Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Le tabac est souvent présenté comme un recours pour apaiser le stress et l’anxiété. Mais cette apparence de soulagement masque une réalité bien plus complexe : loin de calmer durablement l’angoisse, la cigarette aggrave l’anxiété sur le long terme. Ainsi se forme un cercle vicieux entre le tabac et l’anxiété dont il est difficile de sortir sans accompagnement adapté. Comment ce piège s’installe-t-il ? Quelles sont les conséquences de la nicotine sur l’équilibre émotionnel ? Peut-on briser ce schéma destructeur, et comment l’hypnose thérapeutique, notamment pratiquée à Liège par une hypnothérapeute certifiée, peut-elle offrir une réponse complémentaire et constructive ? Ce dossier fait le point sur les liens entre tabac et anxiété, et présente des pistes novatrices pour se libérer durablement, en accord avec les avancées scientifiques récentes.
Pour beaucoup, fumer une cigarette rime avec détente. La nicotine aurait un effet « calmant », aidant à surmonter l’angoisse passagère ou à réguler les émotions difficiles, même lors des journées les plus stressantes. En réalité, plusieurs études démontrent que ce soulagement est transitoire et superficiel. La nicotine, en stimulant la libération de neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine), procure une sensation immédiate d’apaisement, mais ce bénéfice momentané masque l’augmentation globale de l’anxiété chez les fumeurs réguliers.
En agissant sur le système nerveux central, la nicotine déséquilibre l’homéostasie émotionnelle et entretient une dépendance psychologique solide. Plus la consommation est installée, plus le manque de nicotine se manifeste par des symptômes anxieux, piégeant l’individu dans une spirale.
À la recherche d’un moyen de calmer leur nervosité, beaucoup se tournent vers le tabac. Pourtant, l’effet apaisant s’avère être une illusion. Très vite, la privation augmente l’irritabilité, la tension, l’inconfort émotionnel. Chaque cigarette n’apaise plus que le manque précédemment créé… Un vrai cercle vicieux !
Des recherches en neurosciences ont mis en évidence que l’arrêt de la nicotine peut générer ou amplifier les symptômes d’anxiété, ce qui conduit la personne à reprendre la cigarette pour retrouver sa « normale ». Ce mécanisme de renforcement négatif explique en partie pourquoi les fumeurs anxieux ont tant de difficultés à arrêter.
Il est essentiel de comprendre que la dépendance à la nicotine ne touche pas que le corps : elle est aussi psychologique. Fumer devient un rituel pour gérer les tensions, de façon presque automatique. Souvent, la simple idée d’abandonner la cigarette fait remonter des appréhensions, une peur du vide, l’angoisse de ne plus savoir comment gérer ses émotions sans ce « soutien » apparent.
En Belgique, la problématique de l’anxiété est fréquemment évoquée lors des consultations d’aide à l’arrêt du tabac. Les professionnels de santé s’accordent à dire que la prise en charge doit impérativement intégrer cette dimension émotionnelle pour réussir à sortir du cercle tabac-anxiété.
Les données épidémiologiques montrent que les personnes qui fument ont, en moyenne, des niveaux d’anxiété plus élevés que les non-fumeurs. Plusieurs méta-analyses publient des résultats sans équivoque : la consommation régulière de tabac ne protège pas du stress, bien au contraire. Elle aggrave les symptômes anxieux, favorise la dépression et compromet la capacité de résilience face aux aléas de la vie.
Les adolescents, en particulier, sont vulnérables à ce mécanisme : beaucoup commencent à fumer pour s’intégrer, gérer leur nervosité, puis deviennent piégés par la dépendance psychosomatique. Chez les adultes, la consommation persiste souvent comme un « faux-ami » face aux soucis professionnels, familiaux ou sociaux.
Du point de vue neurologique, la nicotine agit sur les circuits de récompense du cerveau, court-circuitant les mécanismes naturels de gestion de l’anxiété. À chaque cigarette, une décharge dopaminergique crée la sensation d’apaisement, mais, à moyen terme, cette stimulation artificielle épuise les ressources internes de l’organisme. En conséquence, la sensibilité au stress augmente, créant un terrain propice à l’anxiété chronique.
Ce phénomène, étudié récemment en psychopharmacologie, met en lumière la nécessité d’approches de sevrage globales, qui prennent en compte la complexité des interactions entre le corps et l’esprit.
Fumer pour « gérer » son anxiété aboutit à un double effet délétère : non seulement les troubles anxieux ne diminuent pas ; mais, en plus, le risque de développer des pathologies cardio-vasculaires, pulmonaires ou digestives augmente de façon significative. La spirale tabac-anxiété s’accompagne souvent d’autres facteurs aggravants : troubles du sommeil, épuisement psychologique, fragilité sociale.
