s’accorder les meilleures chances tout en restant maître de son histoire.
En choisissant votre accompagnement, privilégiez la sécurité, l’expertise et la bienveillance. Mme Marcelle Monseur met l’accent sur la personnalisation des séances, l’intégration des dernières données scientifiques, et le respect du rythme de chacun. C’est une prise en charge qui s’adapte à vos besoins, sans pression, mais avec efficacité.
L’avantage de l’hypnose est aussi d’ouvrir à un travail en profondeur sur les causes du tabagisme (gestion du stress, estime de soi, traumatismes…) mais aussi sur les autres dimensions du bien-être. Les patchs peuvent être proposés en complément, s’il existe une anxiété majeure ou une dépendance physique importante. À chacun donc, de trouver sa “clé de voûte”, et pourquoi pas de bénéficier d’un regard croisé lors d’une consultation dédiée près de Liège.
Arrêter de fumer, ce n’est pas désigner LE remède miracle, mais trouver celui qui vous correspond, à un moment donné de votre histoire. De plus en plus de patients, en Belgique et ailleurs, ont déjà bénéficié de l'apport complémentaire de l’hypnose et des traitements classiques. Les patchs conviennent parfaitement à ceux qui recherchent une approche graduelle et ciblée sur le physique, tandis que l’hypnose se révèle précieuse chez les personnes en recherche de transformation globale et durable.
Quelle que soit la voie choisie, faites-vous accompagner par un professionnel reconnu et certifié, tel que Mme Marcelle Monseur, pour poser les bases d’une liberté retrouvée, durable et respectueuse de votre personnalité. Le tabac n’est pas une fatalité. Osez l’accompagnement personnalisé vers une vie sans cigarette.
Le choix dépend principalement de votre profil de dépendance et de vos préférences. Les patchs aident surtout sur le plan physique, tandis que l’hypnose agit efficacement sur les habitudes ancrées et les motifs émotionnels liés au tabagisme.
L’hypnose permet de travailler sur les automatismes inconscients et sur la gestion des émotions qui soutiennent l’envie de fumer. Cette méthode personnalisée favorise ainsi une rupture durable avec la cigarette, en agissant sur les mécanismes internes du comportement tabagique.
Vous pouvez consulter dès que l’envie d’arrêter devient une priorité et que vous souhaitez être accompagné de façon globale et professionnelle. Cette démarche est idéale si vous avez déjà tenté d’autres méthodes ou si vous ressentez un besoin d’aide pour gérer stress et tentations.
Il est tout à fait possible de combiner les deux, surtout dans les cas de forte dépendance physique ou de peur du manque. L’essentiel est d’intégrer l’accompagnement à vos besoins et à votre rythme, tout en restant suivi par un professionnel expérimenté.
1. Stead LF, et al. “Nicotine replacement therapy for smoking cessation.” Cochrane Database Syst Rev. 2012. : Référence mondiale des évaluations sur la substitution nicotinique, concluant à une efficacité supérieure versus placebo.
2. Eisenberg MJ, et al. “Hypnosis for Smoking Cessation: A Systematic Review and Meta-Analysis.” Addiction. 2014. : Cette méta-analyse montre l’intérêt de l’hypnose, en particulier chez les sujets motivés et dans un parcours thérapeutique global.
3. Barth J, et al. “Comparative efficacy of different smoking cessation interventions – meta-analysis and indirect comparisons.” BMC Public Health. 2018. : Cet article compare hypnose, patchs et autres méthodes, et souligne la nécessité d’un accompagnement personnalisé.
4. Rainville P, et al. "Cerebral mechanisms of hypnotic analgesia." J Cogn Neurosci. 1999. : Montre grâce à l’IRM la façon dont l’hypnose agit sur des zones cérébrales spécifiques impliquées dans les automatismes addictifs.