Aux alentours de Liège, les centres de prévention du tabagisme accordent une attention croissante à la dimension psychique dans l’élaboration des programmes d’aide au sevrage. L’expérience des patients montre que sortir de cette impasse demande un accompagnement sur-mesure, respectueux des besoins émotionnels de chacun.
De nombreux fumeurs expriment leur peur face à l’arrêt du tabac : « Vais-je devenir encore plus anxieux ? » Cette crainte, souvent renforcée par l’expérience de tentatives infructueuses, crée une prophétie auto-réalisatrice : la peur d’être submergé par le stress pousse à repousser l’échéance du sevrage.
Pourtant, la littérature scientifique indique que l’arrêt du tabac, bien accompagné, conduit à une baisse significative de l’anxiété après une période d’adaptation. Si des symptômes désagréables (irritabilité, nervosité) apparaissent dans les premiers jours, ils s’estompent la plupart du temps en quelques semaines. Un accompagnement personnalisé est la clé pour passer ce cap en douceur.
Lorsque l’angoisse refait surface, de nombreux ex-fumeurs replongent dans le tabac pour obtenir un soulagement rapide. On parle alors de rechute ; mais il s’agit le plus souvent d’un appel à mieux comprendre ses besoins, plutôt qu’un échec. Les thérapeutes spécialisés, comme Mme Marcelle Monseur à Esneux, invitent les patients à aborder la question des rechutes sans jugement, comme un moment d’apprentissage essentiel pour progresser.
Il est important de noter que l’arrêt du tabac, lorsqu’il s’accompagne d’une anxiété sous-jacente, peut également raviver un sentiment d’isolement social. Certaines personnes redoutent de ne plus pouvoir partager certains rituels, ou craignent de perdre un moyen d’appartenance à un groupe. Ici encore, l’accompagnement thérapeutique se révèle fondamental pour redéfinir ses repères émotionnels et relationnels.
Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Parmi les méthodes d’arrêt du tabac recommandées à ceux qui luttent contre l’anxiété, l’hypnose thérapeutique occupe une place croissante. Pourquoi ? Parce que cette approche ne se contente pas de « couper » le geste de fumer : elle intervient sur les facteurs inconscients qui entretiennent la dépendance et l’anxiété. C’est précisément ici que la pratique d’une hypnothérapeute certifiée NGH centrée sur la prise en charge thérapeutique, comme Mme Marcelle Monseur, offre un atout réel.
L’hypnose est un état modifié de conscience dans lequel l’esprit devient plus réceptif aux suggestions positives, et aux changements de schéma de pensée. En séance, le thérapeute guide le patient pour :
Cette démarche, résolument orientée vers la solution, permet à la fois de traiter la dépendance physique et de travailler sur l’équilibre émotionnel du patient. La relation thérapeutique s’appuie sur l’écoute, le respect du rythme, la personnalisation des objectifs ; elle vient renforcer, compléter et soutenir les approches médicales conventionnelles.
À Esneux, Mme Marcelle Monseur propose une pratique d’hypnose résolument moderne et professionnelle, issue de la formation NGH (National Guild of Hypnotists), référence internationale en matière d’éthique et de compétences techniques. Sa méthode accorde une attention particulière à la complémentarité avec la médecine, le suivi psychologique et les traitements médicamenteux éventuels en cas de nécessité.
Une première séance commence toujours par un bilan approfondi, en toute confidentialité. Cela permet d’identifier les causes précises de l’anxiété, le lien avec la cigarette, le vécu de la dépendance, mais aussi les ressources internes du patient pour amorcer le changement.
Ce que montre la recherche, c’est que les personnes ayant abordé l’arrêt du tabac via l’hypnose présentent, au fil des mois, une diminution significative de l’anxiété de fond. La gestion des émotions s’améliore, l’angoisse du manque diminue, et la capacité à faire face aux aléas quotidiens est renforcée.
En outre, l’hypnose permet d’apprendre l’auto-hypnose, une technique autonome de relaxation profonde qui peut être utilisée au quotidien pour soulager le stress, prévenir la rechute, et consolider l’arrêt.
L’hypnose ne se substitue pas à un accompagnement médical lorsque l’anxiété nécessite un diagnostic ou un traitement spécifique. En revanche, elle s’avère complémentaire : elle aide à relâcher la pression, à dépasser la peur d’échouer, à restaurer une image de soi positive, et à instaurer des automatismes apaisants. Ce faisant, la probabilité de succès à long terme augmente de façon significative, avec une meilleure qualité de vie globale.
Pour ceux qui souhaitent en savoir plus sur le déroulement d’un accompagnement à l’arrêt du tabac par l’hypnose, vous pouvez consulter cet article de fond sur l’hypnose anti-tabac.
Contrairement à certaines idées reçues, l’arrêt du tabac chez une personne anxieuse ne fait pas « empirer » le stress durablement. Plusieurs études le confirment : dans les semaines qui suivent la fin de la consommation, une amélioration de l’humeur, une réduction de l’anxiété et une stabilisation émotionnelle s’observent dans la majorité des cas.
Libéré du cycle « manque-soulagement illusoire-manque », le cerveau retrouve sa capacité naturelle de régulation émotionnelle. Les bénéfices psychosomatiques s’étendent : augmentation de l’énergie, meilleure concentration, détente physique accrue, relations sociales apaisées.
Pour approfondir la relation entre les troubles anxieux et les approches complémentaires, lisez notre article sur l’hypnose pour gérer l’anxiété.
L’arrêt du tabac est une démarche qui se prépare. Voici quelques conseils préalables, recommandés par les spécialistes :
Plusieurs ressources existent aux alentours de Liège pour soutenir ceux qui souhaitent sortir de la spirale tabac-anxiété, notamment en consultation d’hypnose professionnelle.
En Belgique, le réseau de lutte contre le tabac propose des programmes spécialisés intégrant la dimension émotionnelle et psychique de la dépendance. Les consultations d’aide à l’arrêt du tabac sont accessibles à tous et peuvent bénéficier d’un remboursement ou d’une prise en charge partielle, selon votre situation.
Vous pouvez également vous informer sur les implications du tabac sur la santé globale et bénéficier d’un suivi multidisciplinaire, en complément de l’hypnose.
Pour ceux qui cherchent un accompagnement personnalisé à Liège, il existe des services spécialisés qui peuvent orienter vers des professionnels de l’hypnose certifiés, tels que des consultations spécialisées.
De nombreux anciens fumeurs témoignent d’un changement profond dans leur rapport à l’anxiété après avoir arrêté le tabac grâce à l’accompagnement d’un hypnothérapeute centré sur le sevrage tabagique. « Je pensais que je serais encore plus stressé sans cigarette : en réalité, je me sens libéré et plus serein qu’avant », raconte Julien, 39 ans, patient d’une consultation spécialisée à Esneux.
Ces témoignages rejoignent les observations cliniques des praticiens : avec un soutien adapté, l’arrêt du tabac devient non seulement possible, mais il ouvre la voie à une reconstruction psychique stable et positive.
Si vous souhaitez explorer davantage les bénéfices de l’hypnose antitabac à Liège, consultez notre dossier sur l’hypnose comme solution naturelle.
La consommation régulière de tabac ne réduit pas l’anxiété à long terme ; elle entretient un état de tension et de dépendance qui augmente globalement le niveau de stress. Après un soulagement passager, l’anxiété réapparaît et conduit à fumer davantage, créant un cercle vicieux difficile à rompre sans aide adaptée.
Les personnes anxieuses trouvent souvent dans la cigarette un moyen temporaire de soulager leur nervosité. Lorsqu’elles arrêtent, le manque de nicotine peut renforcer leur sentiment d’angoisse, rendant le sevrage plus difficile sans accompagnement psychothérapeutique ou hypnothérapeutique.
L’hypnose est particulièrement indiquée lorsque l’arrêt du tabac est freiné par la peur de l’anxiété ou après plusieurs tentatives de sevrage infructueuses. Un accompagnement professionnel permet de travailler sur les causes émotionnelles, et d’installer des mécanismes naturels de gestion du stress sans tabac.
Consulter un hypnothérapeute certifié NGH est recommandé pour bénéficier d’une démarche structurée, respectueuse et complémentaire à la médecine traditionnelle. Cela garantit un encadrement professionnel et éthique, ainsi qu’une approche personnalisée selon vos besoins spécifiques.
West, R., Tobacco smoking: Health impact, prevalence, correlates and interventions, Psychology & Health, 2017. Résumé : L’article décrit les liens entre tabagisme, comorbidités anxieuses et efficacité des programmes de sevrage intégrant la dimension psychologique.
Fluharty, M. et al., The association of cigarette smoking with depression and anxiety: A systematic review, Nicotine & Tobacco Research, 2017. Résumé : Cette revue explore les mécanismes par lesquels le tabac alimente les troubles anxieux et l’importance des interventions psychothérapeutiques.
Parisod, H. et al., The use of hypnosis in smoking cessation and the management of anxiety: A review of clinical trials, International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2020. Résumé : Cette synthèse met en évidence l’efficacité de l’hypnose sur l’arrêt du tabac chez les personnes anxieuses.
Davies, R. et al., Mindfulness-based and hypnotic interventions for smoking cessation and anxiety: A meta-analysis, Addiction, 2021. Résumé : Les approches complémentaires, notamment l’hypnose, améliorent la gestion du stress chez l’ex-fumeur et augmentent la réussite du sevrage durable.